Pas de champagne pour Martine la Tourmente?

Mes chers zanmi et mes moins chers zen-tènot, Martine la tourmente vous fait par de son nouveau pas, cette semaine, dans le star system. C'est avec résignation que je porte le grade se Super Star, moi dont les intentions n'ont été que de vous emmerder et de vous faire porter l'odieux de mon élimination de la Toile étant donné que je n'ai pas le courage de poser le geste ultime de me faire hara-kiri... (lol)

Dans le feu de l'action, on ne voit pas le temps passer. On ne se rend pas non plus compte de tout ce qu'on a eu à dire indistinctement de l'impact de nos interventions plus ou moins intéressantes, de nos babillages et selon les dégoûts, de nos balivernes. L'important, c'est d'apprendre à s'amuser.

Ma participaction n'est que la continuité d'une décision personnelle qui consiste à rire par tous les moyens quitte à porter l'auditoire sur les nerfs comme ceux qui croient guetter le sexe de ma mère longtemps réduit en poussière. J'aurais pu pousser plus loin cet humour absurde en demandant au nécrophile comment cela s'est passé, mais je doute qu'il ne soit capable de tenir le coup contre un adversaire internautique aussi impitoyable et déconcertant que Martine la Tourmente. Mais contentons-nous de lui dire qu'il est toujours en train de se moucher.(lol)

Pour revenir à mon sujet, en l'occurence votre serviteur, ha! ha! ha!, je ne vous fais pas la promesse de quitter les lieux de si tôt car je ne sais pas comment la tenir. Il ne vous reste qu'à garder, en général, votre sérieux, votre sagesse, votre sourire et en particulier, votre tête kale de babouin joyeux (lol) pour jaser ou pour croiser le fer avec l'hallucinogène, le chiqueux de tabac, le molesteur des molosses, le beau Chat, le magnifique Coq grand'anselais, le tombeur des dames, le prosaïque, l'extra-terrestre, l'incroyable incroyant, le cultivateur de vers (au grand dam de la pourriture vivante, pas du genre qu'on fait six pieds sous terre bien sûr), donc le troubadour, le Chevalier, l'altruiste, le mélomane, le musicien, l'artisan des mots et des chiffres, le cruciverbiste, l'athlète, le non-initié mais très sage et enfin le bien-aimé mmmmmmmmmmoi. Je sens encore jusquà ce jour les baisers de ma maman sur la joue lisse et imberbe de ti pitit li a.

Vous parlez de culte de la personnalité? (lol) C'est un plaisir d'être en votre compagnie, je vous suis gré de votre tolérance malgré mes intolérances. En fait, le sort d'Ayiti doit vous concerner plus que celui d'un type qui fait peur à la dame à la faux même.

Que la paix du Saigneur soit avec vous.

Il est 6 heures, Paris endort...

A mon grand désarroi, serais-je le tombeur de ces messieurs aussi? Au secours! au secours! A moé! Anmwe!

Grrr! Smack!