AU NOM DE MAHOU ET DE JEHOVAH

AU NOM DE MAHOU ET DE JEHOVAH

L’homme n’est pas parfait. Se tromper est humain, l’erreur est du domaine de l’homme. Ceci dit n’importe quel être humain peut commettre des erreurs. François Duvalier en commettait malgré son effort mérite de restaurer l’image du vodou et du vodouisant en l’utilisant les Guedes comme instrument politique. Je4an Bertrand Aristide en commettait malgré son effort mérite de restaurer l’image du vodou et du vodouisant en recherchant la liberté, le droit de chaque religion de célébrer sa foi, ses propres croyances, ses propres rituels, ses propres traditions, sa propre culture.

Quelle est l’erreur que les deux ont commise,

François Duvalier a commis l’erreur de ne pouvoir distinguer le bien et le mal au sein du vodou, en adoptant les Guedes comme instrument de pouvoir sans encourager les Gui Nen rada comme modèle ou forces de Vertu ou de bien. Cela favorise l’inclination vers le mal.

Jean Bertrand Aristide a commis l’erreur de prôner un discours de réconciliation sans être systématique pour avoir le courage de conseiller ou suggérer aux vodouisants de se réconcilier avec leur Dieu authentique du Nom Mahou de la langue Fon étant l’équivalent de Jéhovah ou Yahvé du christianisme, un culte monothéisme croyant dans un Dieu unique (Mahou) créateur de l’univers avec tout ce qu’il contient, y compris les humains.

Ces erreurs ont un impact fatal dans la collectivité haïtienne dans le sens qu’elles ne tendent pas à rétrécir la marge des divisions entre les diverses confessions religieuses, surtout entre chrétiens et vodouisants habitant une même Ile. Cette situation demeure très chaotique et inquiétante quand on sait que ni le vodouisant ni le chrétien n’avaient et n’ont pas choisi de vivre sur une même Ile, un même espace géographique appelle Haïti, première république noire du monde, mais c’est l’histoire dans sa facette sombre qui l’avait décide ainsi pour être modeste sans agiter les culpabilités ni les susceptibilités.

Vu que les diables, le démon, l’ange rebelle et leur contraire existent dans les deux religions, il est mal a propos que l’un cherche a faire passer l’autre pour le méchant. Car Lucifer=Guede Nibo, comme l’Amour existe a travers Marie, Jésus et Erzulie et Caridad. Impute le crime a la religion de sa confession opposée relève purement et simplement de préjuges et de discriminations.

Alors a la que question que faire Mao ou de Lening, on peut répondre que ainsi :
1) Les deux confessions différentes doivent apprendre qu’elles sont un culte monothéisme, croyant dans un Dieu unique dont le nom se diffère à cause variations linguistiques, Mahou en Fon, Jéhovah ou Yahvé en Français.
2) Les deux confessions opposées doivent apprendre l’art de vivre et de laisser vivre
3) Les deux confessions doivent apprendre l’art du vivre ensemble pour l’avancement, le progrès, la prospérité, leur peuple, leur état, de leur nation. Condition sine qua non pour rester dans l’esprit de la création divine dans le respect de ses lois sans basculer dans la destruction. Voila le chemin du salut et de l’honneur du peuple Haïtien.

Tant pis Pour les ignorants, les imbéciles, les salauds, les ignares, les valets, les chenapans, les naïfs , les charlatans, qui ne veulent pas comprendre, car ils ne comprendront jamais ‘a cause de leur enfermement dans leur caverne ténébreuse de leurs croyances bornées. Alors s’ils arrivent que quelques uns ont soif de la lumière, ils apprendront que :
1) Dieu avait crée l’univers par sa Sagesse
2) L’amour est l’essence de Dieu.
3) L’homme a été crée a l’image de Dieu, une toute petite parcelle de la lumière infinie de Dieu.
4) L’homme est pour vivre dans la liberté selon la loi divine
5) Tous les êtres humains sont égaux comme images divines malgré leurs différences à plusieurs niveaux.
Pour plus d’informations, ces ignorants peuvent consulter la revue : Réveillez-vous des Témoins de Jéhovah du mois août 2009 portant sur les Préjuges et discriminations. Avec la question comment les vaincre. A lire aussi : devrait-il y avoir une distinction Clerge-laics

AMEN, AINSI SOIT-IL
AYIBOBO, AOCHAN NAGO

2 mai 2011