Le projet binational de reboisement transfrontalier a été lancé
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Le projet binational de reboisement transfrontalier a été lancé
Le projet binational de reboisement transfrontalier a été lancé
C’est le lundi 16 mai dernier que les ministres de l’environnement haïtien et dominicain, en présence de la Secrétaire d’Etat aux affaires étrangères de la Norvège, ont lancé à D'Osmond, le projet de reforestation transfrontalière.
Le Ministre dominicain de l'environnement, Docteur Jaime David Fernandez Mirabal, son homologue haïtien, l'ingénieur Jean-Marie Claude Germain, et Mme Ingrid Fiskaa, la Secrétaire d'État aux Affaires étrangères de la Norvège, ont conjointement lancé ce projet binational de reforestation et de gestion transfrontalière des ressources naturelles de Massacre et de Pédernales.Ce projet vise le renforcement des relations entre les deux Républiques. Le Gouvernement norvégien et le PAM (Programme Alimentaire mondial) financent ce projet à hauteur de 3 millions d'euros.
Cette initiative devra enclencher à moyen terme, une vaste campagne de reboisement de la frontière entre Haïti et la République Dominicaine incluant la création de semis et de plantules destinés à la réintégration en milieu naturel. ce projet doit aussi soutenir des programmes de gestion durable des bassins versants des rivières Massacre et Pédernales.
A l’issue de la cérémonie, les deux Ministres et la Secrétaire d'État norvégienne aux affaires étrangères, ont signé la Déclaration d'intention de Ouanaminthe, dans laquelle ils ont réaffirmé la nécessité de se mettre ensemble pour contribuer à la protection de l'environnement et à la conservation des ressources naturelles sur la frontière Haïtien-dominicaine.
Des personnalités importantes ont assisté à cette cérémonie : la Représentante du système des Nations Unies, le Maire de Ouanaminthe, le délégué Départemental, le Sénateur Jean-Baptiste Bien-Aimé, le Vice-délégué d'arrondissement et le commissaire de police de l'arrondissement. Des organisations paysannes, des organisations de femmes, des membres de la Société civile ont aussi participé à ce grand évènement. Des instances, telles le PNUE (Programme des Nations unies pour l'environnement), le PNUD (Programme des Nations unies pour le développement) et les autorités locales sont directement impliquées dans ce projet.
C’est le lundi 16 mai dernier que les ministres de l’environnement haïtien et dominicain, en présence de la Secrétaire d’Etat aux affaires étrangères de la Norvège, ont lancé à D'Osmond, le projet de reforestation transfrontalière.
Le Ministre dominicain de l'environnement, Docteur Jaime David Fernandez Mirabal, son homologue haïtien, l'ingénieur Jean-Marie Claude Germain, et Mme Ingrid Fiskaa, la Secrétaire d'État aux Affaires étrangères de la Norvège, ont conjointement lancé ce projet binational de reforestation et de gestion transfrontalière des ressources naturelles de Massacre et de Pédernales.Ce projet vise le renforcement des relations entre les deux Républiques. Le Gouvernement norvégien et le PAM (Programme Alimentaire mondial) financent ce projet à hauteur de 3 millions d'euros.
Cette initiative devra enclencher à moyen terme, une vaste campagne de reboisement de la frontière entre Haïti et la République Dominicaine incluant la création de semis et de plantules destinés à la réintégration en milieu naturel. ce projet doit aussi soutenir des programmes de gestion durable des bassins versants des rivières Massacre et Pédernales.
A l’issue de la cérémonie, les deux Ministres et la Secrétaire d'État norvégienne aux affaires étrangères, ont signé la Déclaration d'intention de Ouanaminthe, dans laquelle ils ont réaffirmé la nécessité de se mettre ensemble pour contribuer à la protection de l'environnement et à la conservation des ressources naturelles sur la frontière Haïtien-dominicaine.
Des personnalités importantes ont assisté à cette cérémonie : la Représentante du système des Nations Unies, le Maire de Ouanaminthe, le délégué Départemental, le Sénateur Jean-Baptiste Bien-Aimé, le Vice-délégué d'arrondissement et le commissaire de police de l'arrondissement. Des organisations paysannes, des organisations de femmes, des membres de la Société civile ont aussi participé à ce grand évènement. Des instances, telles le PNUE (Programme des Nations unies pour l'environnement), le PNUD (Programme des Nations unies pour le développement) et les autorités locales sont directement impliquées dans ce projet.
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