Un ministre de l'agriculture qui a du leadership à vendre...

Un homme actif. Un ministre proactif. Une agriculture en mouvement. Il s'agit bien sur du ministre de l'agriculture l'honorable Jonas Gué

Le ministre de l’agriculture, Joanas Gué, a indiqué que ce secteur a besoin de 2 milliards 270 millions de gourdes pour assurer une certaine disponibilité alimentaire pour les 5 prochains mois par la remise en état de fonctionnement des infrastructures agricoles endommagées par les dernières inondations.

"Nous nous proposons de travailler à la protection de 413 kilomètres de ravins et au curage de 160 kilomètres de lits de rivières, à l’entretien et à la réhabilitation d’infrastructures de production, l’acquisition de 837 mille tonnes de semence et de 500 milleoutils", a fait savoir M. Gué.

AHP

Marc,

Attention!

Après avoir nommé Gué comme ministre, Préval a réalisé qu'il a commis la plus grosse erreur de sa vie. Malheureusement, au lieu de revenir sur sa décision et renvoyer ce monsieur, il oblige les caisses publiques à payer sa betisse.

Lisez bien cet article. Préval vient de nommer 2 Secrétaires d'Etat, rien qu'au ministère d'agriculture, pour encadrer Gué.

http://www.signalfmhaiti.com/PageArticle.asp?ArticleID=3442

Cela ne vous dit-il pas quelque chose?

Je ne sais pas pour vous mais j'ai nettement l'impression qu'il y a un problème aigu de statut, de role dans ce pays. Pourquoi nommer deux secrétaires d'État quand ces deux techniciens peuvent travailler comme conseillers au sein du ministère de l'agriculture?

En effet, le président a commis une grosse gaffe non pas en désignant l'Honorable Ministre Jonas Gué à la tête du ministère mais en créant deux postes de secrétaires d'état pour satisfaire l'égo des Messieurs Chancy et Délicé. Je suis absolument contre ces deux postes de secrétaires d'État. On dépense de l'argent du peuple et en retour il ne reçoit aucun service. Non , non pitié.


En passant je laisse à sans Malice le soin de donner une bonne réplique à ces nominations...

Il faut toujours definir LEADERSHIP dans le contexte politique haitien...

Considérant qu'il y a plusieurs types de leadership, nous pouvons dire que l'honorable ministre Gué est un leader dynamique, décideur, affirmatif et il fait preuve d'un leadership situationnel dans un contexte où les régions d'Haiti en ont grandement besoin pour aller de l'avant. Voilà

Je n'ai jamais rencontre l'homme personnellement, donc je ne peux donner d'opinion sur lui. J'en ai entendu parler (pas en termes tres flatteurs je dois l'avouer, mais je prefere le voir en action avant d'accepter l'affirmation de Marc-Henry. Et je sais exactement sur quels points je vais juger son action.

Premièrement il est un des rares ministres qui a présenté les besoins (des chiffres pour appuyer ces besoins) dans ce gouvernement. À cet égard, il va donc de soi qu'il a fait preuve de dynamisme dans ce présent désastre.

Tous les participants de ce forum connaissent mon opinion sur le nombre élevé de ministres et Secretaires d'etat en Haiti.Ces inepties auraient été moins dispendieuses si les budgets de ces ministères leur permettaient de remplir leur roles efficacement,mais quand on considère les besoins et l'on constate le montant alloué a chaque ministère on se demande si les politiciens haitiens ont vraiment les competences nécéssaires pour diriger le pays.

Au moment ou le pays confronte des problèmes épineux ou les ressources devraient etre utilisées parcimonieusement et a bon escient,le Premier Ministre alourdit le budget du Departement de l'agriculture en nommant deux nouveaux Secretaires d'etat.Est-il vraiment indispensable d'ajouter ces deux hauts fonctionnaires pour ameliorer la performance du Ministère de l'agriculture?Les sieurs Chancy et Délice ne sont-ils pas plus utiles au secteur privé qui requiert plus d'entrepreneurs qu'au Ministere de l'Agriculture?

Tandis que les economistes haitiens reclament l'elimination et la consolidation de certains ministères pour permettre une utilisation maximale des ressources,le nouveau Premier ministre augmente le nombre de Secretaires d'etat en meme temps que le Ministre titulaire du Departement de l'Agriculture reclame une augmentation de l'ordre de 2 milliards 270 millions de gourdes pour repondre aux besoins immediats de la population pour les 5 prochains mois.Ou va-t-il trouver cet argent?En demandant la charité comme d'habitude?Ne serait-il pas plus logique de diminuer les ministères du tourisme , de la culture, du dixième departement.de la condition feminine , en les remplacant par des Secretaires d'Etats au Ministere de l'econmie et des finances;au ministère de l'Education nationale,au Ministère des affires etrangères ; au Ministère de la Santé et de la pulation respectivement?

Nous admettons l'importance du ministère de l'agriculture,mais est-ce en le dotant de deux Seceraires d'etat qu'on le rendra plus dynamique et plus efficient?A mon humble avis un seul Secretaire d'etat aurait été plus logique.Cette anomalie d'augmenter le nombre de bureaucrates au moment ou les ressources diminuent tant au niveau des recettes de l'etat qu'au niveau de l'aide internationale contribue énormement à la regression economique que nous constatons depuis quelque temps en haiti.Comment peut-on trouver les capitaux nécéssaires pour augmenter le PIB si toutes les recettes de l'etat ne suffisent pas a payer les fonctionnaires du gouvernement.Pour relancer l'economie haitienne il faut une politique fiscale qui tienne compte des besoins et des ressources.Ce n'est pas en augmentant le deficit budgetaire qu'on relancera les activites econmiques au pays.

Les besoins precis et chiffres en matiere d'agriculture sont connus depuis longtemps.

Allez voir le Document de Reduction de la Pauvrete, vous retrouverez tous ces chiffres.

Permettez-moi de remercier sans malice pour son article combien interessant sur l'appétit budgétivore des dirigeants haitiens dans la gestion publique. Deux secrétaires d'État , c'est trop. Si seulement ils donneraient des services à la population !

Par ailleurs Gwotoro, vous refusez de reconnaitre le leadership dont a fait preuve l'honorable ministre Jonas Gué dans cette situation problèmatique d'haiti. laissez-moi vous dire que les démarches du ministre sont orientées vers les résultats. C'est un jeune ministre ambitieux qui prend de l'initiative et qui semble avoir de l'energie pour transformer l'agriculture haitienne.

Comme je l'ai dit plus tot, je n'ai pas encore d'opinion sur ce ministre et je le jugerai par rapport a son travail.

Mais, je fais juste rappeler que l'inventaire des besoins en agriculture est donne fait depuis longtemps.

Il est temps que l'on cesse les déclarations intempestives.
Il faut soutenir avec des faits ce que l'on avance.

Pouvez-vous informer les membres de ce forum la raison de cette declaration?:

Après avoir nommé Gué comme ministre, Préval a réalisé qu'il a commis la plus grosse erreur de sa vie.

Est-on en présence d'un incompétent?
d'un malhonnête?
d'un escroc?
ou d'un apatride?

On ne peut réellement rien conclure de cette phrase.

Me voila de retour. je m'étais mis en retrait volontairement pour faire un break.
Bref pour commencer un hors sujet de ma part : Comme exigé par le Sénateur Pierre-Louis l'arreté nommant l'actuel cabinet ministériel est il sorti avec les corectifs demandés).
Je ne connais pas M Gué , j'attends de voir mais j'ai eu question : En étant aussi actif , productif ne va t'il pas plus vite que la musique quand on sait que l'on met un temps fou pour régler les choses.
enfin pour finir , je tiens à dire que M Chancy est quelqu'un compétent, des amis français et moi travaillons avec lui depuis des années sans souci.
va t'il faire du bon travail au gouvernement . à voir

Men yon atik ki te Nouyok Times te ekri lè Syklonn Jorj ta p menase Ayiti.
Atik la dekri ki jan Jean-Claude Delice te aji pou l ede moun lan zônn nan.
Li te yon ofisyèl sou premye prezidans Preval.
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September 28, 1998
After the False Alarms, Haitians Fail to Prepare
By GARRY PIERRE-PIERRE

When it became clear last Monday that Hurricane Georges would hit Haiti, Jean-Claude Delice, a development official here in the Artibonite Valley, went on the radio begging residents to evacuate their homes and sent a team of his people with bullhorns to do the same thing.

But few people in this farming area about 60 miles from the capital, Port-au-Prince, paid attention. Similar warnings issued before past storms had proven unwarranted.

''Nobody took us seriously,'' Mr. Delice said.

Less than 24 hours later, torrential rains and high winds from the hurricane hit the area, forcing residents to flee in haste.

Homes, livestock and crops were swept away by the flooding that followed.

In some instances, entire villages were destroyed.

Mr. Delice sent his men out again, this time in large trucks to remote villages to rescue stranded residents.

Mr. Delice said his organization was operating three shelters for a total of about 1,500 people who were receiving a daily ration of bread, milk, rice and beans, and water. But his supplies are running perilously low as more homeless people flock to shelters every day seeking help, Mr. Delice said.

''Now, I don't have the means to feed all of these people,'' he said.

The storm and flooding killed at least 94 people, with 60 still missing. Hurricane Georges also destroyed much cropland in this region, a fertile crescent of huge rice patties and banana plantations that is considered Haiti's heartland.

Now officials face the problems of providing immediate relief to the stricken farmers and restoring crops and livestock production.

Despite the destruction wrought on this country, the poorest in the Western Hemisphere, there is a pervasive feeling here that the damage could have been considerably worse, that the Dominican Republic, which shares the island of Hispaniola, took the brunt of the storm's force.

But at the same time, officials and residents here blamed the severity of the flooding on the Government's failure to stop the deforestation of Haiti's mountains by people felling trees for charcoal. The denuded mountains absorb little rainwater, increasing runoff and flooding.

''The Government has not done anything to combat erosion,'' said Senator Rvelt Chery, an agronomist and a member of President Rene Preval's party. ''Are we going to wait for another natural disaster to do something?''

Today in Pont Sonde, at a gymnasium turned into a makeshift shelter, scores of people crowded around the courtyard and told in chilling details how they barely escaped death, and mourned relatives and friends who were not as lucky. Some said they had paddled to safety aboard pirogues, many hopped aboard trucks and others climbed up trees.

Claudette Augustin said she was sleeping when she suddenly sensed that she was under water. Her husband went into the next room and grabbed their two children. They made it to safety aboard a pickup truck. As they drove away, their possessions streamed past.

''We lost everything,'' said Mrs. Augustin, clutching her children, Alfred, 7, and Dieudonne, 10. ''The whole town was like an ocean.''

Florisia Jean said that when the flood came her first reaction was to grab her five children and whisk them away to safety. ''That's all I have left,'' she said pointing to the blue skirt and white T-shirt she was wearing. ''We are in God's hands.''

Nearly a week after Hurricane Georges left its path of destruction, makeshift shelters at schools, churches and civic centers here and across the country have been overwhelmed as hundreds of people continue to fill them daily. So far there are more than 150,000 people left homeless, officials in the capital said.

But the exact number of homeless people remains difficult to count and is rising every day, officials say. Many of the victims live in far-off areas that are impassable even in normal conditions. And while it has not rained in Haiti in several days, many villages and towns remain heavily flooded.

''It's hard to differentiate between land and sea,'' said Elange Theodule, a father of three children who was forced to flee his hometown of Seguin, a coastal hamlet near here. ''My first priority was saving my family.''

For many here the hardest thing was the loss of their livestock. In rural Haiti they are a kind of savings account for farmers, who use them to pay for events like first communion, baptisms and funerals.

''We're sleeping on trees like our animals,'' Clovis Daniel, a cattle rancher who lost his entire stock of 15, said, referring to sleeping quarters that he shared with about a hundred other people. ''Next time, we will listen. We know the realities of a storm.''



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Men aktivite yon nèg ki pa konn sa la p fè.
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Aucune notification officielle à Haïti de la « disparition » du ...
... notification officielle à Haïti de la « disparition » du virus de la grippe aviaire en République dominicaine, selon le secrétaire d’Etat à l’Agriculture, Joanas Gué

www.radiokiskeya.com/spip.php?article4956 · Cached page· Translate this page
M. Joanas Gué promet des travaux et des emplois dans le secteur ...
ART ET SPECTACLE: M. Joanas Gué promet des travaux et des emplois dans le secteur agricole Posté le 15 septembre 2008. Le ministre de l’agriculture, M.

www.haitipressnetwork.com/news.cfm?articleID=10630 · Cached page· Translate this page
HaitiAnalysis.com Haiti Unharmed So Far By The Avian Flu, According ...
The Agriculture Secretary of State, Joanas Gué, declared on Thursday that the Haitian State is on the job to prevent any Avian Flu epidemic in Haiti, following the discovery of ...

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HaitiAnalysis.com Fruit Flies Pompt US to Block Haiti Mango Exports
Haiti's agriculture secretary, Joanas Gue, said the U.S. Department of Agriculture suspended the certification of all Haitian mango exporting companies to allow its agents time to ...

www.haitianalysis.com/agriculture/fruit-flies-pompt-us-to-block-haiti-mango-exports · Cached page
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IICA to facilitate provision of Brazilian agricultural cooperation in Haiti


IICA will serve as facilitator for agricultural technical cooperation between the two countries.


Brazil and Haiti signed a new agricultural technical cooperation agreement on May 28, during the visit of Brazilian President Inacio Lula Da Silva to this Caribbean nation.

The agreement calls for the establishment of banks of seeds to be used in producing vegetables, and the creation of an experimental station, as well as a food security strategy for 2008-2011 and horizontal technical cooperation between the two countries, for which the Inter-American Institute for Cooperation on Agriculture (IICA) will serve as facilitator.

Foreign Minister Celos Amorin, representing Brazil, Secretary of Agriculture Joanas Gue, on behalf of the Haitian government, and the IICA Representative in Haiti, Alfredo Mena, signed the document. Honorary witnesses to the signing were the Presidents of Brazil and Haiti, Inacio Lula Da Silva and Rene Preval, respectively.

The next step for the three parties is to prepare a work plan, which they hope to have in place as soon as possible so that implementation of the technical cooperation can begin in this nation, where 46% of its 8.5 million inhabitants suffer from malnutrition.

This horizontal cooperation agreement is similar to others being implemented in Haiti with support from IICA. These include the animal and plant health agreement signed between Haiti and the Dominican Republic, and the Pro-Huerta food safety program that Argentina has been implementing since 2005, which will begin receiving support from Canada in the coming weeks.

The IICA Office in Haiti attaches special priority to horizontal cooperation between Member States, in the belief that where there is a willingness to cooperate, few economic resources are needed to transfer experiences between countries that can contribute to developing the agricultural sector and improving rural communities in the Americas.

In the regard, the Office will continue its efforts to expand horizontal cooperation with other countries of the hemisphere interested in supporting this country.


For more information, contact
alfredo.mena@iica.int