LYONEL TRUILLOT PASE YON SWIF A TOUT POPILIS TANKOU ARISTIDE AK MARTELLY
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LYONEL TRUILLOT PASE YON SWIF A TOUT POPILIS TANKOU ARISTIDE AK MARTELLY
Rappel du premier message :
Graduations, manifestations, et l’empereur à la poubelle
Par Lyonel TROUILLOT
Publié le lundi 20 octobre 2014
Il faut croire qu’il en existe encore deux ou trois qui savent ce que c’est qu’être ministre. On peut appuyer telle mesure du ministère de l’éducation nationale, trouver telle autre précipitée voire un peu hasardeuse, mais on a l’impression, une fois n’est pas coutume au sein de ce gouvernement, que ce ministère est dirigé et qu’on y pense. Après tout, rien n’est mauvais dans l’absolu, et il faut bien reconnaître que, parmi les dirigeants de ce pays, quelques uns semblent bien être à leur place. Faut-il les féliciter ? (Dans ce marasme, leurs actions mériteraient d’être saluées.) Ou les plaindre ? (Car ils entrent dans l’histoire en mauvaise compagnie ?)
La décision de mettre un frein au gaspillage annuel de sommes d’argent importantes qu’engendre cette symbolique du paraître et de l’autosatisfaction, quelquefois sur fond d’arnaque et de médiocrité que l’on appelle pompeusement « la cérémonie de graduation » ne protège pas seulement du ridicule de certains spectacles et discours, elle réduit les dépenses des parents, ce qui leur permettra de mettre un peu plus de côté pour la satisfaction de besoins réels liés à l’éducation de leurs enfants.
Il est déjà injuste que des citoyens qui contribuent à l’économie de la société ne bénéficient pas des services de base. Leur demander de payer en plus pour la « graduation » d’une fillette de six ans qui va entrer dans « la grande école » est un crime. Car, même pauvres, ils feront l’effort de trouver la somme pour que leur enfant ne soit pas en reste et participe comme les autres au spectacle. Et la « graduation », de manière pernicieuse, s’est un peu substituée à l’évaluation. Aux yeux des parents les moins instruits, elle viendrait (photos, toges et blablabla) faire la preuve par le spectacle que l’enfant a appris quelque chose.
Voilà une bonne mesure, et elle a l’honnêteté d’être formelle, claire, assumée.
Mais, non assumée, non déclarée, il y a une pratique à laquelle l’exécutif se livre et qui fait craindre le pire. Je m’adresse à vous, lecteurs, et vous demande combien de manifestations n’ont pas été interrompues par les forces de police depuis la présidence de Michel Martelly ? Il y a toujours une raison, ou il n’y a pas de raison officielle, mais étudiants, opposants finissent presque toujours par se prendre des gaz et parfois pire.
Aucun pouvoir n’a le droit d’interdire aux gens de manifester. J’éprouve quelque honte quand j’entends des gens avec qui j’ai marché dans les rues de Port-au-Prince en 2003 dire que quand c’est Moise X qui manifeste, il n’y a pas de mal à interdire. Je me souviens de la présence de personnes appartenant au gouvernement actuel dans ces manifestations, et de leurs revendications : liberté d’expression et le droit d’être contre.
Tel gouvernement interdira donc ou empêchera par des manœuvres douteuses des manifestations de « mulâtres », tel autre des manifestations de « noirs », tel autre des manifestations de « bourgeois », tel autre des manifestations de « pauvres » ?
Demain, vu que ce pouvoir n’est pas éternel, on interdira ou on s’arrangera pour disperser sous n’importe quel prétexte, des manifestations « roses » ? Ce pouvoir s’acharne à se croire populaire. Qu’il le vérifie ou le prouve sans user de la force.
C’est du sang, notre sang, qui a payé la liberté d’expression et l’exercice des pleins droits politiques de tous. Et cela, quel que soit le camp auquel nous appartenons par misérable réflexe de clan ou par choix réfléchi, nous ne pouvons l’oublier. Et tous doivent pouvoir s’exprimer, noircir les rues de monde ou être une minorité zuit (Aristide en sait aujourd’hui quelque chose), dans les limites des droits que nous donnent la Constitution et les lois. Il faut dire non à cette tentation d’empêcher que l’on manifeste, l’une des marques du pouvoir actuel.
Et, le pire, comme il faut jouer aux démocrates pour ne pas trop choquer la communauté internationale qui pardonne pourtant facéties, gamineries et autoritarisme à l’exécutif (tel ambassadeur n’a-t-il pas récemment pris le ton du groupie ou du thuriféraire pour vanter les mérites de cet exécutif et vociférer contre le Parlement ?), il s’agit de trouver une astuce pour contrecarrer les mouvements de foule. Quitte à faire passer Dessalines à la trappe. Nous le savons tous que l’enjeu pour l’exécutif était de mettre du monde dans la rue le jour anniversaire de l’assassinat de l’Empereur. C’est vrai que ce pouvoir souffre de carnavalisme aigu. « Grouiller » est son symptôme. Mais « célébrer la vie de Dessalines » serait d’abord rappeler qu’il ne s’est pas suicidé, qu’il était porteur de quelque chose, que nous vivons des temps qui demandent réflexions et recouvrement de notre dignité si souvent galvaudée par nos dirigeants. Le ridicule du procédé ferait sourire s’il n’impliquait que l’image déjà pas trop reluisante de ses inventeurs. Bamboche et cooptation. Mais il touche au grand Jacques. Tout n’est pas farce et parodie. Il arrive aux peuples de se fâcher quand on s’en prend à leurs symboles.
Lyonel TROUILLOT
Graduations, manifestations, et l’empereur à la poubelle
Par Lyonel TROUILLOT
Publié le lundi 20 octobre 2014
Il faut croire qu’il en existe encore deux ou trois qui savent ce que c’est qu’être ministre. On peut appuyer telle mesure du ministère de l’éducation nationale, trouver telle autre précipitée voire un peu hasardeuse, mais on a l’impression, une fois n’est pas coutume au sein de ce gouvernement, que ce ministère est dirigé et qu’on y pense. Après tout, rien n’est mauvais dans l’absolu, et il faut bien reconnaître que, parmi les dirigeants de ce pays, quelques uns semblent bien être à leur place. Faut-il les féliciter ? (Dans ce marasme, leurs actions mériteraient d’être saluées.) Ou les plaindre ? (Car ils entrent dans l’histoire en mauvaise compagnie ?)
La décision de mettre un frein au gaspillage annuel de sommes d’argent importantes qu’engendre cette symbolique du paraître et de l’autosatisfaction, quelquefois sur fond d’arnaque et de médiocrité que l’on appelle pompeusement « la cérémonie de graduation » ne protège pas seulement du ridicule de certains spectacles et discours, elle réduit les dépenses des parents, ce qui leur permettra de mettre un peu plus de côté pour la satisfaction de besoins réels liés à l’éducation de leurs enfants.
Il est déjà injuste que des citoyens qui contribuent à l’économie de la société ne bénéficient pas des services de base. Leur demander de payer en plus pour la « graduation » d’une fillette de six ans qui va entrer dans « la grande école » est un crime. Car, même pauvres, ils feront l’effort de trouver la somme pour que leur enfant ne soit pas en reste et participe comme les autres au spectacle. Et la « graduation », de manière pernicieuse, s’est un peu substituée à l’évaluation. Aux yeux des parents les moins instruits, elle viendrait (photos, toges et blablabla) faire la preuve par le spectacle que l’enfant a appris quelque chose.
Voilà une bonne mesure, et elle a l’honnêteté d’être formelle, claire, assumée.
Mais, non assumée, non déclarée, il y a une pratique à laquelle l’exécutif se livre et qui fait craindre le pire. Je m’adresse à vous, lecteurs, et vous demande combien de manifestations n’ont pas été interrompues par les forces de police depuis la présidence de Michel Martelly ? Il y a toujours une raison, ou il n’y a pas de raison officielle, mais étudiants, opposants finissent presque toujours par se prendre des gaz et parfois pire.
Aucun pouvoir n’a le droit d’interdire aux gens de manifester. J’éprouve quelque honte quand j’entends des gens avec qui j’ai marché dans les rues de Port-au-Prince en 2003 dire que quand c’est Moise X qui manifeste, il n’y a pas de mal à interdire. Je me souviens de la présence de personnes appartenant au gouvernement actuel dans ces manifestations, et de leurs revendications : liberté d’expression et le droit d’être contre.
Tel gouvernement interdira donc ou empêchera par des manœuvres douteuses des manifestations de « mulâtres », tel autre des manifestations de « noirs », tel autre des manifestations de « bourgeois », tel autre des manifestations de « pauvres » ?
Demain, vu que ce pouvoir n’est pas éternel, on interdira ou on s’arrangera pour disperser sous n’importe quel prétexte, des manifestations « roses » ? Ce pouvoir s’acharne à se croire populaire. Qu’il le vérifie ou le prouve sans user de la force.
C’est du sang, notre sang, qui a payé la liberté d’expression et l’exercice des pleins droits politiques de tous. Et cela, quel que soit le camp auquel nous appartenons par misérable réflexe de clan ou par choix réfléchi, nous ne pouvons l’oublier. Et tous doivent pouvoir s’exprimer, noircir les rues de monde ou être une minorité zuit (Aristide en sait aujourd’hui quelque chose), dans les limites des droits que nous donnent la Constitution et les lois. Il faut dire non à cette tentation d’empêcher que l’on manifeste, l’une des marques du pouvoir actuel.
Et, le pire, comme il faut jouer aux démocrates pour ne pas trop choquer la communauté internationale qui pardonne pourtant facéties, gamineries et autoritarisme à l’exécutif (tel ambassadeur n’a-t-il pas récemment pris le ton du groupie ou du thuriféraire pour vanter les mérites de cet exécutif et vociférer contre le Parlement ?), il s’agit de trouver une astuce pour contrecarrer les mouvements de foule. Quitte à faire passer Dessalines à la trappe. Nous le savons tous que l’enjeu pour l’exécutif était de mettre du monde dans la rue le jour anniversaire de l’assassinat de l’Empereur. C’est vrai que ce pouvoir souffre de carnavalisme aigu. « Grouiller » est son symptôme. Mais « célébrer la vie de Dessalines » serait d’abord rappeler qu’il ne s’est pas suicidé, qu’il était porteur de quelque chose, que nous vivons des temps qui demandent réflexions et recouvrement de notre dignité si souvent galvaudée par nos dirigeants. Le ridicule du procédé ferait sourire s’il n’impliquait que l’image déjà pas trop reluisante de ses inventeurs. Bamboche et cooptation. Mais il touche au grand Jacques. Tout n’est pas farce et parodie. Il arrive aux peuples de se fâcher quand on s’en prend à leurs symboles.
Lyonel TROUILLOT
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Jeu de rôle: dindon de la farce
Re: LYONEL TRUILLOT PASE YON SWIF A TOUT POPILIS TANKOU ARISTIDE AK MARTELLY
kom marc henry se kavalye polka w, lavalas andisi li pap di anyen ak entèvasyon w ki pa gen anyen sou pos sa ak resantiman anti FRANSE E byen kontinye voye monte. 
SE TOUT BON SE YON BON MALENDREN KORIAS.

SE TOUT BON SE YON BON MALENDREN KORIAS.
Rico- Super Star
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Jeu de rôle: dindon de la farce
Re: LYONEL TRUILLOT PASE YON SWIF A TOUT POPILIS TANKOU ARISTIDE AK MARTELLY
Lè m ap pale de la FRANS!
Pa fout reponn ,tankou se yon bagay ki konsène w.
OU PA FOUT FRANSE !
EPITOU MENM SI OU TE FOUT FRANSE!
Mwen te konn ap pale de la FRANS ,jan w wè m ap pale de yo an lan diskisyon sou jounal FRANSE LE MONDE;yo pa t santi yo konsène jan w ap fè l lan!
Pa fout reponn ,tankou se yon bagay ki konsène w.
OU PA FOUT FRANSE !
EPITOU MENM SI OU TE FOUT FRANSE!
Mwen te konn ap pale de la FRANS ,jan w wè m ap pale de yo an lan diskisyon sou jounal FRANSE LE MONDE;yo pa t santi yo konsène jan w ap fè l lan!
Joel- Super Star
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Jeu de rôle: Le patriote
Re: LYONEL TRUILLOT PASE YON SWIF A TOUT POPILIS TANKOU ARISTIDE AK MARTELLY
Joel a écrit:Lè m ap pale de la FRANS!
Pa fout reponn ,tankou se yon bagay ki konsène w.
OU PA FOUT FRANSE !
EPITOU MENM SI OU TE FOUT FRANSE!
Mwen te konn ap pale de la FRANS ,jan w wè m ap pale de yo an lan diskisyon sou jounal FRANSE LE MONDE;yo pa t santi yo konsène jan w ap fè l lan!
Sispann radote sou yon pos mwen entodwi. PA GEN ZAFÈ SOU LA
FRANS POU VOYE MONTE.
TONAS ALA YON TI GRANMOUN DEMEPLÈ.
Rico- Super Star
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Re: LYONEL TRUILLOT PASE YON SWIF A TOUT POPILIS TANKOU ARISTIDE AK MARTELLY
Non!
Ou di m gen resantiman anti-FRANSE?
Se ou ki di l.
Si FRANSE yo pa t ap foure DYÒL yo lan sa k ap pase ann AYITI;yo t ap pou mwen de peyi tankou LESPAY ou byen LALMAY.
Peyi LEWÒP yo anbès ,enfliyans yo an DEGRABA.
Mwen plis enterese lan sa ki ap pase lan peyi tankou BREZIL;ki ap monte an pwisans e ki sanble kiltirèlman anpil anpil ak NOU.
Ou jwenn menm pou w bay REFERANS STANLEY LUCAS lan yon bagay ke l te ekri an 2006!
ADYE!
Se ratibwaze ke gwo JOUNAL AMERIKEN te ratibwaze STANLEY LUCAS an 2006.Mwen vle pale de NEW YORK TIMES ak HUFFINGTON POST.
Sispann di ak ZÒT ke ARISTID ak FANMI LAVALAS se VÒLÒ ou byen KRIMINÈL!
SE PA VRE!
Ou di m gen resantiman anti-FRANSE?
Se ou ki di l.
Si FRANSE yo pa t ap foure DYÒL yo lan sa k ap pase ann AYITI;yo t ap pou mwen de peyi tankou LESPAY ou byen LALMAY.
Peyi LEWÒP yo anbès ,enfliyans yo an DEGRABA.
Mwen plis enterese lan sa ki ap pase lan peyi tankou BREZIL;ki ap monte an pwisans e ki sanble kiltirèlman anpil anpil ak NOU.
Ou jwenn menm pou w bay REFERANS STANLEY LUCAS lan yon bagay ke l te ekri an 2006!
ADYE!
Se ratibwaze ke gwo JOUNAL AMERIKEN te ratibwaze STANLEY LUCAS an 2006.Mwen vle pale de NEW YORK TIMES ak HUFFINGTON POST.
Sispann di ak ZÒT ke ARISTID ak FANMI LAVALAS se VÒLÒ ou byen KRIMINÈL!
SE PA VRE!
Joel- Super Star
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Jeu de rôle: Le patriote
Re: LYONEL TRUILLOT PASE YON SWIF A TOUT POPILIS TANKOU ARISTIDE AK MARTELLY
joel alo lanmèd, vouzan, move sendendeng, pichon banm repo ak yon anti franse, primè, boulshit, kriyado. Se gras yo bann ti peyizan wou pa bayo yon goud kap degaje yo. Toutan gouvenan kinan w yo tankou PREVAL AK ARISTIDE abitye lonje bol ble yo pou swadizan soulaje grangou malere sayo, nou fout volo lajan sayo.
Alos pou kanpe ap voye toya sou yo, move enbesil, madigra mal maske banm lapè ak bann radot sayo.
Ala ti granmoun ki pagen nen nan machwè l. Mwen pa fout nan lobèy antifranse respèkte sijè kap pale ki se
::
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Alos pou kanpe ap voye toya sou yo, move enbesil, madigra mal maske banm lapè ak bann radot sayo.
Ala ti granmoun ki pagen nen nan machwè l. Mwen pa fout nan lobèy antifranse respèkte sijè kap pale ki se
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Rico- Super Star
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Jeu de rôle: dindon de la farce
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