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Fidel Castro dans le dossier Haiti-Clinton: On ne peut rien improviser en Haiti

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Message  Rico Lun 25 Mai 2009 - 14:57

REFLEXIONS DE FIDEL
On ne peut rien improviser en Haïti

• J’ai lu voilà cinq jours, dans une dépêche de presse, que Ban Ki-moon allait nommer Bill Clinton comme son envoyé spécial en Haïti. Selon cette dépêche,


« Clinton a, en mars dernier, accompagné le Secrétaire général durant une visite officielle de deux jours en Haïti afin d’appuyer le plan de développement élaboré par le gouvernement de Port-au-Prince qui cherche à éveiller l’économie haïtienne assoupie.
« L’ancien président s’est fortement engagé sur le plan philanthropique envers la nation antillaise à travers l’Initiative mondiale Clinton.
« "C’est un honneur pour moi d’accepter l’invitation du Secrétaire général à être son envoyé spécial en Haïti", a déclaré l’ancien président.
« Selon Clinton, le peuple et le gouvernement haïtiens sont en mesure de surmonter les graves dommages causés par les quatre tempêtes qui ont frappé l’île l’an dernier. »
Le lendemain, cette même agence de presse informait que Mme Clinton, secrétaire d’État, avait déclaré toute heureuse que « Bill était un envoyé vedette ». De son côté, « le Secrétaire de l’ONU a confirmé avoir nommé Bill Clinton comme son nouvel envoyé spécial en Haïti. Nous avons été ensemble dans ce pays voilà deux mois et sa présence a contribué à conscientiser la communauté internationale au sujet des problèmes de ce pays caribéen. »

"L’ONU craint qu’après plusieurs années de calme relatif grâce au concours de la MINUSTAH, l’instabilité politique ne s’empare de nouveau du pays. »
La nouvelle dépêche répète l’histoire des « quatre cyclones et tempêtes qui ont causé 900 morts, laissé 800 000 sinistrés et détruit la maigre infrastructure civile du pays. »

L’histoire d’Haïti et de sa tragédie est bien plus complexe.
Après les Etats-Unis qui se déclarèrent souverains en 1776, Haïti fut le second pays du continent à conquérir son indépendance en 1804. Dans le premier cas, les descendants blancs des colons qui fondèrent les Treize Colonies, croyants fervents, austères et instruits, propriétaires de terres et d’esclaves, secouèrent le joug colonial anglais et jouirent de l’indépendance nationale, ce qui ne fut le lot ni de la population autochtone ni des esclaves africains et de leurs descendants qui restèrent privés de tout droit malgré les principes inscrits dans la Déclaration d’Indépendance.

C’est en Haïti, où plus de 400 000 esclaves travaillaient pour 30 000 propriétaires blancs, que les hommes et les femmes soumis à l’odieux système furent capables, pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, d’abolir l’esclavage, de maintenir et de défendre un Etat indépendant en lutte contre les soldats qui avaient mis les monarchies européennes à genoux.

Cette étape coïncida avec l’essor du capitalisme et l’apparition de puissants empires coloniaux qui dominèrent les terres et les mers de la planète durant des siècles.
Les Haïtiens ne sont pas coupables de leur pauvreté actuelle : ils sont les victimes du système imposé au monde. Ils n’ont pas inventé le colonialisme, le capitalisme, l’impérialisme, l’échange inégal, le néolibéralisme, ni les formes d’exploitation et de pillage qui sévissent sur la planète depuis deux cents ans.
Haïti mesure 27 750 kilomètres carrés et abrite d’ores et déjà en 2009, selon des estimations fiables, 9 millions d’habitants. Soit 885 habitants par kilomètre carré de terre arable, l’un des taux les plus élevés au monde, dans un pays sans le moindre développement industriel ou d’autres ressources qui lui permettraient d’acquérir le minimum de moyens matériels indispensables à la vie.
La population rurale représente 53 p. 100 des habitants ; le bois de feu et le charbon constituent le seul combustible domestique à la portée d’une grande partie des familles haïtiennes, ce qui entrave la reforestation. Les forêts qui retiennent l’eau grâce à l’humus des feuilles, des branches et des racines sont rares, de sorte que les pluies intenses provoquent des dommages humains et économiques aux localités, aux chemins et aux cultures. Les cyclones, on le sait, causent des dommages supplémentaires considérables et qui seront toujours plus graves si le climat continue de changer à rythme accéléré. Ce n’est un secret pour personne.
Notre coopération avec la population haïtienne a débuté voilà dix ans justement quand les cyclones George et Mitch ont frappé les Caraïbes et l’Amérique centrale.
René Préval était alors président et Jean-Bertrand Aristide chef du gouvernement. Les cents premiers médecins cubains furent envoyés le 4 décembre 1998, et le chiffre de coopérants de la santé s’éleva par la suite à 600.
C’est à cette occasion que nous avons créé l’Ecole latino-américaine de médecine (ELAM) où plus de 12 000 jeunes latino-américains font actuellement des études. Et c’est aussi à partir de là que nous avons concédé à de jeunes Haïtiens des centaines de bourses d’étude à la faculté de médecine de Santiago de Cuba, l’une des meilleures du pays.
En Haïti, la quantité d’écoles primaires avait augmenté et continuait de le faire. Même les familles les plus modestes rêvaient que leurs enfants puissent faire des études, seul espoir pour eux d’échapper à la pauvreté en travaillant dans le pays ou à l’étranger. Le programme cubain de formation de médecins fut bien accueilli. Les jeunes sélectionnées pour étudier à Cuba avaient une bonne préparation de base, héritage peut-être des progrès de la France dans ce domaine. Ils devaient faire une année de propédeutique, dont des cours d’espagnol. Ce programme a constitué une bonne pépinière de médecins de qualité.
À ce jour, 533 jeunes Haïtiens ont conclu leurs études comme spécialistes de Médecine générale intégrale dans nos facultés de médecine, et 52 d’entre eux étudient maintenant à Cuba une seconde spécialité en fonction des besoins. Un autre groupe de 527 continuent d’en faire, selon le quota de bourses adjugé à la République d’Haïti.
Actuellement, 413 personnels cubains de la santé travaillent en Haïti, prêtant des services gratuits à ce peuple frère. Les médecins cubains sont présents dans les dix départements du pays et dans 127 des 137 communes. Par ailleurs, plus de 400 médecins haïtiens formés à Cuba y exercent aussi, ainsi que les élèves de dernière année qui font leur pratique aux côtés de nos médecins, soit un total de plus de 800 jeunes Haïtiens consacrés à l’exercice de la médecine dans leur patrie. Les nouveaux diplômés haïtiens ne cesseront d’augmenter cette quantité.
Ce fut là un défi difficile à relever. Les médecins cubains se sont heurtés à des problèmes compliqués. La mortalité infantile se chiffrait à plus de 80 décès pour mille naissances vivantes ; l’espérance de vie était inférieure à soixante ans ; on comptait 120 000 sidéens adultes en 2007. Des dizaines de milliers d’enfants et d’adultes continuent de mourir tous les ans de maladies infectieuses et contagieuses comme la tuberculose, le paludisme, la diarrhée, la dengue et la malnutrition, pour ne signaler que quelques indicateurs. Le VIH est désormais une affection à laquelle on peut faire face pour préserver la vie des patients. Mais ceci ne se fait pas en un an : il y faut absolument une culture de la santé que le peuple haïtien acquiert avec un intérêt croissant. On note des progrès qui prouvent qu’il est possible d’améliorer considérablement les indicateurs de santé.
Les trois centres ophtalmologiques ouverts en Haïti ont permis d’opérer 37 109 personnes de la vue. Les cas trop compliqués pour être opérés sur place sont envoyés à Cuba et soignés gratuitement.
Grâce à la coopération économique du Venezuela, on est en train d’ouvrir dix Centres de diagnostic intégraux, dotés d’une technologie de pointe déjà achetée.
Il est quelque chose de plus important que les ressources que la communauté internationale pourrait apporter : le personnel humain qui les utilise.
Nous avons pu aider modestement le peuple haïtien bien que les cyclones dont a parlé Clinton nous aient aussi frappés. C’est là une bonne preuve que ce qui fait défaut dans le monde, c’est la solidarité.
Je pourrais parler également de la contribution cubaine aux programmes d’alphabétisation et à d’autres domaines, malgré nos ressources économiques limitées. Mais je ne tiens pas à m’appesantir sur notre contribution, et cela n’est pas souhaitable. Je me suis borné à la santé, qui est un point incontournable. Nous ne craignons pas que d’autres fassent ce que nous faisons. Les jeunes Haïtiens qui se forment à Cuba sont en train de se convertir en ces prêtres de la santé dont ce peuple frère a de plus en plus besoin.
Le plus important, c’est la mise en place des nouvelles formes de coopération dont ce monde égoïste a tant besoin. Les organismes des Nations Unies peuvent attester que Cuba apporte ce qu’ils qualifient de Programmes de santé intégraux.
On ne peut rien improviser en Haïti, et rien ne sera le fruit de l’esprit philanthropique d’aucune institution.
À l’Ecole latino-américaine de médecine, s’est ajouté ensuite le nouveau Programme de formation à Cuba de médecins provenant du Venezuela, de la Bolivie, des Caraïbes et d’autres pays du Tiers-monde, à mesure que leurs programmes de santé les réclamaient d’urgence. Aujourd’hui, plus de 24 000 jeunes du Tiers-monde font des études de médecine dans notre patrie. En aidant d’autres pays, nous nous sommes développés aussi nous-mêmes dans ce domaine et nous constituons une force importante. Voilà ce que nous pratiquons, et non le vol de cerveau ! Les pays riches et surdéveloppés du G-7 peuvent-ils en dire autant ? D’autres suivront notre exemple, que nul n’en doute !

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Fidel Castro Ruz
Le 24 mai 2009
16 h 17
(Traduction ESTI) •
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Message  piporiko Lun 25 Mai 2009 - 17:57

WOYYYYY,PA KITE SAN MALIS ,LI TEKS SI LA NON.....

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Message  jafrikayiti Lun 25 Mai 2009 - 20:23

The Aid Game - Laundering The Profits Of Exploitation

http://somalilandpress.com/5709/the-aid-game-laundering-the-profits-of-exploitation


Africa, 24 May 2009 (Somalilandpress) - Aid agencies, NGO’s are being ousted for their role as agents of Western financial capital at any cost who feed of the misery caused by their masters. Christian Aid is one such example. Following the 2004 coup against President Aristide of Haiti, Christian Aid issued a position statement in which it colluded with the lies of the USFrance that Aristide resigned when in fact he was kidnapped and dumped in the Central African Republic.

The paper went on to present Aristide’s government as a corrupt bunch of thugs whilst completing ignoring the fact that he won two elections with over 75% of the vote. They continued to ignore the violence committed by the UN forces following the removal of Aristide plus the systematic terrorizing of Lavalas supporters.

All this done under the disguise of “humanitarian concerns”. After assisting in the destruction of an elected government by bleeding it dry it then calls for aid to rebuild the very structures it has prevented from developing by the elected government. The people, in this case Haitians then become the objects of NGO industry which is based on the premise that there is a disaster or a conflict which enables them to step in and “save” the situation. This in turn is driven by adverts of helpless hapless people with no agency as victims of something that is disconnected from the financiers of the NGO’s themselves and Western financial interests.

Governments view humanitarian aid as a strategic battleground where their military forces can operate alongside doctors, to the great displeasure of the doctors. Multilateral organizations, such as the European Union, finance large-scale programmes; the UN funds peacekeeping operations. All these players flood the poorest countries, overlap and fail to coordinate with each other, creating chaos rather than order.

Governments and multilateral organizations cannot allow voluntary organizations to have a monopoly on solidarity and generosity. So humanitarian work has become a world of populist politicians; tired, concerned professionals; international founders caught in a bureaucratic, financial rationale; and suspicious or blasé donors who prefer local causes. The circus follows the show – the misfortune of others – a media product in ever greater demand.

The media is busy reporting endless tragedies in Haiti - floods, hurricanes, collapsing schools. What they do not report is what is behind these disasters. Why is it when the hurricane hits Haiti, thousands die yet in neighbouring Dominican Republic the numbers are in their tens and twenties? The $1 million Haiti pays back in debt payments every week which the West refuses to write off but is happy to spend millions on UN peacekeepers and the huge overhead costs of NGO’s and humanitarian aid thereby maintaining it’s control and occupation of the country.

In Haiti: Racism & Poverty, John Maxwell makes some comparisons between the amounts of money paid out in bonus payments to Wall St bankers $18 billion - double Haiti’s GDP (8 million people).

The chairman of Goldman took home more than $70 million and his lieutenants – as Zoellick once was – $40 million or more, each.

It should be clear that someone like Robert Zoellick is likely to be totally bemused by Haiti when his entertainment allowance could probably feed the entire population for a day or two. It is not hard to understand that Mr. Zoellick cannot understand why Haiti needs debt relief.

One million dollars a week would feed everybody in Haiti even if only at a very basic level – at least they would not have to eat earth patties. Instead the Haitians export this money to pay the salaries of such as Zoellick

But debt relief is too simple and at the same time to complicated to process. There are NGOs to rebuild what Western governments and multinationals destroy and NGOs to prop up the regimes that the US and multinationals wish to keep in place to maintain their financial interests and NGOs to spread the deceit that is charitable capitalism….

The aid industry is central to the current globalization of ideology. Global capitalism must launder the profits from its exploitation. The harsh demands of this unregulated world – child labour, increased production, unpaid overtime – must be disguised. The huge numbers of people who suffer from these forms of social violence are rarely identified as victims. Governments, businesses and donors are paying a moral tax, trying to claim they are part of a moral humanity, through their pledges of morality, pseudo-transparency and charity.


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Message  Rodlam Sans Malice Lun 25 Mai 2009 - 22:41

Pipo

mwen apresye ed ke Fidel castro ba ayiti tankou mwen apresye ed ke peyi dayiti resevwa de ameriken tou.konbyen lopital nou genyen an ayiti se kontribyable ameriken ki fè yo la?pou moun ke let pankor soti nan nen yo se normal pou castro se bon dye pou yo.men zafè volè servo a se manti ki jan fè Dr Guy Theodore tounen epi la press ,Mme Clinton ap di sa se yon ekzanp pou ayisyen swiv.yo pa mare doktè ayisyen yo nan florida non.sa fidel pa konprann se pa tout moun ki vle travay pou 10 kob epi li ak fanmil genyen konbyen djet a la disposition w. Men yap ba moun manti di yo pa genyen anyen tout byen yo se pou leta ki moun ki servi ak yo?

chak moun ap fè reklam pou system pa yo pou yo jistifye diktati ki ba yo dwa presidan a vi jis yo kreye yon rwayote kiba ki vnn domen prive Fidel castrao ak fanmi li .Ki les nan castro yo ki pral ranplase Raoul?genyen anpil moun ki ap fwi ferm Fidel la.Genyen yon doktè kiben mwen te rankontre ki te dim poukisa li te blije kite kiba paske yo te vinn chache l pou li al koupe kann li di li pa prale.li dim ke yo dil sil pa ka koupe kann li pa ka rete kiba.mwen se pa levanjil Fidel la selman mwen tande.si kay fidel la se te yon paradi poukisa tout kiben kite li?Mezanmi banm vanm pou mal la gonav tande.Tunep Delpe sot di poukisa nou nan malsite saa.
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Message  jafrikayiti Lun 25 Mai 2009 - 23:29

Pandan yon kantite Ayisyen ap tann Sen Bill vin delivre yo, men ki jan sa yo kapab rele echantiyon, yon veritab "elit" ap reflechi epi AJI pou li konsevwa epi reyalize devlopman tout bon sou kontinan Afriken an...

http://www.africamaat.com/Video-L-Afrique-au-Secours-de-l

Video : L’Afrique au Secours de l’Afrique

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Message  Marc H Jeu 28 Mai 2009 - 23:43

Castro serait mieux de dire aux dirigeants d'Haiti de cesser d'improviser au lieu d'accuser la communauté internationale point à la ligne.
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