HAITI UN CANDIDAT SERIEUX EN MOINS.....

kakakok Dim 16 Mai 2010 - 12:56

Comme toujours kakakok se retrouve dans le secrets de Dieu et du diable...C'est la grande consternation la nouvelle n'est pas loin de tomber un victime de plus ! des sequelles du seisme , Haiti vient de perdre un homme, un candidat serieux ! C'est triste !

kakakok Dim 16 Mai 2010 - 14:08

He is the former Minister of National Education of Haiti. He was born in Cap-Haïtien, Haiti. From 1994 to 2004 he served as the General Director of Ministry of Religious Affairs. See Politics of Haiti. After leaving this post he started Fondespoir, a microfinance organization, in 2001. He is a possible contender for the 2010 Haitian presidential Elections in Haiti.[1]
He served as Minister of National Education from 2006 to 2008. As Minister he stressed to improved education as it is key to building up the country’s skills base. “To change this we need more qualified teachers more adequate facilities, classrooms and teaching materials,” that would complement the EU’s funding for teacher training colleges (see article on EDF). wants to reverse figures whereby 80% of education is currently provided by the private sector and just 20 by the public sector. It will mean increasing the annual budget spent on education to 8% in 2008, 13% the following year, to gradually bring it up to 25%, putting spending on a par with most countries and achieve the eventual aim of “education for all,” said the Minister.[2]
He is a Vice President of the Board of KNFP (Konsey Nasyonal Finansman Popile = National Council for Popular Finance) and member of the Board of ANIMH (Association Nationale des Institutions de Micro Finance d’Haïti= National Association of Micro Finance Institutions).

Doub-Sossis Dim 16 Mai 2010 - 17:34

Kisa kok la af fe tout mist'e sa se pou BIEN_AIME?

revelation Dim 16 Mai 2010 - 19:58

HAITI UN CANDIDAT SERIEUX EN MOINS.....

Ki sa ki rive kandida serye saa pou li "en Moins" mon fre KOK???

Eske li retire ko li nan kous prezidansyel la??

Ou byen eske li mouri nan seisme lan?

Ba nou plis infomasyon sou sa si w kapab e lot moun ki o kouran de aktivite kandida Bien-Aime.

Mesi KOK

revelation Dim 16 Mai 2010 - 21:12

Décès de Gabriel Bien-Aimé, ex-ministre de l’Education nationale du gouvernement Alexis/Préval à titre de représentant de l’OPL

Il a succombé à une crise cardiaque

samedi 15 mai 2010,

Radio Kiskeya

L’ex-ministre de l’Education nationale et de la formation professionnelle du gouvernement Alexis/Préval, Gabriel Bien-Aimé est décédé samedi à Port-au-Prince suite à une crise cardiaque.

M. Bien-Aimé avait été admis en milieu de semaine dans un centre hospitalier privé avant d’être transféré dans un hôpital de campagne aménagé après le séisme dans l’aire de l’aéroport international de Port-au-Prince par une ONG étrangère. Il allait être transporté vers l’étranger quand il a rendu l’âme, selon les précisions obtenues de sources médicales.

L’ex-sénateur de la Grande-Anse, membre du directoire de l’Organisation du Peuple en Lutte (OPL, social-démocrate), a confirmé le décès de M. Bien-Aimé qui avait représenté l’OPL au sein du gouvernement Alexis/Préval. Il a mis l’accent sur les efforts qu’il avait déployés en vue d’améliorer le système éducatif haïtien.

Membre du clergé catholique dans les années 90, le prêtre Gabriel Bien-Aimé dit « Pè Gabi », adepte de la théologie de la libération et membre avait joué un rôle actif dans les activités sociales et politiques des communautés ecclésiales de base communément appelées « Ti Legliz » au niveau de la paroisse de Saint Gérard (Sud de Port-au-Prince). Il évoluait alors dans le cadre d’un mouvement très vaste de l’église engagée, aux côtés de nombreux prêtres, dont Jean Bertrand Aristide et les prêtres assassinés Jean Marie Vincent et Jean Pierre Louis.

Au lendemain du départ de Gabriel Bien-Aimé du Ministère de l’Education nationale, le président René Préval et des officiels du gouvernement ont publiquement dénoncé le fait que son administration avait délibérément augmenté l’effectif du personnel du secteur public de l’enseignement au-delà des disponibilités budgétaires du Ministère. Dans le même temps, le bruit circulait dans les milieux politiques que Bien-Aimé avait été écarté du gouvernement en raison des craintes du Palais national qu’il ne soit intéressé à briguer la présidence. [jmd/Radio Kiskeya]

Sasaye Lun 17 Mai 2010 - 14:45

Se regretab pou Ayiti ap kontinye pèdi pitit konpetan apre dezas saa.
Nèg konsa ta kapab ede lan rekonstriksyon peyi a.
Kondoleyans bay fanmi Gabriyèl Bieneme ak zanmi l.
Kondoleyans pou pèp la ki pèdi yon alye.

kakakok Ven 21 Mai 2010 - 8:22

Haïti: Un ancien serviteur de Dieu, de l'Etat et des hommes est mort la semaine écoulée. Gabriel Bien-Aimé, prêtre, ministre et responsable politique durant sa vie sur terre a trépassé suite à des complications cardio-vasculaires.
Un médecin qui l'a vu dans les dernières semaines de sa vie certifie qu'il aurait pu en être autrement si le premier hôpital qui l'a reçu lui avait prodigué les soins appropriés.
Devenu un malade encombrant, le premier centre, qui est un de ces hôpitaux de campagne qui fleurissent depuis le 12 janvier, l'a fait évacuer en ambulance vers l'hôpital de la Paix où, là aussi, les soins de qualité n'étaient pas au rendez-vous. Incompétence d'une part, pénurie chronique et généralisée de l'autre.
Quand son médecin traitant le prit en charge, tout le mal était déjà fait. Dans ces pathologies lourdes, les premières heures sont cruciales disent les médecins.
Gabriel Bien-Aimé est mort plus à cause des déficiences du système de santé que de ses maladies.
Qu'un ancien prêtre, un ancien ministre, un potentiel candidat à la présidence, ambition qu'on lui prêtait, décède ainsi, cela doit nous interpeller, non pas parce que sa mort est injuste, toute mort est de trop dans cette guerre que la vie perd tous les jours, mais parce que cela illustre plus qu'un autre cas les défaillances de notre infrastructure hospitalière de prise en charge des urgences. Encore une fois.
Cette tragédie, les milliers de cas d'anonymes en sont autant d'autres, arrive dans un pays qui n'a jamais eu autant de médecins, d'hôpitaux et d'aide dans un secteur plus sinistré que jamais.
Quel paradoxe !!!

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