PREVAL TROP égocentrique et souffrant de myopie politique

Préval
trop égocentrique et souffrant de myopie politique, a fait plusieurs
vaines tentatives de gestion de maintien d’un pouvoir personnel. Il a
préconisé le remplacement de la constitution. Il a voulu se succéder. Il
a tenté de nommer son successeur. Acculé par l’échec de toutes ses
tentatives maladroites, il a été forcé en dernier lieu de s’accrocher
désespérément comme un noyé à l’ultime corde de son arc, l’exploitation
de l’amendement de la constitution. Du processus de la déclaration par
la 48^e législature, à celui de l’adoption par la 49^e,
à la promulgation et enfin à la publication, Préval, son parti et la
caste, aveuglés et obsédés que par le maintien du pouvoir, ont bâclé
intentionnellement ou maladroitement selon certaines opinions,
l’opportunité historique du premier amendement de la constitution de
1987 après un quart de siècle ou presque. Déterminés à vouloir imposer
leur volonté et leur contrôle, ils ont provoqué manifestement un
imbroglio constitutionnel. Ayant eu pendant 54 ans l’habitude de la
possession et de l’exercice despotique du pouvoir et contant
naturellement sur l’impunité traditionnelle, le « casser feuille couvri
ça », ils ont agit avec arrogance, ostentation et désinvolture.

L’influence
de Préval n’a pas soudainement disparu au moment de la passation de
pouvoir le 14 mai 2011. Il y a eu, de sa part, tant d’efforts intenses
et persistants de gestion de maintien du pouvoir qui n’ont pas pu
réussir, certes, par égocentrisme, faute d’intelligence et d’esprit de
corps. Mais il y a néanmoins, des séquelles tenaces de ces efforts qui
persistent encore et ont laissé malheureusement leurs empreintes,
jusqu'à présent indélébiles. Mais pire, il y a maintenant, la présence
inquiétante en Haïti
du maître à penser et protecteur de Préval, qui est déterminé à prendre
la relève au nom de la caste, qui compte revendiquer son espace et sa
clientèle politique, ayant fermement dans sa ligne de mire la
confiscation des élections des collectivités territoriales à la fin de
cette année, pour le contrôle de la machine électorale. Il veut
redevenir un faiseur de roi. Il compte le faire par le biais de
l’exploitation à la fois de l’origine sociale et de l’ethnicité, comme
éléments catalyseurs traditionnels de stimulants diviseurs. Le
Regroupement des parlementaires pour le Renouveau (GPR), est maintenant
organisé et géré à cette fin, par le leader charismatique, le nouveau
« puppet-master » !

La désignation d’un nouveau premier ministre hors de la sphère d’influence de la caste, est pour elle une surprise désagréable et une situation aussi imprédictible qu’inquiétante.
N’est-il pas maintenant évident que ce ne soit pas Joseph Lambert qui
soit le leader du GPR ? Il y a même un des députés qui a voulu confirmer
et préciser ce fait en déclarant publiquement que le GPR est autonome par rapport au parti INITE.
Ceci est un fait politique important à retenir. Il faut, autant que
faire se peut, être certain de, qui dirige quoi, pourquoi et comment,
pour comprendre les enjeux, le jeu des intérêts et savoir à qui imputer
les actes et actions politiques.

N’est-on pas en train de constater dans les faits que les parlementaires du GPR veulent ostensiblement et obstinément faire glisser à nouveau le pays sur la pente des sentiers battus de 2006 ? Voilà ce qui a été rapporté dans la presse : Les sénateurs Moïse Jean-Charles et Wencesclas Lambert, respectivement de la plate-forme Inite (Unité/Nord et Sud-Est), tous deux membre du GPR au Sénat, indiquent que « le premier ministre désigné n’aura pas notre vote sans la négociation d’au moins quatre ministères. »

Nonobstant l’incompétence de Préval lui-même et l’absence totale de programme de gouvernement, d’où viennent la paralysie, la stagnation et l’inefficience des gouvernements de coalition de Préval et de ses trois premiers ministres ? Il y a-t-il lieu de répéter
les mêmes erreurs ? Que fait-on de la notion de l’indépendance des
pouvoirs ? Que fait-on des besoins collectifs de synergie, de cohésion
et de cohérence, pour le fonctionnement harmonieux du cabinet
ministériel ? Envers quel pouvoir sera la loyauté des ministres
titulaires des ministères qu’auront obtenus les parlementaires par le
biais des négociations ? Est-ce que ce n’est pas précisément l’autonomie
des ministres titulaires des ministères obtenus par les parlementaires
de la 48^e législature sous les gouvernements de Préval et de
ses trois premiers ministres, qui a constitué un handicape sévère à la
cohésion et à la cohérence de leurs cabinets ministériels ? Ce n’est pas
pour rien que l’on ait, à travers l’évolution du régime de Démocratie représentative,
introduit et adopté la notion de l’indépendance des pouvoirs. Certes,
il doit y avoir entre le pouvoir législatif et le pouvoir exécutif, un
dialogue constant, des négociations constantes, même des désaccords idéologiques et des conflits de vision.
Mais pas pour provoquer intentionnellement l’érosion de l’autorité
d’aucun des deux pouvoirs, ni pour la destruction anticipée et
préméditée de la cohésion et de la cohérence de l’un ou de l’autre
pouvoir. Le contrôle que le pouvoir législatif exerce, parce qu’il
représente collectivement avec une granularité plus fine,
la mosaïque des intérêts nationaux, ne l’incite pas à remplir un rôle
dictatorial et antagonique par rapport au pouvoir exécutif. La défense
des intérêts nationaux, voilà où se situent les responsabilités de ces
deux pouvoirs.

Qu’est-ce que nous avons constaté dans la réalité avec la 48^e
législature ? La répartition des ministères entre les différents
regroupements parlementaires, n’a été littéralement qu’un octroi de
vaches à lait aux partis formant ces blocs parlementaires. Cet octroi
constitue-t-il dans la réalité une action politique concrète pour la
défense des intérêts nationaux ou des intérêts de chapelle ? Dans le cas
où un bloc parlementaire reçoit tel ou tel ministère, en quoi ce fait
consiste-t-il une démarche dans le sens de l’amélioration du sort des
plus démunis et des plus vulnérables ? Qui de fait bénéficie directement
et exclusivement de l’octroi de ces ministères, si ce n’est que les
membres des partis auxquels appartiennent les ministres titulaires de
ces ministères ? De fait, cette menace non-voilée pour obtenir au moins quatre ministères, venant de Moïse Jean-Charles et de Wencesclas Lambert
n’est-elle pas plutôt pour satisfaire les besoins népotiques de leur
parti ? Les quatre ministères qu’ils visent, ne sont-ils pas ceux qui
bénéficient des plus substantielles allocations budgétaires ? Comment se propose-t-on dans ce cas, de combattre le népotisme et la corruption, quand des membres du pouvoir législatif annoncent ouvertement et ostensiblement leurs intentions de légiférer à l’aide de chantage non-équivoque, exigeant du pouvoir exécutif, comme si s’était un droit administratif, la répartition des ministères ? Encore une fois, comment doit-on interpréter la notion d’indépendance des pouvoirs et ses limites ? Si la 48^e
législature a pu tirer ses marrons du feu par le biais de ce chantage
non voilé, en 2006. Cette violation flagrante de la notion
d’indépendance des pouvoirs, constitue-t-elle un cas de jurisprudence ? Ou devrions-nous poser la question : Cui bono ? (A qui profite le crime ?)

MARC MIN SA PREVAL VO E KON FE ENRYEN ENKO.

De toute facon, la semaine prochaine il y aura un premier ministre, il n'est que d'attendre.

Pasyans Maximo, ekzekitif ak legislatif ap fe deal.

revelation a écrit:Apre passasyon pouvwa ki sot fet le 14 Avril laa, nou pa kwe ke Preval se yon sije de diskisyon pou aveni peyi a.
Metdam ou pa, Li montre ke historikman li roule politisyen Ayisyen e kominote internasyonal la.
Li fe 2 term prezidantyel!! Qui peut faire mieux??
Preval se le pase!
An nou pousse pou pi devan san gade deye!!

KOMAN LE PASE C KOUNYE A LI LE PREZAN KOMAN LI PAP PWAN KOD POU SA LI FE PAYI A BON MWEN DI DEPI MARTELLY PA METE NEG SA YO ANBA KOD MWEN LAN BOUDA LI KAR C PA ENYEN LI VINI REGLE POU PAYI A DEPI LI KA KITE GWO PAPA ASASYN SA YO SOU MOUN.

se bagay saa ki pa bopn an ayiti ;isit o Zeta zuni lè yon presidan fè yon move bagay ke se swa demokrat ou byen repibliken tout maeriken prske san distenktyon de pati mande pou li jije ;se konsa nou te wè ke genyen repibliken ki te vote pou impeach Richard Nixon tankou nou te jwen demokrat tou ki te vle ke yon impeach Bill Clinton ,men an ayiti ayisyen toujou avegle pa patizaneru dpei se Presidan pa yo li te met touye moun. volè lajan se pa anyen.se pou sa mwen toujou di ke mwen pa moun oken moun.

Preval komet yon move zak a la fen manda li ya. mwen pa konnen si se li ki reponsab chanje amandman ke palmantè yo te vote anvan li pibliye li nan jounal ofisyel Peyi men si konstiutyon pa bal dwa sa fok genyne yon anket ki mennen ki pou montre ki moun ki responsab sa.semenm bagay ak 6 machinn blinde yo si se vre preval mete 6 machonn blinde leta laky l poul sèvi fok Palamantè yo ka mandel de ki prevyen.Esek latortue pat blije reotunen 2 machinn ke li te fè yo voye Boca raton.ki sak fè preval beswen 6 machinn blinde lakay li nan yon peyi kote moun ap mouri ak kolera paske yo pa ka jwen dlo pwop pou yo bwè ni kay pou yo dòmi ni manje pou yo manje.apre tranbleman de tè se san anestezi yap koupe pye ti moun epi pou yon moun dim fok preval genyen 6 machinn lizye lakay li ki koute 150.000 dola chak.se bagay sa yo ki fè mwen pap ka janm renmen neg goch kavya sa yo vre.