[color=red]3 ans après le séisme, la surveillance sismique est dérisoire
D'ou vient cette mentalite. 300 mille morts ce n'est pas assez pour les dirigeants. Pas de budget pour des seismometres qui pourraient permettre de mieux comprendre le phenomene ete sauver des vies, alors qu'on gaspille des million "en per diem" et des voyages farfelus, voir dans des carnavals multiples..menm paneau solaire yo yap volo..yo pa konpran porte yon crime collectif konsa...Preval pourra plaider qu'il etait ignorant et ne comprenait pas les l'impact de l'ignorance....Mais que pourra plaider le prezidan konpa...qu'il avait le cu a nu?????
BLANC AN GEN REZON DI NOU SE TI KOCHONS LASALINE ????...OU SONT VOS PRIORITES ??????
Le géologue Claude Preti, qui avait été parmi les rares spécialistes à annoncer l'imminence d'un violent séisme avant 2010, déplore l'absence d'une surveillance sismique efficace en Haïti. Trois ans après la plus terrible catastrophe de leur histoire, les haïtiens ne disposent pas d'un réseau de surveillance sismique fiable et efficient.
M. Prepti, conseiller technique, au Bureau des Mines et de l'énergie (BME), concède qu'une seule unité de surveillance avait enregistré la dernière secousse tellurique du vendredi 4 janvier 2013. Cependant l'absence de donnes ne permet pas de localiser l'épicentre de cette secousse ressentie par les habitants de Carrefour (sud de Port-au-Prince). Selon M. Prepti la magnitude de cette secousse pourrait varier entre 3 et 4 sur l'échelle de richter. Les quelques informations disponibles ont été fournies par une unité qui n'était pas reliée à internet.
M. Prepti révèle que les autorités gouvernementales n'ont toujours pas alloué des fonds dans le budget pour le fonctionnement de ce réseau de surveillance. De plus, des panneaux solaires sont volés dans plusieurs unités empêchant le fonctionnement des sismomètres en période de coupure du courant électrique.
Les unités de surveillance n'arrivent même pas à fonctionner convenablement alors qu'elles devraient être reliées par internet pour fournir des informations en temps réel sur les activités sismiques. Plusieurs pays donateurs dont les Etats-Unis et le Canada avaient contribué financièrement et techniquement à la mise en place de ce réseau de sismomètres notamment sur les failles de la presqu'ile du sud et septentrionale.
M. Prepti presse les autorités de mobiliser des fonds afin de mieux comprendre les activités des failles connues et identifier celles qui sont méconnues.
LLM / radio Metropole Haiti