Scandale de corruption : le Parlement joue au ping-pong.
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Scandale de corruption : le Parlement joue au ping-pong.
Corruption. L’un des mots les plus courants de notre société. Dégénérescence. Avilissement. La présidence haïtienne est salie. Le pouvoir du 14 mai aura vécu en moins d’un an des crises aussi graves que celles qu’on a connues depuis plus de vingt-cinq ans de transition trébuchante. Crise de nationalité. Crise d’identité. Crise de gouvernance. Crise du cash. Michel Martelly en a eu pour son baptême de feu en politique. Corruption au plus haut niveau de l’État. Le sulfureux homme d’affaires dominicain et sénateur de San Juan, Felix Bautista, aurait arrosé les deux candidats qui se sont affrontés au second tour de la dernière présidentielle haïtienne. Que dire ? Que faire ? Les parlementaires, très concernés pourtant dans le contrôle du pouvoir exécutif, restent muets. Auraient-ils reçu leur part du gâteau ?
La société haïtienne se trouve face à un nouveau scandale. Des politiques haïtiens y seraient mouillés jusqu’au cou. La dernière présidentielle est au milieu des débats. Cette fois, l’homme au crâne rasé qui est désormais dans le maquis n’est pas le sujet à débattre. Gaillot Dorsinvil mis entre parenthèses. Les choses coulent un peu à flots pour lui qui semble être de tout repos après les scandales électoraux.
Cette fois, une question de pots-de-vin versés aux deux candidats qui se sont affrontés dans le dernier round défraie la chronique. Felix Bautista a tenté. Il a osé. Il aurait réussi à infester des responsables politiques de haut niveau. Pas des moindres : le président de la République et son ancienne concurrente. Choix intelligent. D’un bon homme d’affaires. Il a bien avancé ses pions. Contrats juteux contre rétrocommissions.
La commission dominicaine de lutte contre la corruption commence déjà à enquêter sur ce nouveau scandale qui vient de mettre l’île entière en effervescence. Alors qu’aucune institution en Haïti ne se charge de mener aucune enquête sur ce nouvel esclandre financier.
Hadom, Doce, Rofi, des entreprises signées Señor Bautista. Ce sénateur est un grand homme d’affaires. Véritable bras financier du Parti Libéral dominicain (PLD). Ses compagnies, présentes en Haïti depuis le séisme du 12 janvier. Jean-Max Bellerive et René Préval, sous l’ombre d’une loi d’urgence scélérate très contestée au niveau de la société haïtienne, ont accordé à ce seul homme près de 400 millions de dollars de contrats le 8 novembre 2010.
Felix Bautista, considéré comme un délinquant pour avoir déjà fait la prison dans son pays pour des crimes financiers au début des années 2000, paraît très controversé sur la question de l’argent chaud qu’il aurait versé à des candidats haïtiens. Il a lui-même demandé à la justice dominicaine de se saisir de l’affaire. La commission dominicaine de lutte contre la corruption commence déjà à enquêter sur ce nouveau scandale qui vient de mettre l’île entière en effervescence. Alors qu’aucune institution en Haïti ne se charge de mener aucune enquête sur ce nouvel esclandre financier.
L’Unité de lutte contre la corruption (ULCC), l’Unité centrale de renseignement financier (Ucref), encore moins le Parlement ne s’attèlent à diligenter une enquête pour approfondir, côté haïtien, les révélations de la journaliste dominicaine Nuria Piera. Des déclarations à tout bout de champ. Des opinions au lieu d’un approfondissement sérieux visant à évacuer la question. Les politiciens se retirent sur la pointe des pieds. Ils veulent s’en laver les mains. Pas le moindre bruit. Alors que l’institution parlementaire a pour obligation de se prononcer sur l’affaire.
Parlement : des positions abracadabrantes
Après que le scandale eut éclaté et mis toute l’île en émoi, des attentes sont grandes quant au suivi que devraient donner les autorités haïtiennes. Le Parlement en particulier. Ces législateurs ne sont jusqu’à présent pas rassurants. Ils opinent. Ils s’amusent à des gymnastiques intellectuelles au lieu de faire le nécessaire. Déjà une semaine depuis l’éclatement du dossier, députés et sénateurs pratiquent la langue de bois.
Ils semblent envoyer tout le monde au diable. Un véritable jeu de ping-pong. Les sénateurs, en particulier, ne font que demander à des structures ayant une expertise en la matière de creuser le dossier en vue de mettre la main au collet des coupables. Le député Sadrac Dieudonné, responsable de la commission anticorruption à la Chambre basse, parle de crime de haute trahison si l’information est vérifiée. Pas plus. Aucun suivi ne s’annonce pour l’instant. Sauf la formation d’une commission d’enquête parlementaire annoncée par le député de la circonscription Croix-des-Bouquets/Thomazeau, Jean Tholbert Alexis. Laxisme. Incurie. Les parlementaires jouent à cache-cache.
Madame Manigat jure sur sa moralité et son passé […], sans se soucier de mener enquête au sein de son équipe de campagne.
Le deuxième sénateur des Nippes parle, de son côté, de grand crime de corruption. Jean William Jeanty rend responsables les parlementaires de la 48e législature qui avaient, tête baissée, voté une perfide loi d’urgence pour donner libre champ à René Préval, Jean-Max Bellerive et consorts. Pour le dirigeant politique, ces deals et trous noirs entretenus par des dirigeants de mauvais aloi ne pouvaient donner d’autre résultat que des scandales, de la corruption, des pots-de-vin.
Michel Martelly et Mirlande Manigat épinglés dans le scandale ne font que réagir par des notes de presse et des déclarations dans les médias. Madame Manigat jure sur sa moralité et son passé pour démantibuler la thèse de la journaliste Nuria Piera, sans se soucier de mener une enquête au sein de son équipe de campagne. Le président de la République en fait de même. Des réponses laconiques. Peu convaincantes. Cependant, la tension continue de monter et le dossier fait encore des vagues. Des parlementaires, dont les identités restent encore inconnues, seraient également impliqués dans ces transactions. Comme quoi, « tout moun jwenn ».
Joseph Chanoine Charles
La société haïtienne se trouve face à un nouveau scandale. Des politiques haïtiens y seraient mouillés jusqu’au cou. La dernière présidentielle est au milieu des débats. Cette fois, l’homme au crâne rasé qui est désormais dans le maquis n’est pas le sujet à débattre. Gaillot Dorsinvil mis entre parenthèses. Les choses coulent un peu à flots pour lui qui semble être de tout repos après les scandales électoraux.
Cette fois, une question de pots-de-vin versés aux deux candidats qui se sont affrontés dans le dernier round défraie la chronique. Felix Bautista a tenté. Il a osé. Il aurait réussi à infester des responsables politiques de haut niveau. Pas des moindres : le président de la République et son ancienne concurrente. Choix intelligent. D’un bon homme d’affaires. Il a bien avancé ses pions. Contrats juteux contre rétrocommissions.
La commission dominicaine de lutte contre la corruption commence déjà à enquêter sur ce nouveau scandale qui vient de mettre l’île entière en effervescence. Alors qu’aucune institution en Haïti ne se charge de mener aucune enquête sur ce nouvel esclandre financier.
Hadom, Doce, Rofi, des entreprises signées Señor Bautista. Ce sénateur est un grand homme d’affaires. Véritable bras financier du Parti Libéral dominicain (PLD). Ses compagnies, présentes en Haïti depuis le séisme du 12 janvier. Jean-Max Bellerive et René Préval, sous l’ombre d’une loi d’urgence scélérate très contestée au niveau de la société haïtienne, ont accordé à ce seul homme près de 400 millions de dollars de contrats le 8 novembre 2010.
Felix Bautista, considéré comme un délinquant pour avoir déjà fait la prison dans son pays pour des crimes financiers au début des années 2000, paraît très controversé sur la question de l’argent chaud qu’il aurait versé à des candidats haïtiens. Il a lui-même demandé à la justice dominicaine de se saisir de l’affaire. La commission dominicaine de lutte contre la corruption commence déjà à enquêter sur ce nouveau scandale qui vient de mettre l’île entière en effervescence. Alors qu’aucune institution en Haïti ne se charge de mener aucune enquête sur ce nouvel esclandre financier.
L’Unité de lutte contre la corruption (ULCC), l’Unité centrale de renseignement financier (Ucref), encore moins le Parlement ne s’attèlent à diligenter une enquête pour approfondir, côté haïtien, les révélations de la journaliste dominicaine Nuria Piera. Des déclarations à tout bout de champ. Des opinions au lieu d’un approfondissement sérieux visant à évacuer la question. Les politiciens se retirent sur la pointe des pieds. Ils veulent s’en laver les mains. Pas le moindre bruit. Alors que l’institution parlementaire a pour obligation de se prononcer sur l’affaire.
Parlement : des positions abracadabrantes
Après que le scandale eut éclaté et mis toute l’île en émoi, des attentes sont grandes quant au suivi que devraient donner les autorités haïtiennes. Le Parlement en particulier. Ces législateurs ne sont jusqu’à présent pas rassurants. Ils opinent. Ils s’amusent à des gymnastiques intellectuelles au lieu de faire le nécessaire. Déjà une semaine depuis l’éclatement du dossier, députés et sénateurs pratiquent la langue de bois.
Ils semblent envoyer tout le monde au diable. Un véritable jeu de ping-pong. Les sénateurs, en particulier, ne font que demander à des structures ayant une expertise en la matière de creuser le dossier en vue de mettre la main au collet des coupables. Le député Sadrac Dieudonné, responsable de la commission anticorruption à la Chambre basse, parle de crime de haute trahison si l’information est vérifiée. Pas plus. Aucun suivi ne s’annonce pour l’instant. Sauf la formation d’une commission d’enquête parlementaire annoncée par le député de la circonscription Croix-des-Bouquets/Thomazeau, Jean Tholbert Alexis. Laxisme. Incurie. Les parlementaires jouent à cache-cache.
Madame Manigat jure sur sa moralité et son passé […], sans se soucier de mener enquête au sein de son équipe de campagne.
Le deuxième sénateur des Nippes parle, de son côté, de grand crime de corruption. Jean William Jeanty rend responsables les parlementaires de la 48e législature qui avaient, tête baissée, voté une perfide loi d’urgence pour donner libre champ à René Préval, Jean-Max Bellerive et consorts. Pour le dirigeant politique, ces deals et trous noirs entretenus par des dirigeants de mauvais aloi ne pouvaient donner d’autre résultat que des scandales, de la corruption, des pots-de-vin.
Michel Martelly et Mirlande Manigat épinglés dans le scandale ne font que réagir par des notes de presse et des déclarations dans les médias. Madame Manigat jure sur sa moralité et son passé pour démantibuler la thèse de la journaliste Nuria Piera, sans se soucier de mener une enquête au sein de son équipe de campagne. Le président de la République en fait de même. Des réponses laconiques. Peu convaincantes. Cependant, la tension continue de monter et le dossier fait encore des vagues. Des parlementaires, dont les identités restent encore inconnues, seraient également impliqués dans ces transactions. Comme quoi, « tout moun jwenn ».
Joseph Chanoine Charles
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Date d'inscription : 20/11/2010
Re: Scandale de corruption : le Parlement joue au ping-pong.
Tout moun jwen !
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Re: Scandale de corruption : le Parlement joue au ping-pong.
Lè Michel Soukar te di Jeannette Max Bellerive se yon espyon nanpren oken moun ki te okipel jodya nou tout wè sal te di ya.Menm isit la marc Henry te pran Bellerive pou yon sen.se bagay saa ki fè koruptyon pap janm fini nan peyi ya.martelly te pito revoke Dr conille poul te kite Bellerive nan sen li paske yo tou 2 se menm kabrit tomazo .Lem te kon ap mande ki sa bellerive te fè kom Minis planificatyon nan peyi pou yo bal tout kredi sa yo genyen moun ki te vle kouri ak mwen.e byen men rezilta yo.Lè Martelly te kanpe li te di haiti is open for business anpil nan nou pat konprann sal vle di mwen te konprann byen sa martelly vle di.e 300 kilo kokayine ke to sezi bor tabarre se yon nan business li vle ki rekomanse an ayiti.Se bon pou lwa se pa Aristide yo pat vle wè.se bagay saa ki fè moun ki genyen entelijans ka konprann pou ki sa Guy phillipe ak Chamblain te ka traverse frontyè ak gwo zam pou yo te vinn destabilise peyi ya.Mafya ki kontwole lil pa beswen moun tankou Aristide o pouvwa an ayiti.e map repetel pou tout moun ka tande pou genyen reform serye ki fet nan ayiti tout bon premye bagay ke yon gouvenman serye dwe fè se kontwole frontyè du Nord'est jusqu'au Sud'est.Zafè universite limonade la se yon cheval de troie vre ke li ye.
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Re: Scandale de corruption : le Parlement joue au ping-pong.
Rozo,
Nou ka wè poukisa miki pa vle me CSPN nan kanpe si nap reflechi a pati eskandal politico-finansye sa'a.
Lè yon prezidan gen tout dosié nou konnen yo sou do li, sitou lè non'l site kòm komisyonè ou benefisyè nan pi gwo eskandal finansye zòn karaib la janm kon-nen kouman vle li ta ren-men wè la jistis soti anba grif li. Depi eskonbrit koripsyon sa'a pete, otorite jidisyè dominiken yo gentan mete yo an branl, prokirè nan lit kont la koripsyon, la polis ak lòt anti ankò mete Bautista sou ankèt. Ou santi menmsi o se yon peyi tiè monde konronpi tankou nou : yon gen ti sans de lonè, respè pou tèt yo pou enstistisyon du mwens pwoteksyon enstitisyon lakay yo.
Nan ka pa nou la jistis, palman, inite lit kont la koripsyon pa gouye, yo rete rèd. Li sanble nòmal pou pi gwo otorite nan leta'a ap fè koutay sou do pèp li, ke m'sye mele nan sòt de bagay sal pou detwi ou mete atè palt sak rete de enstitisyon nan peyi sa'a. Si prezidan'an se yon ...machan'n kontra, gesyonè yon rezo fosè kap fè fo dokiman, fonksyone sou plizyè idantite sa kap anpeche yon sitoyen revandike men-m pratik sa yo.
Mately bezwen yon systèm jidicyè ki pre pou pwodwi dè jig Kavès kap voye kriminèl politik, ekonomik, kòm nan ka Divalye'a, mal gre prèv ki disponib nan echèl entènasyonal, nan peyi la Swis patikilyèman, sou valè lajan Janklod vòlè pou peyi'a, o koreksyonèl. Se ak mòd jistis sa'a yon prezidan nan dimansyon Matelly akomode'l.
Nou pa ka mande'l po fè dè choz an grand ki pa ditou sanble ak pèsonalite'l.
Sa'm fin pa ran'n mwen kont a pati de skandal finansye sa'a, de konpòtman enstitisyon Léta'a ki ta dwe trete yon ka konsa ki enplike Prezidan Repiblik la ak tout rigè sa mande pou fè verite eklate, tren-nen koupab yo devan lajistis, non sèlman pa gen espwa pou Haiti men se volontèman mòd peyi'a sa'a nou swete kite pou pitit nou demen. Se yon chwa delibere de sosyete.
E moute Miki sou pouwa'a pwouve sa.
Nou ka wè poukisa miki pa vle me CSPN nan kanpe si nap reflechi a pati eskandal politico-finansye sa'a.
Lè yon prezidan gen tout dosié nou konnen yo sou do li, sitou lè non'l site kòm komisyonè ou benefisyè nan pi gwo eskandal finansye zòn karaib la janm kon-nen kouman vle li ta ren-men wè la jistis soti anba grif li. Depi eskonbrit koripsyon sa'a pete, otorite jidisyè dominiken yo gentan mete yo an branl, prokirè nan lit kont la koripsyon, la polis ak lòt anti ankò mete Bautista sou ankèt. Ou santi menmsi o se yon peyi tiè monde konronpi tankou nou : yon gen ti sans de lonè, respè pou tèt yo pou enstistisyon du mwens pwoteksyon enstitisyon lakay yo.
Nan ka pa nou la jistis, palman, inite lit kont la koripsyon pa gouye, yo rete rèd. Li sanble nòmal pou pi gwo otorite nan leta'a ap fè koutay sou do pèp li, ke m'sye mele nan sòt de bagay sal pou detwi ou mete atè palt sak rete de enstitisyon nan peyi sa'a. Si prezidan'an se yon ...machan'n kontra, gesyonè yon rezo fosè kap fè fo dokiman, fonksyone sou plizyè idantite sa kap anpeche yon sitoyen revandike men-m pratik sa yo.
Mately bezwen yon systèm jidicyè ki pre pou pwodwi dè jig Kavès kap voye kriminèl politik, ekonomik, kòm nan ka Divalye'a, mal gre prèv ki disponib nan echèl entènasyonal, nan peyi la Swis patikilyèman, sou valè lajan Janklod vòlè pou peyi'a, o koreksyonèl. Se ak mòd jistis sa'a yon prezidan nan dimansyon Matelly akomode'l.
Nou pa ka mande'l po fè dè choz an grand ki pa ditou sanble ak pèsonalite'l.
Sa'm fin pa ran'n mwen kont a pati de skandal finansye sa'a, de konpòtman enstitisyon Léta'a ki ta dwe trete yon ka konsa ki enplike Prezidan Repiblik la ak tout rigè sa mande pou fè verite eklate, tren-nen koupab yo devan lajistis, non sèlman pa gen espwa pou Haiti men se volontèman mòd peyi'a sa'a nou swete kite pou pitit nou demen. Se yon chwa delibere de sosyete.
E moute Miki sou pouwa'a pwouve sa.
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Re: Scandale de corruption : le Parlement joue au ping-pong.
Goya
mon chè ou gen rezon yon moun ki vle genyen repo despri e trankilite se kite ayisyen demele get yo.yon pep genyen gouvenman kel merite.genyen moun jiska presan ki ap rele Vive jean Claude ,Sweet mickey.se pa iyorans ki fè sa, se yon dejenerans jeneralise ki genyen nan peyi ya. lè wap pale de onèteté, de desans,de bienseance sè jou si ak ayisyen ou sanble yon moun ki ap viv nan yon lot mond.Sam fini pa reyalise peyi ke nou te kite ya pa eksiste ankor. Kanta mwen, mwen bay le gen.Si yon moun wè m ekri ou byen komante nan zafè ayiti se tiye map tiye tan men se pa ke mwen panse ke peyi saa ap janm chanje.Tankou moun lan te ekri ya :"Nous avons été éduqués pour détruire le projet de 1804."e se la vérité.
mon chè ou gen rezon yon moun ki vle genyen repo despri e trankilite se kite ayisyen demele get yo.yon pep genyen gouvenman kel merite.genyen moun jiska presan ki ap rele Vive jean Claude ,Sweet mickey.se pa iyorans ki fè sa, se yon dejenerans jeneralise ki genyen nan peyi ya. lè wap pale de onèteté, de desans,de bienseance sè jou si ak ayisyen ou sanble yon moun ki ap viv nan yon lot mond.Sam fini pa reyalise peyi ke nou te kite ya pa eksiste ankor. Kanta mwen, mwen bay le gen.Si yon moun wè m ekri ou byen komante nan zafè ayiti se tiye map tiye tan men se pa ke mwen panse ke peyi saa ap janm chanje.Tankou moun lan te ekri ya :"Nous avons été éduqués pour détruire le projet de 1804."e se la vérité.
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