Martelly veut de l'argent frais !
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Martelly veut de l'argent frais !
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Haïti a bénéficié de l'annulation de sa dette. Certains ont sablé le champagne, d'autres déploré le fait que le pays ait rejoint la catégorie des non-solvables à qui ont fait des dons, mais pas des prêts, à la hauteur de leurs ambitions de croissance économique et de développement. Le président élu Joseph Michel Martelly le sait et demande aux institutions financières internationales de faire une exception pour le pays frappé par la plus grande catastrophe des temps modernes le 12 janvier 2010.
Haïti: Le président élu Joseph Michel Martelly a demandé aux institutions financières internationales d'octroyer des prêts à Haïti en vue de relancer son économie. « Un pays qui vient de perdre 30 milliards de dollars us lors du séisme et qui a des problèmes ne peut pas relancer son économie avec des dons », a-t-il indiqué, mardi 26 avril 2011, 24 heures après son retour d'un périple l'ayant conduit, entre-autres, à Washington. « Le don de 200 millions par an de la BID est utile, mais aucun pays au monde ne peut obtenir de la croissance économique sans accès au prêts », a poursuivi M. Martelly, qui reconnaît qu'Haïti, après avoir bénéficié de l'annulation de sa dette, tombe dans la catégorie des pays non solvables. Cependant, le président élu a insisté sur la nécessité de créer des mécanismes pour que l'Etat haïtien obtienne des prêts pour sortir le peuple de la misère.
Le conseil des gouverneurs de la BID a autorisé l'octroi d'un don de 200 millions de dollars par an sur dix ans à Haïti et a voté l'annulation de 500 millions de dollars de dettes que le pays avait envers elle. La banque consacre des financements sous forme de don au gouvernement haïtien dans six domaines dont l'éducation, l'agriculture et la création d'emplois, à travers des programmes offrant non pas des dons mais des prêts aux entreprises privées en partenariat avec des banques locales, selon ce qu'avait indiqué il y a moins de deux mois le président de la BID, Luis Alberto Moreno .
Dans ce partenariat, l'objectif n'est pas de se substituer au système financier local, mais de trouver des ressources pour aider les PME et les grandes entreprises à créer des emplois, avait par ailleurs expliqué Moreno dont l'institution a été critiquée par certains dans le passé à cause de l'éclatement et de l'éparpillement de ses financements dont les impacts sont peu perceptibles. La banque a un système d'évaluation des projets. Les projets sont évalués avant, au cours de leur exécution et après leur réalisation pour en vérifier leurs impacts, avait répondu le président de cette institution dont la coopération avec Haïti a toujours été constante.
Officiellement, on ne sait toujours pas la position de la BID, de la Banque mondiale et du FMI sur la demande du président élu Joseph Michel Martelly pour qu'Haïti obtienne un statut particulier. M. Martelly n'a pas révélé l'origine de l'évaluation des pertes causés par le séisme à 30 milliards de dollars américains. Entre-temps, pour relancer l'économie, des économistes ont plaidé en faveur de la création de leviers financiers, dont le capital-risque, une banque de développement, pour financer les PME en vue de créer des emplois dans le pays.
Roberson Alphonse
ralphonse@lenouvelliste.com
Haïti a bénéficié de l'annulation de sa dette. Certains ont sablé le champagne, d'autres déploré le fait que le pays ait rejoint la catégorie des non-solvables à qui ont fait des dons, mais pas des prêts, à la hauteur de leurs ambitions de croissance économique et de développement. Le président élu Joseph Michel Martelly le sait et demande aux institutions financières internationales de faire une exception pour le pays frappé par la plus grande catastrophe des temps modernes le 12 janvier 2010.
Haïti: Le président élu Joseph Michel Martelly a demandé aux institutions financières internationales d'octroyer des prêts à Haïti en vue de relancer son économie. « Un pays qui vient de perdre 30 milliards de dollars us lors du séisme et qui a des problèmes ne peut pas relancer son économie avec des dons », a-t-il indiqué, mardi 26 avril 2011, 24 heures après son retour d'un périple l'ayant conduit, entre-autres, à Washington. « Le don de 200 millions par an de la BID est utile, mais aucun pays au monde ne peut obtenir de la croissance économique sans accès au prêts », a poursuivi M. Martelly, qui reconnaît qu'Haïti, après avoir bénéficié de l'annulation de sa dette, tombe dans la catégorie des pays non solvables. Cependant, le président élu a insisté sur la nécessité de créer des mécanismes pour que l'Etat haïtien obtienne des prêts pour sortir le peuple de la misère.
Le conseil des gouverneurs de la BID a autorisé l'octroi d'un don de 200 millions de dollars par an sur dix ans à Haïti et a voté l'annulation de 500 millions de dollars de dettes que le pays avait envers elle. La banque consacre des financements sous forme de don au gouvernement haïtien dans six domaines dont l'éducation, l'agriculture et la création d'emplois, à travers des programmes offrant non pas des dons mais des prêts aux entreprises privées en partenariat avec des banques locales, selon ce qu'avait indiqué il y a moins de deux mois le président de la BID, Luis Alberto Moreno .
Dans ce partenariat, l'objectif n'est pas de se substituer au système financier local, mais de trouver des ressources pour aider les PME et les grandes entreprises à créer des emplois, avait par ailleurs expliqué Moreno dont l'institution a été critiquée par certains dans le passé à cause de l'éclatement et de l'éparpillement de ses financements dont les impacts sont peu perceptibles. La banque a un système d'évaluation des projets. Les projets sont évalués avant, au cours de leur exécution et après leur réalisation pour en vérifier leurs impacts, avait répondu le président de cette institution dont la coopération avec Haïti a toujours été constante.
Officiellement, on ne sait toujours pas la position de la BID, de la Banque mondiale et du FMI sur la demande du président élu Joseph Michel Martelly pour qu'Haïti obtienne un statut particulier. M. Martelly n'a pas révélé l'origine de l'évaluation des pertes causés par le séisme à 30 milliards de dollars américains. Entre-temps, pour relancer l'économie, des économistes ont plaidé en faveur de la création de leviers financiers, dont le capital-risque, une banque de développement, pour financer les PME en vue de créer des emplois dans le pays.
Roberson Alphonse
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Thunder- Super Star
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Re: Martelly veut de l'argent frais !
Kouman yo konprann Mickey se moun bet ki pa konn gou dyol li,li ta renmen al fini vye joul sur la cote d'azur, ou byen a Monte Carlo tou ;poukisa yo konprann lal foure kol nan politik an ayiti?Mickey vle wè anpil la mama.Li te konn di li se italyen apre manda li fini se tande na tande non Mickey.Li pral rele Michel Martelly Berlusconi.ah ah ah se lè saa li pral douko po li.sil te genyen cheve li tap tou pase fè cho nan yo.
Le gros roseau- Super Star
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