Le HOPE, une bouffée de gaz carbonique pour l’économie ?
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Le HOPE, une bouffée de gaz carbonique pour l’économie ?
Le « Hope », une bouffée de gaz carbonique pour l’économie ayitienne?
Par Jean Poincy
En réponse à l’euphorie de l’Association des industries d’Haïti (Adih) face à leur quête d’une parité à l’African Growth & Opportunity Act (AGOA), dans Le Nouvelliste No. 36519 du vendredi 30 août au 1er septembre 2002, j’ai proposé de repenser leur stratégie en démontrant qu’une opportunité économique réelle pour Ayiti dans le secteur textile dépend de l’utilisation des intrants fabriqués dans le pays.
Si, après un lobbying intense, le Congrès américain accepte de renverser les conditions exigeant que les intrants textiles proviennent des États-Unis et en même temps d’exonérer sur le marché américain les droits de douane sur les vêtements fabriqués en Ayiti, je regrette de signaler que le secteur textile ne connaîtra aucun succès économique, même avec la relance de la sous-traitance.
C’est dû au fait qu’il n’existe pas de secteur textile en Ayiti et que l’industrie d’assemblage à laquelle on le réduit n’y est qu’un dernier maillon. En outre, l’absence d’un plan d’action économique national visant à propulser le marché local comme moteur du développement économique fait grand défaut.
Suite de l'article: http://www.lematinhaiti.com/PageArticle.asp?ArticleID=4089
Par Jean Poincy
En réponse à l’euphorie de l’Association des industries d’Haïti (Adih) face à leur quête d’une parité à l’African Growth & Opportunity Act (AGOA), dans Le Nouvelliste No. 36519 du vendredi 30 août au 1er septembre 2002, j’ai proposé de repenser leur stratégie en démontrant qu’une opportunité économique réelle pour Ayiti dans le secteur textile dépend de l’utilisation des intrants fabriqués dans le pays.
Si, après un lobbying intense, le Congrès américain accepte de renverser les conditions exigeant que les intrants textiles proviennent des États-Unis et en même temps d’exonérer sur le marché américain les droits de douane sur les vêtements fabriqués en Ayiti, je regrette de signaler que le secteur textile ne connaîtra aucun succès économique, même avec la relance de la sous-traitance.
C’est dû au fait qu’il n’existe pas de secteur textile en Ayiti et que l’industrie d’assemblage à laquelle on le réduit n’y est qu’un dernier maillon. En outre, l’absence d’un plan d’action économique national visant à propulser le marché local comme moteur du développement économique fait grand défaut.
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Dernière édition par le Lun 22 Jan 2007 - 22:38, édité 1 fois
gwotoro- Super Star
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Re: Le HOPE, une bouffée de gaz carbonique pour l’économie ?
Que voulez-vous? des affamés piaffent pour des miettes qui ne pourront meme pas satisfaire leur faim.
Rodlam Sans Malice- Super Star
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Re: Le HOPE, une bouffée de gaz carbonique pour l’économie ?
Le projet « Hope » : une bouffée d’oxygène ou de gaz carbonique pour l’économie haïtienne ?
Après plusieurs mois de négociations et de lobbying au niveau du Congrès des États-Unis par des membres du gouvernement haïtien et du secteur local des affaires, le projet Hope a été ratifié par les autorités américaines à la grande satisfaction de certains leaders politiques et économiques nationaux. Ces derniers n’ont pas cessé de présenter depuis lors les multiples avantages que l’économie nationale pourrait en bénéficier, particulièrement au niveau de la création des emplois pour lutter contre la pauvreté qui a atteint un niveau critique en Haïti. Estimant que l’euphorie était un peu trop forte du côté des secteurs intéressés, M. Jean Poincy a voulu bien apporter un bémol dans un article publié dans les colonnes du quotidien Le Matin (# 32696 du lundi 8 janvier 2007) en faisant ressortir certaines faiblesses affichées par l’économie nationale. Lesquelles faiblesses qu'il faudrait corriger pour pouvoir bénéficier de l’établissement de Hope en Haïti. Mais il faut reconnaître que certains points avancés par M. Poincy sont assez controversés.
Suite de l'article: http://www.lematinhaiti.com/PageArticle.asp?ArticleID=4221
Après plusieurs mois de négociations et de lobbying au niveau du Congrès des États-Unis par des membres du gouvernement haïtien et du secteur local des affaires, le projet Hope a été ratifié par les autorités américaines à la grande satisfaction de certains leaders politiques et économiques nationaux. Ces derniers n’ont pas cessé de présenter depuis lors les multiples avantages que l’économie nationale pourrait en bénéficier, particulièrement au niveau de la création des emplois pour lutter contre la pauvreté qui a atteint un niveau critique en Haïti. Estimant que l’euphorie était un peu trop forte du côté des secteurs intéressés, M. Jean Poincy a voulu bien apporter un bémol dans un article publié dans les colonnes du quotidien Le Matin (# 32696 du lundi 8 janvier 2007) en faisant ressortir certaines faiblesses affichées par l’économie nationale. Lesquelles faiblesses qu'il faudrait corriger pour pouvoir bénéficier de l’établissement de Hope en Haïti. Mais il faut reconnaître que certains points avancés par M. Poincy sont assez controversés.
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gwotoro- Super Star
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Re: Le HOPE, une bouffée de gaz carbonique pour l’économie ?
Hope : se réjouir, mais pas trop vite !
La Loi Hope est passée au Congrès américain, mais ses effets ne pourront se faire sentir que lorsqu’un certain nombre de pré-requis seront remplis. Que faut-il pour que la loi soit effective et qu’Haïti en bénéficie ? Dans quels délais peut-on attendre ses effets ? Que peut-on espérer de cette loi concrètement ? Nous avons posé ces trois questions à Georges Sassine, vice-Président de l’Association des Industries d’Haïti (ADIH) impliquée dans ce dossier depuis plusieurs années et dont plusieurs membres étaient à Washington au moment du vote. Hope est voté, mais que faut-il pour en voir des effets concrets ? Il faut d’abord que le président des États-Unis certifie qu’Haïti est apte à gérer les quotas prévus par cette loi. Il faut également que nous soyons capables de surveiller de très près les transbordements des produits non fabriqués en Haïti.
Suite de l'article: http://www.lematinhaiti.com/PageArticle.asp?ArticleID=4219
La Loi Hope est passée au Congrès américain, mais ses effets ne pourront se faire sentir que lorsqu’un certain nombre de pré-requis seront remplis. Que faut-il pour que la loi soit effective et qu’Haïti en bénéficie ? Dans quels délais peut-on attendre ses effets ? Que peut-on espérer de cette loi concrètement ? Nous avons posé ces trois questions à Georges Sassine, vice-Président de l’Association des Industries d’Haïti (ADIH) impliquée dans ce dossier depuis plusieurs années et dont plusieurs membres étaient à Washington au moment du vote. Hope est voté, mais que faut-il pour en voir des effets concrets ? Il faut d’abord que le président des États-Unis certifie qu’Haïti est apte à gérer les quotas prévus par cette loi. Il faut également que nous soyons capables de surveiller de très près les transbordements des produits non fabriqués en Haïti.
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gwotoro- Super Star
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Re: Le HOPE, une bouffée de gaz carbonique pour l’économie ?
Hope, une bouffée d’espoir à défaut d’oxygène
Interpellée dans un article rédigé par M. Poincy (Le Matin …), l’Association des Industries d’Haïti (ADIH), souhaite, sous la plume de son vice-président Georges Sassine, éclaircir certains points évoqués par l’auteur et qui pourraient induire le lecteur en erreur dans son interprétation. En effet, personne ne prétend que la loi Hope est une panacée pour notre économie, mais sous prétexte qu’elle n’en serait qu’un « démarreur », devrait-on pour autant la balayer du revers de la main ? À part le caractère négatif du titre de l’article et certains commentaires incorrects sur les effets à court terme et moyen terme du passage de Hope ou sur l’impact des importations de matières premières qui seront réexportées avec une valeur ajoutée, l’idée générale du texte est intéressante.
Suite de l'article: http://www.lematinhaiti.com/PageArticle.asp?ArticleID=4213
Interpellée dans un article rédigé par M. Poincy (Le Matin …), l’Association des Industries d’Haïti (ADIH), souhaite, sous la plume de son vice-président Georges Sassine, éclaircir certains points évoqués par l’auteur et qui pourraient induire le lecteur en erreur dans son interprétation. En effet, personne ne prétend que la loi Hope est une panacée pour notre économie, mais sous prétexte qu’elle n’en serait qu’un « démarreur », devrait-on pour autant la balayer du revers de la main ? À part le caractère négatif du titre de l’article et certains commentaires incorrects sur les effets à court terme et moyen terme du passage de Hope ou sur l’impact des importations de matières premières qui seront réexportées avec une valeur ajoutée, l’idée générale du texte est intéressante.
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gwotoro- Super Star
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Jeu de rôle: le balancier
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