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Bonne fete Prophete et Monseigneur Ligonde!!!
dilibon Jeu 17 Fév 2011 - 11:16
Rappel du premier message :
Bonne fete Monseigneur Ligonde, le prophete haitien qui a annonce les malheurs d'Haiti avec le mouvement gauchiste haitien symblolise par le pretre defroque Jean Bertrand Aristide!
Fred McGuffie
votreglise@yahoo.fr
Le 17 février 1928, dans le diocèse des Cayes, les époux Einard Ligondé et Ilia Jean-Baptiste ont donné le jour à un garçon qu'ils ont prénommé François Wolff, l'aîné d'une famille de dix (10) enfants. Il fit ses études primaires à l'école Frère Odile Joseph, de sa ville natale, dirigée par les Frères de l'Instruction Chrétienne (FIC). Pour ses études classiques, il s'est dirigé au Collège Saint Martial avant de faire son entrée à l'Ecole Apostolique Notre-Dame comme petit séminariste. Ses études théologiques terminées, il a été ordonné prêtre le 11 juillet 1954 par Son Excellence Mgr Rémy Augustin, premier évêque haïtien. Aussitôt après, il partit pour la France où après deux années d'études à l'université d'Angers (1954-1956), il décrocha sa licence en théologie. Le 17 février 1928, dans le diocèse des Cayes, les époux Einard Ligondé et Ilia Jean-Baptiste ont donné le jour à un garçon qu'ils ont prénommé François Wolff, l'aîné d'une famille de dix (10) enfants.
Il fit ses études primaires à l'école Frère Odile Joseph, de sa ville natale, dirigée par les Frères de l'Instruction Chrétienne (FIC). Pour ses études classiques, il s'est dirigé au Collège Saint Martial avant de faire son entrée à l'Ecole Apostolique Notre-Dame comme petit séminariste. Ses études théologiques terminées, il a été ordonné prêtre le 11 juillet 1954 par Son Excellence Mgr Rémy Augustin, premier évêque haïtien. Aussitôt après, il partit pour la France où après deux années d'études à l'université d'Angers (1954-1956), il décrocha sa licence en théologie. Rentré en Haïti en 1956, il a été nommé professeur au collège Saint-Louis de Jérémie jusqu'en 1964. Cette même année, il fut reçu licencié en droit civil à l'école de Droit de Jérémie. En septembre 1964, il partit de nouveau pour l'Europe plus précisément à Fribourg en Suisse où il prépara son doctorat en théologie. Durant son séjour à Fribourg, il a été nommé archevêque de Port-au-Prince le 20 août afin de pouvoir remplacer Mgr François Poirier, mis à la retraite le 18 août 1966 (Mgr Poirier 3 juillet 1955 - 18 août 1966).
Le 28 octobre 1966, en la cathédrale de Port-au-Prince, Mgr François Wolff Ligondé a reçu l'ordination épiscopale du Cardinal Antonio Samore comme 8e archevêque de Port-au-Prince. Messeigneurs Albert François Cousineau et Rémy Augustin avaient pris part à cette cérémonie par laquelle l'Eglise catholique d'Haïti allait avoir son propre clergé, le clergé indigène. Au regard de l'acte posé par le président François Duvalier en vue d'instaurer le clergé indigène dans le pays, Mgr Albert Dorélien devait déclarer : «Excellence, vous avez rééditez 1804 !» (ref. Mémoires d'un Leader du Tiers-Monde).
Que Marie, la mère de Dieu, vous garde davantage sous son manteau !
Bonne fête, Mgr Ligondé!
Bonne fete Monseigneur Ligonde, le prophete haitien qui a annonce les malheurs d'Haiti avec le mouvement gauchiste haitien symblolise par le pretre defroque Jean Bertrand Aristide!
Fred McGuffie
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Le 17 février 1928, dans le diocèse des Cayes, les époux Einard Ligondé et Ilia Jean-Baptiste ont donné le jour à un garçon qu'ils ont prénommé François Wolff, l'aîné d'une famille de dix (10) enfants. Il fit ses études primaires à l'école Frère Odile Joseph, de sa ville natale, dirigée par les Frères de l'Instruction Chrétienne (FIC). Pour ses études classiques, il s'est dirigé au Collège Saint Martial avant de faire son entrée à l'Ecole Apostolique Notre-Dame comme petit séminariste. Ses études théologiques terminées, il a été ordonné prêtre le 11 juillet 1954 par Son Excellence Mgr Rémy Augustin, premier évêque haïtien. Aussitôt après, il partit pour la France où après deux années d'études à l'université d'Angers (1954-1956), il décrocha sa licence en théologie. Le 17 février 1928, dans le diocèse des Cayes, les époux Einard Ligondé et Ilia Jean-Baptiste ont donné le jour à un garçon qu'ils ont prénommé François Wolff, l'aîné d'une famille de dix (10) enfants.
Il fit ses études primaires à l'école Frère Odile Joseph, de sa ville natale, dirigée par les Frères de l'Instruction Chrétienne (FIC). Pour ses études classiques, il s'est dirigé au Collège Saint Martial avant de faire son entrée à l'Ecole Apostolique Notre-Dame comme petit séminariste. Ses études théologiques terminées, il a été ordonné prêtre le 11 juillet 1954 par Son Excellence Mgr Rémy Augustin, premier évêque haïtien. Aussitôt après, il partit pour la France où après deux années d'études à l'université d'Angers (1954-1956), il décrocha sa licence en théologie. Rentré en Haïti en 1956, il a été nommé professeur au collège Saint-Louis de Jérémie jusqu'en 1964. Cette même année, il fut reçu licencié en droit civil à l'école de Droit de Jérémie. En septembre 1964, il partit de nouveau pour l'Europe plus précisément à Fribourg en Suisse où il prépara son doctorat en théologie. Durant son séjour à Fribourg, il a été nommé archevêque de Port-au-Prince le 20 août afin de pouvoir remplacer Mgr François Poirier, mis à la retraite le 18 août 1966 (Mgr Poirier 3 juillet 1955 - 18 août 1966).
Le 28 octobre 1966, en la cathédrale de Port-au-Prince, Mgr François Wolff Ligondé a reçu l'ordination épiscopale du Cardinal Antonio Samore comme 8e archevêque de Port-au-Prince. Messeigneurs Albert François Cousineau et Rémy Augustin avaient pris part à cette cérémonie par laquelle l'Eglise catholique d'Haïti allait avoir son propre clergé, le clergé indigène. Au regard de l'acte posé par le président François Duvalier en vue d'instaurer le clergé indigène dans le pays, Mgr Albert Dorélien devait déclarer : «Excellence, vous avez rééditez 1804 !» (ref. Mémoires d'un Leader du Tiers-Monde).
Que Marie, la mère de Dieu, vous garde davantage sous son manteau !
Bonne fête, Mgr Ligondé!
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Re: Bonne fete Prophete et Monseigneur Ligonde!!!
Maximo Ven 18 Fév 2011 - 15:49
ObamaCare, the Militia Act, and The House That Jack Built
Author: Timothy Sandefur
Some defenders of President Obama’s health care legislation argue that it’s perfectly legal for Congress to force people against their will to buy health insurance from a private company, because in 1792, Congress enacted a law called the Militia Act that required all able bodied white men to buy arms to prepare for militia service. “The 1792 mandate directly contradicts the notion that longstanding American values somehow establish a freedom from government-mandated purchases,” wrote a law student recently at Seton Hall University’s Health Reform Watch blog.
There are two answers to this....
First, and most obviously, the Militia Act was passed under the militia clauses, not under the Interstate Commerce Clause, and the difference is telling. The militia clauses allow Congress “to provide for calling forth the Militia,” “to provide for organizing, arming, and disciplining, the Militia, and for governing such Part of them as may be employed in the Service of the United States…,” and “To raise and support Armies….” The Commerce Clause, by contrast, gives Congress the power “to regulate Commerce with foreign Nations, and among the several States, and with the Indian Tribes.” The militia clauses specifically contemplate Congress requiring things directly—causing activity which otherwise would not have occurred at all. Congress is given power to “raise” the armies, to “arm” the militia, and to “call forth” the militia—but it is not given any power to “raise” commerce or to “call it forth” or to cause or compel or create commerce in any way.
To “regulate” means to cause activity that is already going on to conform to a prescribed rule. Johnson’s Dictionary, for example, defined regulate as “to adjust by rule or method,” and a regulator as “that part of a machine which makes the motion equable”—not that makes the motion, but that makes it equable.The 1776 Encyclopedia Britannica defined regulation as “A rule or order prescribed by a superior, for the proper management of some affair.” The term “regulate” simply does not confer on Congress the same kind of power that the militia clauses give it—that is, it gives Congress power to prescribe a rule to govern commerce that people choose to engage in. It doesn’t give Congress power to force people to participate in commerce if they otherwise would not.
Another interesting comparison is between ObamaCare’s individual mandate and the military draft. The draft also forces people to do something they would otherwise not have chosen to do—but, again, the draft laws are enacted not under Congress’ power to regulate commerce, but under its power to “raise” an army. In the Selective Draft Law Cases, 245 U.S. 355 (1917), the Supreme Court said that forcing men to join the military was “sanctioned…by the text of the Constitution, and by its significance as read in the light of the fundamental principles with which the subject is concerned, by the power recognized and carried into effect in many civilized countries, [and] by the authority and practice of the colonies before the Revolution, of the States under the Confederation and of the Government since the formation of the Constitution….” None of these factors are present in the case of ObamaCare’s individual mandate.
Second, to say that the Constitution does not protect “a freedom from government-mandated purchases” is to read the Constitution backwards. The burden of proof is not on individual American citizens to prove that they have some government-created privilege against “mandated purchases.” No, the burden is on the government to prove that it has the constitutional authority to force people to do things they don’t want to do. The Constitution was written specifically to deny Congress any general or “plenary” power. Article I of the Constitution says Congress has only those “legislative powers herein granted”—not all power, but only those “powers” that are “herein granted”—and the Tenth Amendment reserves all remaining powers to the people or to the states. It is not necessary to show that there is some “freedom from government-mandated purchases”—in fact, the Constitution itself tells us not to go on any searches for specific freedoms like this. The Ninth Amendment specifically says that just because a particular freedom is not named in the Constitution does not mean that such a right doesn’t exist. On the contrary, it’s necessary for ObamaCare’s supporters to show that there is federal power to impose the individual mandate.
True, in the years since the New Deal, courts have increasingly ignored the fact that Congress has only limited powers. These courts have wrongly expanded Congressional authority by ever-more strained readings of the Commerce Clause and the “Necessary and Proper Clause,” thus sabotaging the founders’ handiwork. Commenting on what he saw as the potential abuse of the Necessary and Proper Clause, Thomas Jefferson observed that such reasoning would eliminate all restraint on congressional authority: “Congress are authorized to defend the nation. Ships are necessary for defence; copper is necessary for ships; mines necessary for copper; a company necessary to work mines; and who can doubt this reasoning who has ever played at ‘This is the House that Jack built?’ Under such a process of filiation of necessities the sweeping clause makes clean work.”
In Jefferson’s day, this “filiation of necessities” seemed like a far-off speculation. No longer.
Posted on August 03, 2010 at 04:19 PM in Health Care, No to Big Government | Permalink
Author: Timothy Sandefur
Some defenders of President Obama’s health care legislation argue that it’s perfectly legal for Congress to force people against their will to buy health insurance from a private company, because in 1792, Congress enacted a law called the Militia Act that required all able bodied white men to buy arms to prepare for militia service. “The 1792 mandate directly contradicts the notion that longstanding American values somehow establish a freedom from government-mandated purchases,” wrote a law student recently at Seton Hall University’s Health Reform Watch blog.
There are two answers to this....
First, and most obviously, the Militia Act was passed under the militia clauses, not under the Interstate Commerce Clause, and the difference is telling. The militia clauses allow Congress “to provide for calling forth the Militia,” “to provide for organizing, arming, and disciplining, the Militia, and for governing such Part of them as may be employed in the Service of the United States…,” and “To raise and support Armies….” The Commerce Clause, by contrast, gives Congress the power “to regulate Commerce with foreign Nations, and among the several States, and with the Indian Tribes.” The militia clauses specifically contemplate Congress requiring things directly—causing activity which otherwise would not have occurred at all. Congress is given power to “raise” the armies, to “arm” the militia, and to “call forth” the militia—but it is not given any power to “raise” commerce or to “call it forth” or to cause or compel or create commerce in any way.
To “regulate” means to cause activity that is already going on to conform to a prescribed rule. Johnson’s Dictionary, for example, defined regulate as “to adjust by rule or method,” and a regulator as “that part of a machine which makes the motion equable”—not that makes the motion, but that makes it equable.The 1776 Encyclopedia Britannica defined regulation as “A rule or order prescribed by a superior, for the proper management of some affair.” The term “regulate” simply does not confer on Congress the same kind of power that the militia clauses give it—that is, it gives Congress power to prescribe a rule to govern commerce that people choose to engage in. It doesn’t give Congress power to force people to participate in commerce if they otherwise would not.
Another interesting comparison is between ObamaCare’s individual mandate and the military draft. The draft also forces people to do something they would otherwise not have chosen to do—but, again, the draft laws are enacted not under Congress’ power to regulate commerce, but under its power to “raise” an army. In the Selective Draft Law Cases, 245 U.S. 355 (1917), the Supreme Court said that forcing men to join the military was “sanctioned…by the text of the Constitution, and by its significance as read in the light of the fundamental principles with which the subject is concerned, by the power recognized and carried into effect in many civilized countries, [and] by the authority and practice of the colonies before the Revolution, of the States under the Confederation and of the Government since the formation of the Constitution….” None of these factors are present in the case of ObamaCare’s individual mandate.
Second, to say that the Constitution does not protect “a freedom from government-mandated purchases” is to read the Constitution backwards. The burden of proof is not on individual American citizens to prove that they have some government-created privilege against “mandated purchases.” No, the burden is on the government to prove that it has the constitutional authority to force people to do things they don’t want to do. The Constitution was written specifically to deny Congress any general or “plenary” power. Article I of the Constitution says Congress has only those “legislative powers herein granted”—not all power, but only those “powers” that are “herein granted”—and the Tenth Amendment reserves all remaining powers to the people or to the states. It is not necessary to show that there is some “freedom from government-mandated purchases”—in fact, the Constitution itself tells us not to go on any searches for specific freedoms like this. The Ninth Amendment specifically says that just because a particular freedom is not named in the Constitution does not mean that such a right doesn’t exist. On the contrary, it’s necessary for ObamaCare’s supporters to show that there is federal power to impose the individual mandate.
True, in the years since the New Deal, courts have increasingly ignored the fact that Congress has only limited powers. These courts have wrongly expanded Congressional authority by ever-more strained readings of the Commerce Clause and the “Necessary and Proper Clause,” thus sabotaging the founders’ handiwork. Commenting on what he saw as the potential abuse of the Necessary and Proper Clause, Thomas Jefferson observed that such reasoning would eliminate all restraint on congressional authority: “Congress are authorized to defend the nation. Ships are necessary for defence; copper is necessary for ships; mines necessary for copper; a company necessary to work mines; and who can doubt this reasoning who has ever played at ‘This is the House that Jack built?’ Under such a process of filiation of necessities the sweeping clause makes clean work.”
In Jefferson’s day, this “filiation of necessities” seemed like a far-off speculation. No longer.
Posted on August 03, 2010 at 04:19 PM in Health Care, No to Big Government | Permalink
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Re: Bonne fete Prophete et Monseigneur Ligonde!!!
Invité Ven 18 Fév 2011 - 15:51
Ne rêvez pas, pauvre pocharde ! Revenez sur terre pour confronter vos lacunes en matière d’histoire .Lisez bien la constitution americaine à l’endroit – je ne sais si vous avez cette capacité après avoir bu la potion hypnotique de So Anne - où elle parle du droit de la population de porter arme ...C'est l’un des plus fréquents débats de la vie politique americaine .
Vous n'êtes pas aussi instruit que vous voudriez le paraitre, gros niais ; Voyez-vous, l’ignorance domine chez vous .Vous êtes un petit rate qui se veut " Save " et c'est ce qui me dégoute le plus avec vous autres congos, agents de la chimèrie et de l’antihatianisme.
Vous n'êtes pas aussi instruit que vous voudriez le paraitre, gros niais ; Voyez-vous, l’ignorance domine chez vous .Vous êtes un petit rate qui se veut " Save " et c'est ce qui me dégoute le plus avec vous autres congos, agents de la chimèrie et de l’antihatianisme.
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Re: Bonne fete Prophete et Monseigneur Ligonde!!!
Maximo Ven 18 Fév 2011 - 16:00
14th amendment
Acts, Bills, and Laws, Right to Bear Arms - 1791
A well regulated Militia, being necessary to the security of a free State, the right of the people to keep and bear Arms, shall not be infringed.
Acts, Bills, and Laws, Right to Bear Arms - 1791
A well regulated Militia, being necessary to the security of a free State, the right of the people to keep and bear Arms, shall not be infringed.
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Re: Bonne fete Prophete et Monseigneur Ligonde!!!
Goya Ven 18 Fév 2011 - 16:01
"Ne venez pas vous plaindre a moi .Je n'ai pas de compassion ni de patience pour des intellos lâches, veules et sans caractère propre .Allez-vous en !Vous êtes incapable de me faire face tant vous êtes débile au fond de vos larmoiements de poltron".
"Peut-être a mon retour je finirai par vous cracher au visage. Mais j'ai déjà peur d'humilier ma salive"
Je vous connais même pas alors à quoi bon de vous cracher au visage comme vous vous plaisez à le faire ici.
Je vous pardonne sachant que l'arrogance est l'un des caractères que vous héritez du duvaliérisme.
Qu'y a-t-il de positif chez Duvalier pour que vous vous mettiez dans un tel état? J'aimerais savoir !
Vous êtes prêts à cracher au visage de tous ceux qui ne sont pas d'accord avec vous, le Duvaliérisme "bon enfant" que vous prêchez. Ils sont tous sont taxés de lavalasiens.
Je ne suis pas lavalsien.
Je suis tout aussi critique envers les Duvaléristes que les lavalassiens. Sauf qu'il faut reconnaitre que les lavalassiens sont plus tolérants, plus ouverts à la critique, et qu'il n'y a, malgré toutes les reproches qu'on peut leur adresser, aucune commune mesure entre le Régime des Duvalier et lavalas, ce à tous les niveaux.
Comment voulez qu'on construise, en Haïti, une nouvelle société si la seule façon pour quelqu'un d'exprimer son désaccord avec un autre c'est de lui cracher au visage, de l'affubler de mots comme vous le faites avec moi. Pas grave. Plus je vous lis plus je commence à m'habituer avec votre personnalité, alors vous vous pouvez cracher tant que vous voulez.
C’EST TOUT À VOTRE HONNEUR.
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Re: Bonne fete Prophete et Monseigneur Ligonde!!!
Invité Ven 18 Fév 2011 - 16:04
14th amendment
Acts, Bills, and Laws, Right to Bear Arms - 1791
A well regulated Militia, being necessary to the security of a free State, the right of the people to keep and bear Arms, shall not be infringed.
[size=24][i][b]
Et je m'arrete la .Il y a un espace dans les limites duquel on ne peut s'aventurer pour aider l'autre qui s'enfonce dans les sables mouvants de la mediocrite .Ni la compassion ni la pitie ne l'exige . Finie la rigolade ./b]
Acts, Bills, and Laws, Right to Bear Arms - 1791
A well regulated Militia, being necessary to the security of a free State, the right of the people to keep and bear Arms, shall not be infringed.
[size=24][i][b]
Et je m'arrete la .Il y a un espace dans les limites duquel on ne peut s'aventurer pour aider l'autre qui s'enfonce dans les sables mouvants de la mediocrite .Ni la compassion ni la pitie ne l'exige . Finie la rigolade ./b]
Invité- Invité
Re: Bonne fete Prophete et Monseigneur Ligonde!!!
Joel Ven 18 Fév 2011 - 16:17
Goya a écrit:
La milice est une inscrite dans la constitution américaine...Je rêve !
J'aimerais connaître la disposition à laquelle ce nationaliste haïtien se réfère.
GOYA;
Vous ètes archi brave pour vouloir discuter avec ces messieurs.Vous ne pourrez pas faire un point qu'ils accepteraient et s'ils ne pourraient pas faire des contrepoints valables;ils vous accableraient d'injures ;leur spécialité.
Quant à cette question de milice;on continue de discuter ce que cela veut dire.Il y a des ETATS ou le port d'armes est strictement interdit ;un état comme NEW YORK ;tout comme il y a des ETATS comme le TEXAS et l'ARIZONA on peut porter des armes comme le ""WILD WEST""
C ette question de ""milice"" évolue sans cesse.Tout dépend de l'interprétation faite par la COUR SUPRÈME et l'orientation de cette COUR SUPRÈME.
Ceux qui avaient écrit ce fameux XIV ème amendement de la CONSTITUTION ne pouvaient pas prédire la léthalité des armes automatiques du 21ème siècle.
Cet amendement était adopté en prévision d'une invasion britannique ;le peuple serait prèt à défendre la souveraineté du pays
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Re: Bonne fete Prophete et Monseigneur Ligonde!!!
Invité Ven 18 Fév 2011 - 16:26
Je suis un homme qui respecte les prerogatives et droits de l'etat de droit :
Quand j'entends la voix de la Cour Supreme qui a deja decide de l'affaire au niveau Federal ,il m'arrive difficilement d'ecouter avec patience la voix de la chimerie refugiee aux Etats-Unis . Il n'y a plus de debats en ce qui concerne le port d'armes par le citoyen qualifie .Les debats se font autour de l'expansion et de la restriction des droits de l'individu de porter armes sans pietiner les voeux du quatorzieme amendement .C'est ca la verite .
Bon .C'est le week-end .Je dois me reposer car j'ai passe toute une semaine a subir avec courage les abus de la mediocrite et de l'ignorance .Adios vaqueros !
Quand j'entends la voix de la Cour Supreme qui a deja decide de l'affaire au niveau Federal ,il m'arrive difficilement d'ecouter avec patience la voix de la chimerie refugiee aux Etats-Unis . Il n'y a plus de debats en ce qui concerne le port d'armes par le citoyen qualifie .Les debats se font autour de l'expansion et de la restriction des droits de l'individu de porter armes sans pietiner les voeux du quatorzieme amendement .C'est ca la verite .
Bon .C'est le week-end .Je dois me reposer car j'ai passe toute une semaine a subir avec courage les abus de la mediocrite et de l'ignorance .Adios vaqueros !
Invité- Invité
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