Anacacis Jean Hector prône une entente entre l'exécutif et la majorité parlement

Anacacis Jean Hector prône une entente entre l'exécutif et la majorité parlementaire



Le Premier Ministre désigné, Bernard Gousse, n'a pas fait le dépôt de ses pièces au sénat hier. La soumission du dossier a été reportée au jeudi 14 juillet sur requête du chef d'Etat.

Réagissant à ce report de nombreux sénateurs ont fait valoir qu'il s'agit d'un effort du président Martelly en vue de dégager une majorité au grand corps. Le président de la commission spéciale Jean William Jeanty révèle que le motif du report n'a pas été précisé dans la correspondance du chef d'Etat au président du sénat. Il considère que des raisons techniques ou stratégiques peuvent motiver ce report.

De son coté le sénateur Anacacis Jean Hector est plus catégorique. Il assure que le report prouve que le président Martelly a compris le message lancé par les 16 sénateurs. M. Jean Hector croit que le Premier Ministre désigné peut passer l'étape de la ratification si les négociations se poursuivent. M. Gousse peut passer puisqu'on connaît les contentieux. En politique, il n'y a pas de position arrêtée. On peut toujours changer de position en discutant explique t-il.

Alors qu'on donnait le vice président du sénat comme prochain membres de la majorité pétitionnaire, M. Jean Hector a mis l'accent sur les possibilités d'entente entre l'exécutif et la majorité parlementaire. Il a même rappelé que le juriste Bernard Gousse avait donné des consultations au président René Préval durant son mandat. Ce rappel permettra sans doute de rapprocher les deux parties.

M. Gousse avait en début de semaine adressé des propos élogieux à l' endroit du président Préval.

Même s'il soutient qu'il n'a jamais rencontré le président Martelly, l'ex candidat à la présidence peut jouer le rôle de négociateur dans ce bras de fer entre l'exécutif et la majorité parlementaire.

Il estime que même le sénateur Jocelerme Privert, qui avait été emprisonné entre 2004- 2006, peut envisager un vote différent. Le sénateur Privert a dit qu'il va consulter ses mandants et votera selon leurs directives a révélé le vice président du sénat.

LLM / radio Métropole Haïti

Dans tout ça, il faudrait croire que l’homme Jocelyne Privert a les mains propres et qu'il n'a jamais participé aux bastonnades et abus de la population par le gouvernement répressif de Jean-Bertrand Aristide. Jocelyne Privert était un homme de main du mafieux JBA .Il faisait tout pour plaire à son maitre JBA, a l’instar du Premier Ministre opportuniste et immorale YVON NEPTUNE, D’AILLEURS.

Cette proposition qu’il nous offre de l’exil du pouvoir qu’il avait abuse est celui d’un citoyen droit, consciencieux et innocent à qui on déprive ses droits constitutionnels .C’est cette longue couleuvre qu'il veut nous faire avaler .Mais ça ne tient vraiment pas quand on se souvient de ses abus contre les droits citoyens et la constitution.

Les droits qu’il réclame, comme tous les assassins, il n'a jamais jugé nécessaire d'accorder le respect de ces droits à ceux qu'il arrêtait et torturait pour le compte du régime de place. Jocelyn Privert était l’un des voyous de la fonction publique sous le régime lavalasse. Comme tous les lavalassiens, il est sans dignité personnelle, plein d’audace, sans remords et sans honneur ; c’est pourquoi on entend sa voix aujourd’hui.

Vraiment, un âne qui braie en plein midi parce qu’il a chaud merite plus notre attention que les « plaintes » morbides d’un psychopathe, Monsieur Privert qui était –et est encore en principe – un idéologue de la chasse aux sorcières du régime lavalasse. Il est un assassin bien connu. Sauf notre tradition d’impunité lui a évité une condamnation aux travaux forcés à perpétuité.

Menteur !Menteur !Menteur !

Comment Anacacis peut-il demander aux victimes du bourreau de ratifier sa nomination?Pourquoi martelly ne peut-il pas designer un autre citoyen moins coupable d'abus de pouvoir que le miserable Gousse pour occuper la primature ,cette fonction inutile ou l'on gaspille les maigres ressources du pays pour rien.