BANDI, VORYEN LAVALAS ATAKE KONVWA PREZIDANSYEL NAN OKAP:YO FOUKE 30 MALENDREN
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BANDI, VORYEN LAVALAS ATAKE KONVWA PREZIDANSYEL NAN OKAP:YO FOUKE 30 MALENDREN
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Michel Martelly écarte un retrait de Gousse, lors d’une visite au Cap-Haïtien
Des individus arrêtés suite à des jets de pierre et de bouteille contre le cortège du chef de l’Etat accueilli avec enthousiasme par les habitants des quartiers populaires ; le Président n’a pas été touché
Publié le dimanche 24 juillet 2011
Michel Martelly a démenti dimanche les informations faisant état d’un éventuel désistement de son Premier ministre désigné, Bernard Gousse, lors de sa première visite officielle au Cap-Haïtien (274 km au nord de Port-au-Prince) axée sur ses promessses de campagne et marquée par des incidents ayant visé le cortège présidentiel.
La police a procédé à plusieurs arrestations après que des inconnus avaient lancé des pierres et des bouteilles de verre au moment où le chef de l’Etat saluait de nombreux partisans massés à l’entrée de la ville où il circulait à pied.
M. Martelly, qui n’a pas été touché lors de ces incidents, a réitéré à la population sa volonté d’initier, en septembre, son projet de scolarisation gratuite des enfants et souligné l’importance de l’implantation prochaine dans la deuxième ville du pays d’un parc industriel capable de générer 20.000 emplois.
La visite était aussi politique. Contrairement aux affirmations sous le couvert de l’anonymat des Sénateurs du groupe des 16, très hostiles à Gousse, le chef de l’Etat, qui s’est -une fois de plus, montré très critique vis-à-vis des parlementaires- a fait savoir qu’un échec du candidat ne pourra intervenir qu’au Parlement.
Au terme de longues heures de négociations entre le Président Martelly et les élus réclamant la tête de l’ancien ministre de la justice du gouvernement intérimaire post-Aristide (2004-2006), les deux parties s’étaient entendues sur la formation, dans une semaine, d’un nouveau gouvernement, sans toutefois indiquer qui serait à sa tête.
Vivement contesté au Sénat, le Premier ministre désigné y a déposé jeudi dernier ses pièces dans le cadre du processus de ratification de son choix devenu le feuilleton politique de l’été avec des rebondissements en cascade.
Au pouvoir depuis plus de deux mois, Michel Martelly n’avait pu, début juin, convaincre les Députés d’approuver la nomination de l’homme d’affaires Daniel Rouzier, poussé depuis vers la sortie. spp/Radio Kiskeya
Michel Martelly écarte un retrait de Gousse, lors d’une visite au Cap-Haïtien
Des individus arrêtés suite à des jets de pierre et de bouteille contre le cortège du chef de l’Etat accueilli avec enthousiasme par les habitants des quartiers populaires ; le Président n’a pas été touché
Publié le dimanche 24 juillet 2011
Michel Martelly a démenti dimanche les informations faisant état d’un éventuel désistement de son Premier ministre désigné, Bernard Gousse, lors de sa première visite officielle au Cap-Haïtien (274 km au nord de Port-au-Prince) axée sur ses promessses de campagne et marquée par des incidents ayant visé le cortège présidentiel.
La police a procédé à plusieurs arrestations après que des inconnus avaient lancé des pierres et des bouteilles de verre au moment où le chef de l’Etat saluait de nombreux partisans massés à l’entrée de la ville où il circulait à pied.
M. Martelly, qui n’a pas été touché lors de ces incidents, a réitéré à la population sa volonté d’initier, en septembre, son projet de scolarisation gratuite des enfants et souligné l’importance de l’implantation prochaine dans la deuxième ville du pays d’un parc industriel capable de générer 20.000 emplois.
La visite était aussi politique. Contrairement aux affirmations sous le couvert de l’anonymat des Sénateurs du groupe des 16, très hostiles à Gousse, le chef de l’Etat, qui s’est -une fois de plus, montré très critique vis-à-vis des parlementaires- a fait savoir qu’un échec du candidat ne pourra intervenir qu’au Parlement.
Au terme de longues heures de négociations entre le Président Martelly et les élus réclamant la tête de l’ancien ministre de la justice du gouvernement intérimaire post-Aristide (2004-2006), les deux parties s’étaient entendues sur la formation, dans une semaine, d’un nouveau gouvernement, sans toutefois indiquer qui serait à sa tête.
Vivement contesté au Sénat, le Premier ministre désigné y a déposé jeudi dernier ses pièces dans le cadre du processus de ratification de son choix devenu le feuilleton politique de l’été avec des rebondissements en cascade.
Au pouvoir depuis plus de deux mois, Michel Martelly n’avait pu, début juin, convaincre les Députés d’approuver la nomination de l’homme d’affaires Daniel Rouzier, poussé depuis vers la sortie. spp/Radio Kiskeya
Rico- Super Star
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Re: BANDI, VORYEN LAVALAS ATAKE KONVWA PREZIDANSYEL NAN OKAP:YO FOUKE 30 MALENDREN
Arreter d'envoyer des accusations gratuites
Invité- Invité
Re: BANDI, VORYEN LAVALAS ATAKE KONVWA PREZIDANSYEL NAN OKAP:YO FOUKE 30 MALENDREN
T NEG KISAK AKIZASYOIN GRATWIT, KISA W KONNEN
SISPANN JWE DENDON DE LA FAS POU BAGAY KI DEPASE W TI KEBEKWA.
Haïti : Michel Martelly pas bienvenu dans un quartier, au Cap-Haïtien
lundi 25 juillet 2011 à 07:13
Le cortège du président d’Haïti, Michel Joseph Martelly, a été ce dimanche la cible de jets de pierres et de bouteilles dans la ville du Cap-Haïtien, ont rapporté des correspondants de presse.
L’incident s’est produit dans le quartier dénommé Shada 1 réputé proche de l’ancien régime Lavalas de Jean-Bertrand Aristide.
Le président Martelly se dirigeait à pieds vers le centre-ville du Cap-Haïtien lorsque son cortège a essuyé des jets de pierre et de bouteilles lancés par des individus. La police a effectué 29 arrestations, selon les informations en provenance de la deuxième ville du pays.
Intervenant lundi matin sur Radio Vision 2000, le sénateur Desras Simon Dieuseul, de sensibilité Lavalas, a condamné cet acte et estime que les coupables doivent être punis selon la loi.
La visite du chef de l’Etat au Cap-Haïtien visait à lancer la « semaine du tourisme » dans le grand Nord.
SOURCE: RADIO VISION 2000
SISPANN JWE DENDON DE LA FAS POU BAGAY KI DEPASE W TI KEBEKWA.
Haïti : Michel Martelly pas bienvenu dans un quartier, au Cap-Haïtien
lundi 25 juillet 2011 à 07:13
Le cortège du président d’Haïti, Michel Joseph Martelly, a été ce dimanche la cible de jets de pierres et de bouteilles dans la ville du Cap-Haïtien, ont rapporté des correspondants de presse.
L’incident s’est produit dans le quartier dénommé Shada 1 réputé proche de l’ancien régime Lavalas de Jean-Bertrand Aristide.
Le président Martelly se dirigeait à pieds vers le centre-ville du Cap-Haïtien lorsque son cortège a essuyé des jets de pierre et de bouteilles lancés par des individus. La police a effectué 29 arrestations, selon les informations en provenance de la deuxième ville du pays.
Intervenant lundi matin sur Radio Vision 2000, le sénateur Desras Simon Dieuseul, de sensibilité Lavalas, a condamné cet acte et estime que les coupables doivent être punis selon la loi.
La visite du chef de l’Etat au Cap-Haïtien visait à lancer la « semaine du tourisme » dans le grand Nord.
SOURCE: RADIO VISION 2000
Rico- Super Star
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Re: BANDI, VORYEN LAVALAS ATAKE KONVWA PREZIDANSYEL NAN OKAP:YO FOUKE 30 MALENDREN
Mais oui Rico, mais oui... Vous usez de la présomption à l'innocence quand ça vous chante ( exemple: le cas DSK) mais dans d'autres cas, non
Invité- Invité
Re: BANDI, VORYEN LAVALAS ATAKE KONVWA PREZIDANSYEL NAN OKAP:YO FOUKE 30 MALENDREN
T-NEG a écrit:Mais oui Rico, mais oui... Vous usez de la présomption à l'innocence quand ça vous chante ( exemple: le cas DSK) mais dans d'autres cas, non
E PWI SAKI PASE NAN KA DSK. TANKOU TOUT MOUN KI GEN DOUT NAN DOSYE, GENYEN ZONN GRIZ.
KI LAKOZ GEN ANPIL KOMANTÈ NEGATIF KI DERANJE FEMINIS TANKOU W
PWOBLÈM-OU SITOU WAP JWE LOM DE SÈVIS., POTVWA. YON SÈKTE BYEN DETÈMINEN.
Rico- Super Star
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Re: BANDI, VORYEN LAVALAS ATAKE KONVWA PREZIDANSYEL NAN OKAP:YO FOUKE 30 MALENDREN
Rico a écrit:T-NEG a écrit:Mais oui Rico, mais oui... Vous usez de la présomption à l'innocence quand ça vous chante ( exemple: le cas DSK) mais dans d'autres cas, non
[size=24]E PWI SAKI PASE NAN KA DSK. TANKOU TOUT MOUN KI GEN DOUT NAN DOSYE, GENYEN ZONN GRIZ.
KI LAKOZ GEN ANPIL KOMANTÈ NEGATIF KI DERANJE FEMINIS TANKOU W
PWOBLÈM-OU SITOU WAP JWE LOM DE SÈVIS., POTVWA. YON SÈEKT;E BYEN DETÈMINEN.
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Je vous mets au défie dans tous les threads de DSK de voir ou j'ai déclaré position. Au maximum je pense avoir posté 5 postes.
Invité- Invité
Anpwent dijital se solisyon ensekirite a
Ki sosyete ki kapab bay jistis lè leta pa genyen anpwent dijital chak grenn sitwayen ki ape viv sou teritwa a? Pakonnen pa yon peche men se yon fot lè ou pa vle aprann. Ayiti pape fè yon pa toutotan lajistis pa panche sou kesyon kopye dwèt tout ayisyen. Byen fasil. Aprann trase yon egzanp epi tout ape chache yon kote pou yo chita.
Rico a écrit:</A>
Michel Martelly écarte un retrait de Gousse, lors d’une visite au Cap-Haïtien
Des individus arrêtés suite à des jets de pierre et de bouteille contre le cortège du chef de l’Etat accueilli avec enthousiasme par les habitants des quartiers populaires ; le Président n’a pas été touché
Publié le dimanche 24 juillet 2011
Michel Martelly a démenti dimanche les informations faisant état d’un éventuel désistement de son Premier ministre désigné, Bernard Gousse, lors de sa première visite officielle au Cap-Haïtien (274 km au nord de Port-au-Prince) axée sur ses promessses de campagne et marquée par des incidents ayant visé le cortège présidentiel.
La police a procédé à plusieurs arrestations après que des inconnus avaient lancé des pierres et des bouteilles de verre au moment où le chef de l’Etat saluait de nombreux partisans massés à l’entrée de la ville où il circulait à pied.
M. Martelly, qui n’a pas été touché lors de ces incidents, a réitéré à la population sa volonté d’initier, en septembre, son projet de scolarisation gratuite des enfants et souligné l’importance de l’implantation prochaine dans la deuxième ville du pays d’un parc industriel capable de générer 20.000 emplois.
La visite était aussi politique. Contrairement aux affirmations sous le couvert de l’anonymat des Sénateurs du groupe des 16, très hostiles à Gousse, le chef de l’Etat, qui s’est -une fois de plus, montré très critique vis-à-vis des parlementaires- a fait savoir qu’un échec du candidat ne pourra intervenir qu’au Parlement.
Au terme de longues heures de négociations entre le Président Martelly et les élus réclamant la tête de l’ancien ministre de la justice du gouvernement intérimaire post-Aristide (2004-2006), les deux parties s’étaient entendues sur la formation, dans une semaine, d’un nouveau gouvernement, sans toutefois indiquer qui serait à sa tête.
Vivement contesté au Sénat, le Premier ministre désigné y a déposé jeudi dernier ses pièces dans le cadre du processus de ratification de son choix devenu le feuilleton politique de l’été avec des rebondissements en cascade.
Au pouvoir depuis plus de deux mois, Michel Martelly n’avait pu, début juin, convaincre les Députés d’approuver la nomination de l’homme d’affaires Daniel Rouzier, poussé depuis vers la sortie. spp/Radio Kiskeya
Yon erè ou byen fot enkonpetans moun ki ape dirije peyi a?
Yon erè ou byen fot enkonpetans moun ki ape dirije peyi a? Kote sèvis ransèyman peyi a? Prezidan an ape deplase kouman dirijan zòn lan fè pa o koran genyen yon atak ki pare pou atenn vi chèf leta a? Si li te mouri ki sa yo te ape di? Mwen twouve nou ape jwe ak imay peyi an devan moun ki ape gade nou. Nan yon moman prezidan an ape lanse yon mouvman touristik, kote li ape envite etranje pou vini vizite tè a pou se sa ki rive. Nou genyen yon gwo pwoblèm. Tout bagay ki pase nou pran yo pou ti koze. Se yon ti ensidan, ti aksidan, yon i konfli poutan se san moun ki ape koule. nan yon sosyete pwemye sitwayen nasyon an pa epanye anba zak briganday malandren ki moun ki ape soti lòt kote ki pa menm konnen anyen de kilti nou yo pou vini vizite nou? Lè yon prezidn ape deplase yo asire vwayay li 5 jou anvan nan kontwole tout pakou li yo pou fè ansòt tout bagay pase byen. Kote komisè ki kantonnen nan komisarya kap ayisyen an? Kouman li fè pat konnen genyen yon kou konsa ki prepare? istwa ayiti ki ape kontinye...l bit.ly/p6E9Pv
Rico a écrit:</A>
Michel Martelly écarte un retrait de Gousse, lors d’une visite au Cap-Haïtien
Des individus arrêtés suite à des jets de pierre et de bouteille contre le cortège du chef de l’Etat accueilli avec enthousiasme par les habitants des quartiers populaires ; le Président n’a pas été touché
Publié le dimanche 24 juillet 2011
Michel Martelly a démenti dimanche les informations faisant état d’un éventuel désistement de son Premier ministre désigné, Bernard Gousse, lors de sa première visite officielle au Cap-Haïtien (274 km au nord de Port-au-Prince) axée sur ses promessses de campagne et marquée par des incidents ayant visé le cortège présidentiel.
La police a procédé à plusieurs arrestations après que des inconnus avaient lancé des pierres et des bouteilles de verre au moment où le chef de l’Etat saluait de nombreux partisans massés à l’entrée de la ville où il circulait à pied.
M. Martelly, qui n’a pas été touché lors de ces incidents, a réitéré à la population sa volonté d’initier, en septembre, son projet de scolarisation gratuite des enfants et souligné l’importance de l’implantation prochaine dans la deuxième ville du pays d’un parc industriel capable de générer 20.000 emplois.
La visite était aussi politique. Contrairement aux affirmations sous le couvert de l’anonymat des Sénateurs du groupe des 16, très hostiles à Gousse, le chef de l’Etat, qui s’est -une fois de plus, montré très critique vis-à-vis des parlementaires- a fait savoir qu’un échec du candidat ne pourra intervenir qu’au Parlement.
Au terme de longues heures de négociations entre le Président Martelly et les élus réclamant la tête de l’ancien ministre de la justice du gouvernement intérimaire post-Aristide (2004-2006), les deux parties s’étaient entendues sur la formation, dans une semaine, d’un nouveau gouvernement, sans toutefois indiquer qui serait à sa tête.
Vivement contesté au Sénat, le Premier ministre désigné y a déposé jeudi dernier ses pièces dans le cadre du processus de ratification de son choix devenu le feuilleton politique de l’été avec des rebondissements en cascade.
Au pouvoir depuis plus de deux mois, Michel Martelly n’avait pu, début juin, convaincre les Députés d’approuver la nomination de l’homme d’affaires Daniel Rouzier, poussé depuis vers la sortie. spp/Radio Kiskeya
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