Forum Haiti : Des Idées et des Débats sur l'Avenir d'Haiti


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Message  Edpoete Sam 9 Juil 2011 - 11:01


Napoléon avait dégagé beaucoup de sagesse en politique. Mais on refuse de voir ce pole. Alors qu’on applique le pole négatif. Toujours c’est l’émotion qu’on recherche
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1. WebBoard -
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DÉTRUISEZ LE TEMPLE, EN TROIS JOURS JE LE RECONSTRUIRAI : PAROLE STOÏQUE DE JÉSUS . Actualité, www.citesnouvelles.com . Editorial. La Ville de Montreal
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2. Prédication "Détruisez ce temple et je le relèverai en ...
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... Détruisez ce temple et je le relèverai en trois jours ... « Détruisez ce temple et je le reconstruirai en trois jours». ... le dit l’évangile, en parlant de temple, Jésus ...
www.protestant.ch/applic/ge/liturgie.nsf/85255a0a0010ae... - Cached
3. DÉMOLITION
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News & Politics ... "DÉTRUISEZ LE TEMPLE, EN TROIS JOURS JE LE RECONSTRUIRAI : PAROLE STOÏQUE DE JÉSUS Actualité, www.citesnouvelles.com Editorial La Ville de ...
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4. Ne descendez pas Jésus de sa Croix !
[24 septembre 2009] « Je suis le Chemin, je suis la Vie » Personne ne contestera que c’est une métaphore, pas plus que : « Détruisez ce temple et moi je le reconstruirai en trois jours… ~ by LikeaStar ( 1 comments )
www.blogg.org/blog-71957-billet-1086230.html - Cached
5. A ceux qui n accepte pas que quelqu un sache? - Yahoo ...
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... dit, en trois jour je détruirai se temple et en trois jour je le reconstruirai, jésus ... "2.19 Jésus leur répondit: Détruisez ce temple, et en trois jours je le ...
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1.
2. Puis vinrent les sectes : Allan Kardec - l'Evangile selon le ...
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Jésus selon Matthieu 10, v.34-36. « Je suis venu pour jeter le feu sur la terre ; et que ... Je ne suis point venu apporter la paix, mais la division… ...
www.ephphata.net/sectes/Allan-Kardec-Evangile.html - Cached - Similar
3. jean14
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Ne soyez donc pas bouleversés et effrayés. Vous avez entendu ce que je vous ai dit : Je ... On peut penser que la paix de Jésus, c'est cette tranquillité intérieure qui vient de ce que nous ... Non, je vous le dis, mais plutôt la division” (Lc 12, 51). ... mais indispensable pour accueillir la paix de Jésus Christ. ...
maurice.fourmond.voila.net/commentairesevangile/jean/jean14.html - Cached
4. web-radio susuruka, Umuziki nyarwanda
5.
6. Puis vinrent les sectes : Allan Kardec - l'Evangile selon le ...
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Jésus selon Matthieu 10, v.34-36. « Je suis venu pour jeter le feu sur la terre ; et que ... Je ne suis point venu apporter la paix, mais la division… ...
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7. jean14
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Ne soyez donc pas bouleversés et effrayés. Vous avez entendu ce que je vous ai dit : Je ... On peut penser que la paix de Jésus, c'est cette tranquillité intérieure qui vient de ce que nous ... Non, je vous le dis, mais plutôt la division” (Lc 12, 51). ... mais indispensable pour accueillir la paix de Jésus Christ. ...
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8. web-radio susuruka, Umuziki nyarwanda

CAMÉLÉON

L’un veut avoir les ailes de l’ange
Pour explorer le paradis céleste
L’autre veut les griffes de la brute
Pour s’aventurer dans la jungle

Les deux gangs belliqueux de gladiateurs
Basculent dans les positions extrêmes
Chacun selon ses goûts, ses fantaisies
Dans la conquête prédatrice de la proie

L’ange trouve cendrillon est une âme impure
Pleine de malédiction méritant la sentence du bûcher
Le peuple incrédule applaudit le mensonge
Pour ériger l’hécatombe criminel de l’obscurantisme

La brute juge que cendrillon est un être inférieur
De valeur inutile méritant le sort de la destruction
Le peuple inculte applaudit le mensonge
Pour ériger l’hécatombe criminel de l’obscurantisme

L’obsession pousse les ignorants à creuser les antagonismes
Jusqu’au point que la guerre devient inévitable et explose
Après quoi on impute la malédiction au poète
D’être la cigale libertine qui cause la détresse

L’exploration des pôles extrêmes de l’obsession
Empêchent toute forme de réconciliation
Après quoi on impute le blâme au poète
D’être à l’origine du mal, du blâme, de la détresse

L’obsession des nigauds, des imbéciles, des ignorants
Atteint un tel niveau d’aveuglement éhonté
Qu’ils sont incapables d’adopter la pensée
Qui les ramènera consciente de leur propre humanité

L’esprit d’ange et de brute est beaucoup trop puissant
Pour cesser de s’abreuver dans la source du sang
Tuez sous prétexte que vous êtes membre saint du ciel
Tuez sous prétexte que vous êtes membre fort de la jungle

Faites votre grande œuvre de destruction
Pour récolter la moisson de la ruine
Alors l’humanité sera mieux exilée dans la tombe
Plutôt que dans la fraternité, la solidarité de la société

Je connais la politique des lâches
Au truc de ramener l’adversaire à l’émotion
Pour affaiblir sa capacité de défense
Dans le but de gagner la lutte la guerre

Je connais la politique des lâches
À la ruse de ramener l’ennemi au sexe
Pour applaudir sa capacité de résistance
Dans le but de gagner la lutte, la guerre

Je connais la politique des lâches
Au truc de ramener Toussaint à l’Amour
Avec l’intervention de ces deux fils dans la guerre
Pour l’affaiblir et gagner leur bouillon émotionnel

Je connais la politique des lâches
À la ruse de s’enterrer dans une cachette
Comme un rusé caméléon prédateur
Aux mille couleurs : blanc, noir, jaune, rouge

Je connais la politique des lâches
Qui convertit leur origine en pochette
Exigeant la condition criminelle à tous
Réussite doit être inscrite dans la naissance avec un million

Je connais la vibration des Tai Ki Tao
Le chien fidèle de Tchan Kaicheck
À bord de la bombe qui vont se suicider
Priez pour son âme impure pleine de malédiction



L’Opium veut que ce soit le poète qui est le porteur de la contradiction remplie de malédiction et non la société qui en est le foyer

La Potion veut que ce soit le poète qui bombarde la politique de l’émotion et non Napoléon avec les deux fils de Toussaint au point que la piété se trouve en concurrence avec l’adversité hostile qui l’affaiblissait jusqu’à perdre la guerre dans un bouillon émotionnel

La drogue veut que ce soit le poète qui bombarde les Haïtiens d’émotion et non le fidéisme des chrétiens définissant la foi sous l’angle du sentiment dans rejet de la raison, la clé qui ouvre la porte où se cache le bouillon émotionnel dans une grande chaudière qui apporte à la satiété

La spéculation veut que ce soit c’est le poète dont la paresse dont la paresse accule les haïtiens à la détresse et non la bourgeoisie capitaliste qui jette des tonnes de nourritures dans les eaux internationales alors que des millions d’enfants meurent comme des araignées chaque à travers le monde

La camera obscura veut que ce soit le poète qui invente de toute pièce les mots de conflits d’intérêts et de classe et non la bourgeoisie

La propagande veut que ce soit le poète qui est un prédateur sexuel et que le mot prédateur n’est pas un produit de la colonisation par les mœurs débridés des colons blancs encore nostalgiques de leur barbarie à travers des actes de viol

L’illusion veut que ce soit le poète qui prive Haïti de toute vision sociale en l’enfermant dans un banal challenge interindividuel exclusivement pour la pochette du plus prédateur de la jungle

La fiction veut que ce soit le poète qui confond prosélytisme et christianisme et non les chrétiens qui veulent avoir des ailes pour explorer le paradis

La présomption veut que ce soit le poète qui confond césarisme et le christianisme et non les chrétiens obsédés par l’argent qui érige le culte de la satiété au rite de la poche

La prétention veut que ce soit le poète qui déclenche la guerre par des mots non la classe croyant dans la cachette qui détient toujours la gâchette à côté de la pochette

Je n’ai ni cachette ni pochette ni gâchette, puisque je vis toujours à l’horizon dans l’illumination des astres du ciel, du soleil qui brille pour dire les 4 vérités en pleine face des caméléons prédateurs ayant toutes couleurs, blanche, noire, jaune, rouge

Alors si vous sentez que je vous pique, que vous vous fâchez, vous n’avez qu’à vous appuyer sur votre gâchette près de la pochette comme Jésus Christ dit Brisez le temple en trois jours je le reconstruirai

URGENT RESPONSE


TEMPS DE CRISE, TEMPS DE SOLIDARITÉ
Il serait mieux que le peuple haïtien cherche lui-même à se situer, à s’orienter dans la voie de sa propre destinée que personne ne peut lui dicter. Je n’ai rien à proposer non plus en ce sens puisque son destin ne dépend d’aucun deus ex machina qui va lui apporter le salut sans qu’il ne déploie ses propres efforts. La seule chose que la sagesse de l’histoire enseigne dans le registre du patrimoine de l’humanité, c’est que « en période de danger ou de crise grave, les hommes de par son instinct de conservation tendent naturellement à se renforcer les liens sociaux fragilisés ou brisés pour se fraterniser dans l’optique d’une meilleure union capable de mieux les protéger ou leur procurer une meilleure emprise sur le cours de leur vie. En temps de crise on n’encourage pas les hostilités propres à creuser davantage le fossé de la division. Lorsque la colonisation menaçait la vie des anciens noirs africains importés d’Afrique pour cultiver le sol de l’Amérique, les gens qui aspiraient à la liberté comme à l’indépendance avaient leur esprit convergé vers l’unité, la fraternité. C’est pourquoi ils choisissaient de se réunir en une grande majorité en assemblée générale à Bois Caïman en août 1791 ou de se réunir à l’Arcahaie le 18 mai 1803 pour célébrer leur union indéfectible qui se révélait plus que nécessaire après le meurtre horrible de Maurepas et la déportation de Toussaint Louverture. C’est pourquoi ils avaient aussi opté pour mater les petites groupes d’insurgés de Charles Belair, Sans Souci, Lamour Dérance, Petit Noël, Larose, qui créaient trop de divisions au sein de l’armée indigène déjà trop fragilisée par la défaite de Toussaint Louverture. Le 11 septembre 2001 qui assistait à la chute du Wold trade center a été un grand et triste jour de malheur pour les New-Yorkais tout comme le peuple américain en entier qui avant restait inébranlable comme imperturbable au danger. Mais ce malheur a été aussi l’occasion qui les portait à expérimenter l’émotion négative de peine, de tristesse teintée de peur à telle enseigne qu’il les portait à mieux se fraterniser, mieux renforcer leurs liens sociaux de solidarité. La vulnérabilité d’un peuple peut être l’occasion qui réveille le sentiment de fraternité, de solidarité, d’affectivité, d’amour. L’indifférence était remplacée par le slogan «I Love New-york». En ce sens si seul le contraire demeure faux, alors plus rien à ajouter. Ces leçons d’histoire suffisent pour tout apprendre et comprendre. Amen, Ayibobo.


PYGMÉE
Ton ami demeure le grand favori
Il a gagné les tournois et les paris
Maintenant au sommet de la gloire
Tu peux célébrer ta grande victoire

Malgré que dans son triste clivage
Avait toujours apporté le carnage
Où les deux guerres mondiales
Témoignent des blessures rivales

Malgré que dans son triste clivage
Avait toujours apporté le carnage
L’œil ne voit encore que le pourboire
Sans retenir aucune leçon d’histoire

Dans la modernité où le cœur sourit
Par la magie de la ruse de l’hypocrisie
Pour demeurer assez valable la poésie
Doit coudre à ses rimes un bol de riz

L’idéal étant d’être toujours un repus
Le poète doit incarner l’éternel trapu
Toujours du gain comme preuve de rébus
Sinon on devient ce rebut réduit en reclus

À l’autre Pour la traiter en valeur égale
La poésie doit être un récital de régal
La valeur sociale de ce que tu penses
Doit être aussi égale à celle de ta panse

Si tu ne peux pas contempler ton nombril
Tu ne seras ni un astre ni une étoile qui brille
Car l’argent, la fortune doit précéder le talent
Ainsi seulement tu figureras parmi les gagnants

On se met toujours dans la peau du renard
Pour te faire bien tomber dans le traquenard
Ainsi on creuse éternellement le fossé de la division
Sans vaccin pour traiter le germe de la destruction

On se laisse rouler, aller librement vers sa propre ruine
Dans la barque qui s’accélère sans limite toute bouline
Assouvir sa faim au caprice du présent quotidien
Voilà un idéal qui ne tient pas compte du lendemain

La fortune accouche de vrais et véritables fêtards
Qui vivent à la seule merci de la chance, du hasard
Hélas! Ils vous prêchent l’apocalypse de leurs ténèbres
Juste pour les accompagner dans leur pompe funèbre

L’égoïste ne veut point avoir la balance déficitaire
Mais creuse le fossé recrutant des bénéficiaires
Parce que de leur fidéisme allié du fiduciaire
Il ne demeurera pas moins le seul actionnaire

Attention aux rires! Attention aux larmes et pleurs!
Le renard canular est souvent porteur de malheurs
Car il veut même par l’agression entrer dans ta bulle
À chaque action comme chaque verbe que tu gesticules

Attention aux âmes dont les pieds explorateurs pressent
Dans la machine allant de pleine accélération hors vitesse
Retenons que L’histoire un petit bébé, un fragile pygmée
Devant la géante Préhistoire vieille de milliards d’années


LARMES DE L’ARME DANS L’ÂME

Je ne peux pas entrer dans le jeu de la concurrence
Dans une machine qui a perdu son frein et sa balance
Qui s’accélère au quotidien toute bouline sans limite
Sans doute pour mieux atteindre l’abime au plus vite

Non! Non L’heure n’a pas encore sonné
Pour me dépouiller de mon humanité
De ma conscience, ma morale, mon histoire
Le patrimoine reste encore dans ma mémoire

À ne vouloir compter que sur la gâchette
Pour assurer éternellement sa sécurité
On ne se comporte pas mieux que la mouette
Dépourvue de tout qui s’appelle humanité

À ne vouloir compter que sur la pochette
Pour assurer éternellement sa sécurité
On ne se comporte pas mieux que la chouette
Ignorant sa leçon d’humanité et de sérénité

Quand l’agression supplante de loin l’affectivité
L’homme compte sur la force pour sa sécurité
Et le crime qui en résulte et fragilise l’humanité
En aucun cas ne favorise ni solidarité ni sérénité

Aussi longtemps que l’humanité est gouvernée par l’Amour
Qui garder sa pleine pérennité dans le temps au fil des jours
La force ne pourra jamais remplacer l’estime de soi
À l’intérieur le vide s’installera avec grand désarroi

Quand le régime que nous érigeons est proche de sa fin
Où les démons commencent par s’agiter de notre sein
Alors nous comprendrons tous l’importance de l’humanité
L’importance de la fraternité, de la solidarité de l’affectivité

Si l’histoire reste un tout petit fragile bébé de pygmée
Devant la géante préhistoire vieille de milliard d’années
Il se révèle trop tôt pour crier victoire de la force d’agression
Rien ne confirme une telle hypothèse au sein de la création


Dans un moment de graves crises
Exigeant recharge de la matière grise
Hélas! Les gens beaucoup obsédé par la fortune
Se laissent diviser par des âmes qui importunent

Quand on voyage dans la machine de la politesse
Qui dépasse la gravitation jusqu’à la bassesse
L’ennemi génie du mal peut voir la faiblesse
Pour appliquer le grand coup fatal qui blesse

Guacanagaric était une âme hospitalière
Qui accueillait Colomb comme un frère
Avec il échangeait même plusieurs cadeaux
Fort la nativité était un présent et non un cachot

Mais la soif de l’or ne portèrent-ils pas les espagnols
À faire couler le sang indien comme l’eau de la rigole
Guacanagaric fut la victime d’un canular vieux frère
Rejeté par les indiens il mourut de chagrin de misère

Lors de l’expédition madichon d’un général Leclerc
La France jouait à la fois la fraternité et la guerre
Pour toucher la fibre émotionnelle d’un Toussaint déterminé
À Saint Domingue ses deux fils furent ainsi débarqués

Pour ramener le cœur de Louverture à la défaillance
Son fils Isaac se ralliait à la cause de la France
Mais pour que la division inflige une profonde blessure
Placide avait choisi de rester fidèle à Toussaint Louverture

Imagine un fils au grand fort de la guerre
Qui va livrer feu sur la tête de son père
Et un père contraint d’engager une bataille
Contre le fruit légitime de ses propres entrailles

Au moment de cette agression outrancière
Ordonnée par Bonaparte dirigée par Leclerc
Le cœur de Toussaint sombrait dans la contradiction
La piété devait rivaliser avec la bravoure en ébullition

Pour Son fils Isaac l’amour était une obligeance
Avec Placide le concert pour l’indépendance
Le cœur de Toussaint sombrait dans la contradiction
La piété devait rivaliser avec la bravoure en ébullition

Gagner la guerre d’une main héroïque et magnanime
Il se rendra coupable du crime de son fils légitime
Perdre la grande guerre décisive pour l’indépendance
Son fils et la postérité rateront la grande délivrance


Cette guerre était tellement pleine de charge d’émotion
Qu’avant même la bataille la défaite était à l’horizon
Autant que devait penser à ses propres enfants légitimes
Autant qu’il devait épousait la cause de l’indépendance

Retenons que la défense est la première du droit
La conscience oblige à reconnaître cette grande loi
Les forces négatives sont nos moyens de défense
Devant être mobilisés au maintien de notre existence

Dangereux de jouer l’amour et la guerre en même temps
Le cœur s’agite quand de son ami il doit faire couler le sang
Il est toujours triste d’être l’auteur du crime
D’un être humain qui est notre fils légitime
30 juin 2011











INDIEN AUTOCHTONE CACIQUE HENRI :

RENONCEZ À NOUS PRENDRE, CAR JAMAIS PLUS NOUS NE SERVIRONS LES BLANCS… Nous avons juré de vivre libres ou de mourir. Allez remercier Dieu, de ce que je vous laisse la vie.

DÉCRET DU 18 AOUT 1789
TOUS LES HOMMES NAISSENT ET DEMEURENT ÉGAUX EN DROIT

DÉCRET DU 4 AVRIL 1792
TOUS LES HOMMES DE COULEURS ET NOIRS LIBRES SONT ADMIS À VOTER DANS LES ASSEMBLÉES PAROISSIALES, ILS ÉTAIENT ÉLIGIBLES À TOUTES LES PLACES

DECRET DU 29 AOUT 1793
PROCLAMATION DE LA LIBERTÉ GÉNÉRALE

ART 3 DE LA CONSTITUTION DE 1801
…LA SERVITUDE EST ABOLIE, QUE TOUS LES HOMMES NAISSENT, VIVENT ET DEMEURENT LIBRES….


TOUSSAINT LOUVERTURE
LA LIBERTÉ SEULE NE SUFFIT PAS, IL FAUT UN HOMME RESPONSABLE POUR EDUQUER LES MASSES, LES PLIER AUX EXIGENCES REVOLUTIONNAIRES.

ANTOINE DUPRÉ
SI UN JOUR SUR TES RIVES
REPARAISSENT NOS TYRANS
QUE LEUR HORDE FUGITIVE
SERVE D’ANGRAIS À NOS CHAMPS

EMPEREUR FAUSTIN SOULOUQUE
À LA FORCE, JE RÉPONDRAI PAR LA FORCE


ÉTAT
1) RENDRE JUSTICE À TOUS INDISTICTEMENT 2) ATTRIBUER LES CHARGES AUX SEULS TALENTS ET MÉRITE SANS TENIR COMPTE DE LA DATE DE NAISSANCE, DU SEXE, DE LA RICHESSE 3) PROTECTION ET SÉCURITÉ À TOUS





PRINCIPE DE RÉVOLUTION
EN PÉRIODE RÉVOLUTIONNAIRE L’ACTION A PRÉSÉANCE SUR LE DROIT, EN PÉRIODE DE PAIX LE DROIT DOIT GUIDER L’ACTION

POTION D’ESPOIR
Mon regard curieux lorsque je le projette
Sur la Mire attractive de ta silhouette
Je décèle sur la motion de ton âme assidue
Que tu incarnes l’effort, le bien et la vertu

Oui! Sur ton visage rayonnant de séduction
Tout autour gravite le cortège de l’admiration
J’ai vu un cœur battant tout rempli d’énergie
À travers tes actions visant l’infini de la vie

La force de ton caractère dit que tout est parfait
Fierté d’une grande âme pleine de nobles souhaits
L’estime de soi qui t’accompagne du soir au matin
Dessine que tu es maitresse de la maison du destin

L’impression rassurante que tu dégages au dehors
Laisse lire ton courage, tes atours et atout sans décor
Prélude d’une belle étoile d’une Avenir sonore
Promesse d’un Devenir sur un Avenue Ténor

Oh, oui! La lumière de ton étoile augure la réussite
Sa chaleur ou splendeur dit que le succès t’habite
Dieu fit l’univers en sept jours et non en un seul instant
Pour boucler le cycle de la réussite, il faut aussi du temps

Même si la vie est faite de chute, de grève et de trêve
Et qu’il faut prendre du recul au moment de la grève
Sache que tu as en toi tout pour réussir ton grand rêve
Dieu te donnera l’espérance pour que bien tout s’achève

Souviens-toi que tous les gens sont devenus héros
Dans leur aventure ont subi beaucoup d’assauts
Mais leur rêve restant allié à leur courage dirige l’opération
De manière telle que la victoire débouche sur leur destination

Mille fois retenu sur le chemin de ton rêve souhaité, désiré
Mille fois reprendre l’effort dans le dessein de ta destinée
Le courage et la patience nous vaporisent de malheurs
Mais souvent leur fruit au printemps apporte du bonheur

mardi, 28 juin 2011
stamouredner@yahoo.ca



CACIQUE HENRI À VALENZUELA :
RENONCEZ À NOUS PRENDRE, CAR JAMAIS PLUS NOUS NE SERVIRONS LES BLANCS… Nous avons juré de vivre libres ou de mourir. Allez remercier Dieu, de ce que je vous laisse la vie.


ÉNIGME DE LA RÉUSSITE

Si tu continues à me traiter en Laquais
Je peux enfoncer le clou dans la plaie
Entrer en la bulle en attrapant le bulbe pour faire sauter la bile
Afin de convertir l’insolence prétentieuse en onde tranquille

Réjouissez vous avec pleine espérance
De votre savoureuse ration de potion
Dans la foi en un deus ex machine
Qui va venir vous apporter le salut

Réjouissez vous avec espérance
De votre exquise ration d’opium
Dans la foi en un deus ex machine
Qui va vous apporter le salut

Avec la force de la foi rien n’impossible
On peut transporter Haïti jusqu’en Floride
La réussite est dans nos mains sans effort
La société est un immense No Man’s Land

Avec la force de la foi rien n’impossible
On peut transporter Haïti jusqu’en Floride
La réussite est dans nos mains sans effort
La baguette magique amène au No Man’s Land

La mystification n’existe pas
L’occultation n’existe pas
L’ésotérisme n’existe pas
La cachette n’existe pas.

La spéculation n’existe pas
L’élucubration n’existe pas
La fiction n’existe pas
L’illusion n’existe pas

Le blocus n’existe pas
Le boycott n’existe pas
L’embargo n’existe pas
Le sabotage n’existe

L’égoïsme n’existe pas
Le prédateur n’existe pas
Le pirate n’existe pas
L’arnaqueur n’existe pas

L’arriviste n’existe pas
L’opportuniste n’existe pas
Le petit parvenu n’existe pas
Le transfuge n’existe pas


L’insulte n’existe pas
L’injure n’existe pas
La calomnie n’existe pas
Le mensonge n’existe pas

La coercition n’existe pas
La persuasion n’existe pas
La dissuasion n’existe pas
L’agression n’existe pas

La force n’existe pas
La contrainte n’existe pas
La sujétion n’existe pas
Les représailles n’existent

Le Lion n’existe pas
Le Tigre n’existe pas
Le Renard n’existe pas
Le Léviathan n’existe pas

Œil pour œil n’existe pas
Homo homini lupus n’existe pas
Chen manje chen n’existe pas
La loi de la jungle n’existe pas


Le préjugé n’existe pas
La discrimination n’existe pas
L’ignorance n’existe pas
La superstition n’existe pas

La présomption n’existe pas
La prétention n’existe pas
La somptuosité n’existe pas
La fastuosité n’existe pas

L’ombre n’existe pas
La pénombre n’existe pas
Les ténèbres n’existent pas
L’obscurantisme n’existe pas

Le désert n’existe pas
L’aridité n’existe pas
La stérilité n’existe pas
Le vide n’existe pas

Le manque n’existe pas
Le défaut n’existe pas
L’inanition n’existe pas
L’implosion n’existe pas

La démesure n’existe pas
L’obsession n’existe pas
L’excès n’existe pas
L’explosion n’existe pas

L’abîme n’existe pas
Le précipice n’existe pas
La ruine n’existe pas
La destruction n’existe pas

La connivence n’existe pas
La complicité n’existe pas
Le receleur n’existe pas
La caution n’existe pas

La piraterie n’existe pas
L’extorsion n’existe pas
Les prébendes n’existent pas
Le crime n’existe pas

Avec la joie coiffée de la chance
Vous aurez le salut dans le No Man’s Land
Car toutes idées amies intimes et fidèles
Ne sont pas contraire au chemin de la réussite

Croyez dans votre indéfectible potion
Tous ces alliés ne complotent jamais
Contre le succès, contre la réussite
Contre le rêve, l’idéal de votre foi

Le vieux malheur de Saint-Amour Pétion
Ne fait pas le bonheur de Jean Napoléon
La victoire est linéaire dans la balance
Vous mettrez vos mains sur la réussite

La victoire linéaire est un No man’s Land
Vous mettrez vos mains sur le succès
Comme on saisit une baguette magique
Le fantasme peut conduire au bout des rêves

La société humaine ne connaît que la réussite
Mais ne condamne ni le transfuge ni le parvenu
La société humaine ne reconnaît que la réussite
Mais ne condamne pas le changement de classe

Il faut à tout prix réussir
Mais sans changer de classe
De coutumes, de valeurs
Sinon on n’est pas un traître


RÉGIME DU CRIME

Si tu continues à me traiter en Laquais
Je peux enfoncer le clou dans la plaie
Entrer en la bulle en attrapant le bulbe pour faire sauter la bile
Afin de convertir l’insolence prétentieuse en onde tranquille

Les dés sont pipés au moment des semailles
Au premier jour du germe au sein des entrailles
Certains ont moisson pour retrouvaille
D’autres l’airain qui les tenaille

Malheur de Marron fait bonheur de Larron
L’existence s’étend sur des piliers de contradictions
Même si la pérennité de la vie vibrant chaque jour
Réside dans la sublime transcendance de l’Amour

Il existe dans la société le funeste conflit d’intérêt
Voulant qu’un Patron possède son propre Laquais
Qui travaille contre ses propres intérêts et vie
Au service du maître qui accumule les profits

Le patron a besoin des bras de l’ouvrier cendrillon
Pour que l’économie gravite autour de millions
La réussite de cendrillon est contraire à la loi du profit
Qui incarne le succube, le parasite, le virus, la bactérie

L’ouvrier doit travailler toute bouline
Au rythme accélérant de la machine
Alors que l’économie privatise sans limite
Dans l’espace sous un globe qui se délimite

Ainsi le droit finit par céder la place au capital, à César, l’argent
Pour établir le régime arrogant et fastueux de prestige et de rang
Oui! Le sang cesse son règne de la Noblesse et de la domination
Mais le capital le continue par le biais du profit garant des millions

La prédiction présomptueuse moderne faillit dans sa promesse
Le rêve du paradis sur terre par l’accumulation de la richesse
Ne venait pas à sa réalisation vue l’infimité de ses prouesses
On rate l’Eldorado! L’Exploitation n’a jamais bonne presse

Après quoi, on impute le tort, le mal, le blâme au Poète
Taxé de cigale libertine dont les hymnes gâchent la fête
Qu’on accuse d’être responsable, à l’origine de la paresse
En le condamnant comme auteur du crime de la détresse

Devant l’Économie qui lui attribue le statut de cendrillon
Il devient un moins qu’un brimborion, la lie de la création
Certes les vers de la Poésie n’ont pas les pieds assez puissants
Pour se convertir en profit ou produit rentable aux marchands

Mais l’insulte accentué de ridicule de l’Économie
N’importune point chez le poète la vague du dépit
Plus que le profit de l’argent qui le sous-estime
Le poète s’assume, se valorise en aimant ses rimes

Même si la fortune manque, fait défaut à son existence
La poésie lui procure sérénité garantissant l’assurance
Il mène son existence en quête du bonheur dans la modération
Cette vie qui est pour le poète divine célébration et constellation


La poésie réussir ses rythmes, rime et pieds
Doit se soumettre au caprice du marché
Chaque rime doit incarner les friandises
Digne d’un marchant offrant marchandise

Pour réussir dans le domaine de la poésie
Ses vers doivent se tenir sur un plat de riz
Pour mieux viser le mercantile ou le profit
Qu’encaissera la machine de l’économie

La poésie pour avoir la joue capitale
Doit se donner une vaste base sociale
Non pour le salut de la masse à sauver
Mais pour l’expansion express du marché

Depuis fort longtemps cette mise en scène
Par la vanité des ruses malsaines obscènes
Allant à l’encontre de la masse mobilisée
Selon la règle de conflit d’intérêt inventé

Dans la modernité pour faire de la bonne poésie
Il faut avoir au bout de ses rimes un bol de riz
Afin que l’inspiration atteste l’œuvre d’un talent
Digne d’un million de César, une tonne d’argent

Quelle que soit la preuve tangible du génie
Si l’on n’y voit pas une montagne de profit
Le poète peut aller sombrer son existence
Dans le funèbre mutisme absolu du silence

L’art devient une banale marchandise
Soumise à la loi de la gourmandise
Qui doit se vendre sur le grand marché
Pour gonfler la poche des gens aisés

Bref le pied de chaque vers de la poésie
Doit obéir strictement à la logique du profit
Pour que le poète soit mis en mondaine valeur
Et atteigne la renommée, la célébrité, l’honneur

La pochette des riches demeure un droit sacré
Au point que nul ne doit troubler le marché
Le ventre des démunis, des pauvres affamés
indigne au droit doit être détruire telle l’araignée

Le démuni n’étant pas utile à la société
N’est pas membre de la sublime humanité
Ce sont les riches qui brassent le marché
Qui doivent avoir droit sacré à la satiété

L’existence du poète est devenue une blague
sur laquelle on applique des tapes, des claques
comme les prétendues grandes organisations internationales
prônant la liberté en étant esclave des firmes multinationales

Quand l’humanité appelle au salut, au sauvetage
La main mercenaire intervient en dieu de sabotage
Quand le cœur humain donne l’alerte du sauvetage
La main criminelle interpose son grand mur de blocage

Bateau of Hope ne doit pas battre pavillon
Pour aller sauver la vie de la lie de la création
Des démunis qui ne méritent pas d’avoir la vie
Sans merci ni pitié le profit ignore tous les soucis

Pour monter dans l’échelle de gallon en gallon
Il faut avoir la naissance écrite avec un million
Dans le capitalisme l’argent doit précéder le talent
Pour y être une étoile qui brille dans le firmament

On accuse Jean de crime contre l’humanité
Parce que la fortune des riches est attaquée
Les enfants qui mourant de faim telle l’araignée
N’est pas un crime de lèse droit contre l’humanité

Non! Non à la lie Bateau Domma Nevel
Ne peut pas apporter la bonne nouvelle
Organisation rime avec sabotage
Comme le sauvetage rime avec blocage

Quand la nature nous accule à une enclave
On doit mener toute sa vie comme l’esclave
Tous les patrons et maîtres du monde se liguent
Pour que l’enclave n’accouche pas de prodiges


Les grandes organisations internationales
Aiment se porter en juge de la cour pénale
Pour condamner les méchants allant à contre courant
De la logique sans limite et toute bouline de l’argent

N’est ce pas dans les grandes eaux internationales
Qu’on jette des tonnes de nourritures saines ou sales
Pour que le surplus ne vienne perturber le marché
Plutôt que de soulager le ventre des enfants affamés

Le droit légitime revient aux saints du marché
Le sans foi ni c’est la grande masse des affamés
La misère est l’âme fidèle du Pic de la Mirandole
Dans laquelle se cache une deuxieme Hitler Adolf

En même temps que le profit se compte par millions
Chaque jour par minute des enfants meurent par millions
La mort des démunis affamés n’est pas un cauchemar
Devant la perte infime de quelque centaine de dollars

Accélérez votre machine sans limite
Vous atteignez le sommet au plus vite
Accélérez votre machine toute bouline
La ruine ne peut pas attirer la bobine

Accélérez votre machine sans frein
La limite ne résiste pas à votre destin
Accélérez votre machine sans lumière
Vous pouvez voyager sans risque ni repère

Accélérez votre barque sans boussole
Pour entrer à l’eldorado de l’acropole
Dans le grand paradis du No Man’s Land
Aucune loi de la nature ne peut contraindre

Accélérez votre barque sans boussole
Pour entrer à l’eldorado de la métropole
Dans le grand paradis du No Man’s Land
Aucune loi de la nature ne peut contraindre

Accélérez votre barque sans boussole
Pour entrer à l’eldorado du grand monopole
Dans le grand paradis du No Man’s Land
Aucune loi de la nature ne peut contraindre
2 juillet 2011







TEMPS DE CRISE, TEMPS DE SOLIDARITÉ
Il serait mieux que le peuple haïtien cherche lui-même à se situer, à s’orienter dans la voie de sa propre destinée que personne ne peut lui dicter. Je n’ai rien à proposer non plus en ce sens puisque son destin ne dépend d’aucun deus ex machina qui va lui apporter le salut sans qu’il ne déploie ses propres efforts. La seule chose que la sagesse de l’histoire enseigne dans le registre du patrimoine de l’humanité, c’est que « en période de danger ou de crise grave, les hommes de par son instinct de conservation tendent naturellement à se renforcer les liens sociaux fragilisés ou brisés pour se fraterniser dans l’optique d’une meilleure union capable de mieux les protéger ou leur procurer une meilleure emprise sur le cours de leur vie. En temps de crise on n’encourage pas les hostilités propres à creuser davantage le fossé de la division. Lorsque la colonisation menaçait la vie des anciens noirs africains importés d’Afrique pour cultiver le sol de l’Amérique, les gens qui aspiraient à la liberté comme à l’indépendance avaient leur esprit convergé vers l’unité, la fraternité. C’est pourquoi ils choisissaient de se réunir en une grande majorité en assemblée générale à Bois Caïman en août 1791 ou de se réunir à l’Arcahaie le 18 mai 1803 pour célébrer leur union indéfectible qui se révélait plus que nécessaire après le meurtre horrible de Maurepas et la déportation de Toussaint Louverture. C’est pourquoi ils avaient aussi opté pour mater les petites groupes d’insurgés de Charles Belair, Sans Souci, Lamour Dérance, Petit Noël, Larose, qui créaient trop de divisions au sein de l’armée indigène déjà trop fragilisée par la défaite de Toussaint Louverture. Le 11 septembre 2001 qui assistait à la chute du Wold trade center a été un grand et triste jour de malheur pour les New-Yorkais tout comme le peuple américain en entier qui avant restait inébranlable comme imperturbable au danger. Mais ce malheur a été aussi l’occasion qui les portait à expérimenter l’émotion négative de peine, de tristesse teintée de peur à telle enseigne qu’il les portait à mieux se fraterniser, mieux renforcer leurs liens sociaux de solidarité. La vulnérabilité d’un peuple peut être l’occasion qui réveille le sentiment de fraternité, de solidarité, d’affectivité, d’amour. L’indifférence était remplacée par le slogan «I Love New-york». En ce sens si seul le contraire demeure faux, alors plus rien à ajouter. Ces leçons d’histoire suffisent pour tout apprendre et comprendre. Amen, Ayibobo.


PYGMÉE
Ton ami demeure le grand favori
Il a gagné les tournois et les paris
Maintenant au sommet de la gloire
Tu peux célébrer ta grande victoire

Malgré que dans son triste clivage
Avait toujours apporté le carnage
Où les deux guerres mondiales
Témoignent des blessures rivales

Malgré que dans son triste clivage
Avait toujours apporté le carnage
L’œil ne voit encore que le pourboire
Sans retenir aucune leçon d’histoire

Dans la modernité où le cœur sourit
Par la magie de la ruse de l’hypocrisie
Pour demeurer assez valable la poésie
Doit coudre à ses rimes un bol de riz

L’idéal étant d’être toujours un repus
Le poète doit incarner l’éternel trapu
Toujours du gain comme preuve de rébus
Sinon on devient ce rebut réduit en reclus

À l’autre Pour la traiter en valeur égale
La poésie doit être un récital de régal
La valeur sociale de ce que tu penses
Doit être aussi égale à celle de ta panse

Si tu ne peux pas contempler ton nombril
Tu ne seras ni un astre ni une étoile qui brille
Car l’argent, la fortune doit précéder le talent
Ainsi seulement tu figureras parmi les gagnants

On se met toujours dans la peau du renard
Pour te faire bien tomber dans le traquenard
Ainsi on creuse éternellement le fossé de la division
Sans vaccin pour traiter le germe de la destruction

On se laisse rouler, aller librement vers sa propre ruine
Dans la barque qui s’accélère sans limite toute bouline
Assouvir sa faim au caprice du présent quotidien
Voilà un idéal qui ne tient pas compte du lendemain

La fortune accouche de vrais et véritables fêtards
Qui vivent à la seule merci de la chance, du hasard
Hélas! Ils vous prêchent l’apocalypse de leurs ténèbres
Juste pour les accompagner dans leur pompe funèbre

L’égoïste ne veut point avoir la balance déficitaire
Mais creuse le fossé recrutant des bénéficiaires
Parce que de leur fidéisme allié du fiduciaire
Il ne demeurera pas moins le seul actionnaire

Attention aux rires! Attention aux larmes et pleurs!
Le renard canular est souvent porteur de malheurs
Car il veut même par l’agression entrer dans ta bulle
À chaque action comme chaque verbe que tu gesticules

Attention aux âmes dont les pieds explorateurs pressent
Dans la machine allant de pleine accélération hors vitesse
Retenons que L’histoire un petit bébé, un fragile pygmée
Devant la géante Préhistoire vieille de milliards d’années


LARMES DE L’ARME DANS L’ÂME

Je ne peux pas entrer dans le jeu de la concurrence
Dans une machine qui a perdu son frein et sa balance
Qui s’accélère au quotidien toute bouline sans limite
Sans doute pour mieux atteindre l’abime au plus vite

Non! Non L’heure n’a pas encore sonné
Pour me dépouiller de mon humanité
De ma conscience, ma morale, mon histoire
Le patrimoine reste encore dans ma mémoire

À ne vouloir compter que sur la gâchette
Pour assurer éternellement sa sécurité
On ne se comporte pas mieux que la mouette
Dépourvue de tout qui s’appelle humanité

À ne vouloir compter que sur la pochette
Pour assurer éternellement sa sécurité
On ne se comporte pas mieux que la chouette
Ignorant sa leçon d’humanité et de sérénité

Quand l’agression supplante de loin l’affectivité
L’homme compte sur la force pour sa sécurité
Et le crime qui en résulte et fragilise l’humanité
En aucun cas ne favorise ni solidarité ni sérénité

Aussi longtemps que l’humanité est gouvernée par l’Amour
Qui garder sa pleine pérennité dans le temps au fil des jours
La force ne pourra jamais remplacer l’estime de soi
À l’intérieur le vide s’installera avec grand désarroi

Quand le régime que nous érigeons est proche de sa fin
Où les démons commencent par s’agiter de notre sein
Alors nous comprendrons tous l’importance de l’humanité
L’importance de la fraternité, de la solidarité de l’affectivité

Si l’histoire reste un tout petit fragile bébé de pygmée
Devant la géante préhistoire vieille de milliard d’années
Il se révèle trop tôt pour crier victoire de la force d’agression
Rien ne confirme une telle hypothèse au sein de la création


Dans un moment de graves crises
Exigeant recharge de la matière grise
Hélas! Les gens beaucoup obsédé par la fortune
Se laissent diviser par des âmes qui importunent

Quand on voyage dans la machine de la politesse
Qui dépasse la gravitation jusqu’à la bassesse
L’ennemi génie du mal peut voir la faiblesse
Pour appliquer le grand coup fatal qui blesse

Guacanagaric était une âme hospitalière
Qui accueillait Colomb comme un frère
Avec il échangeait même plusieurs cadeaux
Fort la nativité était un présent et non un cachot

Mais la soif de l’or ne portèrent-ils pas les espagnols
À faire couler le sang indien comme l’eau de la rigole
Guacanagaric fut la victime d’un canular vieux frère
Rejeté par les indiens il mourut de chagrin de misère

Lors de l’expédition madichon d’un général Leclerc
La France jouait à la fois la fraternité et la guerre
Pour toucher la fibre émotionnelle d’un Toussaint déterminé
À Saint Domingue ses deux fils furent ainsi débarqués

Pour ramener le cœur de Louverture à la défaillance
Son fils Isaac se ralliait à la cause de la France
Mais pour que la division inflige une profonde blessure
Placide avait choisi de rester fidèle à Toussaint Louverture

Imagine un fils au grand fort de la guerre
Qui va livrer feu sur la tête de son père
Et un père contraint d’engager une bataille
Contre le fruit légitime de ses propres entrailles

Au moment de cette agression outrancière
Ordonnée par Bonaparte dirigée par Leclerc
Le cœur de Toussaint sombrait dans la contradiction
La piété devait rivaliser avec la bravoure en ébullition

Pour Son fils Isaac l’amour était une obligeance
Avec Placide le concert pour l’indépendance
Le cœur de Toussaint sombrait dans la contradiction
La piété devait rivaliser avec la bravoure en ébullition

Gagner la guerre d’une main héroïque et magnanime
Il se rendra coupable du crime de son fils légitime
Perdre la grande guerre décisive pour l’indépendance
Son fils et la postérité rateront la grande délivrance


Cette guerre était tellement pleine de charge d’émotion
Qu’avant même la bataille la défaite était à l’horizon
Autant que devait penser à ses propres enfants légitimes
Autant qu’il devait épousait la cause de l’indépendance

Retenons que la défense est la première du droit
La conscience oblige à reconnaître cette grande loi
Les forces négatives sont nos moyens de défense
Devant être mobilisés au maintien de notre existence

Dangereux de jouer l’amour et la guerre en même temps
Le cœur s’agite quand de son ami il doit faire couler le sang
Il est toujours triste d’être l’auteur du crime
D’un être humain qui est notre fils légitime
30 juin 2011

Leçon d’histoire

Lorsque j’étais a New York comme séminariste pour devenir un prêtre de la congrégation Saint Charles de Borromée dit Scalabrini en l’honneur du père fondateur de la congrégation j’avais fini par apprendre une leçon qui me servait beaucoup a me comprendre surtout même mon passe

J’ai appris qu’on peut faire appel aux émotions positives des gens plutôt qu’à leurs émotions négatives pour modifier leurs comportements. On m’a appris que Tison a été un grand bagarreur de rue. Au lieu de perdre ce talent, un entraîneur de boxe avait juge nécessaire de le prendre pour l’entraîner à la boxe afin de le rendre utile à la société plutôt que de se ruiner dans les bagarres de rue. Ainsi c’est en cherchant la facette positive de l’homme qu’il finit par devenir un grand boxeur de renommée internationale qui captivait l’admiration de beaucoup de monde y compris moi-même qui était son admirateur. De plus, j’ai appris qu’au moment ou la mafia envahissait New York comme tout le reste des États-Unis, les autorités américaines avaient juge nécessaire de faire une table avec les mafiosi pour leur faire comprendre que le pays est aussi a eux, et qu’ils doivent a la paix de ce pays. A cette invitation cordiale et fraternelle, la mafia se montrait compréhensive en termes de collaboration. C’est ainsi que le crime stoppait radicalement en faveur de la peur. Aussi en Afrique du Sud, le chef de tribu appelée Butu Butulezi faisait la pluie et le beau temps dans le règne de la violence. Le président Nelson Mandela au lieu de le jeter en prison ou de lui faire la guerre, avait plutôt choisi de le placer à la tête de la sécurité du pays. Comme un chef de l’ordre ne pouvait pas se permettre de créer du trouble, la vengeance diminuait radicalement. Ces leçons me permettait de comprendre pourquoi le petit séminaire collège Saint de Porrès avait choisi de me nommer préfet de discipline ou président de classe pendant quatre années consécutives ou d’affilée a chaque élection. Ma renommée inquiétait sans que je le sache. Ainsi pour redresser la situation sans me réprimer on avait choisi de me nommer président de classe. En tant que chef de discipline je ne pouvais en aucun cas afficher mes avances de galanterie dans l’école pour gagner les cœurs des filles. Je vois aussi l’élection du populaire chanteur sweet Michy ou Michel Martelly dans le même angle. Un homme un peu vagabond qui dansait le carnaval, devenu président ne pouvait pas de permettre de créer des troubles. On le tranquillise comme on avait tranquillise Mike Tyson, la Mafia et moi-même. Pour moi c’est une politique éclairée à mettre en pratique au profit des gens qui en sont l’objet plutôt que d’opter pour la répression.

Au séminaire Saint Charles house of studies de Queens New York, certes on m’avait expulse pour des raisons inattendues, mais avec honneur par une lettre m’indiquant que je serai un meilleur professeur plutôt qu’un prêtre. Preuve qu’on avait beaucoup respecte malgré mes erreurs naïves ajoutées à ma santé précaire qui coûtait chère au séminaire. Mais comme je cultive encore la tendance de faire appel a la paix la ou il y a la division, cela entraîne que je vis encore présentement en parfaite harmonie avec les gens de mon alentour. Par exemple, dans une fête consacre en l’honneur d’un personnage de ma ville, j’avais du par la force des choses m’absenter malgré moi. Cela n’empêche qu’une bonne amie de moi m’a envoyé en cadeau une grosse chaudière de nourriture que j’ai passe presque une semaine pour en finir. Pour moi ce cadeau me dit beaucoup de chose, car il témoigne de l’amitié sincère. Quand je tombe malade parfois jusqu'à me rendre à l’hôpital les cadeaux tombent sur moi les gouttes de pluies. Témoignage d’une grande chaîne d’amitié. Se pou sa map di a tout vye frè ak sè ayisyen mwen yo, ke rale dife miyò ke pouse dife nan moman kote ki genyen kont. Sa yon moun fè de byen pa janm pèdi, wap rekolte sa kan menm yon fason osinon yon lòt. Rale dife pi bon ke mete dife. Se te vye zanmi wou Edner saint-Amour, Bètèwòy ou le poète pour les amis proches.



INDIEN AUTOCHTONE CACIQUE HENRI :

RENONCEZ À NOUS PRENDRE, CAR JAMAIS PLUS NOUS NE SERVIRONS LES BLANCS… Nous avons juré de vivre libres ou de mourir. Allez remercier Dieu, de ce que je vous laisse la vie.

DÉCRET DU 18 AOUT 1789
TOUS LES HOMMES NAISSENT ET DEMEURENT ÉGAUX EN DROIT

DÉCRET DU 4 AVRIL 1792
TOUS LES HOMMES DE COULEURS ET NOIRS LIBRES SONT ADMIS À VOTER DANS LES ASSEMBLÉES PAROISSIALES, ILS ÉTAIENT ÉLIGIBLES À TOUTES LES PLACES

DECRET DU 29 AOUT 1793
PROCLAMATION DE LA LIBERTÉ GÉNÉRALE

ART 3 DE LA CONSTITUTION DE 1801
…LA SERVITUDE EST ABOLIE, QUE TOUS LES HOMMES NAISSENT, VIVENT ET DEMEURENT LIBRES….


TOUSSAINT LOUVERTURE
LA LIBERTÉ SEULE NE SUFFIT PAS, IL FAUT UN HOMME RESPONSABLE POUR EDUQUER LES MASSES, LES PLIER AUX EXIGENCES REVOLUTIONNAIRES.

ANTOINE DUPRÉ
SI UN JOUR SUR TES RIVES
REPARAISSENT NOS TYRANS
QUE LEUR HORDE FUGITIVE
SERVE D’ANGRAIS À NOS CHAMPS

EMPEREUR FAUSTIN SOULOUQUE
À LA FORCE, JE RÉPONDRAI PAR LA FORCE


ÉTAT
2) RENDRE JUSTICE À TOUS INDISTICTEMENT 2) ATTRIBUER LES CHARGES AUX SEULS TALENTS ET MÉRITE SANS TENIR COMPTE DE LA DATE DE NAISSANCE, DU SEXE, DE LA RICHESSE 3) PROTECTION ET SÉCURITÉ À TOUS





PRINCIPE DE RÉVOLUTION
EN PÉRIODE RÉVOLUTIONNAIRE L’ACTION A PRÉSÉANCE SUR LE DROIT, EN PÉRIODE DE PAIX LE DROIT DOIT GUIDER L’ACTION

POTION D’ESPOIR
Mon regard curieux lorsque je le projette
Sur la Mire attractive de ta silhouette
Je décèle sur la motion de ton âme assidue
Que tu incarnes l’effort, le bien et la vertu

Oui! Sur ton visage rayonnant de séduction
Tout autour gravite le cortège de l’admiration
J’ai vu un cœur battant tout rempli d’énergie
À travers tes actions visant l’infini de la vie

La force de ton caractère dit que tout est parfait
Fierté d’une grande âme pleine de nobles souhaits
L’estime de soi qui t’accompagne du soir au matin
Dessine que tu es maitresse de la maison du destin

L’impression rassurante que tu dégages au dehors
Laisse lire ton courage, tes atours et atout sans décor
Prélude d’une belle étoile d’une Avenir sonore
Promesse d’un Devenir sur un Avenue Ténor

Oh, oui! La lumière de ton étoile augure la réussite
Sa chaleur ou splendeur dit que le succès t’habite
Dieu fit l’univers en sept jours et non en un seul instant
Pour boucler le cycle de la réussite, il faut aussi du temps

Même si la vie est faite de chute, de grève et de trêve
Et qu’il faut prendre du recul au moment de la grève
Sache que tu as en toi tout pour réussir ton grand rêve
Dieu te donnera l’espérance pour que bien tout s’achève

Souviens-toi que tous les gens sont devenus héros
Dans leur aventure ont subi beaucoup d’assauts
Mais leur rêve restant allié à leur courage dirige l’opération
De manière telle que la victoire débouche sur leur destination

Mille fois retenu sur le chemin de ton rêve souhaité, désiré
Mille fois reprendre l’effort dans le dessein de ta destinée
Le courage et la patience nous vaporisent de malheurs
Mais souvent leur fruit au printemps apporte du bonheur

mardi, 28 juin 2011
stamouredner@yahoo.ca









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*Cinq territoires, cinq Caciquats*
5 Mai 2011 - *Cinq territoires, cinq Caciquats*






Le HIGUEY, la MAGUA, la MAGUANA, le MARYEN et le XARAGUA.

Les limites de chaque caciquat étaient claires et précises, les 1ers habitants de l'île utilisaient les éléments naturels comme références, par exemple les grands cours d'eau, les hautes montagnes, les vallées et les plaines notables. Ceci permettait d'établir exactement jusqu'où s'étendait chaque territoire.
Le Caciquat du HIGUEY (aussi connu sous le nom de Higüanamo) était gouverné par le cacique CAYACOA. La déeesse-mère de ce Caciquat est "Atabeira", qui signifie “la Mère de la Pierre Originale”.

Le Caciquat de la MAGUA était gouverné par le c...acique GUARIONEX et était l'une des régions les plus riches de l'île. Magua signifie “la Pierre” et sa déesse-mère était "Guacar" ou la Pierre Mère.

Le Caciquat de la MAGUANA était gouverné par le cacique CAONABO, époux d'Anacaona. Il était le principal de l'île et était représenté par “la Pierre”, dont le terme Maguana signifie: “la première pierre, la pierre unique”. Sa déesse-mère était "Apito", qui signifie “Mère de la Pierre”. Le cacique Caonabo fut le premier à opposer résistance à l'occupation espagnole.

Le Caciquat du MARYEN était gouverné par le cacique GUACANAGARIC. Il fut le premier à accueillir Christophe Colomb. La déesse-mère de ce caciquat était la "Mère Iermao"qui signifie “Corps de pierre”. ACCUEIL AVEC HOSPITALITÉ

Le Caciquat de XARAGUA était gouverné par le cacique BOHECHIO, frère d'Anacaona. Il était le plus étendu de l'île. La déesse-mère du Caciquat de Xaragua était "Zuimaco", dérivé de l'union de Xaragua (Zui) et Yaquimo (Maco).






Au moment de l'arrivée européenne sur cette île, Haïti était principalement peuplée par des migrants arawaks débarqués de l'Amazonie sud-américaine (bassins de l'Orénoque et du Rio Negro-Venezuela) vers la fin du 1er millénaire de notre ère.
Cette civilisation agricole sédentarisée qui, à Puerto Rico, Haïti et dans l'Est de Cuba, avait atteint un niveau de culture assez avancé, se distingue par un ensemble bien défini d'éléments linguistiques, religieux, artistiques, économiques et politiques, connu sous le terme "classique" Taïno (Chican-Ostinoide). Son centre le plus évolué sur l'île d'Haiti se trouvait situé dans la province fortement peuplée du Xaragua.

Prolongeant et remplaçant des établissements humains qui remontaient à quatre millénaires avant notre ère (successivement lithique, archaique, ostinoïde et meillacoide), la population Taïno d'Española, forte d'environ un million d'habitants, a été décimée en quinze ans.
De la "découverte" au début du XVIème siècle, l'île d'Hayti est occupée par les Espagnols qui, progressivement s'implantent à l'Est du territoire, alors que les Français, dont la présence est reconnue officiellement par le Traité de Ryswick en 1697, s'installent à l'Ouest de l'île. Ce traité, entre l'Espagne et la France, révisé en 1777 par celui d'Araniuez, délimite la première frontière qui partage l'île en deux parties: espagnole (Hispañola) et française (Saint-Domingue).
Par le traité de Bâle en juillet 1795, l'Espagne cède la partie orientale de l'île à la France. En janvier 1801, Toussaint Louverture, conformément a ce traité, occupe, au nom de la France, la partie Est qui restera sous son autorité jusqu'à l'arrivée de l'expédition Leclerc.
Par le traité de Paris de 1814, la France rétrocède à l'Espagne l'ancienne partie espagnole, amputée des territoires occupés en 1809 par Henri Christophe.
De 1822 à 1844, avec la fusion des deux peuples de l'île, Haïti n'a plus de frontières. Elles sont rétablies à la création de la République Dominicaine en 1844, telles qu'elles existaient en 1822.
Les tentatives de réoccupation de Rivière Hérard, de Pierrot et de Soulouque n'apportent aucune modification à cette situation. Le tracé des frontières demeure imprécis, favorisant des incursions de citoyens haïtiens en territoire dominicain. Ce n'est qu'en 1929, par le traité conclu entre la République d'Haïti et la République Dominicaine, et rectifié par celui de 1935, que le tracé de la ligne frontière haïtiano-dominicaine se trouvera définitivement fixé.




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