Martelly : un petit Lescot en devenir
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Martelly : un petit Lescot en devenir
Michel Martelly est en train de filer un mauvais coton. Ses adversaires déclarés et ennemis camouflés aussi. Sans s’en rendre compte, ils sont en train de replonger le pays dans le dix-neuvième siècle haïtien des luttes de factions minoritaires pour le contrôle du pouvoir. On sent aussi, à l’œuvre, dans cette empoignade qui entoure la question du Premier ministre et le malaise social actuel, l’odeur suffocante des doctrines de l’exclusion de notre vingtième siècle de l’agitation de classes et coloriste. Avec Martelly, Haïti semble au seuil d’une plongée imméritée dans les abysses de nos grottes historiques. Les créatures qui peuplent ces lieux ne sont point recommandables. Nos politiciens feraient mieux de les laisser mourir de leur pourrissement.
Les penchants claniques des uns et des autres et leurs orientations politicardes puériles se confirment au fil des décisions et des prises de position. La République est en très mauvaise tenue. Voire en compagnie discutable. Le Président doit, impérativement, marquer une vraie rupture dans la fausse rupture qu’il incarne jusque-là. Ses choix paniquent. Car ils paraissent s’inscrire, pour l’essentiel, dans un pattern. Un registre social qui relèverait du copinage de quartier. Il n’y a pas que Bernard Gousse qui fasse grimacer. Les six personnalités désignées par M. Martelly pour représenter l’exécutif au sein de la CIRH font l’objet de sourdes contestations. Des contestations qui n’osent s’exprimer publiquement puisque motivées par des considérations de classe et de couleur. Un intellectuel et sociologue de renom, noir mais non noiriste, apparenté à la gauche démocratique, crie, en privé, au scandale face à ces choix. C’est un vrai danger pour le pays, commente-t-il, que Martelly ne puisse voir au-delà de son petit cercle restreint d’amis. Un autre intellectuel, de grande notoriété, très enthousiaste à l’élection de Martelly durant la campagne électorale, et relevant de la droite centriste, voit dans ces désignations une volonté du pouvoir actuel « d’écarter les couches moyennes éclairées de la gestion des affaires politiques d’Haïti ». Il invoque la révolution de 1946 pour rejeter ce qu’il juge être de l’exclusion de classe et camper les élites des classes moyennes comme les gestionnaires naturels du pouvoir d’État.
Ainsi, pendant que le focus est mis sur des figures officielles hostiles à Martelly, comme le tonitruant sénateur Moise Jean- Charles, et des entités politiques reconnues comme Inite et le Groupe parlementaire GPR, une autre forme d’opposition, elle-même plus insidieuse, plus dangereuse et létale, plus haïtienne, donc plus astucieuse et marronne, se constitue en front du refus face à Martelly. Cette opposition n’aura peut-être, jamais le courage de s’assumer pour ce qu’elle est. Mais elle est là. Elle s’exprime à mots voilés. Dans des codes à décrypter. Des chuchotements. Des confidences entre cousins de la classe. De la gauche à la droite, la peur qu’inspire le clan Martelly a réactivé de vieilles solidarités tribales qui transcendent les traditionnelles polarisations partisanes de circonstance.
L’incident du dimanche 24 juillet au Cap-Haïtien, au cours duquel le cortège présidentiel a été assailli de jets de pierre, d’urines et de tessons de bouteille, est loin d’être mineur. Il traduit un mécontentement qui se radicalise et qu’expriment, dans la rage, des secteurs politiques pro-lavalas. Il s’inscrit dans un contexte de frustration quasi générale. Cette frustration traverse des segments sociaux divers et assez politisés. Les Haïtiens n’avaient jamais osé franchir, dans l’Haïti contemporaine, cette ligne de l’agression ouverte contre leur chef d’État. C’est dire qu’un ressort est cassé quelque part. Une digue est brisée. Peut-être que la fonction présidentielle, abaissée, rabaissée et avilie par le fait de ses récents titulaires, n’inspire plus respect et déférence, et qu’à cet avilissement des déséquilibrés et des enragés se proposent d’ajouter un peu de leur propre souillure. D’autres hypothèses sont à explorer, même si la thèse de la tentative d’assassinat accréditée par la présidence et mille fois colportée par le fougueux et sulfureux sénateur Edwin D. Zenny du Sud-Est, nous semble plutôt spécieuse. Le Nord est coutumier de ces insolences quand il veut se faire entendre. Bien qu’avec Martelly il y ait eu de l’escalade, Aristide et Préval, en tant que présidents, n’avaient pas toujours été bien accueillis dans la cite capoise quand ils osaient s’y aventurer en temps de mécontentement. Pour Préval, c’est même une ville maudite depuis cet épisode d’excréments humains en 1996.
Si l’on met de côté les meurtres-spectacles ayant pour objet d’obtenir un effet théâtral, comme dans l’exemple de ce détraqué qui, en 1981, tentait de tuer le président américain, Ronald Reagan, pour impressionner sa petite amie par un acte de bravoure, les meurtres de chefs d’État poursuivent, généralement, un projet politique et idéologique précis. Il ne s’agit pas d’actes gratuits. Derrière les assassinats d’Abraham Lincoln, de John Fitzgerald Kennedy, de Jean-Jacques Dessalines et de Cincinnatus Leconte, il y a eu de grands intérêts et des motivations politiques de premier ordre. Nous n’en sommes pas encore là dans l’Haïti de Martelly. Si la politique a toujours entretenu, chez nous, des liaisons dangereuses avec le meurtre, c’est le pouvoir qui, le plus souvent, tue ses adversaires et d’innocentes personnes. Pas l’inverse.
Au pouvoir, le couple Martelly doit, certes, éviter ces bains de foule effectués dans la désinvolture populiste. On ne sait jamais. Cependant, ce qu’il faut éviter le plus, c’est un nouveau clash social. Un clash né de peurs multiples. De nos traditionnelles fractures de classes. Et alimenté par des choix politiques mal pensés.
Daly Valet
Les penchants claniques des uns et des autres et leurs orientations politicardes puériles se confirment au fil des décisions et des prises de position. La République est en très mauvaise tenue. Voire en compagnie discutable. Le Président doit, impérativement, marquer une vraie rupture dans la fausse rupture qu’il incarne jusque-là. Ses choix paniquent. Car ils paraissent s’inscrire, pour l’essentiel, dans un pattern. Un registre social qui relèverait du copinage de quartier. Il n’y a pas que Bernard Gousse qui fasse grimacer. Les six personnalités désignées par M. Martelly pour représenter l’exécutif au sein de la CIRH font l’objet de sourdes contestations. Des contestations qui n’osent s’exprimer publiquement puisque motivées par des considérations de classe et de couleur. Un intellectuel et sociologue de renom, noir mais non noiriste, apparenté à la gauche démocratique, crie, en privé, au scandale face à ces choix. C’est un vrai danger pour le pays, commente-t-il, que Martelly ne puisse voir au-delà de son petit cercle restreint d’amis. Un autre intellectuel, de grande notoriété, très enthousiaste à l’élection de Martelly durant la campagne électorale, et relevant de la droite centriste, voit dans ces désignations une volonté du pouvoir actuel « d’écarter les couches moyennes éclairées de la gestion des affaires politiques d’Haïti ». Il invoque la révolution de 1946 pour rejeter ce qu’il juge être de l’exclusion de classe et camper les élites des classes moyennes comme les gestionnaires naturels du pouvoir d’État.
Ainsi, pendant que le focus est mis sur des figures officielles hostiles à Martelly, comme le tonitruant sénateur Moise Jean- Charles, et des entités politiques reconnues comme Inite et le Groupe parlementaire GPR, une autre forme d’opposition, elle-même plus insidieuse, plus dangereuse et létale, plus haïtienne, donc plus astucieuse et marronne, se constitue en front du refus face à Martelly. Cette opposition n’aura peut-être, jamais le courage de s’assumer pour ce qu’elle est. Mais elle est là. Elle s’exprime à mots voilés. Dans des codes à décrypter. Des chuchotements. Des confidences entre cousins de la classe. De la gauche à la droite, la peur qu’inspire le clan Martelly a réactivé de vieilles solidarités tribales qui transcendent les traditionnelles polarisations partisanes de circonstance.
L’incident du dimanche 24 juillet au Cap-Haïtien, au cours duquel le cortège présidentiel a été assailli de jets de pierre, d’urines et de tessons de bouteille, est loin d’être mineur. Il traduit un mécontentement qui se radicalise et qu’expriment, dans la rage, des secteurs politiques pro-lavalas. Il s’inscrit dans un contexte de frustration quasi générale. Cette frustration traverse des segments sociaux divers et assez politisés. Les Haïtiens n’avaient jamais osé franchir, dans l’Haïti contemporaine, cette ligne de l’agression ouverte contre leur chef d’État. C’est dire qu’un ressort est cassé quelque part. Une digue est brisée. Peut-être que la fonction présidentielle, abaissée, rabaissée et avilie par le fait de ses récents titulaires, n’inspire plus respect et déférence, et qu’à cet avilissement des déséquilibrés et des enragés se proposent d’ajouter un peu de leur propre souillure. D’autres hypothèses sont à explorer, même si la thèse de la tentative d’assassinat accréditée par la présidence et mille fois colportée par le fougueux et sulfureux sénateur Edwin D. Zenny du Sud-Est, nous semble plutôt spécieuse. Le Nord est coutumier de ces insolences quand il veut se faire entendre. Bien qu’avec Martelly il y ait eu de l’escalade, Aristide et Préval, en tant que présidents, n’avaient pas toujours été bien accueillis dans la cite capoise quand ils osaient s’y aventurer en temps de mécontentement. Pour Préval, c’est même une ville maudite depuis cet épisode d’excréments humains en 1996.
Si l’on met de côté les meurtres-spectacles ayant pour objet d’obtenir un effet théâtral, comme dans l’exemple de ce détraqué qui, en 1981, tentait de tuer le président américain, Ronald Reagan, pour impressionner sa petite amie par un acte de bravoure, les meurtres de chefs d’État poursuivent, généralement, un projet politique et idéologique précis. Il ne s’agit pas d’actes gratuits. Derrière les assassinats d’Abraham Lincoln, de John Fitzgerald Kennedy, de Jean-Jacques Dessalines et de Cincinnatus Leconte, il y a eu de grands intérêts et des motivations politiques de premier ordre. Nous n’en sommes pas encore là dans l’Haïti de Martelly. Si la politique a toujours entretenu, chez nous, des liaisons dangereuses avec le meurtre, c’est le pouvoir qui, le plus souvent, tue ses adversaires et d’innocentes personnes. Pas l’inverse.
Au pouvoir, le couple Martelly doit, certes, éviter ces bains de foule effectués dans la désinvolture populiste. On ne sait jamais. Cependant, ce qu’il faut éviter le plus, c’est un nouveau clash social. Un clash né de peurs multiples. De nos traditionnelles fractures de classes. Et alimenté par des choix politiques mal pensés.
Daly Valet
Goya- Star
-
Nombre de messages : 490
Localisation : Montreal
Loisirs : lecture
Date d'inscription : 20/11/2010
Re: Martelly : un petit Lescot en devenir
Une analyse politique intelligente.Elle est lumineuse et bien centrée sur l'histoire politique d'Haiti.
A lire et à relire
A lire et à relire
Marc H- Super Star
-
Nombre de messages : 10031
Localisation : Quebec
Opinion politique : Démocrate
Loisirs : soccer
Date d'inscription : 28/08/2006
Feuille de personnage
Jeu de rôle: Le voyeur
Re: Martelly : un petit Lescot en devenir
Goya,
De grace ! Vous ne pouvez pas faire mieux que publier un article de mauvais gout qui représente la tradition de l'hypocrisie sociale de chez nous sur forumhaiti ? Cessez donc cette vulgarite de l’onanisme intellectuel de souche noiriste. La question de couleur était toujours là, à fleur de peau .Elle faisait la navette entre les groupes sociaux que nous nommons avec moquerie « classes » .Elle montrait sa tête hideuse chaque fois que l’insatisfaction noiriste ne pouvait pas imposer les vices de son idéologie.
Le défroqué, l’apostat et le renégat en faisait l’exploitation. Il égratignait ponctuellement les cicatrices de notre passé pour provoquer une hémorragie en employant les mots codés du racisme latent qui fait de nous de pauvres êtres a la psychologie incapable d'atteindre la maturité et l'intégration psychique nécessaire à notre développement collectif. Maintenant, sous la plume de Valet, son nom lui va bien, elle refait surface avec la rage de la recrudescence torrentielle qui veut briser toutes les digues de la décence parce qu'il y a tout simplement un homme a la peau claire qui occupe la présidence.
Notre pauvre président ! On veut le faire porter un fardeau auquel il n’avait jamais pensé parce que ce sont les haïtiens à la peau sombre qui remplissaient les salles de spectacle où il offrait la musique entrainante de son groupe musical. Quelle affreuse dichotomie mise en place par les fumistes et les apatrides pour saigner à blanc le pays haïtien ! Tous les parasites se veulent conscients de la question de couleur car le manque de talent exige l’octroi d’une sinécure au niveau de l’etat.
Il faut bien comprendre ce phénomène du « colorisme » qui vit à l’affut d’opportunités dans la tête des aigris .Les noiristes avaient juré qu'il n'y aura jamais un homme a la peau claire a la présidence du pays pendant le temps de leur vie .Ils ont abusé la confiance de la nation et ils ont humilie la patrie au faite de leur arrogance politique et ils ont entrainé dans la boue sale de tous les vices et de la décrépitude morale et de la déchéance les idéaux des fondateurs de la patrie .
Ils ont perdu leur pari a tous les niveaux .Maintenant ils sont en colère et agités d'idées de vengeance contre l'histoire et le destin. Mais le glas a sonné. L’histoire universelle en marche ne recule pas vers l’arrière pour repêcher les incapables, les mauvais coucheurs, les parasites et les retardataires qui ne vibrent pas au rythme de sa démarche évolutive.
C'est malheureux ces soubresauts d'une agonie qui semble arriver par surprise au seuil de la porte des bons viveurs, des fainéants du devoir, des bambocheurs de la paresse intellectuelle et de la vision citoyenne qui ne voient pas l’harmonie qui doit exister entre pays, patrie, nation et les unités sociales qui forment le corps politique . Ils semblent tout étonnés de constater que le noirisme est en train de passer l’arme à gauche dans les Amériques. Bientôt, la mondialisation va finir par gober tous les vieux récalcitrants d’une idéologie fanée à se frotter contre l'usure du temps et le trop plein de discours maladroits et empruntés.
Les entretiens, causeries et conciliabules verbeux sur la réconciliation et l'entente ne trompent personne apres ces serments subtils d'allégeance à la politicaillerie lavalasse et allies inité-lespwa. Le noirisme a fait son chemin. Le noiriste dê la grandiloquence n’est plus un hero meme parmi les siens .Si le racisme blanc agonise avec tous les moyens économiques qu'il avait à sa disposition ce n’est pas le noirisme déchevelé tiers-mondiste qui va se repaitre sur son cadavre pour revivre une fantaisie morbide d’idéologues incompétent qui souffrent de la psychologie de l’Impuissance.
De grace ! Vous ne pouvez pas faire mieux que publier un article de mauvais gout qui représente la tradition de l'hypocrisie sociale de chez nous sur forumhaiti ? Cessez donc cette vulgarite de l’onanisme intellectuel de souche noiriste. La question de couleur était toujours là, à fleur de peau .Elle faisait la navette entre les groupes sociaux que nous nommons avec moquerie « classes » .Elle montrait sa tête hideuse chaque fois que l’insatisfaction noiriste ne pouvait pas imposer les vices de son idéologie.
Le défroqué, l’apostat et le renégat en faisait l’exploitation. Il égratignait ponctuellement les cicatrices de notre passé pour provoquer une hémorragie en employant les mots codés du racisme latent qui fait de nous de pauvres êtres a la psychologie incapable d'atteindre la maturité et l'intégration psychique nécessaire à notre développement collectif. Maintenant, sous la plume de Valet, son nom lui va bien, elle refait surface avec la rage de la recrudescence torrentielle qui veut briser toutes les digues de la décence parce qu'il y a tout simplement un homme a la peau claire qui occupe la présidence.
Notre pauvre président ! On veut le faire porter un fardeau auquel il n’avait jamais pensé parce que ce sont les haïtiens à la peau sombre qui remplissaient les salles de spectacle où il offrait la musique entrainante de son groupe musical. Quelle affreuse dichotomie mise en place par les fumistes et les apatrides pour saigner à blanc le pays haïtien ! Tous les parasites se veulent conscients de la question de couleur car le manque de talent exige l’octroi d’une sinécure au niveau de l’etat.
Il faut bien comprendre ce phénomène du « colorisme » qui vit à l’affut d’opportunités dans la tête des aigris .Les noiristes avaient juré qu'il n'y aura jamais un homme a la peau claire a la présidence du pays pendant le temps de leur vie .Ils ont abusé la confiance de la nation et ils ont humilie la patrie au faite de leur arrogance politique et ils ont entrainé dans la boue sale de tous les vices et de la décrépitude morale et de la déchéance les idéaux des fondateurs de la patrie .
Ils ont perdu leur pari a tous les niveaux .Maintenant ils sont en colère et agités d'idées de vengeance contre l'histoire et le destin. Mais le glas a sonné. L’histoire universelle en marche ne recule pas vers l’arrière pour repêcher les incapables, les mauvais coucheurs, les parasites et les retardataires qui ne vibrent pas au rythme de sa démarche évolutive.
C'est malheureux ces soubresauts d'une agonie qui semble arriver par surprise au seuil de la porte des bons viveurs, des fainéants du devoir, des bambocheurs de la paresse intellectuelle et de la vision citoyenne qui ne voient pas l’harmonie qui doit exister entre pays, patrie, nation et les unités sociales qui forment le corps politique . Ils semblent tout étonnés de constater que le noirisme est en train de passer l’arme à gauche dans les Amériques. Bientôt, la mondialisation va finir par gober tous les vieux récalcitrants d’une idéologie fanée à se frotter contre l'usure du temps et le trop plein de discours maladroits et empruntés.
Les entretiens, causeries et conciliabules verbeux sur la réconciliation et l'entente ne trompent personne apres ces serments subtils d'allégeance à la politicaillerie lavalasse et allies inité-lespwa. Le noirisme a fait son chemin. Le noiriste dê la grandiloquence n’est plus un hero meme parmi les siens .Si le racisme blanc agonise avec tous les moyens économiques qu'il avait à sa disposition ce n’est pas le noirisme déchevelé tiers-mondiste qui va se repaitre sur son cadavre pour revivre une fantaisie morbide d’idéologues incompétent qui souffrent de la psychologie de l’Impuissance.
Invité- Invité
Re: Martelly : un petit Lescot en devenir
Daly, daly, daly valet l'excommunié martelliste, l'insatisfait ou le politicien roulem debor?
_________________
Comme toi, il n'en est qu'un, deviens donc qui tu es.
"Ceux qui ont le pouvoir de faire le mal et qui savent ne pas le faire sont des Seigneurs" (Shakespeare)
kami- animatrice
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Opinion politique : La séparation des pouvoirs
Loisirs : Lecture, Dormir
Date d'inscription : 20/08/2006
Feuille de personnage
Jeu de rôle:
Re: Martelly : un petit Lescot en devenir
DEPI EN 1940 YAP WONFLE BOUDA PEP LA SOU AFE TI ROUJ TI NWA.
SA NOU FE POU PEP LA MESYE LE NWARIST DEPI 70 ANS NOU TELMAN WOULE YO DE BO TOUT AYISYEN C DLO KK YAP BWE E NEG KI PI WINMIN AFE NWARIST LA C KAY GWO BLAN YO CHITA A PWAN AVANTAJ O LYE YO VINI EDE PEP SA.
GINYEN KI DOKTE LA DAN YO YO POKO JAM BY YUN AYISYEN YUN PIKI GRATIS CHITA AP TAN ARISTIDE RELE YO POU YUN JOB VINI SOUSE TOU .
APRE SA OU PWAL WE LAP DI A MON CHERRRR C PA DE FRAPE MWEN FRAPE POU ARISTIDE SOU FORUM HAITI C FAN MWEN FAN YO YO KONPWAN YO TE KA PASE ..
MIN KALITE AYISYEN NOU GINYEN LA.
FRANCOIS DUVALIER TE GINYEN REZON DI....
HAITI N'A POINT D'ENNEMIS QUE CELLES DE LA PATRIE
SA NOU FE POU PEP LA MESYE LE NWARIST DEPI 70 ANS NOU TELMAN WOULE YO DE BO TOUT AYISYEN C DLO KK YAP BWE E NEG KI PI WINMIN AFE NWARIST LA C KAY GWO BLAN YO CHITA A PWAN AVANTAJ O LYE YO VINI EDE PEP SA.
GINYEN KI DOKTE LA DAN YO YO POKO JAM BY YUN AYISYEN YUN PIKI GRATIS CHITA AP TAN ARISTIDE RELE YO POU YUN JOB VINI SOUSE TOU .
APRE SA OU PWAL WE LAP DI A MON CHERRRR C PA DE FRAPE MWEN FRAPE POU ARISTIDE SOU FORUM HAITI C FAN MWEN FAN YO YO KONPWAN YO TE KA PASE ..
MIN KALITE AYISYEN NOU GINYEN LA.
FRANCOIS DUVALIER TE GINYEN REZON DI....
HAITI N'A POINT D'ENNEMIS QUE CELLES DE LA PATRIE
Invité- Invité
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