UNITED NATIONS' CHOLERA EPIDEMIC

jafrikayiti a écrit:

My message to Paul Farmer on the Corbettlist:

I have just watched Sebastian Walker's Haiti in a Time of Cholera and I cannot sleep in peace. I have recently read a U.N. Secretary General's report detailing how everything is swell in Haiti. Given that I have just returned from 3 weeks travel in my homeland, during the month of July 2013, I know for a fact the U.N. Secretary General is lying in that report, on many accounts. All is definitely NOT well in U.N occupied Haiti.

Mr. Ban Ki Moun, your organization brought to Haiti a healthcare disaster which added to a political disaster. You MUST REPAIR THE DAMAGE YOU HAVE CAUSED! No Carnaval des fleurs can hide this 2013 mess anymore than the synchronous, rhythmic steps of chained Africans could embellish the slave ships of yesteryears.

I am further disturbed by the silence of Dr. Paul Farmer, whose job title gives him direct responsibility for the U.N response to the cholera epidemic. Paul is a man I once counted among the decent foreigners living in Haiti. I simply cannot accept his complicit silence in this blatant crime.

Paul, I know you are on this list, along with several U.N. Officials. So, I am writing to put it on record that I added my voice to the calls for help of thousands upon thousands of Haitians who are being denied justice by the United Nations which you represent in Haiti.

Haiti in a time of cholera lasts 24 minutes. How long shall Paul Farmer's silence last?

ainsi ne soit-il a écrit:Corrigez-moi si je suis mal informe. Est-ce que ce gouvernement est en train de negocier secretement avec l'ONU? A ce que je sache, les reclamations sont venues d'organisations etrangeres outrees de l'indifference des deux partis...

Jaf said:I am further disturbed by the silence of Dr. Paul Farmer, whose job title gives him direct responsibility for the U.N response to the cholera epidemic. Paul is a man I once counted among the decent foreigners living in Haiti. I simply cannot accept his complicit silence in this blatant crime.

Haitimere a dit : A ce que je sache également, ce n'est pas aux organisations étragères d'assumer les responsabiltés de l'ÉTAT D'HAÏTI, et décider quels moyens de protections méritent le pays et le PEUPLE HAÏTIEN.

Haitimere a dit: À mon avis, c'est un manquement grave de la part des autorités Haïtiennes, de ne pas intervenir plus rigoureusement  dans ce dossier où c'est le petit PEUPLE Haïtien qui est la seule victime.À mon avis, c'est un manquement grave de la part des autorités Haïtiennes, de ne pas intervenir plus rigoureusement  dans ce dossier où c'est le petit PEUPLE Haïtien qui est la seule victime.

Jaf said:I am further disturbed by the silence of Dr. Paul Farmer, whose job title gives him direct responsibility for the U.N response to the cholera epidemic. Paul is a man I once counted among the decent foreigners living in Haiti. I simply cannot accept his complicit silence in this blatant crime.

Haitimere a dit : A ce que je sache également, ce n'est pas aux organisations étragères d'assumer les responsabiltés de l'ÉTAT D'HAÏTI, et décider quels moyens de protections méritent le pays et le PEUPLE HAÏTIEN.

Haitimere a dit: À mon avis, c'est un manquement grave de la part des autorités Haïtiennes, de ne pas intervenir plus rigoureusement  dans ce dossier où c'est le petit PEUPLE Haïtien qui est la seule victime.À mon avis, c'est un manquement grave de la part des autorités Haïtiennes, de ne pas intervenir plus rigoureusement  dans ce dossier où c'est le petit PEUPLE Haïtien qui est la seule victime.

Haiti Mère a dit:Vous avez dit que le Gouvernement est incapable de forcer le changement de certaine situation. Personnellement, je crois que, dorénavant en guise de mesure préventive. Les autorités haïtiennes responsables des missions internationales  sur le territoire de la République D’HAÏTI,  devraient donner un mandat officiel au ministère de l’intérieur d’Haïti,  pour assurer une surveillance accrue, afin de prévenir toute autre  violation  et le non-respect de nos lois par ces missionnaires.

Joel di: Ki VODOUYIZAN ? Vodouyizan KIBEN ou sinon BREZILYEN yo?
Pou sa m wè yo di se VODOUYIZAN KIBEN yo ki ap plis ede lan zafè KOLERA sa a!

« Nous sommes dans un Etat de droit, a soutenu la ministre de la Santé publique. Quelqu'un qui se sent lésé a le droit de prendre toutes sortes de décisions qu'il juge nécessaires. Cependant, au niveau du ministère de la Santé publique, notre mandat étant de rétablir la santé des personnes malades, puisque le choléra est endémique, nous mettons en place une stratégie multisectorielle pour être sûrs d'avoir le moins de cas de décès possibles et que nous pourrons prendre en charge les cas déclarés, en attendant d'apporter de l'eau potable à toutes les communautés .»

Interviewée au téléphone par Le Nouvelliste, le Dr Florence Duperval Guillaume a reconnu que le gouvernement n'a pas le droit de s'opposer à celui qui veut porter plainte par-devant une instance juridique quelconque. « C'est une question individuelle... », a-t-elle dit.

A la question de savoir si le ministère de la Santé publique peut accompagner une personne qui voudrait porter plainte contre la Mission des Nations unies dans le pays pour avoir introduit le choléra en Haïti, le Dr Guillaume a répondu: « Tout ce que nous pouvons faire- la personne qui se sent malade a probablement un dossier médical-, c'est de lui en donner un. On ne peut pas l'empêcher d'avoir ce dossier auquel elle a droit », a-t-elle dit.

P-au-P, 30 août 2013 [AlterPresse] --- Un groupe de citoyennes et citoyens dénoncent l’intention de la Mission des Nations Unies pour la stabilisation en Haïti (Minustah) et de l’administration politique actuelle (du président Joseph Michel Martelly et du premier ministre Laurent Salvador Lamothe) de détruire la place « Résistance », située dans la commune de Port Salut (Sud du pays), dans une pétition signée à la fin du mois d’août 2013 et transmise à l’agence en ligne AlterPresse.

Les signataires de cette pétition, principalement les représentants d’organisations comme « Port Salut en action », critiquent la pression exercée, disent-ils, par la Minustah et le gouvernement sur les autorités locales (mairie et vice-délégation) afin de démolir cette place publique, sous prétexte que, construite par l’opposition, elle porterait atteinte à « la mission qui est là pour protéger le gouvernement ».

Mémorial dédié aux victimes de la force onusienne (déployée en Haïti depuis juin 2004), la place « Résistance » est vue par la population comme un symbole de liberté, évoquant la gloire de Port Salut dans la lutte contre les violations orchestrées par la Minustah dans la commune.

Port Salut a agi « avec bravoure », afin de pousser, hors de la commune, les soldats onusiens ayant commis des actes odieux, criminels et immoraux sur le jeune haïtien Johnny Jean, Rose Mina Joseph, une mineure-orpheline, et d’autres jeunes filles, victimes d’abus sexuels, soulignent ces citoyennes et citoyens.

Le viol de Johnny Jean commis, à l’époque, par les casques bleus uruguayens a soulevé, en septembre 2011, de vives protestations en Haïti, notamment dans la ville de Port Salut.

Ces actes ont été unanimement condamnés par l’ensemble de la population haïtienne et des organisations un peu partout à l’étranger.

Ces exactions ont influé négativement sur les efforts, consentis, depuis plusieurs années, par l’ensemble des habitantes et habitants de Port-Salut, afin de donner une image positive de la commune, signalent les signataires de la pétition.

« Notre action est fondée (sur) la certitude que, si rien n’est fait, cette situation peut, à n’importe quel moment, dégénérer. Cela ne peut avoir d’autres répercutions qu’un rayonnement négatif sur la communauté, sur l’ensemble de la région et sur le pays tout entier », avertissent ces citoyennes et citoyens.

Ils appellent les sénateurs et députés à faire pression sur le gouvernement pour éviter cette destruction.

Ils demandent aux autres citoyennes et citoyens de la communauté et au secteur des droits humains de se mobiliser « contre ce plan macabre de la Minustah et de l’administration Martelly/Lamothe qui manifeste leur ferme volonté de démolir la place publique résistance ».

Ces habitantes et habitants exigent, aux parlementaires du Sud, de soumettre une résolution au corps législatif, afin d’exiger du gouvernement et de la mission onusienne le respect et la protection de la place « Résistance » qui est une place historique.

Les personnes signataires de la pétition disent s’engager en tant que forces vives de la communauté à soutenir, pacifiquement, toutes démarches et mobilisations visant à empêcher la Minustah et le gouvernement d’effacer la place résistance qui constitue la fierté de Port Salut.