Sophia Martely ak ti banbin Olivier Martely dwe rann kont lajan an dispozisyon y
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Sophia Martely ak ti banbin Olivier Martely dwe rann kont lajan an dispozisyon y
Newton Saint-Juste a le soutien d'une ancienne première dame
Le Nouvelliste | Publié le : lundi 20 août 2012 Danio Darius daniodarius001@yahoo.com
« Etre première dame n’est pas une fonction, c’est une situation, un ensemble de privilèges », a d’entrée de jeu clarifié l’ancienne première dame Mirlande Manigat. Invitée lundi à Panel Magik, elle a dit appuyer la démarche de Me Newton Saint-Juste, qui a écrit au parquet du tribunal civil de Port-au-Prince pour lui demander de mettre l’action publique en mouvement contre Sophia Martelly et son fils Olivier Martelly pour des dépenses importantes engageant l’Etat haïtien. « C’est inacceptable que la première dame, qui n’est pas comptable de deniers publics, ait à sa disposition des fonds de l’Etat », a lancé Mirlande Manigat.
« Ce n’est pas seulement un scandale, c'est une faute », a-t-elle dit à propos d’Olivier Martelly. Conseiller du président de la République en matière de jeunesse et de sport, le fils du chef de l’Etat gère une enveloppe de cinq millions de dollars américains pour la construction de parcs sportifs à travers le pays. « Ce n’est qu’un gamin de moins de vingt-cinq-ans », a martelé la constitutionnaliste indignée.
« Les fonds de l’Etat doivent être gérés selon les règles. On ne peut pas faire ce qu’on veut avec », a lancé la secrétaire générale du RDNP, mettant en garde les ministres du gouvernement prêts à mettre des fonds à la disposition de la première dame et de son fils. « Ils n’ont pas de compte à rendre aux parlementaires, c’est de la responsabilité des ministres, qui doivent faire très attention », a précisé l’ancienne première dame.
S’appuyant sur le droit et la morale publique, Mirlande Manigat a expliqué que Sophia Martelly et Olivier Martelly peuvent par conséquent répondre par-devant les tribunaux de droits communs de la gestion qu’ils ont faite des fonds mis à leur disposition. Toutefois, reconnaît-elle, la mise en mouvement de l’action publique contre eux peut être politiquement difficile.
Mirlande Manigat a par ailleurs rejeté l’idée de légiférer sur la situation de la première dame en Haïti. « Ce serait une mauvaise chose car la population a élu un président et non pas tous les membres de sa famille », a fait remarquer l’ancienne candidate à la présidence.
« Je n’ai aucun problème personnel avec la première dame ni avec son fils. J’estime tout simplement qu’ils doivent rendre compte des fonds publics qu’ils ont à leur disposition », a déclaré Newton Saint-Juste lundi. L’homme de loi a par ailleurs dénoncé le fait que ni la première dame ni le fils du président de la République n’ont aucune qualité pour gérer ces fonds. Il n’est écrit nulle part que la femme du premier mandataire de la nation ni son fils puissent agir à la place des ministres.
Selon Me Newton Saint-Juste, il y aurait usurpation de titre, infraction punie par l’article 217 du Code pénal haïtien.
Nous n’avons pas encore parlé de malversation ni de corruption. Nous souhaitons tout simplement savoir si le Code pénal en son article 217 n’a pas été violé, a indiqué Me. Saint-Juste.
Danio Darius daniodarius001@yahoo.comSi nou vle chanje peyi ya fok nou chanje mantalite nou
Le Nouvelliste | Publié le : lundi 20 août 2012 Danio Darius daniodarius001@yahoo.com
« Etre première dame n’est pas une fonction, c’est une situation, un ensemble de privilèges », a d’entrée de jeu clarifié l’ancienne première dame Mirlande Manigat. Invitée lundi à Panel Magik, elle a dit appuyer la démarche de Me Newton Saint-Juste, qui a écrit au parquet du tribunal civil de Port-au-Prince pour lui demander de mettre l’action publique en mouvement contre Sophia Martelly et son fils Olivier Martelly pour des dépenses importantes engageant l’Etat haïtien. « C’est inacceptable que la première dame, qui n’est pas comptable de deniers publics, ait à sa disposition des fonds de l’Etat », a lancé Mirlande Manigat.
« Ce n’est pas seulement un scandale, c'est une faute », a-t-elle dit à propos d’Olivier Martelly. Conseiller du président de la République en matière de jeunesse et de sport, le fils du chef de l’Etat gère une enveloppe de cinq millions de dollars américains pour la construction de parcs sportifs à travers le pays. « Ce n’est qu’un gamin de moins de vingt-cinq-ans », a martelé la constitutionnaliste indignée.
« Les fonds de l’Etat doivent être gérés selon les règles. On ne peut pas faire ce qu’on veut avec », a lancé la secrétaire générale du RDNP, mettant en garde les ministres du gouvernement prêts à mettre des fonds à la disposition de la première dame et de son fils. « Ils n’ont pas de compte à rendre aux parlementaires, c’est de la responsabilité des ministres, qui doivent faire très attention », a précisé l’ancienne première dame.
S’appuyant sur le droit et la morale publique, Mirlande Manigat a expliqué que Sophia Martelly et Olivier Martelly peuvent par conséquent répondre par-devant les tribunaux de droits communs de la gestion qu’ils ont faite des fonds mis à leur disposition. Toutefois, reconnaît-elle, la mise en mouvement de l’action publique contre eux peut être politiquement difficile.
Mirlande Manigat a par ailleurs rejeté l’idée de légiférer sur la situation de la première dame en Haïti. « Ce serait une mauvaise chose car la population a élu un président et non pas tous les membres de sa famille », a fait remarquer l’ancienne candidate à la présidence.
« Je n’ai aucun problème personnel avec la première dame ni avec son fils. J’estime tout simplement qu’ils doivent rendre compte des fonds publics qu’ils ont à leur disposition », a déclaré Newton Saint-Juste lundi. L’homme de loi a par ailleurs dénoncé le fait que ni la première dame ni le fils du président de la République n’ont aucune qualité pour gérer ces fonds. Il n’est écrit nulle part que la femme du premier mandataire de la nation ni son fils puissent agir à la place des ministres.
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