Violents incidents entre étudiants et policiers
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Violents incidents entre étudiants et policiers
Rappel du premier message :
Violents incidents entre étudiants et policiers
Solidaires du nouveau salaire minimum, des
etudiants ont violemment manifeste pour exiger la promulgation de la
loi par le President Preval accuse de defendre les interets de la
bourgeoisie
mercredi 3 juin 2009,
Radio Kiskeya
De violents affrontements à coups de pierres ont opposé
mercredi après-midi dans le centre de Port-au-Prince des unités
spécialisées de la Police Nationale et des étudiants de l’Université
d’Etat d’Haïti qui s’étaient mobilisés en vue d’exiger du Président
René Préval la promulgation de la nouvelle loi sur le salaire minimum.
Au moins deux des protestataires ont eu les jambes
fracturées en tentant de contrecarrer les au moment où les agents de la
CIMO et de l’UDMO faisaient usage de gaz lacrymogène pour disperser la
foule.
Avant un retour à la normale en fin d’après-midi, la
circulation automobile et piétonne était complètement paralysée à
l’avenue Christophe où tous les passants devaient faire face à une
pluie de pierres. La chaussee etait egalement jonchee de barricades de
pneus enflammes.
Des étudiants de trois entités de l’UEH situées dans le
même quartier, la Faculté des sciences humaines, l’INAGHEI et le IERAH,
ont accusé le chef de l’Etat d’avoir scellé une alliance avec des
éléments de la bourgeoisie pour empêcher toute amélioration des
conditions de vie des ouvriers du secteur de la sous-traitance. Ils
affirment que la mobilisation gagnera en intensité jeudi dans le cadre
d’un mouvement qui vise à porter M. Preval a enteriner le passage du
salaire minimum de 70 a 200 gourdes tel que vote dans les deux Chambres
du Parlement.
Visiblement en desaccord avec la nouvelle legislation,
le President s’est propose d’avoir vendredi des discussions avec les
parlementaires et le secteur prive des affaires sur cette question
devenue une pomme de discorde entre le patronat et les syndicats des
travailleurs. spp/Radio Kiskeya
Violents incidents entre étudiants et policiers
Solidaires du nouveau salaire minimum, des
etudiants ont violemment manifeste pour exiger la promulgation de la
loi par le President Preval accuse de defendre les interets de la
bourgeoisie
mercredi 3 juin 2009,
Radio Kiskeya
De violents affrontements à coups de pierres ont opposé
mercredi après-midi dans le centre de Port-au-Prince des unités
spécialisées de la Police Nationale et des étudiants de l’Université
d’Etat d’Haïti qui s’étaient mobilisés en vue d’exiger du Président
René Préval la promulgation de la nouvelle loi sur le salaire minimum.
Au moins deux des protestataires ont eu les jambes
fracturées en tentant de contrecarrer les au moment où les agents de la
CIMO et de l’UDMO faisaient usage de gaz lacrymogène pour disperser la
foule.
Avant un retour à la normale en fin d’après-midi, la
circulation automobile et piétonne était complètement paralysée à
l’avenue Christophe où tous les passants devaient faire face à une
pluie de pierres. La chaussee etait egalement jonchee de barricades de
pneus enflammes.
Des étudiants de trois entités de l’UEH situées dans le
même quartier, la Faculté des sciences humaines, l’INAGHEI et le IERAH,
ont accusé le chef de l’Etat d’avoir scellé une alliance avec des
éléments de la bourgeoisie pour empêcher toute amélioration des
conditions de vie des ouvriers du secteur de la sous-traitance. Ils
affirment que la mobilisation gagnera en intensité jeudi dans le cadre
d’un mouvement qui vise à porter M. Preval a enteriner le passage du
salaire minimum de 70 a 200 gourdes tel que vote dans les deux Chambres
du Parlement.
Visiblement en desaccord avec la nouvelle legislation,
le President s’est propose d’avoir vendredi des discussions avec les
parlementaires et le secteur prive des affaires sur cette question
devenue une pomme de discorde entre le patronat et les syndicats des
travailleurs. spp/Radio Kiskeya
piporiko- Super Star
-
Nombre de messages : 4753
Age : 53
Localisation : USA
Opinion politique : Homme de gauche,anti-imperialiste....
Loisirs : MUSIC MOVIES BOOKS
Date d'inscription : 21/08/2006
Feuille de personnage
Jeu de rôle: L'impulsif
protestations étudiantes à Port-au-Prince : Un mort par balle
Nouvelles protestations étudiantes à Port-au-Prince : Un mort par balle
Etudiant en communication d’une école privée, Emmanuel Jean-Francois a été abattu dans des circonstances non encore élucidées
mercredi 10 juin 2009,
Radio Kiskeya
Un étudiant d’une école de communication, Emmanuel Jean-François, a été tué par balle mercredi à Port-au-Prince, lors de nouvelles manifestations anti-gouvernementales sur fond de revendications sociales organisées à l’instigation des étudiants de l’Université d’Etat d’Haïti.
Retrouvé avec le badge de son école, l’Institut Supérieur de Communication Française (ISCOF), le corps de la victime a été acheminé à la morgue de l’Hôpital de l’Université d’Etat.
Aucune précision n’était encore disponible sur les circonstances dans lesquelles s’est produit le premier incident meurtrier de la mobilisation étudiante dont l’objectif premier était la promulgation de la loi révisant à la hausse le salaire minimum.
En dépit de la présence moins importante des manifestants autour des facultés de l’UEH, comparativement à mardi, la journée a été marquée par de nouveaux incidents.
A l’HUEH, tous les patients admis à la maternité, de même que les enfants soignés à la pédiatrie, ont dû être évacués en raison de l’atmosphère rendue insupportable par l’usage excessif de gaz lacrymogènes.
Quant au service d’urgence, il a été vidé de ses malades en très peu de temps.
La panique était également à son comble au collège Colimon Boisson, une école primaire de la capitale. De jeunes élèves intoxiqués sont tombés en syncope tandis que parents, enseignants et riverains ne pouvaient pas tenir en place.
A la Faculté d’ethnologie, un présumé sympathisant du mouvement aurait été désarmé par des étudiants après avoir tenté de s’infiltrer parmi les protestataires en possession d’un pistolet de calibre 9mm, selon des témoignages recueillis sur place. L’inconnu serait parvenu à prendre la fuite au moment où la police dispersait la manifestation à coups de grenades lacrymogènes.
En fin d’après-midi, un juge de paix, Samuel Brulais, accompagné d’un agent de la police scientifique, a pu recupérer l’arme à feu après le constat légal.
Les étudiants de la faculté, qui avaient auparavant informé de l’incident Me Aviol Fleurant, avocat du rectorat de l’UEH, ont exprimé leur soulagement face au dénouement de cette affaire. spp/Radio Kiskeya
Etudiant en communication d’une école privée, Emmanuel Jean-Francois a été abattu dans des circonstances non encore élucidées
mercredi 10 juin 2009,
Radio Kiskeya
Un étudiant d’une école de communication, Emmanuel Jean-François, a été tué par balle mercredi à Port-au-Prince, lors de nouvelles manifestations anti-gouvernementales sur fond de revendications sociales organisées à l’instigation des étudiants de l’Université d’Etat d’Haïti.
Retrouvé avec le badge de son école, l’Institut Supérieur de Communication Française (ISCOF), le corps de la victime a été acheminé à la morgue de l’Hôpital de l’Université d’Etat.
Aucune précision n’était encore disponible sur les circonstances dans lesquelles s’est produit le premier incident meurtrier de la mobilisation étudiante dont l’objectif premier était la promulgation de la loi révisant à la hausse le salaire minimum.
En dépit de la présence moins importante des manifestants autour des facultés de l’UEH, comparativement à mardi, la journée a été marquée par de nouveaux incidents.
A l’HUEH, tous les patients admis à la maternité, de même que les enfants soignés à la pédiatrie, ont dû être évacués en raison de l’atmosphère rendue insupportable par l’usage excessif de gaz lacrymogènes.
Quant au service d’urgence, il a été vidé de ses malades en très peu de temps.
La panique était également à son comble au collège Colimon Boisson, une école primaire de la capitale. De jeunes élèves intoxiqués sont tombés en syncope tandis que parents, enseignants et riverains ne pouvaient pas tenir en place.
A la Faculté d’ethnologie, un présumé sympathisant du mouvement aurait été désarmé par des étudiants après avoir tenté de s’infiltrer parmi les protestataires en possession d’un pistolet de calibre 9mm, selon des témoignages recueillis sur place. L’inconnu serait parvenu à prendre la fuite au moment où la police dispersait la manifestation à coups de grenades lacrymogènes.
En fin d’après-midi, un juge de paix, Samuel Brulais, accompagné d’un agent de la police scientifique, a pu recupérer l’arme à feu après le constat légal.
Les étudiants de la faculté, qui avaient auparavant informé de l’incident Me Aviol Fleurant, avocat du rectorat de l’UEH, ont exprimé leur soulagement face au dénouement de cette affaire. spp/Radio Kiskeya
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