Se pa Abraham qui di C'est ASSEU se MIRLANDE KI DI ASSEZ!!FRENK!!!
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Se pa Abraham qui di C'est ASSEU se MIRLANDE KI DI ASSEZ!!FRENK!!!
Mirlande Manigat dans un nouveau quartier populaire, Martissant
Chaleureusement accueillie à l’endroit baptisé Cité Manigat, en référence à la famille de son mari, l’ancienne résidente d’un quartier, aujourd’hui en proie à l’extrême pauvreté et l’insécurité criminelle, peut désormais compter sur l’endossement d’un groupe de pasteurs et d’étudiants en droit
mardi 1er mars 2011,
La candidate à la Présidence Mirlande Hyppolite Manigat a défendu mardi son appartenance aux milieux populaires confrontés à des difficultés existentielles au quotidien, lors d’un meeting tenu dans le quartier défavorisé de Martissant (sud de Port-au-Prince) après l’officialisation de nouveaux soutiens venus du monde religieux et universitaire.
"J’ai grandi à Martissant où j’ai vécu jusqu’à l’âge de 20 ans et les habitants de Cité Soleil sont doublement mes compatriotes parce que je suis haïtienne et je vis dans la même commune qu’eux", a lancé Mme Manigat devant des centaines de partisans accueillants et réceptifs qui s’étaient rassemblés à Cité Manigat, du nom du général Saint-Surin François Manigat.
Personnage politique de premier plan de la fin du XIXe siècle, le grand-père de l’époux de la prétendante, l’ex-Président Leslie Manigat (fév-juin 1988), habitait dans cette zone périphérique de la capitale qui s’est considérablement dégradée à travers le temps.
"Ce n’est pas Abraham qui a dit c’est assez, mais Mirlande", a poursuivi la démocrate-chrétienne qui, sous des applaudissements nourris couvrant par moment sa voix, s’est déclarée déterminée à améliorer le sort des habitants de Martissant en réponse à des revendications véhiculées dans la foule.
En effet, le rassemblement a vite pris une allure interactive impliquant des échanges directs entre Mirlande Manigat et certains de ses partisans avec en toile de fond le nouveau slogan à succès de la campagne : "Ban m Manman m" (je veux ma mère).
L’un des spectateurs a affirmé que les citoyens de ce quartier pauvre- encore exposé aux bandes armées- n’ont pas d’autre choix que de porter la dirigeante du RDNP au pouvoir afin de faire échec aux anciens putschistes qui les avaient pourchassés au lendemain du sanglant coup d’état de 1991 contre le Président constitutionnel Jean-Bertrand Aristide.
Le rival de Mme Manigat avait activement soutenu le régime de facto que le général Raoul Cédras et le colonel Michel François avaient mis en place en vue d’empêcher le rétablissement du gouvernement légitime.
Mirlande Manigat semblait très satisfaite de sa journée de mardi après vu des leaders protestants et des étudiants de la Faculté de droit et des sciences économiques de l’Université d’Etat endosser sa candidature.
Selon son équipe de campagne, elle bénéficierait du soutien de quelque 700 pasteurs en vue du second tour des présidentielles prévu le 20 mars prochain. spp/Radio Kiskeya
Chaleureusement accueillie à l’endroit baptisé Cité Manigat, en référence à la famille de son mari, l’ancienne résidente d’un quartier, aujourd’hui en proie à l’extrême pauvreté et l’insécurité criminelle, peut désormais compter sur l’endossement d’un groupe de pasteurs et d’étudiants en droit
mardi 1er mars 2011,
La candidate à la Présidence Mirlande Hyppolite Manigat a défendu mardi son appartenance aux milieux populaires confrontés à des difficultés existentielles au quotidien, lors d’un meeting tenu dans le quartier défavorisé de Martissant (sud de Port-au-Prince) après l’officialisation de nouveaux soutiens venus du monde religieux et universitaire.
"J’ai grandi à Martissant où j’ai vécu jusqu’à l’âge de 20 ans et les habitants de Cité Soleil sont doublement mes compatriotes parce que je suis haïtienne et je vis dans la même commune qu’eux", a lancé Mme Manigat devant des centaines de partisans accueillants et réceptifs qui s’étaient rassemblés à Cité Manigat, du nom du général Saint-Surin François Manigat.
Personnage politique de premier plan de la fin du XIXe siècle, le grand-père de l’époux de la prétendante, l’ex-Président Leslie Manigat (fév-juin 1988), habitait dans cette zone périphérique de la capitale qui s’est considérablement dégradée à travers le temps.
"Ce n’est pas Abraham qui a dit c’est assez, mais Mirlande", a poursuivi la démocrate-chrétienne qui, sous des applaudissements nourris couvrant par moment sa voix, s’est déclarée déterminée à améliorer le sort des habitants de Martissant en réponse à des revendications véhiculées dans la foule.
En effet, le rassemblement a vite pris une allure interactive impliquant des échanges directs entre Mirlande Manigat et certains de ses partisans avec en toile de fond le nouveau slogan à succès de la campagne : "Ban m Manman m" (je veux ma mère).
L’un des spectateurs a affirmé que les citoyens de ce quartier pauvre- encore exposé aux bandes armées- n’ont pas d’autre choix que de porter la dirigeante du RDNP au pouvoir afin de faire échec aux anciens putschistes qui les avaient pourchassés au lendemain du sanglant coup d’état de 1991 contre le Président constitutionnel Jean-Bertrand Aristide.
Le rival de Mme Manigat avait activement soutenu le régime de facto que le général Raoul Cédras et le colonel Michel François avaient mis en place en vue d’empêcher le rétablissement du gouvernement légitime.
Mirlande Manigat semblait très satisfaite de sa journée de mardi après vu des leaders protestants et des étudiants de la Faculté de droit et des sciences économiques de l’Université d’Etat endosser sa candidature.
Selon son équipe de campagne, elle bénéficierait du soutien de quelque 700 pasteurs en vue du second tour des présidentielles prévu le 20 mars prochain. spp/Radio Kiskeya
Doub-Sossis- Super Star
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