Haiti doit se libérer de la France

Contrairement au gouvernement haïtien,je crois  et là  je rejoins mon ami Joel dans ce sens,  que nous les haïtiens devrons aller voir ailleurs pour sortir notre pays du sous-développement chronique. Ni la France ni les USA ne pourront nous aider à faire mieux . Il faut plutôt développer des liens et de partenariats avec  la Chine et le  Brésil  deux géants qui comprennent mieux la situation du peuple Haïtien.



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http://www.radiotelevisioncaraibes.com/nouvelles/haiti/ha_ti_a_plein_de_projets_pour_l_avenir_la_france_sera_ses_c_t_s.html

Mak,
Mwen dakô ak ni wou ni Jowèl, men se pou nou pouse kanpay lan plis pou ayisyen louvri je yo.
Semèn saa, gen de rankont ki al bay franse jarèt pou yo kontinye fè frekan ak nou.
 
Dani Laferyè chita ak Olann, prezidan franse an al fè latitintuèt.
 
Mateli ale lan vizit ofisyèl, lal sètifye tout sa Napoleyon te fè kont nèg parey li.
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NATIONAL
Martelly, à Paris, revisite l’histoire
 
Le Nouvelliste | Publié le : 20 f�vrier 2014
 
Houuu ! Hooo ! Woow ! Les cris de joie fusent. La voiture officielle, bicolore au vent, vient d’entrer dans la cour de la Maison de l’Amérique latine. Quand Michel Martelly reçoit le ok des agents de sécurité français, il est happé par la foule agglutinée sur le perron. Ce n’est pas une haie sage qui accueille le président haïtien, mais une bousculade d’honneur. Le désordre chaleureux de ses compatriotes remplace le protocole républicain. Retour sur la première journée de Michel Martelly à Paris.
 
Le president Michel Martelly passe les troupes en revue en compagnie de Mme George Pau-Langevin, ministre déléguée auprès du ministre de l’Education nationale et du colonel Pierre-Joseph Givre, représentant du commandant militaire de Paris, sur la cour de



  « Quand Duvalier est poursuivi par la justice haïtienne, sans succès, c’est la faute à Martelly. Quand la justice haïtienne rend un verdict contre Duvalier, c’est la victoire des ennemis de Martelly », se lamente un partisan de Michel Martelly sur la cour de la Maison de l’Amérique latine, jeudi soir à Paris.
 
« C’est historique ce qui vient de se passer en Haïti et Martelly est en France, pays des droits de l’homme, mais aussi protecteur de dictateurs, pour le vivre, c’est historique aussi ».
 
Comme des dizaines de compatriotes, Jacques, bracelet rose au poignet, se désole de n’avoir pas pu accéder à la salle où « son président », insiste-t-il, tient une rencontre avec la communauté haïtienne de France. Pour ne pas perdre son temps, il lâche, à qui veut l’entendre, ses commentaires sur l’actualité du jour. Cela le calme, dit-il, de son rendez-vous manqué avec Martelly.
 
Succès plus foule
 
Le rencontre entre le président et ses concitoyens, ouverte à tous, a eu un succès que l’ambassade d’Haïti en France n’avait pas escompté. Sur la cour de la Maison de l’Amérique latine, beaucoup s’en plaignent. « C’est inqualifiable », disent les uns, « c’est un manque d’égard pour nous, Haïtiens de France », renchérit un participant frustré.
 
« Ils ont choisi une belle adresse, c’est chic, mais c’est une petite maison », jette, mi- amusée mi- déçue, une dame dans la quarantaine avancée. Elle regrette que le président n’ait pas fait le déplacement dans un de ces quartiers autour de Paris où vivent les Haïtiens.
 
« Il aurait dû venir nous voir chez nous. Un jour de week-end. Nous serions dix fois plus nombreux ».
 
Si à chaque bus qui s’arrête un petit groupe d’Haïtiens pénètrent dans la cour et cherchent à se faufiler jusqu'à la salle où Michel Martelly prend la parole ou d’arriver près d’une des grosses télévisions qui permettent d’avoir un aperçu de la cérémonie, à chaque bus aussi un groupe s’en va.
 
Les retardataires et les partants, tous sont dépités d’avoir fait le déplacement et de n'avoir pas pu serrer la main au « premier président haïtien tèt kale wòz », comme le dit si bien un sympathisant enthousiaste.
 
« Di sa nou wè wi laprès », lance, l’air de s’adresser à personne, un autre fan de Martelly.
 
Tout le monde à la même enseigne
 
D’ailleurs, sur la cour et dans les couloirs de la Maison de l’Amérique latine, les convaincus par Martelly sont en majorité. Ici et là, se détachent des visages de Français qui coopèrent avec Haïti, de ceux qui ont des liens anciens avec le pays, au-delà des changements politiques, et de curieux qui suivent les visites de tous les officiels haïtiens de passage en France.
 
S’il faut, à une aune, mesurer le succès de la première journée de la première visite officielle du président Michel Martelly en France, la réunion de ce jeudi soir est exemplaire.
 
D’ailleurs, des membres de la délégation officielle ont dû tranquillement faire le pied de grue. Dans le brouhaha de l’arrivée, ils n’ont pas pu suivre le président dans son entrée triomphale. « Carnavalesque », a même dit un loustic.
 
Cinglé dans un élégant imperméable gris souris, l’ambassadeur de France en Haïti, Patrick Nicoloso, patiente avec la foule. Lui non plus n’a pas pu accéder à la salle où Martelly s’adresse aux Haïtiens.
 
Duvalier et la France
 
Pour revenir à Duvalier, interrogé par un journaliste français, quelques minutes avant de laisser l’hôtel Le Meurice pour rencontrer la communauté haïtienne, sur le procès en appel contre l’ancien dictateur, le président Martelly s’était gardé de faire de déclaration. Le verdict du tribunal n’était pas encore rendu.
 
Michel Martelly, d’un œil espiègle, avait cependant souligné pour Xavier Lambrechts, journaliste, rédacteur en chef de TV5 Monde, que c’est en France que Jean-Claude Duvalier avait passé 25 ans, circulant sans se faire inquiéter.
 
Bousculé depuis des mois pour son attitude bienveillante envers l’ancien dictateur, Michel Martelly aura la paix sur ce dossier où la France n’avait pas pu faire mieux. Tout au contraire.
 
Alors que les palabres se poursuivent sur la cour de la Maison de l’Amérique latine, il faut souligner que la journée avait commencé sur un autre tempo.
 
A l’aéroport Charles de Gaule, le président et la délégation haïtienne ont été accueillis sur tapis rouge et mouillé au pavillon d’accueil des officiels de passage avant d’être conduits, escortés de motards et sirène hurlante à l’hôtel des Invalides.
 
Une arrivée plus protocolaire
 
Bow !!! Comme une explosion, les premières mesures de la grosse caisse éclatent. La fanfare exécute l’hymne national d’Haïti. La musique emplit la vaste cour d’honneur de l’hôtel des Invalides. Haïti est en France.
 
Le détachement du 1er régiment de la Garde républicaine en grand uniforme porte beau au garde à vous. C’est le temps des honneurs militaires au président d’Haïti, Michel Martelly, qui vient de traverser la cour de cet ensemble de bâtiments emblématiques de la gloire militaire française.
 
Accompagné de Mme George Pau-Langevin, ministre déléguée auprès du ministre de l’Education nationale, et du colonel Pierre-Joseph Givre, représentant du commandant militaire de Paris, le président Martelly, après les hymnes, a passé les troupes en revue dans un protocole réglé au millimètre.
 
Michel Martelly, arrivé en grand cortège au portail d’entrée de l’imposant complexe après avoir remonté l’avenue du Maréchal Gallieni, n’a sans doute pas eu le temps de remarquer les jardins aux arbustes taillés en obus ni jeter un œil aux canons de bronze de tout calibre alignés un peu partout aux Invalides. Impressionnante collection de trophées ravis par la France à ses ennemis, aucun de ces canons ne vient d’Haïti.
 
Martelly chez Napoléon
 
La pluie qui mouille le pavé parisien depuis le matin a cessé. Des quatre côtés de la cour des spectateurs arrêtent leur occupation pour assister à la cérémonie haut en couleur. Quatre millions de personnes visitent chaque année l’hôtel des Invalides et le musée de l’armée française, en ses lieux, le public est assuré.
 
Les dernières notes de La Dessalinienne sont déjà un souvenir. Du haut de sa statue de pied dominant la cour, un Napoléon Bonaparte de bronze jette un regard éteint sur le faste de l’Etat français déployé pour le président d’Haïti. Le petit caporal devenu empereur et le chanteur devenu président se rencontrent pour la première fois.
 
Quelques mètres plus loin, reposent les restes de l’empereur français. Napoléon a pour voisin le cœur de son beau-frère, le fameux Charles Leclerc, capitaine-général, chef de l’expédition punitive de 1802, celui-là même, mort de fièvre jaune à l’île de La Tortue la même année, qui n’avait pas pu venir à bout des esclaves insurgés de St-Domingue. C’est le fruit des échecs de ces deux grands soldats français qui explique la cérémonie du jour. Belle ironie.
 
Michel Martelly n’est pas le premier président haïtien en visite officielle en France. Jean-Bertrand Aristide et René Préval ont fait, dans le temps, le déplacement vers l’ancienne métropole et furent reçus par leur homologue.
 
Tout Haïtien à Paris sait que l’histoire entre les deux pays est écrite au prix du sang. Dans la cour d’honneur des Invalides où Martelly est le premier chef de l’Etat haïtien a passer les troupes en revue, l’esprit est à l’avenir.
 
Michel Martelly le fera savoir très vite. Fini la cérémonie protocolaire, c’est au Petit Luxembourg, résidence du président du Sénat français, que le président fait son premier acte de foi en l’avenir des relations entre les deux pays.
 
Accueilli par Jean-Pierre Bel, qui se relève péniblement d’une chute, dans cette ancienne demeure du cardinal de Richelieu, le président haïtien a eu un tête-à-tête de près d’une heure avec le président du Sénat français.
 
Une journée chargée
 
A l’issue de leur entretien et de l’échange de cadeaux (Martelly a reçu un cheval en cristal d’un grand manufacturier français, Bel une boîte ouvragée en corne, d’un artisan haïtien), les deux hommes ont fait pour la presse la restitution de leur rencontre.
 
« Nous avons une histoire commune que nous connaissons tous, ce passé nous ne l’avons pas forgé, nous en sommes les héritiers. Par contre, nous pouvons forger l’avenir », a indiqué le président Martelly en définissant l’essence de son message au président Bel.
 
Avant, le président haïtien a dit avoir évalué avec son interlocuteur la situation en Haïti en ce qu’il s’agit des élections, de la reconstruction et du renforcement de la présence française en Haïti.
 
« Nous avons évoqué comment on peut avancer ensemble et mieux », a dit Martelly.
 
Pour le sénateur Bel, « Haïti se tourne vers l’avenir. La France a un rôle à y jouer. Dès aujourd’hui, je me fais l’ambassadeur de meilleures relations entre Haïti et la France auprès des investisseurs français, mais aussi de la population française qui sont de potentiels touristes »
 
« La France a beaucoup à apprendre d’Haïti », a aussi déclaré Jean-Pierre Bel, le nouvel ambassadeur de la cause haïtienne en France.
 
A sa sortie du Petit Luxembourg, le président avait, selon son agenda officiel, un entretien avec Pierre Gattaz, président du Medef, le patron des patrons français. La presse n’a pas participé à ce rendez-vous.
 
Après la rencontre avec la communauté haïtienne, la première soirée de Martelly à Paris devait s’achever avec un dîner offert en l’honneur de Victorin Lurel, ministre français des Outre-mer, par le président haïtien à l’hôtel Le Meurice, à un jet de pierre du Jardin des Tuileries, entre la place de la Concorde et le musée du Louvre, rue de Rivoli.
 
Les deux hommes s’étaient déjà rencontrés lors des funérailles de Hugo Chavez. Lurel, ami d’Haïti, antillais, est devenu un passage obligé pour les hauts officiels haïtiens de passage en France. A deux reprises ces derniers mois, il a reçu le premier ministre Laurent Lamothe.
 
Clin d’œil, le ministère français d'outre-mer, qui a en charge les anciennes colonies restées dans la France d’outre-mer, n’est pas un vis-à-vis pour Haïti. Ce ministère est « chargé d'assurer l'autorité de l'État dans les départements et collectivités d'outre-mer et d'assurer la coordination des actions des ministères pour l'outre-mer ».
 
Duvalier, Napoléon, l’outre-mer, l’avenir, la première journée de Michel Martelly en France a été marquée définitivement par des rappels et par la nécessité d’écrire de nouvelles pages dans les relations entre les deux pays.

Sasaye

Prezidan nou yo pa dwè espere anyen de la France sinon mande la frans remet lajan dette la .
Si La france te vle ede ayiti soti nan sou -developamn li ta fel deja .

Fok politisyen nou yo mete yo nasamb pou oriente relation diplomatik nou yo vers des pays autres que les deux suivants : USA et FRANCE

Tankou Le senateur Jean Charkles Moise di : Fok nou ale en Chine ak Bresil , deux pays sa yo ka fè anpil bagay pou Ayiti soti nan petrin de la kolonisation frans nan.

Mèsi anpil MAK.
Yo paka di ke ou gen prejije kont lang FRANSE ;paske ou grandi lan pale FRANSE.

Lit lan se yon LIT anti-ENPERYALIS.Ou wè DOMINIKANI ap fè pwogrè ,se paske te gen yon KONSANSIS anti-ÈNPERYALIS.
Se sa ki ap fèt lan preske tout AMERIK LATIN lan .
Malgre ke DOMINIKANI poko gen relasyon diplomatik fòmèl ak LA CHINE ;la CHINE gen preske 2 MILYA envesti lan RD e y ap envesti plis toujou.
La CHINE gen 1MILYA 1/2 envesti lan ti BAHAMAS ;y ap konstwi KONPLÈKS TOURISTIK pou klas mwayèn yo ki ap ogmante.

Se ENPERYALIS vyèy DAT yo ki koz de NÈG tankou MATELI ak kòwòt neyo-divalyeris li yo sou pouvwa a.
Y ap kwape ENPERYALIS sa yo patou lan AMERIK lan ;se pou nou fè menm bagay lan tou!

MAK;
Se pou wou.Pinga okenn NÈG ki toujou pre pou yo atake yon MOUN ki ap bay yon enfòmasyon reponn.

MATINIK ak GWADLOUP se la FRANS.Eske si la FRANS ta gen kòb li ,se AYITI ki ta jwenn li.MATINIK ak GWADLOUP pa menm gen 800 MIL MOUN a yo 2 an .Se popilasyon OKAP ak anviwon l:



Epitou JÈN ZANMI,kontrèman ak noumenm AYISYEN ,MOUN sa yo se FRANSE ,menm jan ak FRANSE lan sa yo rele EKZAGÒN lan:
Mwen swete ou ka gen aksè ak ti pyès sa a:

Wouuyyyyy konspirasyon lavalaso-Aristid kont la Frans. Lè sa bon pou yo lè la FRANS TE KANPE POU YO SE TE GWO MAMNOURRR

Men la Frans lese ti pè tonbe Joel , Sasaye, M Henry ap gronde

Kisa nou vle menm kelkanswa la Frans ou byen Etazini kap fè pou Ayiti se yonn kritik.

Duvalye tonbe nou ramase Ttitid Preval 2 sanzave lavalas kinan nou ki finn decherpiye a.

Koulyè se Venezelya koken sou pouvwa depi Preval rive sou Martelly ap souse.

Apre pa gen anyen anko ki mele nachon sayo ak moun ki nan bezwen, ki two gouman, voras ki tojou kroke nan gagann yo.

Solidarité Haïti : retrouver des conditions de vie décentes

Télécharger le bilan : Solidarité Haïti, quatre ans après Cette note d’information, quatre ans après le séisme, présente les principaux chiffres et résultats actualisés à ce jour ainsi que les perspectives alors que notre intervention touche à sa fin.

Il y a quatre ans, le 12 janvier 2010, un séisme dévastateur s’abattait sur Haïti, ôtant la vie à plus de 200 000 personnes et déstabilisant en profondeur l’un des pays les plus pauvres au monde. Grâce à un élan de solidarité sans précédent, la Fondation de France a collecté 35 millions d’euros pour venir en aide aux victimes et contribuer à reconstruire la vie.
 
Fidèle à sa vision et à son expérience dans des contextes post-catastrophes, elle a choisi dès le départ d’intervenir sur une période de 4 années en soutenant des projets durables, au plus près des besoins des Haïtiens. Au terme de cette période, 361 projets ont été soutenus, bénéficiant à près de 900 000 personnes. Une vingtaine de projets se poursuit encore sur le terrain.
 
Au-delà de l’aide d’urgence apportée au cours des premières semaines, ce grand élan de générosité aura permis de soutenir directement les initiatives de la société civile haïtienne et d’aider à relancer l’économie locale et l’agriculture, d’appuyer la reconstruction améliorée de centaines d’habitations et d’écoles, ou encore, de renforcer l’accès à la santé et à une éducation de qualité pour des milliers de personnes.
 
Mais la reconstruction durable d’Haïti reste un immense défi dans un pays aux profondes difficultés structurelles. C’est pourquoi, au cours de cette phase de retrait progressif, nous cherchons à avoir un impact durable et concentrons notre soutien sur le renforcement de la pérennité des projets en cours, sur les échanges d’expérience et sur la diffusion des innovations de terrain les plus prometteuses
 

Nous tenons à renouveler nos remerciements à tous les donateurs -particuliers, associations, entreprises, collectivités locales, fondations sous l’égide de la Fondation de France-, aux médias, et à l’ensemble des partenaires qui nous ont fait confiance et qui ainsi ont permis d’accomplir, avec les Haïtiens, ce grand travail porteur d’espoir et de changement.

Admin la fè move san; nèg rapóte gran onè k'ap bay. A la bagay di se alyenasyon. Se pou n'seye konprand pa ki chemen Matelli rive la a e ki sa li vin fè.

Tout sa se jès mepri pou volonte ak chwa pèpl Ayisyen. Tout sa fè pati de jifl lan vizaj nou. Pandan y'ap kraze majorite a, y'ap fè nou filalang ak Sweet Monkey.

[quote="Sasaye"]Mak,
Mwen dakô ak ni wou ni Jowèl, men se pou nou pouse kanpay lan plis pou ayisyen louvri je yo.
Semèn saa, gen de rankont ki al bay franse jarèt pou yo kontinye fè frekan ak nou.
 
Dani Laferyè chita ak Olann, prezidan franse an al fè latitintuèt.
 
Mateli ale lan vizit ofisyèl, lal sètifye tout sa Napoleyon te fè kont nèg parey li.
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/quote]

Gen NÈG ki ap vin pale de LAVALAS e de apwi la FRANS ak ETAZINI!
Peyi sa yo pa gen lajan pou yo bay;sitou la FRANS ki dwe grenn je lan TÈT li.

Al retande sa HOLLANDE te di lan konferans de PRÈS li an ;misye te ap pale de ""APPEL D'OFFRE"" pou KONPAYI FRANSE pou REKONSTRIKSYON an.
La FRANS pa enterese lan yon ale mye pou AYITI ;si AYITI ta demare epi GWADLOUP ak MATINIK t ap kontinye GRIJI jan yo ap fè l lan ;DEPATMAN FRANSE sa yo t ap mande ENDEPANDANS.

Sa ki ta pi BON pou AYITI ,pa gen dout lan sa,se pou e ENPERYALIS AMERIKEN e ENPERYALIS FRANSE retire kò yo.
Se pou AYITI swiv lòt peyi lan AMERIK lan ;y ap monte e premye bagay yo te fè ,se te mete pye lan DENGONN ENPERYALIS yo

Nèg ap vwayaje ,pral an FRANS ,ROME,BELJIK.
BELJIK wi.Peyi ki touye plis NÈG NWA lan 20yèm syèk lan ;peyi ki pi KRIMINÈL ke la FRANS toujou.

Konbyen vwayaj sa yo koute,mezanmi.Pandan tan sa a ,prezidan MEDINA ap bati LEKÒL.Misye inogire ,lan mwens ke yon semèn 15 LEKÒL.
Li inogire 5 lekòl lan fen semèn lan.5 lekòl sa yo koute 172 MILYON DOLA DOMINIKEN ki se mwens ke 5 MILYON DOLA AMERIKEN.

Epitou ,misye ap vwayaje lan tout peyi an ,pou l pale de KANPAY ALFABETIZASYON ;l ap mande volontè ,paske misye di ke 10% MOUN ki pa konn li lan RD yo ,INAKSEPTAB.
Bagay yo ka fèt wi mezanmi ;si gen MOUN ki gen vizyon e se pa prezidan ""PER DIEM"" yo ye!

www.dominicantoday.com/dr/economy/2014/2/19/50607/Medina-cut-ribbons-on-5-schools-in-Duarte-Province-cost-RD1720M

ABA TOUT ENPERYALIS;se sa DOMINIKEN yo fè ;malgre kritik noumenm AYISYEN ka fè yo.
Y ap sige ;y ap edike pèp yo -y ap kontwole RESOUS yo .Se pwenn fè pa ,mò rèd ke gouvènman DOMINIKEN an ap PATI POLITIK lan opozisyon an ap fè ak KONPAYI ki ap ekstrakte MIN lakay yo.

Un débat sur Facebook ou votre serviteur défend son point de vue sur la dette de l’indépendance .

Bonne lecture :

Madame B   : Marc ForumHaiti ki dette ou te prete la france yon kob pouki ou pa tounin an afrique c indien wi ki gen dwa mande la frace lajan suspan'n repete betiz c sak fe dr zoulou wa te gentan konin li ta pral touche kob pou'l vovo a leu konsa li ta milliardaire ban lavalas volo
il y a 19 heures
Marc Forumhaiti :  MMe B, j'hesitais  de repondre a votre intervention.Je prends un risque de vous suggerer d'aLler relire l'histoire des heros de la bataille de Vertieres.Soit que vous etes une esclave nee ou votre intervention n'est qu'une provocation ...
il y a environ une heure · J’aime

Mme B :B TRop independante pour etre une esclave nee mais je pense passer 210 annees a repeter les mm betises c un peu stupide n'est pas pourquoi vous n'allez pas de l'avant cessez d'enmerder les gens avec ces stupidites on dirait qu'haiti etait le seul pays a etre colonise c ridicule moi je dirais plutot que la majorite des haitiens ont besoin de therapie allez vous faire soigne il n'y a qu'une seule vie a vrie alors autant en profiter sinon on aura tout un peuple d'egri

Marc Forum haiti :Nancy vous entrez dans un domaine que je connais assez bien, la thérapie puisque je suis psychoéducateur . Alors je m'empresse de vous poser une simple question ; lorsqu'une fille a été violée sexuellement et que durant toute sa vie qu'elle essayait de s,en sortir de cette blessure qu'elle n'y arrivait pas .Comment, selon vous qu' elle pourrait abandonner sa souffrance qui a entravé son développement relationnel, affectif et personnel? Comment reconstruire son passé sans réparation ? Nancy , La manière dont vous réagissez à la dette de l’indépendance que la république combattante ( Hait)i a du rembourser injustement démontre que vous souffrez probablement la maladie d'Alzheimer.Malheureusement cette maladie attaque 80% des femmes.


Marc ForumHaiti :
Il va sans dire que je crois qu'il ne faut pas rester prisonnier de cette déchirure traumatique (dette de l’indépendance ). Il faut s'en libérer pour revenir à la vie . Mais ce qui est triste c,est que nos leaders politiques continuent de faire comme si rien n'était face à la France. Quand j'entends un président haïtien demande à la France d,aider à Haiti dans le domaine de l'éducation. Je me dis , bon sang , que nos politiciens ne comprennent rien . SI la France voulait vraiment aider Haiti, elle l'aurait déjà fait depuis bien longtemps . Oui Nancy , on peut revenir à la vie . Certaines victimes de viol sont revenues à la vie pour aller de l,avant tout en gardant la mémoire de leur blessure. Les leaders haïtiens ont un travail à faire dans ce sens pour que le fracas du passé ne vienne pas chroniquement entraver et atrophier le développement d'Haiti. Il faut nous libérer de ces colons . Il faut prendre une distance . Il ne faut plus demander à ceux qui nous ont violés de nous aider . C'est malsain. C'est entraver davantage notre avenir . Ce sont tous ces comportements politiques des présidents haïtiens qui refusent de regarder la France droit dans les yeux pour la rappeler ce que leurs ancêtres ont fait après la victoire de l’indépendance était ce qu'on appelle aujourd'hui dans le langage juridique de l'EXTORSION.

Wi MAK;
Kòm jèn NÈG ki ap panse ;se vire DO bay la FRANS.Pòch la FRANS vid ,li pa genyen pou l bay.

E ou t ap pale de la CHINE .Gade ki prezans la CHINE ,kay vwazen nou an RD.Menm konpayi EWOPEYEN yo se bank CHINWA ki ap finanse yo lan RD.
E SE chif 2010 wi.CHINWA gen 4,5 fwa plis ke sa envesti lan RD jounen jodi an:

www.eturbonews.com/19093/dominican-tourism-project-financed-china

An 2011 menm ;men sa jounal CHINWA ki rele XINHUA ap di :

www.news.xinhuanet.com/english2010/china/2011-04/21/c_13839269.htm

Se pa tankou FRANSE yo ki ap chache ""apèl dòf"" se envèstisman lan kote ke CHINWA yo ap ede DOMINIKEN yo eksplwate

Mezanmi, mwen bwè pwa nèt lan koze yo. Nou pa konn ki Sen pou nou la pryè ak moun sa yo. Lafrans ak Etazini ap konspire for pou kontrekare jefó patryót ak nasyonalis nou yo ki aktif lan politk la ap fè.

Se sa m'ap di wi, nou pa bezwen ap di pou Lafrans retire kor li an Ayiti, nou ka di sa pou Etazini menm jan a. Yo ansanm sètansi pou ap dikte sa k'ap fèt an ayiti. Ayiti tankou yon bouzen pou ki vagabon yo ap goumen. Se pou sa, se bordel yo pati pou foutr lan ti peyi a nèt.

Mesye Miki ap fè travay li...

DE JEAN-PIERRE BOYER à MICHEL MARTELLY

Miki Martelly représente pour la France l' idiot utile de type "Jean-Pierre Boyer". Voyez justement certaines connections du patronyme Martelly sous le règne de Boyer. http://www.forumhaiti.com/t13753-felix-darfour-l-africain...

Ce Martelly mentionné dans le texte de Beaubrun Ardoin figure parmi les scélérats qui ont poussé et applaudi l'éxécution de l'Africain Jean Felix Darfour, par le tyoul Jean-Pierre Boyer.

"Darfour, ayant été à la Chambre des représentants, alors en séance, donner lecture d'une pétition véhémente contre le chef de l’Etat, en le dénonçant d'avoir vendu le pays aux blancs, venait d'être arrêté et conduit en prison, après avoir été sur le point de périr par l'exaspération de ceux qui l'avaient arrêté, et qu'il allait être jugé militairement.

Plusieurs membres de la Chambre furent signalés comme impliqués dans le projet de Darfour, ainsi que des membres du Sénat: les uns furent éloignés pendant quelque temps de la capitale, et les antres donnèrent leur démission. » - Page 66.

Beaubrun Ardoin (1830) - Études sur l'histoire d'Haiti, Volume 9

Jenerasyon apre jenerasyon se "le même chose". Poutan pitit tyoul pa ta oblije tyoul!

Lafrans ap asire Miki l
https://youtu.be/x8J8Az4_ZN8

Miki se yon veritab idyo! mwen fenk gade ekstrè videyo a kote misye di y ap feraye pou "...renforcer la présence de la France en Haiti. Nous sommes le pays Francophone de la région. Donc on est un peu aussi le prologement de la France. Une nécessité pour nous d'oublier les émotions du passé..." (koute apati 5:20)

Ala kote moun ipokrit, sispann radote vrè papa bouzen nou byen konnen li. Vrè matcho a kap pwofite peyi sa nou konnen li, kap souse san Ayisyen nou konnen li.

Sispann radote sou la Frans ki pa reprezante anyen nan foure men nan poch, eksplwate, pwofite resoius peyi sa.

Se pa reponn m ap reponn NÈG ;ke espesyalite yo se joure pou yo tòpiye diskisyon.

M ap di l kanmenm ;la FRANS pa gen anyen pou l OFRI;ni sou plan kiltirèl ,ni sou plan ekonomik.Nèg ki ap asosye yo ak la FRANS yo ;se grandèt KREYÒL lan ,y ap bay baryè.

VYETNAM ki separe l de la FRANS an 1954 la a ,premye bagay yo te fè se te mete pye lan dengonn lang FRANSE an e anvan lontan sa pa p etone m ke ak lang yo VYETNAMYEN yo ka fè la FRANS konpetisyon.
Yo di ak nouvèl jenerasyon VYETNAMYEN yo ;sou youn ki aprann FRANSE kòm dezyèm LANG ,30 aprann ANGLE.

Pinga NÈG vin joure ;se sou yon JOUNAL FRANSE mwen te wè sa ,NÈG kapab verifye.

Prezidan ""per diem"" lan mete LWA sou AKADEMI KREYÒL lan ,lan tirwa ;paske NÈG tankou l ak zòt konnen ke avansman KREYÒL lan se touye ak ti fe lang FRANSE an ,ann AYITI.
Nou pa p menm bezwen di ke ""PALE FRANSE PA DI LESPRI ANKÒ"" se ap redondan.

Nou pa absoliman bezwen FRANSE ann AYITI ankò ;yo plis NWI ke yo ede;asosyasyon ansyen koloni AFRIKEN yo ak la FRANS touye LAFRIK.
AFRIKEN yo pa gen anpil opsyon tankou nou ;paske gen ansyen koloni FRANSE yo ki pale 15,20 lang DIFERAN ,tandis ke noumenm kontrèman ak lòt peyi ;noutout pale yon sèl LANG ,menm jan ak VYETNAMYEN yo.

E PINGA MOUN VIN JOURE LA A.SE YON BAGAY KI TWÒ ENPÒTAN.GEN ""ENTELEKTYÈL"" lan INIVÈSITE DETA a ki kòmanse kanpe pou yo fòse MATELI siyen LWA sou AKADEMI KREYÒL lan .
Pa gen tan pou pèdi!

Se pou nou gen enfòmasyon ,anvan nou entèvni.

Annou pran peyi yo rele NIGER an.Se an 1960 ke FRANS bay peyi sa a ENDEPANDANS;lang FRANSE an sipoze youn lan lang NASYONAL peyi sa a.
Gade ""LITERACY RATE"" lan :28%
Peyi ki pran ENDEPANDANS li ,AYÈ LA A;FRANS pa t bati lekòl ,montre MOUN yo li.
Se konsa FRANS opere.
Anpil peyi sa yo ap JEMI;se paske FRANS te kolonize yo.Tankou m di l ,1960 pa ISTWA ANSYEN ,se AYÈ la a:

https://www.cia.gov/library/publications/the-world-factbook/geos/ng.html

Rico a écrit:Ala kote moun ipokrit, sispann radote vrè papa bouzen nou byen konnen li. Vrè matcho a kap pwofite peyi sa nou konnen li, kap souse san Ayisyen nou konnen li.

Sispann radote sou la Frans ki pa reprezante anyen nan foure men nan poch, eksplwate, pwofite resoius peyi sa.

Rico

sispann di tenten .

-------- a écrit:

Rico a écrit:Ala kote moun ipokrit, sispann radote vrè papa bouzen nou byen konnen li. Vrè matcho a kap pwofite peyi sa nou konnen li, kap souse san Ayisyen nou konnen li.

Sispann radote sou la Frans ki pa reprezante anyen nan foure men nan poch, eksplwate, pwofite resoius peyi sa.

Rico

sispann di tenten .

Mwen konprann verite deranje w. La Frans pa yon vigil nan foure men nan poch, ni leve jipon fanm kreyol sa. Move papa bouzen ki finn pwofie l nou bliyel, e menm nap glorifye l.

Konpatriyot, mwen di nou sa deja genyen se ka pèdi. Nèg ou wè ki fin anraje ap defann tout kolon sou planèt la, kit se Meriken, kit se Franse...ou pa p ka jwenn remèd pou yo fasilman. E, fok ou reflechi seryezman pou ou deside èske se nan frè ak sè sa yo ou dwe depanse tan ak enèji.

Mwenmenm mwen kwè gen moun ki pa gen ase enfomasyon pou yo konprann tout malis ki nan dyakout kolon enperyalis yo....e moun sa yo, lè yo jwenn enfomasyon, yo fè efo sikolojik ki nesesè a epi yo ajiste konpotman yo. Konsa tou, gen jenerasyon ki inosan an, ki merite tout atansyon nou. Se poutèt sa, nou pa dwe janm dekouraje fè travay pataj lakonesans sou granchimensavwa a (entènèt).

Men, tankou travay Steve McQueen nan (12 years a slave) ak Django Unchained montre sa a aklè, gen yo seri nèg tiye yo rache yo se nan ke jip kolon an y ap makonnen tèt atè poulerèsdesèjou!

Si se pou rayi frè ak sè yo....sa chaje ak "grenn nan bounda". Men depi se massa, yo wè, yo bat ba!

Ala remo!

Wi MAK;

Nèg ap depanse LAJAN leta AYISYEN an ;yo prale an FRANS ou byen BELJIK ,peyi kote PO BONDA (mo BREZILYEN an.. lol) pa pou yo ,epitou  la CHINE ap depanse MILYA e MILYA DOLA ,lan BAHAMAS,DOMINIKANI ,kounye an lan JAMAYIK.

Mwen te wè PREMYE MINIS JAMAYIK ,lè gouvènman KONSÈVATÈ an te sou pouvwa a,sou CCTV (televizyon CHINWA a).
Prezidan ""per diem"" nou an se an FRANS,BELJIK ,menm LESPAY (ADYE) li prale.

Men sa y ap fè lan JAMAYIK:

http://Jamaica-gleaner.com/gleaner/20130311/lead/lead2.html

Epitou JAMAYIK ap fè tou sa ki posib pou TOURIS CHINWA vini lan JAMAYIK.
CHINWA yo gen yon mòd ;lè w pa gen ase OTÈL pou w mete TOURIS yo ,yo vini ak yon 2 MILYA lit-lit pou yo bati konplèks touristik.
Se sa y ap fè lan BAHAMAS ak DOMINIKANI:

www.jamaicaobserver.com/news/Free-Passage_16144776

Wi MAK ;
Se pou yo mete PYE lan DENGONN tout FRANKOFOU.
Nou pa gen anyen pou nou pran lan men la FRANS.la FRANS pa genyen pou l bay.

An 2012,BREZIL te gen 20 MILYA envesti ann AFRIK ;kounye an sa petèt double;epi yo pa gen prejije ke lòt yo genyen ;se pa ke  yo pa gen prejije .Se yon peyi kolonize e kolon an kite PREJIJE men kiltirèlman yo se menm ak NOU.

Yo toujou pre pou yo di ke se yon sèl peyi sou TÈ an ki gen plis MOUN NWA ke yo ;se NIGERIA.
Se pa 2 LAJAN BREZIL genyen envesti lan RD ;y ap bati 2 BARAJ IDROELEKTRIK.
Mete pye lan dengonn ENPERYALIS san LAJAN tankou la FRANS ;se PREJIJE yo pote ,san anyen ankò!

www.slateafrique.com/89145/bresil-brics-pas-comme-les-autres-pour-afrique

BREZIL pi AFRIKEN anpil ke AYITI ;pi AFRIKEN ke LAFRIK menm:

www.slateafrique.com/2065/bresil-ne-peut-rien-refuser-aux-orishas

0mwens Sasaye di fè je nou chèch pran lajan Franse yo. Kanta ti komik Joel se lonje dwèt pran lajan e mete pye nan degonn blan. Se manto wou fout manto Joel disip Aristid ak Preval. Se koken kap triche nan lonje kwi w yo tout la sentjoune nan mande.