A qui la faute?
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A qui la faute?
A qui la faute?
Que
fait un mineur de quatorze ans dans les rues de Port-au-Prince à 11h00
du soir ? Semble-t-il que le chemin qu’il prend n’est pas celui qui
mène à la maison ? A qui appartient la cigarette allumée entre ces
doigts ?
C’est
l’histoire des banlieues, victime de la famine, de l’analphabétisme, de
l’ignorance professionnelle, et du désordre familiale.
Je
suis un habitant du Bel-air. Je suis un révolté. Je ne vais pas vous
ennuyer avec ma misère, et je peux encore me battre, contrairement à
ceux qui n’ont plus d’espoir. Au Bel-air actuel, les hommes se
prostituent entre hommes, pour nourrir leurs foyers. Les dames mariées
se couchent contre leurs grées, pour gérer un travail mal payé. Rien ne
se fait pour le plaisir, dans les banlieues. Même lorsque les jeunes
vont dans les animations de quartier, c’est afin de pouvoir manger, au
bénéfice de leurs culs.
Mais
où sont les parents de ceux qui ne sont pas majeurs ? Où sont les
parents de la petite Cassandra, âgée de quatorze ans, qui se défile
avec sa bande de mineurs, et qui entre chez-elle tous les jours après
2h00 ? C’est Cassandra qui s’occupe de sa grand-mère, de son petit
frère de dix ans, et de son oncle de trente cinq ans. Tous les trois
mois, sa maman change de copain. Une fois, elle a partagé le copain de
sa maman avec elle. Depuis, elle vit chez sa grand-mère. Et c’est elle
qui apporte de l’argent à la maison.
Que
dire de Jordanie qui se met au service du voisinage afin de pourvoir
manger ? Il est entre neuf et onze ans. Tous les matins, il passe chez
les gens, pour les travaux domestiques. Espérant un peu d’argent, ou
pour la plupart du temps, un repas chaud. Tous les soirs, même si ses
yeux ne peuvent plus, il est obligé d’aller dans l’animation de
quartier, pour pouvoir souper les restes des fêtards.
Eunide :
demoiselle de dix-sept ans, s’est vanté, la semaine dernière, de
commencer à baiser à l’age de huit ans. Elle ne couche plus avec les
enfants de son age depuis l’age de onze ans. Sa maman est à l’étranger.
Elle ne baise pas pour de l’argent. Son copain a vingt sept ans. Quand
bon leur semble, ils vivent en concubinage. Cela ne dérange pas son
oncle qui a le même age que son copain, encore moins sa grand-mère.
Au
Bel-air, les jeunes ne croient plus en l’éducation civique. Les hommes
à main armée réussirent leurs vies plus facilement que ceux qui restent
à l’école. Et les filles se le disent ouvertement, qu’elles ont les
culs de gangsters. Alors, pas besoin d’aller à l’école pour se faire du
fric et de meufs.
Dans
ce qu’ils appellent l’animation de quartier, il y a un passeur de CD
(que je n’appelle pas DJ.), des stripteaseuses qui font l’amour sur
scène, des défis entre lesbiennes à relever pour de l’argent, et la
consommation de la drogue en pleine rue. Souvent, ce genre de programme
se termine par des règlements de compte. Mais ce qui est courant dans
le quotidien de ces jeunes, c’est l’agression de la fille pour que son
partenaire la frappe.
Eunide
raconte à une amie de son age : « Tu sais quoi, Chantal : si tu vis
avec un homme, tu vois qu’il ne te frappe jamais, sache qu’il ne t’aime
pas. »
Un
déporté des Etats-Unis a permis a ses amis de coucher avec sa copine.
Il l’a intégré dans une base de lesbienne. Il la baise dans le cul. Il
la drogue. Il la frappe tous les soirs, avant de dormir.
Personnellement, on dirait qu’ils trouvent du fantasme dans tout cela.
La
fille de dix-sept ans se croit être amoureuse. Elle raconte à ses amies
combien ce déporté l’aime. Concluant qu’à chaque fois qu’elle parte,
celui-ci va la chercher.
Une
amie m’a dit un jour, une adulte de vingt six ans : « Tu sais quoi,
Edcher, quand on vient de faire l’amour avec quelqu’un qu’on aime, on
se sent transporter. On ne voudrait pas aller se baigner, pour ne pas
se séparer de l’odeur, ni de la chaleur de cette personne. Mais quand
c’est la circonstance de la vie qui oblige, on est impatient de
terminer. Et de se diriger sous la douche. »
Pourquoi
couche-t-elle avec des hommes qu’elle n’aime pas ? Elle a terminé ses
études classiques, elle est diplômée en technique douanière, elle n’a
pas d’enfant, sa maman s’occupe bien d’elle, et elle semble avoir un
copain qui l’aime. Pourquoi faut-il qu’elle couche avec des hommes
qu’elle n’aime pas ?
Le
sexe a démasqué les institutions dites morales. Les pasteurs baisent
avec leurs fidèles, les directeurs d’école couchent avec leurs élèves,
les prêtres pédophiles font le pédéraste avec les enfants de cœur de
l’église.
Quand
les parents ne se donnent pas le temps de parler avec leurs enfants,
ceux-ci sont largués à eux-mêmes. Alors que ces obsédés sexuels ont des
moyens convaincants pour arriver à leurs fins. Ils ont du temps, de
l’argent, de la réputation, et de la connaissance.
Comment
dire non, quand on a faim ? Pourquoi dire non, si on ne sait pas ce
qu’on a rien à perdre ? En somme : l’absence des parents à la maison
encourage cette jeunesse dépravée a exploré l’autre face de la société.
N’ayant aucun respect pour les cadres, pas de respect pour les valeurs,
pas de respect pour la vie.
Le
Bel-air que j’ai grandi préparait ses enfants à vivre partout sur la
terre. La faim était toujours là. L’éducation était toujours segmentée.
Les maris n’étaient jamais à la maison. Mais la délinquance n’était pas
à ce niveau : Coucher avec une fille, peu importe son age, pour vingt
cinq gourdes ? Tuer son frère pour son héritage ? Promettre à sa maman
de la tuer le dimanche de la fête des mères ? Faire le pédéraste pour
se payer un bal ? Non, il n’était jamais ainsi.
A
qui la faute ? A l’enfant qui s’est aventurées trop jeune dans les
affaires des grands ? A la mère qui était trop occupé à faire du fric?
Au papa qui n’est jamais au foyer ? A l’état qui n’a aucun programme en
faveur de ces jeunes ? A l’insensée qui profite de la misère pour
abuser des autres ?
Une
fois, j’ai été au Champs de mars, parmi les chômeurs qui se discutent
de tout et de rien. Vers les 19h30, je fais volte de face, en direction
de chez-moi. Au cours de route, j’ai croisé une jolie demoiselle de
couleur achetée. Elle m’a appelé par mon nom, elle m’a rappelé que nous
étions rencontré dans un séminaire de dix jours qu’organisait le Centre
Culturelle « Pye Poudre ». Elle m’a demandé ce que je fais de bon, est
ce que j’ai des enfants, où est ma femme ? C’était dans une atmosphère
de rire, que la fille s’est invitée à aller chez-moi. Je lui ai dit que
je ne la conseillais pas. Elle m’a demandé pourquoi ? Je lui ai dis que
je la baiserais toute la nuit, si elle allait chez-moi. Je m’attendais
à un mauvais regard, ou quelques mots déplacés. De préférences, elle
m’a demandé combien je pouvais faire en une nuit ? A parler franc, j’ai
enduis que cette dernière n’avait pas d’argent pour entrer chez-elle.
Elle a une enfant de cinq ans qui l’attend probablement faim à la
maison. La plupart du temps, c’est ce qu’elle fait pour vivre. Pour
elle, et pour sa fille. Je lui ai donné de l’argent et mon numéro de
téléphone au besoin.
La faute est à
vous, parents. Vous ne devriez pas enfanter, si vous ne vous sentiez
pas prêt à assumer l’éducation civique de vos enfants. A apprendre à
vos enfants les bonnes manières. Comment se comporter en publique.
Comment faire du fric en conservant son caractère. Comment sauvegarder
sa personnalité.
Une
enfant de treize ans vient de poignarder une autre de même age qu’elle,
pour son mec. Celle-ci n’a pas honte de gronder en présence de sa
maman, que le pénis qui lui pénètre ne doit pas partager à une autre. Treize ans, à peine !
L’église,
a-t-elle fait son travail à ce sujet ? Comment sont les jeunes qui sont
à l’église ? Eh bien, ils baisent pour la même cause que les autres,
ils sont dans le piratage, ils commettent des actes malveillants, comme
n’importe qui.
Dimanche
16 novembre 2008, la famille de la petite Alicia, âgée de dix ans,
accompagnée d’une patrouille policière, a attendu la messe terminée, à
l’église de Dieu en Jésus-Christ, située à la rue des
Fronts-forts, pour procéder à l’arrestation de frère Emile, âgé de
trente sept ans, accusé de détournement de mineurs.
Mais
n’y a-t-il pas des cours de savoir vivre, à l’école ? Est-ce que les
élèves n’ont pas un profil de professeur ou de directeur à copier, ou
est ce que c’est cela le profil de l’éducation en Haïti ?
Le sexe, la drogue, les armes à
feu, le hip-hop, ce sont ce que les banlieues offrent aux jeunes
actuels. Protégez vos enfants contre ces microbes en leurs accordant
votre assistance, vos conseils, et votre autorité.
646.209.0509
[b]Carl E Thelemaque, MPA-IG Ph. D.
WWW.dreamforhaiti. COM
Inspire a Generation.. ...
[/b]
Que
fait un mineur de quatorze ans dans les rues de Port-au-Prince à 11h00
du soir ? Semble-t-il que le chemin qu’il prend n’est pas celui qui
mène à la maison ? A qui appartient la cigarette allumée entre ces
doigts ?
C’est
l’histoire des banlieues, victime de la famine, de l’analphabétisme, de
l’ignorance professionnelle, et du désordre familiale.
Je
suis un habitant du Bel-air. Je suis un révolté. Je ne vais pas vous
ennuyer avec ma misère, et je peux encore me battre, contrairement à
ceux qui n’ont plus d’espoir. Au Bel-air actuel, les hommes se
prostituent entre hommes, pour nourrir leurs foyers. Les dames mariées
se couchent contre leurs grées, pour gérer un travail mal payé. Rien ne
se fait pour le plaisir, dans les banlieues. Même lorsque les jeunes
vont dans les animations de quartier, c’est afin de pouvoir manger, au
bénéfice de leurs culs.
Mais
où sont les parents de ceux qui ne sont pas majeurs ? Où sont les
parents de la petite Cassandra, âgée de quatorze ans, qui se défile
avec sa bande de mineurs, et qui entre chez-elle tous les jours après
2h00 ? C’est Cassandra qui s’occupe de sa grand-mère, de son petit
frère de dix ans, et de son oncle de trente cinq ans. Tous les trois
mois, sa maman change de copain. Une fois, elle a partagé le copain de
sa maman avec elle. Depuis, elle vit chez sa grand-mère. Et c’est elle
qui apporte de l’argent à la maison.
Que
dire de Jordanie qui se met au service du voisinage afin de pourvoir
manger ? Il est entre neuf et onze ans. Tous les matins, il passe chez
les gens, pour les travaux domestiques. Espérant un peu d’argent, ou
pour la plupart du temps, un repas chaud. Tous les soirs, même si ses
yeux ne peuvent plus, il est obligé d’aller dans l’animation de
quartier, pour pouvoir souper les restes des fêtards.
Eunide :
demoiselle de dix-sept ans, s’est vanté, la semaine dernière, de
commencer à baiser à l’age de huit ans. Elle ne couche plus avec les
enfants de son age depuis l’age de onze ans. Sa maman est à l’étranger.
Elle ne baise pas pour de l’argent. Son copain a vingt sept ans. Quand
bon leur semble, ils vivent en concubinage. Cela ne dérange pas son
oncle qui a le même age que son copain, encore moins sa grand-mère.
Au
Bel-air, les jeunes ne croient plus en l’éducation civique. Les hommes
à main armée réussirent leurs vies plus facilement que ceux qui restent
à l’école. Et les filles se le disent ouvertement, qu’elles ont les
culs de gangsters. Alors, pas besoin d’aller à l’école pour se faire du
fric et de meufs.
Dans
ce qu’ils appellent l’animation de quartier, il y a un passeur de CD
(que je n’appelle pas DJ.), des stripteaseuses qui font l’amour sur
scène, des défis entre lesbiennes à relever pour de l’argent, et la
consommation de la drogue en pleine rue. Souvent, ce genre de programme
se termine par des règlements de compte. Mais ce qui est courant dans
le quotidien de ces jeunes, c’est l’agression de la fille pour que son
partenaire la frappe.
Eunide
raconte à une amie de son age : « Tu sais quoi, Chantal : si tu vis
avec un homme, tu vois qu’il ne te frappe jamais, sache qu’il ne t’aime
pas. »
Un
déporté des Etats-Unis a permis a ses amis de coucher avec sa copine.
Il l’a intégré dans une base de lesbienne. Il la baise dans le cul. Il
la drogue. Il la frappe tous les soirs, avant de dormir.
Personnellement, on dirait qu’ils trouvent du fantasme dans tout cela.
La
fille de dix-sept ans se croit être amoureuse. Elle raconte à ses amies
combien ce déporté l’aime. Concluant qu’à chaque fois qu’elle parte,
celui-ci va la chercher.
Une
amie m’a dit un jour, une adulte de vingt six ans : « Tu sais quoi,
Edcher, quand on vient de faire l’amour avec quelqu’un qu’on aime, on
se sent transporter. On ne voudrait pas aller se baigner, pour ne pas
se séparer de l’odeur, ni de la chaleur de cette personne. Mais quand
c’est la circonstance de la vie qui oblige, on est impatient de
terminer. Et de se diriger sous la douche. »
Pourquoi
couche-t-elle avec des hommes qu’elle n’aime pas ? Elle a terminé ses
études classiques, elle est diplômée en technique douanière, elle n’a
pas d’enfant, sa maman s’occupe bien d’elle, et elle semble avoir un
copain qui l’aime. Pourquoi faut-il qu’elle couche avec des hommes
qu’elle n’aime pas ?
Le
sexe a démasqué les institutions dites morales. Les pasteurs baisent
avec leurs fidèles, les directeurs d’école couchent avec leurs élèves,
les prêtres pédophiles font le pédéraste avec les enfants de cœur de
l’église.
Quand
les parents ne se donnent pas le temps de parler avec leurs enfants,
ceux-ci sont largués à eux-mêmes. Alors que ces obsédés sexuels ont des
moyens convaincants pour arriver à leurs fins. Ils ont du temps, de
l’argent, de la réputation, et de la connaissance.
Comment
dire non, quand on a faim ? Pourquoi dire non, si on ne sait pas ce
qu’on a rien à perdre ? En somme : l’absence des parents à la maison
encourage cette jeunesse dépravée a exploré l’autre face de la société.
N’ayant aucun respect pour les cadres, pas de respect pour les valeurs,
pas de respect pour la vie.
Le
Bel-air que j’ai grandi préparait ses enfants à vivre partout sur la
terre. La faim était toujours là. L’éducation était toujours segmentée.
Les maris n’étaient jamais à la maison. Mais la délinquance n’était pas
à ce niveau : Coucher avec une fille, peu importe son age, pour vingt
cinq gourdes ? Tuer son frère pour son héritage ? Promettre à sa maman
de la tuer le dimanche de la fête des mères ? Faire le pédéraste pour
se payer un bal ? Non, il n’était jamais ainsi.
A
qui la faute ? A l’enfant qui s’est aventurées trop jeune dans les
affaires des grands ? A la mère qui était trop occupé à faire du fric?
Au papa qui n’est jamais au foyer ? A l’état qui n’a aucun programme en
faveur de ces jeunes ? A l’insensée qui profite de la misère pour
abuser des autres ?
Une
fois, j’ai été au Champs de mars, parmi les chômeurs qui se discutent
de tout et de rien. Vers les 19h30, je fais volte de face, en direction
de chez-moi. Au cours de route, j’ai croisé une jolie demoiselle de
couleur achetée. Elle m’a appelé par mon nom, elle m’a rappelé que nous
étions rencontré dans un séminaire de dix jours qu’organisait le Centre
Culturelle « Pye Poudre ». Elle m’a demandé ce que je fais de bon, est
ce que j’ai des enfants, où est ma femme ? C’était dans une atmosphère
de rire, que la fille s’est invitée à aller chez-moi. Je lui ai dit que
je ne la conseillais pas. Elle m’a demandé pourquoi ? Je lui ai dis que
je la baiserais toute la nuit, si elle allait chez-moi. Je m’attendais
à un mauvais regard, ou quelques mots déplacés. De préférences, elle
m’a demandé combien je pouvais faire en une nuit ? A parler franc, j’ai
enduis que cette dernière n’avait pas d’argent pour entrer chez-elle.
Elle a une enfant de cinq ans qui l’attend probablement faim à la
maison. La plupart du temps, c’est ce qu’elle fait pour vivre. Pour
elle, et pour sa fille. Je lui ai donné de l’argent et mon numéro de
téléphone au besoin.
La faute est à
vous, parents. Vous ne devriez pas enfanter, si vous ne vous sentiez
pas prêt à assumer l’éducation civique de vos enfants. A apprendre à
vos enfants les bonnes manières. Comment se comporter en publique.
Comment faire du fric en conservant son caractère. Comment sauvegarder
sa personnalité.
Une
enfant de treize ans vient de poignarder une autre de même age qu’elle,
pour son mec. Celle-ci n’a pas honte de gronder en présence de sa
maman, que le pénis qui lui pénètre ne doit pas partager à une autre. Treize ans, à peine !
L’église,
a-t-elle fait son travail à ce sujet ? Comment sont les jeunes qui sont
à l’église ? Eh bien, ils baisent pour la même cause que les autres,
ils sont dans le piratage, ils commettent des actes malveillants, comme
n’importe qui.
Dimanche
16 novembre 2008, la famille de la petite Alicia, âgée de dix ans,
accompagnée d’une patrouille policière, a attendu la messe terminée, à
l’église de Dieu en Jésus-Christ, située à la rue des
Fronts-forts, pour procéder à l’arrestation de frère Emile, âgé de
trente sept ans, accusé de détournement de mineurs.
Mais
n’y a-t-il pas des cours de savoir vivre, à l’école ? Est-ce que les
élèves n’ont pas un profil de professeur ou de directeur à copier, ou
est ce que c’est cela le profil de l’éducation en Haïti ?
Le sexe, la drogue, les armes à
feu, le hip-hop, ce sont ce que les banlieues offrent aux jeunes
actuels. Protégez vos enfants contre ces microbes en leurs accordant
votre assistance, vos conseils, et votre autorité.
646.209.0509
[b]Carl E Thelemaque, MPA-IG Ph. D.
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Inspire a Generation.. ...
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piporiko- Super Star
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Nombre de messages : 4753
Age : 53
Localisation : USA
Opinion politique : Homme de gauche,anti-imperialiste....
Loisirs : MUSIC MOVIES BOOKS
Date d'inscription : 21/08/2006
Feuille de personnage
Jeu de rôle: L'impulsif
Re: A qui la faute?
Pipo, très bon poste. Ça illustre clairement la dégradation de notre société, T-Neg a un poste sur le même sujet, et cet article complémente son poste, et aussi celui de Révélation “Fok Malere Ta Sispand Grennen Timoun Pou Mize sa”.
AnaCreole- animatrice
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Nombre de messages : 363
Localisation : USA
Loisirs : Danser, Lire, Voyager
Date d'inscription : 13/06/2008
Feuille de personnage
Jeu de rôle:
Re: A qui la faute?
A qui la faute?
A moi-meme.
Koupab la kap detwi Ayiti a andedan nou chak.
Si chak Ayisien alawonbadè, pran desizion pou ameliore Ayiti, Ayiti tap sove.
A moi-meme.
Koupab la kap detwi Ayiti a andedan nou chak.
Si chak Ayisien alawonbadè, pran desizion pou ameliore Ayiti, Ayiti tap sove.
Invité- Invité
Re: A qui la faute?
colocolo a écrit:A qui la faute?
A moi-meme.
Koupab la kap detwi Ayiti a andedan nou chak.
Si chak Ayisien alawonbadè, pran desizion pou ameliore Ayiti, Ayiti tap sove.
Pale avèk yo Colo ! ann kontinye ak lis moun ki pa "blan" yo : Rene Civil, Sò Ann, Tutud, Amanus Mayètte, Jean Candio, Nahoun Marcelus, Yvon Neptune...
Thunder- Super Star
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Nombre de messages : 4692
Localisation : Planet Earth (Milky Way Galaxy)
Loisirs : Target Practice, Sports Cars, Konpa...
Date d'inscription : 24/08/2006
Feuille de personnage
Jeu de rôle: Le gardien
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