La strategie Petrole pour nourriture de Maduro est-elle realiste
La strategie Petrole pour nourriture de Maduro est-elle realiste
Nou tout konen sitiation grangouy ki gen na peyi a , messie kilot roz yo ap fe gagotte nan lajan Petro Caribe san yo pa vremen investi nan aktivite ki ta ka prodiktiv pou remet lajan Petrocaribe. Men koulia Maduro annonce yon pwogram petrole pou manger eske nou pense gouvelman a loral la ka delivre...
Eske Maduro se pa jis politik aloral lap fe tou.....
http://www.laurentlamothe.com/nicolas-maduro-visite-haiti/
Men sitiyasion agrikol peyi a epi mwen pa we ankenn investissement serieux... map pale de milliards de dollars sou 5-10 ans ki planifie pou sekteur sila...
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S ètendant sur une superficie de 27 750 km2 a une population estimée aujourd’hui à plus de 9 millions de personnes. L’histoire récente du pays (ou la vie politique nationale), à partir de la période buttoir de février 1986 du début de l’ère post-duvaliérienne, est caractérisée par une grande instabilité émaillée entre autres, de coup d’état, de changements inopportuns de gouvernements, d’interventions de forces étrangères, d’absence de parlement. Le pays en a connu 16 gouvernements et le Ministère de l’Agriculture, 15 ministres avec leur propre approche du développement du secteur (leur vision, leurs stratégies, leurs priorités, leur compréhension des questions agricoles). Cette situation, qui entraîne une discontinuité dans les actions, un gaspillage de temps et de ressources, n’a pas été favorable au développement du secteur.
L’agriculture a toujours été la principale source de recettes fiscales du pays jusque dans la décennie de 1960-1970. La participation du secteur agricole à la formation du PIB était de 45% dans les années 70 contre 26% actuellement, soit une baisse de 19% sur la période et d’environ 0,5% par an. L’exportation agricole a diminué de plus en plus, avec la disparition de produits traditionnels, tels le sucre et la viande, du tableau de nos exportations. Par exemple, le montant des devises généré par l’exportation du café est passé de 52,5 à 3.8 millions de dollars. Le cacao et les huiles essentielles évoluent de manière aléatoire, alors que la valeur moyenne des exportations de manque ne fait que diminuer en dépit d’une demande mondiale croissance.
La croissance du secteur agricole, bien que connaissant une amorce ces derniers mois, demeure faible et variable. L’offre alimentaire est toujours caractérisée par son insuffisance face à la demande. Le déficit de production alimentaire rend le pays nettement dépendant des importations de produits alimentaires. Selon les estimations de la Coordination Nationale de la Sécurité Alimentaire (CNSA) en 2004, la production nationale assurait, 43% des besoins alimentaires, disponible (en tonnes d’équivalents céréales) les importations, 52% et l’aide alimentaire, 5%. En matière de sécurité alimentaire, les enquêtes les plus récentes de la CNSA montrent que les besoins nutritionnels d’une fraction importante de la population haïtienne (environ 1.9 million de personnes) ne sont pas satisfaits.
http://gafspfund.org/sites/gafspfund.org/files/Documents/Haiti_NationalAgriculturePolicyinFrench.pdf
Eske Maduro se pa jis politik aloral lap fe tou.....
http://www.laurentlamothe.com/nicolas-maduro-visite-haiti/
Men sitiyasion agrikol peyi a epi mwen pa we ankenn investissement serieux... map pale de milliards de dollars sou 5-10 ans ki planifie pou sekteur sila...
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S ètendant sur une superficie de 27 750 km2 a une population estimée aujourd’hui à plus de 9 millions de personnes. L’histoire récente du pays (ou la vie politique nationale), à partir de la période buttoir de février 1986 du début de l’ère post-duvaliérienne, est caractérisée par une grande instabilité émaillée entre autres, de coup d’état, de changements inopportuns de gouvernements, d’interventions de forces étrangères, d’absence de parlement. Le pays en a connu 16 gouvernements et le Ministère de l’Agriculture, 15 ministres avec leur propre approche du développement du secteur (leur vision, leurs stratégies, leurs priorités, leur compréhension des questions agricoles). Cette situation, qui entraîne une discontinuité dans les actions, un gaspillage de temps et de ressources, n’a pas été favorable au développement du secteur.
L’agriculture a toujours été la principale source de recettes fiscales du pays jusque dans la décennie de 1960-1970. La participation du secteur agricole à la formation du PIB était de 45% dans les années 70 contre 26% actuellement, soit une baisse de 19% sur la période et d’environ 0,5% par an. L’exportation agricole a diminué de plus en plus, avec la disparition de produits traditionnels, tels le sucre et la viande, du tableau de nos exportations. Par exemple, le montant des devises généré par l’exportation du café est passé de 52,5 à 3.8 millions de dollars. Le cacao et les huiles essentielles évoluent de manière aléatoire, alors que la valeur moyenne des exportations de manque ne fait que diminuer en dépit d’une demande mondiale croissance.
La croissance du secteur agricole, bien que connaissant une amorce ces derniers mois, demeure faible et variable. L’offre alimentaire est toujours caractérisée par son insuffisance face à la demande. Le déficit de production alimentaire rend le pays nettement dépendant des importations de produits alimentaires. Selon les estimations de la Coordination Nationale de la Sécurité Alimentaire (CNSA) en 2004, la production nationale assurait, 43% des besoins alimentaires, disponible (en tonnes d’équivalents céréales) les importations, 52% et l’aide alimentaire, 5%. En matière de sécurité alimentaire, les enquêtes les plus récentes de la CNSA montrent que les besoins nutritionnels d’une fraction importante de la population haïtienne (environ 1.9 million de personnes) ne sont pas satisfaits.
http://gafspfund.org/sites/gafspfund.org/files/Documents/Haiti_NationalAgriculturePolicyinFrench.pdf
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Re: La strategie Petrole pour nourriture de Maduro est-elle realiste
Imposons-nous le meilleur usage de PetroCaribe r:
Auteur: Frantz Duval duval@lenouvelliste.com Twitter:@Frantzduval
``POU MWEN PA GEN YON DOLLAR KI TE DWE SOTI NAN COMPTE PETROCARIBE SAN YON ANALYSE ECONOMIQUE SERIEUSE PROFITABILITE PROJETS YO PA EFFECTUE EPI YO REND YO PIBLIK. CHAMBRES LEGISLATIV YO' DEPITE AK SENATEURS YO GEN DEVWA POU PASSE YON LWA KI ASSUJETI TOUT PROJETS SILA YO A YON ANALYSE ECONOMIK COST_BENEFIT..AK RETURN ON INVESTMENT. Venezuela ak tout bonne volote li pap ran nou sevis, nan bay lajan pou gagotte` TANDE lAURENT GAGOTTE KAP PALE.. MWEN SISPEK MENM JAN AK misye GRIMELLE YO SE BOUJWAZI A AK KEK MOUN BIEN PLACE NAN POUVW ROZ LA KI PWAL BENEFICIE ANKOR SAN KE PAYSANS YO VREMAN JWENN... http://soundcloud.com/laurentlamothe/rencontre-avec-les-m-dias`
Le coeur du gouvernement haïtien bat au Nicaragua cette fin de semaine, au VIIIe sommet des chefs d'Etat et de gouvernement. Un autre sommet PetroCaribe, une autre rencontre. Les enjeux sont importants. Le président Michel Martelly, le Premier ministre Laurent Lamothe, les ministres et directeurs généraux ont fait le déplacement pour l'occasion. Haïti souhaite une augmentation de son quota quotidien de barils de pétrole, la confirmation de ses conditions spéciales de paiement et des considérations particulières. Tout indique que les demandes haïtiennes seront agréées. Au Nicaragua, le Venezuela déploie sa diplomatie. Haïti, comme tous les autres pays partenaires de PetroCaribe, étale charmes et faiblesses. L'exercice est simple. Au nom de la solidarité, les pays réunis souhaitent continuer à construire un contre-modèle pour faire face au projet hégémonique américain pour la région, atténuer le poids de l'aide et des exigences du patron historique du continent. PetroCaribe, c'est sortir de Monroe pour aller vers Bolivar. Le défi a du bon pour tout le monde. Les pays de la région desserrent l'étreinte du corset de la dépendance américaine ; les Américains laissent le Venezuela les dispenser de certaines dépenses ; le Venezuela se taille une stature de leader de la sous-région Caraïbe-Amérique centrale. Le pays de Maduro espère aussi ériger une nouvelle alliance économique. Petrocaribe mélange tout : des clients, des amis, des alliés, des fournisseurs, des partenaires. Les arrière-pensées ne sont pas purement mercantiles, elles sont politiques avant tout. Avec PetroCaribe, les milliards comme les gallons de pétrole coulent à flots, mais peut-on dire que le projet Petrocaribe est viable ? Cette semaine, Haïti a reçu la visite du président Nicolas Maduro, les officiels ont répété à l'envi que PetroCaribe permet la réalisation de 94% des investissements publics. Cela dit, Enrique Capriles, leader de l'opposition au Venezuela, a dénoncé les largesses de son pays envers nous et les autres bénéficiaires. On ne cache plus, dans le petit monde de la coopération, les critiques sur les conditions pas toujours transparentes d'attribution des marchés financés par les fonds PetroCaribe. Des travaux inutiles ou de peu d'impact sortent de terre ou de la tête des dirigeants qui considèrent cet argent facile du Venezuela comme le géniteur par excellence de tous les éléphants blancs dont personne ne rêverait en temps normal. PetroCaribe est une excellente opportunité, il nous faut en tirer le maximum, mais, plus que tout, en faire le meilleur usage possible. Le gouvernement haïtien se doit de prendre cet engagement, de le mettre en pratique et de s'y tenir. La société civile doit l'y encourager. Nous le devons aux Vénézuéliens et à nous-même. A Pétion comme à Bolivar.
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``POU MWEN PA GEN YON DOLLAR KI TE DWE SOTI NAN COMPTE PETROCARIBE SAN YON ANALYSE ECONOMIQUE SERIEUSE PROFITABILITE PROJETS YO PA EFFECTUE EPI YO REND YO PIBLIK. CHAMBRES LEGISLATIV YO' DEPITE AK SENATEURS YO GEN DEVWA POU PASSE YON LWA KI ASSUJETI TOUT PROJETS SILA YO A YON ANALYSE ECONOMIK COST_BENEFIT..AK RETURN ON INVESTMENT. Venezuela ak tout bonne volote li pap ran nou sevis, nan bay lajan pou gagotte` TANDE lAURENT GAGOTTE KAP PALE.. MWEN SISPEK MENM JAN AK misye GRIMELLE YO SE BOUJWAZI A AK KEK MOUN BIEN PLACE NAN POUVW ROZ LA KI PWAL BENEFICIE ANKOR SAN KE PAYSANS YO VREMAN JWENN... http://soundcloud.com/laurentlamothe/rencontre-avec-les-m-dias`
Le coeur du gouvernement haïtien bat au Nicaragua cette fin de semaine, au VIIIe sommet des chefs d'Etat et de gouvernement. Un autre sommet PetroCaribe, une autre rencontre. Les enjeux sont importants. Le président Michel Martelly, le Premier ministre Laurent Lamothe, les ministres et directeurs généraux ont fait le déplacement pour l'occasion. Haïti souhaite une augmentation de son quota quotidien de barils de pétrole, la confirmation de ses conditions spéciales de paiement et des considérations particulières. Tout indique que les demandes haïtiennes seront agréées. Au Nicaragua, le Venezuela déploie sa diplomatie. Haïti, comme tous les autres pays partenaires de PetroCaribe, étale charmes et faiblesses. L'exercice est simple. Au nom de la solidarité, les pays réunis souhaitent continuer à construire un contre-modèle pour faire face au projet hégémonique américain pour la région, atténuer le poids de l'aide et des exigences du patron historique du continent. PetroCaribe, c'est sortir de Monroe pour aller vers Bolivar. Le défi a du bon pour tout le monde. Les pays de la région desserrent l'étreinte du corset de la dépendance américaine ; les Américains laissent le Venezuela les dispenser de certaines dépenses ; le Venezuela se taille une stature de leader de la sous-région Caraïbe-Amérique centrale. Le pays de Maduro espère aussi ériger une nouvelle alliance économique. Petrocaribe mélange tout : des clients, des amis, des alliés, des fournisseurs, des partenaires. Les arrière-pensées ne sont pas purement mercantiles, elles sont politiques avant tout. Avec PetroCaribe, les milliards comme les gallons de pétrole coulent à flots, mais peut-on dire que le projet Petrocaribe est viable ? Cette semaine, Haïti a reçu la visite du président Nicolas Maduro, les officiels ont répété à l'envi que PetroCaribe permet la réalisation de 94% des investissements publics. Cela dit, Enrique Capriles, leader de l'opposition au Venezuela, a dénoncé les largesses de son pays envers nous et les autres bénéficiaires. On ne cache plus, dans le petit monde de la coopération, les critiques sur les conditions pas toujours transparentes d'attribution des marchés financés par les fonds PetroCaribe. Des travaux inutiles ou de peu d'impact sortent de terre ou de la tête des dirigeants qui considèrent cet argent facile du Venezuela comme le géniteur par excellence de tous les éléphants blancs dont personne ne rêverait en temps normal. PetroCaribe est une excellente opportunité, il nous faut en tirer le maximum, mais, plus que tout, en faire le meilleur usage possible. Le gouvernement haïtien se doit de prendre cet engagement, de le mettre en pratique et de s'y tenir. La société civile doit l'y encourager. Nous le devons aux Vénézuéliens et à nous-même. A Pétion comme à Bolivar.
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Venezuela's Maduro: "An economy is social support"
Venezuela's Maduro: "An economy is social support"
12 0 By A Website Design
Written by
The Sentinel Staff
Saturday, June 29, 2013 4:23 PM
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This article consists of facts, information or commentary taken from other sources or submissions from individuals and/or entities.
The publishing of this article does not reflect an endorsement by The Sentinel, its Staff or Defend Haiti, LLC.Read About Us.
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Video
06.29.2013: Palabras de Maduro
06.29.2013: Maduro en Nicaragua
events@defend.ht
MANAGUA, Nicaragua (defend.ht) - The PetroCaribe Economic Zone will "encourage greater flow of food and services among nations" in PetroCaribe said Venezuelan President, Nicolas Maduro, upon his arrival to Managua, Nicaragua, the site of the Eighth Summit of Heads of State and Government of the member countries of Petrocaribe.
The objective of this economic zone is to develop "the ability to produce food, industry, technology, tourism, air transport (and) maritime, energy, telecommunications, throughout the Caribbean," continued Maduro from the Diplomatic Room at Managua Internation Airport.
"Petrocaribe is the guarantee of economic stability and is now the basis for the social economic union, comprehensive, all 18 countries on the continent are building this formula of cooperation, solidarity and brotherhood," President Nicolas Maduro continued in his declarations.
The Venezuelan President said that of the first tasks of the new economic zone will be to propose plans for public education, food and health, so that "an economy is the social support".
Maduro was the last of the Presidents of Petrocaribe member state to arrive in Nicaragua. He told the press at Managua International Airport that he was going "straight to the top to start the work day."
President Michel Martelly was among the first to arrive in Managua along with Bolivia's, Evo Morales, Suriname's, Desiré Delano Bouterse, Honduras', Porfirio Lobo, and the Dominican Republic's, Danilo Medina. These individuals came in on Friday and the morning hours of Saturday.
Arriving in a plane with the Venezuelan flag were the Prime Ministers of Antigua and Barbuda, Baldwin Spencer, of St. Kitts and Nevis, Denzil Douglas, of St. Vincent and the Grenadines, Ralph Gonsalves, and Dominica, Roosevelt Skerrit.
The Prime Minister of Guyana Samuel Hinds, and Prime Minister of Jamaica, Portia Simpson Miller, all arrived on Saturday as well.
The first vice president of Cuba, Miguel Diaz Canel, and Ecuador's Foreign Minister Ricardo Patiño, the latter as a "special guest".
All were welcomed at the Managua International Airport "Augusto C. Sandino" with military honors by government officials, led by Deputy Foreign Minister of Nicaragua for cooperation, Valdrack Jaentschke.
The leaders of the 21 member countries of Petrocaribe will receive on Saturday the proposal defined in Managua technical teams to sign a regional energy agreement and the creation of a special economic zone.
That economic zone includes agricultural production, agriculture, communications, infrastructure, tourism, science and technology, according to the Nicaraguan delegation.
Petrocaribe was created in June 2005 on the initiative of Venezuela with the aim of supplying fuel to member countries on favorable terms of payment such as soft loans and low interest rates.
This organization is composed of Antigua and Barbuda, Bahamas, Belize, Cuba, Dominica, Granada, Guatemala, Guyana, Haiti, Honduras, Jamaica, Nicaragua, Dominican Republic, St. Kitts and Nevis, Saint Vincent and the Grenadines, Saint Lucia, Suriname and Venezuela.
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The objective of this economic zone is to develop "the ability to produce food, industry, technology, tourism, air transport (and) maritime, energy, telecommunications, throughout the Caribbean," continued Maduro from the Diplomatic Room at Managua Internation Airport.
"Petrocaribe is the guarantee of economic stability and is now the basis for the social economic union, comprehensive, all 18 countries on the continent are building this formula of cooperation, solidarity and brotherhood," President Nicolas Maduro continued in his declarations.
The Venezuelan President said that of the first tasks of the new economic zone will be to propose plans for public education, food and health, so that "an economy is the social support".
Maduro was the last of the Presidents of Petrocaribe member state to arrive in Nicaragua. He told the press at Managua International Airport that he was going "straight to the top to start the work day."
President Michel Martelly was among the first to arrive in Managua along with Bolivia's, Evo Morales, Suriname's, Desiré Delano Bouterse, Honduras', Porfirio Lobo, and the Dominican Republic's, Danilo Medina. These individuals came in on Friday and the morning hours of Saturday.
Arriving in a plane with the Venezuelan flag were the Prime Ministers of Antigua and Barbuda, Baldwin Spencer, of St. Kitts and Nevis, Denzil Douglas, of St. Vincent and the Grenadines, Ralph Gonsalves, and Dominica, Roosevelt Skerrit.
The Prime Minister of Guyana Samuel Hinds, and Prime Minister of Jamaica, Portia Simpson Miller, all arrived on Saturday as well.
The first vice president of Cuba, Miguel Diaz Canel, and Ecuador's Foreign Minister Ricardo Patiño, the latter as a "special guest".
All were welcomed at the Managua International Airport "Augusto C. Sandino" with military honors by government officials, led by Deputy Foreign Minister of Nicaragua for cooperation, Valdrack Jaentschke.
The leaders of the 21 member countries of Petrocaribe will receive on Saturday the proposal defined in Managua technical teams to sign a regional energy agreement and the creation of a special economic zone.
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