PHOTO DE LA PRÉSUMÉE VICTIME D'UN VIOL DE DSK ET LES STRATÉGIES DE LA DÉFENSE

Rico Sam 21 Mai 2011 - 18:05

Ophelia Famotidina était la supposée victime, encore hier, d'après la presse

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Nafissatou Diallo

Dominique Strauss Kahn : La photo de la victime ?

par Théodore (theodore) le 18/05/2011 10:06 |Dans l'actualité Actualité / news

On peut enfin découvrir le visage de celle qui dit avoir été violée et séquestrée par Dominique Strauss-Kahn. DSK et le goût des femmes.

Enfin on peut découvrir le visage de la femme qui accuse Dominique Strauss-Kahn de viol sur sa personne. Nafissatou Diallo est originaire de Guinée mais porte un nom de famille sénégalais. Elle a 32 ans et travaille donc dans le fameux hôtel, le Sofitel, depuis trois ans. L'UMP a fini par se prononcer sur l'affaire Dominique Strauss-Kahn , mais madame Diallo est cloitrée chez elle, avec une protection rapprochée. Ce sont les voisins qui donnent les informations à la presse. La photo est juste ci-dessous.

Voilà c'est donc cette femme qui accuse l'ex-patron du FMI de viol et séquestration. Pas mal de preuves vont dans le sens de Nafissatou Diallo comme le fait que Dominique Strauss-Kahn ait oublié son téléphone portable et des affaires personnelles prouvant, selon la justice américaine, qu'il avait dû partir précipitamment. Mais en France nous savons que Dominique Strauss-Kahn oubliait souvent ses affaires . DSK est toujours dans une fâcheuse position et il pourrait bien finir le reste de ses jours dans une prison américaine.

Si tu veux en savoir plus sur Dominique Strauss Kahn, visite le dossier Dominique Strauss Kahn ou dis nous ce que tu en penses dans les commentaires.

Crédit photos / vidéos : /// - Source : Facebook

ainsi ne soit-il Sam 21 Mai 2011 - 18:29

On lui a peut-être enlevé les menottes mais il reste tout à fait neutralisé. Il a dû payer six millions de dollars pour être libéré sous étroite surveillance en plus. C'est dire la gravité de son cas et les preuves accablantes qui l'accompagnent.

DSK finira par déposer ce qu'on appelle en anglais a plea bargain pour en finir au plus vite et éviter une sentence plus sévère.

Sans compter la poursuite civile qui s'ensuivra. Et sans oublier qu'une journaliste sonje aussi à porter plainte contre lui à la police en France pour le même genre d'agression.

Rico Sam 21 Mai 2011 - 18:50

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NEW YORK, LE 16 MAI. Benjamin Brafman (à gauche) et William Taylor vont étudier soigneusement
la meilleure stratégie de défense pour DSK. | (AP/DAVID KARP.)

Pour la défense de DSK, deux stratégies risquées

É. F. | Publié le 21.05.2011, 07h00

Inculpé notamment pour « tentative de viol », Dominique Strauss-Kahn a désormais accès aux « éléments de preuve » réunis par l’accusation. Ses avocats new-yorkais Benjamin Brafman et William Taylor vont les étudier soigneusement pour déterminer la meilleure stratégie de défense.

Si, le 6 juin, DSK choisit publiquement de plaider « non coupable », un premier calendrier d’audiences pourrait être élaboré entre les parties.

« Pendant des mois, chaque partie va collecter ses preuves, chercher ses témoins, indique une spécialiste du droit américain. Ce n’est qu’à l’issue de cette période qu’un procès peut s’ouvrir. » A tout moment, l’ex-patron du FMI peut décider d’opter pour le plaider-coupable. Avantages et inconvénients de chacune de ces stratégies.

Le plaider-coupable : plus rapide, plus simple, moins risqué. Basée sur le principe de la négociation, cette procédure permet à l’accusé, en échange de la reconnaissance de sa culpabilité, de négocier le contenu de son inculpation et la durée de sa peine. Plus rapide, donc moins coûteux, le plaider-coupable connaît aux Etats-Unis un vif succès. « La plupart des procédures criminelles se terminent ainsi, explique l’avocat Ron Soffer. Du coup, les procès sont très rares. »

L’accusé peut décider d’y recourir à tout moment de la procédure. Mais, une fois son choix arrêté, il est irrévocable. L’accord conclu entre les parties à l’issue du plaider-coupable doit être homologué par un juge en audience publique. Problème, il peut parfois se traduire par une lourde peine, comme l’illustrent les cent cinquante ans de prison infligés à l’escroc Bernard Madoff. Si Dominique Strauss-Kahn opte pour une telle stratégie, sa peine sera réduite, mais il sera fiché comme délinquant sexuel aux Etats-Unis, ce qui compliquerait singulièrement ses éventuels séjours sur le territoire américain.

Le procès public ou le choix du tout ou rien. Depuis le début de l’affaire, Dominique Strauss-Kahn ne cesse de clamer son innocence. Une posture qui, logiquement, devrait l’amener à opter pour un procès public. Problème, aux Etats-Unis, les audiences ne sont pas simplement ouvertes au public, elles sont aussi filmées. « Ce sera le grand déballage », prophétise un avocat américain. Le système des preuves étant extrêmement encadré, l’essentiel des débats repose sur la parole des témoins. Qu’ils soient à charge ou à décharge, ces derniers déposent sous serment et n’ont pas le droit de mentir sous peine d’être poursuivis pour « parjure ». En acceptant d’être entendus à la barre, ils s’exposent à des interrogatoires longs et fouillés. L’accusé, lui, a le droit de rester silencieux.

Pour que DSK soit condamné, il faut que les douze jurés soient convaincus, à l’unanimité, par les preuves du procureur. Un seul « doute raisonnable » suffit pour qu’il soit acquitté et, en ce cas, le ministère public ne peut pas faire appel. En cas de condamnation, en revanche, DSK peut faire appel. Alors la cour ne se penche pas sur le fond de l’affaire, mais elle se contente de vérifier que le procès s’est déroulé dans de bonnes conditions. « Lorsqu’on encourt soixante-quinze ans de prison, prend-on le risque d’un procès? A-t-on encore le libre choix de sa défense? » s’interroge Ron Soffer.

Le Parisien

ainsi ne soit-il Sam 21 Mai 2011 - 18:58

Comme dans le cas d'O.J. Simpson, même s'il était acquitté, la victime devrait le poursuivre en cicil. Je suis certain que les avocats sont déjà en train d'envisager cette possibilité.

Dites donc, où sont passés les amis de mes amis?

Rico Sam 21 Mai 2011 - 19:06

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L'avocat de Dominique Strauss-Kahn, Benjamin Brafman est considéré comme l'un des ténors du barreau de New York. AP/Richard Drew

Quelle ligne de défense DSK peut-il adopter ?

La bataille ne fait que commencer !" Au sortir de la comparution de Dominique Strauss-Kahn devant le tribunal pénal de New York, lundi 16 mai, qui l'a maintenu en détention, le commentaire de l'un de ses avocats, Benjamin Brafman, annonçait la préparation d'une défense incisive.

Dès mercredi, les avocats de M. Strauss-Kahn ont renouvelé leur demande de liberté conditionnelle, qui devrait être examiné jeudi. Ils proposent en échange une caution d'un million de dollars et la mise en place d'une surveillance électronique à New York.

Pendant ce temps, le grand jury, composé de seize à vingt-trois personnes se réunissait à huis clos, pour décider d'inculper ou non formellement le directeur du Fonds monétaire international (FMI). La décision du grand jury lui sera signifiée de manière officielle lors d'une audience prévue vendredi. C'est à ce moment-là que l'ancien ministre français dévoilera s'il plaide coupable ou non. Plusieurs scénarios sont envisageables par ses avocats, qui entretiennent le mystère sur la stratégie qu'ils souhaitent adopter.

Plaider non coupable. Depuis le début de l'affaire, Dominique Strauss-Kahn nie les accusations d'agression sexuelle, de tentative de viol et de séquestration à l'encontre d'une femme de chambre d'un hôtel de New York, samedi 14 mai. Mais, à moins qu'il soit blanchi vendredi par le grand jury – ce qui semble peu probable –, cette stratégie l'emmènera dans un long parcours judiciaire.

"Ce dossier est plaidable", avait estimé l'un des avocats de DSK, lundi, évoquant "des points très significatifs dans le dossier que nous avons déjà mis au jour simplement avec les enquêtes préliminaires". Cependant, cette position peut évoluer : tout dépend des preuves apportées par le procureur et par les avocats de la plaignante, et dont la défense prendra connaissance vendredi. Dans ce contexte, le résultat des tests d'ADN et des diverses analyses est crucial. Si les prélèvements révèlent des traces de sperme, la défense de Dominique Strauss-Kahn évoluera probablement vers le scénario du rapport consenti.

Plaider la relation sexuelle consentie. C'est ce qu'avait déjà laissé entendre, lundi, devant le tribunal pénal Me Brafman : "Les preuves médico-légales, selon nous, ne coïncident pas avec un rapport forcé." Mardi matin, le New York Post et le New York Times pensaient savoir que cette stratégie avait été choisie par la défense. "J'imagine que ses avocats vont tout faire pour plaider le rapport consenti, confirme Me Stehlin, avocat aux barreaux de New York et de Paris. Dans ce cas-là, c'est la parole de l'un contre celle de l'autre." Les éléments factuels, sur lesquels pourront travailler les défenseurs, qui dans le système américain ont le pouvoir de mener leur propre enquête, seront essentiels : Dominique Strauss-Kahn a-t-il quitté l'hôtel précipitamment ? A-t-il déjeuné avec sa fille ? A-t-il contacté sa femme, lui faisant part d'un "grave problème" ? Selon Me Stehlin, la précision des horaires peut également être une piste de travail.

L'enquête privée menée par la défense va ainsi étudier les failles de l'emploi du temps, interroger des témoins, procéder à une contre-expertise des tests d'ADN, mais c'est probablement sur la personnalité de la plaignante que les avocats vont se concentrer, prévoit Me Stehlin. "Ils sont en train de scruter toute la vie de cette pauvre femme. Cela sera du pain bénit si on peut prouver que son existence est dissolue." Dans un système judiciaire où "tous les coups sont permis", l'objectif de la défense serait alors de prouver que la femme de chambre aurait "provoqué" Dominique Strauss-Kahn, selon l'avocat.

Plaider coupable. Cette stratégie est peu probable : DSK s'exposerait à une peine pouvant atteindre soixante-quatorze ans de prison. En revanche, dans ce cas de figure, les avocats peuvent avoir recours au "plea bargain" ou "négociation". L'objectif est alors de minimiser les chefs d'accusation et d'amoindrir la peine. "[Le plea bargain], c'est la possibilité d'avoir un procès plus rapidement, c'est-à-dire [dans un délai d']un an", commente Me Stehlin. Dans ce domaine, Me Brafman a déjà démontré son efficacité, comme le rappelle Denis Lacorne, directeur de recherches à Sciences Po dans une tribune publiée dans "Le Monde", évoquant par exemple le cas de l'artiste de rap Jay-Z.

La demande de liberté sous caution formulée par ses avocats devrait être examinée jeudi selon un porte-parole du tribunal pénal de Manhattan. Cette libération pourrait cependant être refusée de nouveau en raison des précédents de l'affaire Polanski. Dominique Strauss-Kahn resterait alors en prison dans l'attente d'un éventuel procès. Une attente qui pourrait se révéler longue si le procureur et la défense ne parvenaient pas à un accord lors de négociations. "Cela peut durer deux ou trois ans", estime Me Stehlin.
Flora Genoux

Rico Sam 21 Mai 2011 - 19:18

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Dominique Strauss-Kahn s'entretient en aparté avec son avocat William Taylor, lors de l'audience de jeudi.Crédits photo : RICHARD DREW/AFP

Ce que peut encore négocier la défense de DSK

D'ici au procès, plusieurs scénarios peuvent interrompre la procédure engagée.

La tentation est forte, au pays de l'argent roi et des libérations sous caution à un million de dollars, de penser que tout «s'achète». Si la transaction est admise dans la procédure américaine, elle est cependant balisée. En voici les règles.

• DSK peut-il négocier directement avec la victime présumée ?

Dans l'absolu, tout est possible. Mais le scénario de tractations secrètes entre la défense et la plaignante n'est quand même pas le plus probable. Les risques sont élevés pour un bénéfice incertain. «Il serait suicidaire judiciairement d'approcher la victime et de lui proposer des dollars pour obtenir un retrait de sa plainte, assure Me Martine Boucarra, qui a travaillé au parquet de New York. En plus, cela serait contre-productif et passerait pour une façon d'entraver le cours de la justice.» En revanche, des contacts peuvent être noués entre les avocats de l'ancien directeur du FMI et Jeffrey Shapiro, le conseil de la femme de chambre du Sofitel. Chaque camp peut avoir un intérêt à tâter le terrain sans abattre toutes ses cartes, comme dans une partie de poker. Tout en sachant que la partie adverse est susceptible à tout moment de rendre public ce «signe de faiblesse» - ce qui aurait un effet dévastateur. Si les négociations prospèrent, elles doivent obligatoirement être révélées au parquet. «Il serait illégal de conclure un accord et de mettre le procureur devant le fait accompli. En outre, si, en contrepartie d'argent, la plaignante revenait sur son témoignage, elle pourrait être poursuivie pour parjure», note Emmanuel Pierrat, dont une partie de la clientèle est à Washington. Dans l'affaire Polanski, un protocole avait ainsi été trouvé avec la victime avant que le cinéaste ne s'enfuie des États-Unis.

• Le procureur peut-il arrêter la procédure ?

Une fois l'affaire enclenchée, le parquet est maître des poursuites. Le concept de partie civile, partie prenante à la procédure en France, n'existe pas aux États-Unis. Quel serait l'intérêt de Cyrus Vance Jr. et de ses adjoints de faire machine arrière? Premier cas de figure, l'employée de l'hôtel revient sur ses accusations. «Si elle dit qu'elle a tout inventé ou qu'elle a été en proie à des hallucinations, l'accusation s'en trouverait considérablement affaiblie. Mais, en l'état des informations, un tel scénario paraît peu probable», estime Christopher Mesnooh, inscrit aux barreaux de Paris et New York. En revanche, viendra un moment où le ministère public se posera la question du bien-fondé d'un procès, toujours coûteux. Tout dépendra du poids des éléments à charge qu'il aura réunis. Le témoignage de la victime présumée? Il doit s'attendre à voir celle-ci «démolie» par ses adversaires. Déjà, l'entourage de DSK distille des questions: cette femme est-elle si sincère? Quelle est sa nationalité exacte? Qui est réellement l'homme qui s'est présenté à tous les médias comme son frère? Comment peut-elle livrer un récit circonstancié des faits si elle était en état de choc? D'autres considérations entrent aussi en jeu. «Pour Cyrus Vance, qui pense déjà à sa réélection en 2013, c'est le procès du siècle. Tous les ingrédients sont réunis: sexe, argent et politique», constate Anne Deysine, qui enseigne les questions politiques et juridiques américaines à l'université de Nanterre. Cependant, tempère Christopher Mesnooh, «le procureur peut préférer arriver à un bon “deal”. Cyrus Vance est très proche des cercles du pouvoir. Il ne voudra pas forcément “se payer” un étranger pour faire plaisir au petit peuple de New York, même s'il doit tenir compte de l'opinion publique.» Des recommandations diplomatiques, venues de France via Washington, ne peuvent non plus être exclues.

• DSK choisira-t-il finalement de plaider coupable ?

Les observateurs commencent par une remarque de bon sens: seuls l'ex-ministre et la femme de chambre savent ce qui s'est réellement passé dans la suite 2806. Et peuvent donc anticiper sur les arguments de chacun. Deuxième évidence: aux États-Unis, près de 90% des procédures s'interrompent avant le procès pour se terminer en plaider-coupable. Enfin, la voie du plaider-coupable peut être choisie à tout moment, jusqu'à la veille du verdict. Des négociations s'engagent alors entre le procureur et la défense et peuvent prendre du temps. «Cela ressemble à une transaction commerciale , indique Christopher Mesnooh, le but pour la défense étant d'arriver à réduire la peine au maximum et pour le parquet de conclure un accord acceptable.» Pendant la discussion, chaque partie peut continuer son enquête et produire des éléments à charge ou à décharge qui se transforment en années de prison à monnayer… À la fin, le juge doit homologuer l'accord. Personne vendredi ne se risquait à donner un pronostic sur le résultat d'un éventuel plaider-coupable dans une affaire où l'accusé encourt, pour l'infraction principale, jusqu'à 25 ans de prison.

Rico Sam 21 Mai 2011 - 19:22

La ligne de défense de DSK : il aurait quitté l'hôtel une demie heure avant l'agression

16/05/2011 à 12h47 - mis à jour le 16/05/2011 à 15h06 | 15235 vues | 40 réactions

BFM TV vient d'annoncer sur son antenne, que Dominique Stauss-Kahn, aurait selon ses avocats quitté l'hôtel Sofitel de New-York à 12h28 (heure locale), soit une demie heure avant l'heure à laquelle la victime présumée dit avoir été agressée.

L'heure précise aurait été obtenue à partir des éléments informatiques du check-out de DSK à l'hôtel Sofitel de New-York.

Le patron du FMI aurait alors déjeuné avec sa fille dans un restaurant new-yorkais, avant de se rendre à l'aéroport pour prendre un vol Air France à destination de Paris.

Ces informations ont été obtenues auprès des avocats américains de Dominique Strauss-Kahn, qui ont resconstitué sont emploi du temps de la journée de samedi.

Maximo Ven 1 Juil 2011 - 6:57

Rico Ven 1 Juil 2011 - 11:46

Wouuuyyyyy kote defansè ak defansèz ti Afrikenn lan kont modi Franse.

Kote vye rasis dan rashot yo ki tap telele, kote moralis kap vann salad yo pa konnen.

Le gros roseau Ven 1 Juil 2011 - 12:10

Nos blancs a la peau noire ne doivent pas encore crier ;"maitre notre maison brule."à cause de la haine de leur origine.L'accusé n'est pas encore acquitté par un jury.Les enquèteurs ont relevé des mensonges durant l'interrogatoire de la victime.savons-nous la nature de ces mensonges?la preuve ADN dement-elle une relation sexuelle entre DSK et la femme?Savons-nous si des pressions n'ont pas ete exercées pour contraindre la plaignante à mentir pour sauver la peau du puissant homme?Quellle que soit l'issue de cette affaire on ne peut pas absoudre DSK de delinquance sexuelle.

Invité Ven 1 Juil 2011 - 12:53

Je vois pourquoi la chimèrie lavalasse n'a pas duré longtemps comme parti politique malgré la désorganisation et la faiblesse de l'opposition a son arrivée :

Meme du point de vue doctrinale , si le pele -mele d'idees incoherentes en est une , ses dsiciples aigris sont amoraux et incapables de jugements sains qui reflèteraient sur la légitimité de leur cause .La mentalité Lavalasse est ...du fatras. Il n'y a aucun doute la dessus...

Le gros roseau Ven 1 Juil 2011 - 13:11

Les injures des parjures du serment de liberté,egalité,fraternité ne peuvent pas nous fletrir.Les collabos des negriers doivent se repentir et continuer à faire leur mea culpa pour leurs trahisons et leurs traitrises tout au cours de notre histoire.

En infiltrant le mouvement populaire pour creer la division et la defaite vous avez seulement couper le tronc de ce mouvement liberateur des damnés du pays de Dessalines. Je vous assure il repoussera car ses racines sont profondes.A bon entendeur salut.

Invité Ven 1 Juil 2011 - 13:42

BEWARW !Achtung ! Hier ist der feind .

Le gros roseau Ven 1 Juil 2011 - 13:52

What did Hitler say?

Rico Ven 1 Juil 2011 - 14:38

deza a écrit:

BEWARW !Achtung ! Hier ist der feind .

Wouuyyyy sa bon yon zanmi ki rele m nan travay li pou fè konnen Alman Deza ap pale ak yo.

Le gros roseau Ven 1 Juil 2011 - 15:40

yo a represante konbyen moun ?se yon moun ki manke yon fey selman ki ka vle kominike ak yon gwoup moun nan yon lang ke yo yonn pa konprann .foli manifeste sou moun tout jan ah ah ah ah ah.

Invité Ven 1 Juil 2011 - 15:53

Vorsicht, Aufmerksamkeit, es ist der Feind.

Maximo Ven 1 Juil 2011 - 15:55

deza a écrit:
Vorsicht, Aufmerksamkeit, es ist der Feind.

Deza e pa se alman wap pale a nèg yo, sak pase'w la?

Invité Ven 1 Juil 2011 - 15:59

Maxi,

Se paske mwin we mwin nan mitan on paket 5e kolonn, se de alman selman yap pale, mwen oblije vini ap pale alman ave yo pou mwin we si yo ka konpwan.

Joel Ven 1 Juil 2011 - 16:25

Maximo a écrit:
deza a écrit:
Vorsicht, Aufmerksamkeit, es ist der Feind.

Deza e pa se alman wap pale a nèg yo, sak pase'w la?

MAXIMO;

Se paske gen de nèg ki ap pouse ,mwen pa vle di mo an;a lekstrèm.
Gen nèg ki ap fè apoloji pou DIVALYE.DIVALYE te òganize gouvènman l ,jan FACHIS yo te fè l.
Te gen 2 moun ke FRANÇOIS DUVALIER te admire se te MUSSOLINI ak MUSTAFA KEMAL ATATURK.Misye te di l.

Ko makout lan ,se te yon kopi CHEMIZ NWA MUSSOLINI yo;CHEMIZ BREN HITLER yo ,se te yon kopi CHEMIZ NWA .
Lan tout jan DIIVALYE te dirije se te kopi 2 FACHIS sa yo;pa t preske gen anyen ki orijinal ka DIVALYE;eksepte ke FACHIS sa yo te gen yon konsepsyon de grandè peyi sa yo ,ki te pami peyi ki pi avanse lan epòk lan.

Lan sa yon seri de nèg sou fowòm sa a ap di ;lan jan yo aji ;yo se FACHIS depi lan tèt ,jis lan pye yo.

Le gros roseau Ven 1 Juil 2011 - 16:56

Joel

Nou toujou sonje sa Lafontaine te di ya:"Selon que vous serez puissant ou misérable les jugements de cour vous rendront blanc ou noir."se yon verite eternel.

Invité Ven 1 Juil 2011 - 17:02

Die Stimme des dauphin des Dritten Reiches Lavalasse

Invité Ven 1 Juil 2011 - 19:41

deza a écrit:

BEWARW !Achtung ! Hier ist der feind .

ENEMY Blutdurst

Invité Sam 2 Juil 2011 - 0:55

Der Mann ist krank .Er ist ein Narr.

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