L'Art de fabriquer de bons petits nègres.
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L'Art de fabriquer de bons petits nègres.
L'Art de fabriquer de bons petits nègres.
Par Max Dorismond mx20005@yahoo.ca
Qu'est ce que le Roi Léopold II de la Belgique a de plus à apprendre aux noirs ?
Vas le demander à un Rwandais ou à un Hutu.
Qu'est ce qu'un colon a de plus à apprendre à un nègre ?
Rien que ce nègre ne connaisse à l'avance.
Vas le demander aux Haïtiens qui leur avaient botté le cul.
La petite lettre qui suit a été découverte, dit le souligné de la fin, dans la bible d'un curé, suite à une vente à M. Bukoko, un Africain.
Tout cela, c'est de la bouillie pour les chats. Le prêtre, si prêtre il y en avait, pris de remords, voulant bien faire acte de contrition avant la fin de ses jours, décida de montrer à ce naïf acheteur, comment les blancs s'y prenaient pour fabriquer de bon petits négros, de fidèles indigènes, de succulents petits indiens, dans tous les sens du terme pour le bien-être et le bénéfice de la métropole.
Point n'est besoin de se perdre en conjecture et de jouer à l'autruche.
Chez les noirs, en général, à part les «comédiens», il n'existe aucun sceptique qui doute de la double personnalité des colons d'hier et d'aujourd'hui.
Lorsque nous jetons un coup d'oeuil par-dessus nos épaules en Haïti, présentement, nous apercevons l'étranger qui vient nous faire l'aumône et la leçon. Nous n'avons pas à passer par quatre chemins pour découvrir le pot aux roses.
Eux aussi, conservent leur petite note secrète dans leur poche gauche.
Pour l'instant, «leur fusil est enrobé de sucre» pour nous endormir tant que nous demeurions dociles. En maîtres de céans, ils nous regardent avec condescendance et se pètent les bretelles face à ces agneaux si doux qui rêvent du vrai pain des anges.
D'ailleurs, leur arrogance en fait foi.
Ils apostrophent nos dirigeants, se font conduire par notre président .etc.
Combien d'exemple avons-nous ? L'histoire en foisonne.
Souvenons-nous quand la France avait demandé à ses premiers diplomates de porter Haïti à «penser français, à consommer français, à vivre en français».
En fin de compte, Haïti a choisis leurs bons petits archanges pour nous enseigner leur langue qui nous a royalement divisés encore et pour longtemps.
Ce fut tellement entraînant, que nous nous sommes retrouvés avec une flopée de poètes, pas le moindre ingénieur, ni agronome.
OH!, j'allais oublier. L'Académie Française en avait déguisé quelques uns.
Ce n'est pas la première fois que certains esprits libertaires essaient de nous ouvrir les yeux sur ces abominables faits.
J'avais déjà rapporté cette anecdote dans un texte précédent.
Le comédien Marc Favreau, alias Sol, avait présenté une pièce de théâtre à l'Université de Montréal, «L'Univers est dans la pomme» où il nous décrivit à sa façon, l'arrivée des premiers colons au Canada.
C'était à mourir de rire. Au-delà du plaisir, le message était puissant.
Ainsi, Jacques Cartier en déposant sa grosse croix sur la plage, remarqua quelques indigènes curieux cachés dans les bosquets.
D'un air assuré, le prêtre qui l'accompagnait, le Père Turbateur croisa ses bras sur sa poitrine et déclara :
« Chers petits indigents, n'ayez pas peur ! Nous sommes venus pour votre bien».
Et tournant sa tête de côté, avec un sourire narquois, murmura entre ses dents, s'adressant à ces acolytes : «De toute façon, nous l'aurons».
Et le pire dans toute cette salade mal épicée, c'est de voir le Vatican canoniser ces hurluberlus (es) à soutane qui avaient gavé de mensonges nos ancêtres d'Afrique ou d'Amérique, sans oublier les indiens survivants, échappés de la géhenne.
Dans leur besace, un stock de bibles sur mesure pour ces béotiens que nous représentons à leurs yeux, a été imprimé dans les bas-fonds de leur capital, aux fins de leur macabre mission.
A voir aujourd'hui certains héritiers se vanter d'être les meilleurs adeptes de ces bouquins racistes qui ont été glissés malhonnêtement entre leurs mains, je laisse échapper un rictus amer, car, ils ne remarquent pas encore aujourd'hui, qu'ils ne sont rien que des «King Macaque», sorte de rois singe mal sanglés, selon les premières caricatures du maître blanc
Par Max Dorismond mx20005@yahoo.ca
Qu'est ce que le Roi Léopold II de la Belgique a de plus à apprendre aux noirs ?
Vas le demander à un Rwandais ou à un Hutu.
Qu'est ce qu'un colon a de plus à apprendre à un nègre ?
Rien que ce nègre ne connaisse à l'avance.
Vas le demander aux Haïtiens qui leur avaient botté le cul.
La petite lettre qui suit a été découverte, dit le souligné de la fin, dans la bible d'un curé, suite à une vente à M. Bukoko, un Africain.
Tout cela, c'est de la bouillie pour les chats. Le prêtre, si prêtre il y en avait, pris de remords, voulant bien faire acte de contrition avant la fin de ses jours, décida de montrer à ce naïf acheteur, comment les blancs s'y prenaient pour fabriquer de bon petits négros, de fidèles indigènes, de succulents petits indiens, dans tous les sens du terme pour le bien-être et le bénéfice de la métropole.
Point n'est besoin de se perdre en conjecture et de jouer à l'autruche.
Chez les noirs, en général, à part les «comédiens», il n'existe aucun sceptique qui doute de la double personnalité des colons d'hier et d'aujourd'hui.
Lorsque nous jetons un coup d'oeuil par-dessus nos épaules en Haïti, présentement, nous apercevons l'étranger qui vient nous faire l'aumône et la leçon. Nous n'avons pas à passer par quatre chemins pour découvrir le pot aux roses.
Eux aussi, conservent leur petite note secrète dans leur poche gauche.
Pour l'instant, «leur fusil est enrobé de sucre» pour nous endormir tant que nous demeurions dociles. En maîtres de céans, ils nous regardent avec condescendance et se pètent les bretelles face à ces agneaux si doux qui rêvent du vrai pain des anges.
D'ailleurs, leur arrogance en fait foi.
Ils apostrophent nos dirigeants, se font conduire par notre président .etc.
Combien d'exemple avons-nous ? L'histoire en foisonne.
Souvenons-nous quand la France avait demandé à ses premiers diplomates de porter Haïti à «penser français, à consommer français, à vivre en français».
En fin de compte, Haïti a choisis leurs bons petits archanges pour nous enseigner leur langue qui nous a royalement divisés encore et pour longtemps.
Ce fut tellement entraînant, que nous nous sommes retrouvés avec une flopée de poètes, pas le moindre ingénieur, ni agronome.
OH!, j'allais oublier. L'Académie Française en avait déguisé quelques uns.
Ce n'est pas la première fois que certains esprits libertaires essaient de nous ouvrir les yeux sur ces abominables faits.
J'avais déjà rapporté cette anecdote dans un texte précédent.
Le comédien Marc Favreau, alias Sol, avait présenté une pièce de théâtre à l'Université de Montréal, «L'Univers est dans la pomme» où il nous décrivit à sa façon, l'arrivée des premiers colons au Canada.
C'était à mourir de rire. Au-delà du plaisir, le message était puissant.
Ainsi, Jacques Cartier en déposant sa grosse croix sur la plage, remarqua quelques indigènes curieux cachés dans les bosquets.
D'un air assuré, le prêtre qui l'accompagnait, le Père Turbateur croisa ses bras sur sa poitrine et déclara :
« Chers petits indigents, n'ayez pas peur ! Nous sommes venus pour votre bien».
Et tournant sa tête de côté, avec un sourire narquois, murmura entre ses dents, s'adressant à ces acolytes : «De toute façon, nous l'aurons».
Et le pire dans toute cette salade mal épicée, c'est de voir le Vatican canoniser ces hurluberlus (es) à soutane qui avaient gavé de mensonges nos ancêtres d'Afrique ou d'Amérique, sans oublier les indiens survivants, échappés de la géhenne.
Dans leur besace, un stock de bibles sur mesure pour ces béotiens que nous représentons à leurs yeux, a été imprimé dans les bas-fonds de leur capital, aux fins de leur macabre mission.
A voir aujourd'hui certains héritiers se vanter d'être les meilleurs adeptes de ces bouquins racistes qui ont été glissés malhonnêtement entre leurs mains, je laisse échapper un rictus amer, car, ils ne remarquent pas encore aujourd'hui, qu'ils ne sont rien que des «King Macaque», sorte de rois singe mal sanglés, selon les premières caricatures du maître blanc
Sasaye- Super Star
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Localisation : Canada
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Loisirs : Arts et Musique, Pale Ayisien
Date d'inscription : 02/03/2007
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Jeu de rôle: Maestro
Re: L'Art de fabriquer de bons petits nègres.
Le texte ci-haut se réfère au discours de Léopold 2 devant les missionaires belges en mission au Congo.
Sasaye- Super Star
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Date d'inscription : 02/03/2007
Feuille de personnage
Jeu de rôle: Maestro
Re: L'Art de fabriquer de bons petits nègres.
Yo reyisi fè anpil nan nou tounen zombi vre wi.
Le gros roseau- Super Star
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