L'opposition Haitienne devant la chambre des representants americaine

Pou sa ki enterese,yo ka swiv TEMWAYAJ OPOZAN AYISYEN yo devan LA CHANM AMERIKEN an "sur le vif" a 10 ZE di MATEN



youtube.com/watch?v=nUg5pE1mOvs




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Joel

Pourriez-vous nous faire un compte rendu du débat de ce matin ?
Nous apprécierons grandement

Les haitiens avaient etale devant la COMMISSION DES AFFAIRES ETRANGERES du CONGRES tout ce que les HAITIENS discutent a longueur de journee.

Les elections ne sont pas possibles avec JOVENEL.
Le mandat de JOVENEL est termine.
C'est JOVENEL qui a organise les GANGS pour terroriser ses opposants/

Les deputes ont demande des questions probantes et les representants d'organisations comme .NOU PAP DOMI ,RNDDH etc ont ete tres articules.

L'ancienne embassadrice americaine PAMELA WHITE ,qu'on appelait l'embassadrice TET KALE etait dans l'impossibilite de defendre les TET KALE.

Vous pouvez suivre le DEBAT sur le lien que j'ai donne ,mais il peut etre "tedious at times".

Comme les AMERICAINS disent ,la DIPLOMATIE ,c'est comme faire du SAUCISSON.

Consacrer 3 heures a la petite HAITI,c'est deja remarquable.

Merci Joel pour e resumé

J'ai bpc aimé le passage de Pamela White , celle qui chouchoutait Martelly etait plutot du coté de la majorité qui croit qu'on ne peut pas faire confiance à ce groupe mafieux .

Un extrait de ce que le CHAIRMAN de la COMMISSION des AFFAIRES ETRANGERES au CONGRES eut a dire:

"« Une préoccupation que j’entends fréquemment est le scepticisme quant à la préparation d’Haïti aux élections. Bien que je ne souhaite rien de plus que la tenue immédiate d’élections libres, équitables et inclusives, nous devons écouter le cri de détresse des Haïtiens qui nous disent que les élections de cette année ne seront ni libres, ni équitables, ni inclusives si les voix de la société civile et de l’opposition continuent d’être ignorées.

« Au lieu de se concentrer sur la tenue d’un référendum constitutionnel que beaucoup en Haïti et dans la communauté internationale ont dénoncé comme étant inconstitutionnel, le président Moise doit prendre l’initiative et entamer un dialogue sérieux pour discuter de ce à quoi peut ressembler une transition pacifique du pouvoir.

« J’ai demandé à l’administration Biden de reconnaître que la tenue d’élections pour des élections en Haïti aboutira au même résultat que lors des élections de 2015. Afin de sortir de la paralysie politique qui a frappé Haïti ces dernières années, le peuple haïtien doit croire que sa voix compte."

Byen ke PEP AYISYEN an ,se sou FOS PONYET yo pou yo konte anvan;men yon lot EKSTRE deklarasyon ansyen anbasadris TET KALE PAMELA WHITE an te fe devan KONGRE an.
Zanmi ETRANJE PEP AYISYEN yo ,ap fe DEMOKRASI AMERIKEN an BOUJE:

"L’ex-ambassadeur des États-Unis en Haïti (2012-2015), Pamela A. White, a suggéré que si Jovenel Moïse restait au pouvoir, il devrait se mettre de côté ou au-dessus de la mêlée, être totalement transparent, honnête et permettre à un nouveau Premier ministre bien connu, issu ni des secteurs politiques ou du secteur des affaires, renvoyer ce CEP et appeler à un sommet entre les acteurs politiques importants pour mettre en place un Conseil électoral provisoire (CEP) légal.

« Si le président Moïse ne quitte pas le pouvoir, il devra se mettre de côté ou au-dessus de la mêlée. Il doit être complètement transparent et honnête, amener à la table les acteurs importants. Un Haïtien très respecté issu ni des secteurs politiques ni du secteur des affaires devrait être engagé comme Premier ministre. Il ou elle devrait immédiatement dissoudre l’actuel CEP et appeler à un sommet avec tous les acteurs politiques importants pour mettre sur pied un CEP légal », a-t-elle fait savoir, pensant que l’ONU et les États-Unis pourraient aider au financement de ce sommet et jouer le rôle de médiateurs si ces derniers étaient sollicités.

« Je ne crois pas que l’actuel CEP soit légitime », a-t-elle tranché, soulignant que ce CEP n’est pas composé de représentants de secteurs traditionnels et n’a pas prêté serment devant la Cour de cassation. L’ex-ambassadeur des États-Unis Pamela A. White a descendu en flammes la décision de l’exécutif d’éliminer la base de données d’identification nationale. « C’était une erreur », a assené Pamela A. White, soulignant qu’elle émet « ses opinions et ses opinions uniquement ».