L'Ecole Secondaire en Haïti : Les questions qui se posent

L'Ecole Secondaire en Haïti : Les questions qui se posent

Par Paul Yves FAUSNER M.A

Le Nouvelliste, 7 decembre 2006


Nombre de questions et de tensions importantes au niveau de l'enseignement secondaire en Haïti méritent d'être discutées aujourd'hui en profondeur et avec le plus grand nombre d'intervenants possible. On remet rarement en question l'organisation de l'éducation publique, on s'inquiète peu de la qualité des écoles et de la diversité croissante des besoins et des attentes ainsi que des changements qui doivent marquer les relations entre l'école et le monde du travail. Autant de difficultés qui semblent ne plus revêtir une importance particulière pour les agents du système d'une part, pour les décideurs, les chercheurs d'autre part peu intéressés à encourager des discussions académiques et à mener des débats de manière éclairée.

C'est peut être le moment de s'efforcer de faire des liens entre la recherche et la politique, d'informer le public sur l'effet que les écoles produisent sur nos pauvres élèves, d'opérer sérieusement des changements dans les pratiques en vigueur, d'échanger des idées pour faire avancer la réforme et de réfléchir sur de nouveaux indicateurs de performance et de réussite pour l'école haïtienne.

Suite de l'article: http://www.lenouvelliste.com/article.php?PubID=1&ArticleID=34492&PubDate=2006-12-14

Ce n'est pas sérieux qu'un pays de plus de 8 millions d'habitants graduent environ 50 mille élèves par an,au milieu secondaire.

ça ne fait aucun sens.

J'ai vu des gens sur l'Internet complaindre ,que le gouvernement construit des écoles et qu'il n'y a pas assez de professeurs pour les staffer.
Ou est ce que vont ils trouver ces professeurs et je ne cesse de le répéter ,beaucoup de jeunes qui ne peuvent pas réussir au Baccalauréat Haitien,réussiraient au Baccalauréat français.

Pourquoi plus de 85% des élèves français réussissent ils dans leur Baccalauréat et j'ai lu beaucoup de complaintes des professeurs français qui se complaignent du niveau de l'éducation moderne en France,comme disent ils il y 25 ans pas plus de 30% des élèves de l'école contemporaine en France réussiraient au Baccalauréat en France.

Est ce que c'est cette ancienne directrice de l'USAID qui avait raison.Elle écrivait dans la Revue américaine ATLANTIC MONTHLY en 1993,que l'élite haitienne est anti-éducation.
Elle disait que cette élite regardait l'Education comme un marché ou sévissait la loi de l'offre et de la demande.
pour cette élite,moins de gens instruits qu'il y a dans le pays,le plus important ceux qui sont instruits deviennent.

pourquoi un pays comme Cuba graduent des milliers de médecins chaque année,des dizaines de milliers de professeurs d'ingénieurs etc;est ce que les cubains sont beaucoup plus intelligents que nous.
Et cet imbécile de ANTOINE BIEN AIME,remplacez le par quelqu'un qui peut penser 'outside the box" et que en 2007 l'école secondaire pourrait graduer un minimum de 50% d'étudiants.
Il faut commencer par la!