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Message  Joel Ven 21 Nov 2014 - 13:35



« 97 % des enfants affichent un retard scolaire au niveau fondamental »




Le Nouvelliste | Publié le : 20 novembre 2014


De concert avec la USAID, le Ministère de l’Éducation nationale et de la Formation professionnelle (MENFP) a organisé, les 19 et 20 novembre 2014, à l’hôtel Montana, un atelier sur le thème « Dialogue stratégique autour de la lecture ». Ces rencontres avaient pour principal objectif d’évaluer le projet « Tout Timoun Ap Li (TATAL) », mis en place depuis plus de deux ans par le ministère et la USAID.









Le directeur général adjoint du MENFP, Ecclésiaste Télémaque, (2e de la gauche vers la droite)
Moranvil Mercidieu

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Plus d’une soixantaine de participants, dont des cadres du MENFP, de l’USAID, ainsi que des représentants des directions départementales de l'Éducation, ont pris part à ces deux journées de partage et de dialogue sur l’amélioration de la lecture en Haïti. Les discussions ont porté sur des thématiques liées à la lecture telles que l’amélioration des compétences en lecture, l’évaluation des compétences en lecture et les principes pour le développement des compétences des élèves.

Selon les organisateurs, cet atelier avait pour objectif d’évaluer le projet TATAL afin de voir s’il (le projet) apporte quelque chose de plus aux bénéficiaires sur la lecture en Haïti. « Ce projet avait pour objectif d’aider le ministère à développer et à évaluer une méthode de lecture visant à améliorer l’apprentissage des élèves de la 1ère à la 3e année. Il s’agit d’une expérience pilote où quelque 300 écoles ont été choisies par tirage au sort à Port-au-Prince, à St-Marc et au Cap-Haïtien », a rappelé une représentante de la USAID à l’ouverture de l’atelier mercredi.

« Grâce à ce projet, poursuit la représentante, le gouvernement américain a investi 12 900 000 dollars pendant 28 mois pour l’avenir du développement d’Haïti. Cependant, les résultats ne sont pas satisfaisants. Les enfants n’apprennent pas assez. D’après les résultats d’un test développé par « RTI », nous remarquons que 97 % des enfants n’arrivent pas à boucler leurs études en 13 année comme prévu.»

Ce n’est pas le directeur général adjoint du MENFP, Ecclésiaste Télémaque, qui dira le contraire. «… Malheureusement, le tableau qui s’offre à nous aujourd’hui n’est pas des plus excitants, a-t-il admis. La moyenne internationale montre qu’un enfant devrait pouvoir lire 60 mots à la minute. Les différents tests l’ont prouvé. Mais nous avons constaté que nous avons une grande déficience en la matière », a dit le haut cadre du ministère. Avant d’ajouter : « Mais la bataille n’est pas perdue, c’est ce qui explique notre présence à cet atelier aujourd’hui sur un dialogue autour de la lecture. »

Selon le directeur général adjoint, il est démontré que si un enfant arrive à maîtriser ses quatre premières années de lecture, il pourra aisément exceller dans les autres disciplines. De ce fait, (à l’ouverture de la rencontre) Ecclésiaste Télémaque a invité les participants à identifier la meilleure approche qui soit à même d’aider nos enfants à acquérir les éléments de base en lecture pour leur permettre d’apprendre avec aisance les autres disciplines.
AUTEUR

Bertrand Mercéus

mbertrand@lenouvelliste.com



LEKOL an FRANSE pou majorite POPILASYON an pa p mennen okenn kote.NEG mesye USAID yo se gouvenman yo konn jete ;yo pa konnen si KOUD ak BOUNDA yo se menm lan yon peyi tankou AYITI.
Mwen sot li yon ATIK sou NOUVEL OBSERVATEUR ki ap di ki jan Ti FRANSE lan KLAS DEFAVORIZE an FRANS yo paka aprann li.
Yo di pou w aprann li VIT ,se pou w konprann sa w ap li an.
KOM SE FRANSE KI AP DI L ;PETET MACHANN KILTI PEPE YO A TANDE.
An komansan se pou NEG ki kontinye ap di ke AYITI gen 2 LANG ;pou ba MOUN REPO yo.
NEG tankou BERROUET ORIOL yo.

[b]Epi m ap di MALPWOPTE OBSKIRANTIS ,RETROGRAD ,INYORAN ,sispann ATAKE KONPITE M ou byen y ap we si FBI pa p vin frape lan POT yo san zatann

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Message  Joel Ven 21 Nov 2014 - 14:15

Sa a se yon ATIK ki parèt jounen jodi an sou NOUVEL OBSERVATEUR.
Li l BYEN.
PETÈT NÈG KI KONTINYE AP VIV LAN 19YÈM SYÈK yo a komanse viv lan 21èm Syèk



A première vue, cela ressemble à une petite conversation tranquille. Emilie César, auxiliaire de puériculture à la crèche Françoise-Dolto de Courcouronnes (Essonne), présente un imagier à Bazi et Dalila, 2 ans et des poussières. Posés sur des coussins dans une salle dédiée, loin du brouhaha infantile environnant, ils tournent les pages et commentent ce qu’ils voient.

"Boi tafé" dit Bazi en désignant le dessin d’une tasse. "Oui, c’est vrai, on boit le café dans une tasse", reformule Emilie. Apercevant un téléphone, Dalila porte la main à l’oreille. "Qui est-ce que tu appelles au téléphone ?" demande Emilie. "Man" - "Et qu’est-ce que tu lui dis à maman ?" - "Anô ?"

Plus tard, les deux petits parleront de "totettes et tulottes" (chaussettes et culottes), de "pillon vo’" (papillon qui vole) et du fait que "moi si a mat’" ("moi aussi j’ai une montre").

Limiter la casse

Cet échange d’un quart d’heure n’a rien d’un bavardage au fil de l’eau. Il a une ambition bien précise : faire parler, parler, parler les deux bouts de chou et les aider à développer leur aisance à manier la langue pour leur faire trouver une place dans cette grosse crèche (62 bambins), où le groupe écrase souvent les enfants les moins préparés. A terme, il s'agit aussi de limiter la casse quand ils entreront à l’école... dans un an.

Toute cette démarche s’appuie sur une méthode tout à fait scientifique appelée le "parler bambin". Venue du Canada, elle est expérimentée en France depuis une dizaine d’années et mise en pratique actuellement dans les crèches d’une demi-douzaine de villes (Lille, Fontenay-aux-Roses, Nantes, Le Havre…).

Elle s’adresse aux enfants de 18 mois à 2 ans, dont les équipes ont décelé les risques de subir l’échec scolaire avant même qu’ils aient mis un orteil en maternelle.

On sait en effet que la maîtrise du langage oral est cruciale pour la réussite à l’école, explique Guillemette Pouget, médecin à l’Education nationale, qui a expérimenté la méthode avec des chercheurs de l’université de Grenoble-Pierre-Mendès-France. Un enfant ne lira jamais bien un mot qu’il ne comprend pas. Donc, il faut mettre la priorité sur le langage."

"Il ne comprend pas ce que vous dites…"

Cette mauvaise maîtrise de la langue ne tombe pas du ciel : elle est le plus souvent liée à des questions sociales et culturelles. Pas simplement parce qu’une famille aisée emploie un panel de mots plus varié qu’une famille pauvre, mais aussi – et peut-être surtout – pour des raisons quantitatives :

En une semaine, un enfant issu des milieux supérieurs entend en moyenne 215.000 mots. Un enfant des classes moyennes 125.000 mots. Un enfant de l’Assistance publique 62.000 mots", décrit Guillemette Pouget.

Mais pourquoi les parents de milieux modestes s’adressent-ils moins souvent à leurs progénitures que les autres ? "Parce que beaucoup ne réalisent pas qu’un enfant qui n’est pas en âge de parler comprend tout à fait ce qu’on lui raconte", analyse la médecin. Laquelle narre une scène observée dans une crèche : la directrice de l’établissement adressant la parole directement à l’enfant (sur le thème : "Voilà ce que tu vas faire ici…") et suscitant l’incompréhension parentale : "Mais madame, il ne comprend pas ce que vous dites…"

"Honte" de la lange

Une réalité méconnue, mais qui n'étonne personne à la crèche Françoise-Dolto, située dans un quartier pas facile de Courcouronnes, elle-même l’une des villes les plus pauvres de l’Essonne (on y compte trois fois plus d’employés et ouvriers que de cadres). "C'est vrai que les familles modestes tiennent vis-à-vis de leurs enfants plus souvent un langage 'fonctionnel' ["Mange ta soupe", "Mets tes baskets", NDLR] que des conversations à proprement parler", confirme Nathalie Encinas, responsable du service petite enfance à la mairie de Courcouronnes.

Egalement parce qu’une partie des familles modestes, notamment en banlieue, sont issus de pays étrangers et éprouvent parfois une certaine "honte" d’utiliser leur langue natale – ce qui les conduit à réduire les échanges oraux avec leurs enfants.

Or, l’un des intérêts majeurs du "parler bambin" est précisément d’associer systématiquement les parents des enfants repérés – une attitude impensable dans le système scolaire français. En leur prêtant l’imagier, par exemple, pour qu’ils l’utilisent à la maison. "Mais attention, prévient Nathalie Encinas, ce ne sont pas 'devoirs' à faire. Avec les parents, nous ne nous plaçons jamais dans la posture du ‘faites comme je vous dis, je sais mieux que vous’. Nous expliquons plutôt ce que nous faisons et pourquoi c’est un plus pour leurs enfants." Libre ensuite aux parents de prendre part ou non à la démarche.

"Surstimuler" les enfants

Et les résultats semblent là : une comparaison scientifique (voir p. 4 de ce document) a été réalisée sur 65 enfants de 2 ans à deux ans et demi dans deux crèches de Grenoble accueillant toutes les deux des publics très défavorisés. La moitié d’entre eux a pratiqué pendant 6 mois le "parler bambin" et l’autre aucune méthode. Résultat : "Le 'QI verbal' [qui mesure la capacité à manier le vocabulaire, NDLR] du groupe qui a expérimenté le parler bambin a bondi de 10 points, alors que dans l’autre crèche, il n’a pas bougé", expose Guillemette Pouget.

Pour autant, cette évaluation a été conduite sur un trop petit panel d’enfants pour être totalement concluante – une étude nationale est prévue à partir du printemps 2015. Mais d’ores et déjà, le parler bambin est l’objet de critiques de la part notamment d’un certain nombre d’acteurs de la petite enfance, dont des psychanalystes.

Ils nous reprochent de ‘surstimuler’ les enfants ou de stigmatiser les classes populaires en les ‘évaluant’ trop précocement, s’agace Guillemette Pouget. Ces gens-là souhaitent surtout que rien ne change au sein des classes populaires…"

"Laisse-moi tranquille"

Bernard Golse, psychanalyste et pédopsychiatre à l’hôpital Necker, compte parmi ces sceptiques : "Tous ces efforts reposent sur cette idée très anglo-saxonne qui veut faire de ces enfants de bons citoyens ‘rentables’ pour la société, explique-t-il. Mais bombarder des enfants avec des mots, ce n’est pas les faire accéder au langage. Où est le plaisir de s’exprimer avec des adultes qui aiment leur parler ?"

Une critique qui fait hausser les épaules aux intervenantes de la crèche de Courcouronnes, majoritairement convaincues du bien-fondé de la méthode. "Je me souviens d’une petite fille qui parlait très peu, très mal et que nous avons impliquée dans le programme l’année dernière, raconte Pascale Mache, puéricultrice à Françoise-Dolto. Je l’ai revue il y a quelques temps avec un petit garçon qui l’embêtait. Elle lui a répondu ‘Laisse-moi tranquille’ d’une manière très distincte. Sans le programme, elle n’aurait sans doute jamais été capable de cela."

Arnaud Gonzague



Lè nou va reyalize ke FRANSE yo ap pale de TIMOUN lan KLAS DEFAVORIZE lakay yo ki pa ka aprann li paske yo pa konprann sa ki ap di.
Si nou gen yon minimom bon sans panse a TIMOUN lakay nou yo ki plis ke 90% DEFAVORIZE.
Ti FRANSE yo konn tande FRANSE ,alos ke pa nou yo se lan LEKOL grann majorite an konn tande l

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Message  jafrikayiti Sam 22 Nov 2014 - 9:19

Gen zonbi ki tèlman desounen toutotan se pa blan franse pou tèt yo ki vin di yo se pou Ayiti vag sou itilizasyon franse (yon lang etranje) kòm premye lang nan sistèm edikasyon an, y ap fenk kare ranmase dlo ak panyen pèse.

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Message  Joel Sam 22 Nov 2014 - 9:27



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Grandes écoles : la chasse aux fautes d’orthographe est ouverte


ECAM-LyonConstatant le faible niveau d’orthographe de ses étudiants, l’ECAM Lyon, a mis en place un certificat de français qui conditionne l’obtention du diplôme d’ingénieur. Objectif : rendre les futurs diplômés plus crédibles auprès des recruteurs.

Demander aux futurs ingénieurs de maîtriser l’anglais, en passant le TOEIC ou le TOEFL, ne sera plus l’unique condition linguistique pour décrocher un diplôme de l’ECAM. Depuis cette année, l’école d’ingénieurs a rendu obligatoire l’obtention d’un certificat de français. Au programme : un apprentissage en ligne tout au long de l’année des subtilités de notre langue. Les étudiants devront ensuite se soumettre à un examen et décrocher au moins 400 points sur les 1 000 possibles. S’ils ne réussissent pas l’épreuve, ils auront deux années supplémentaires pour améliorer leur score. Le niveau demandé, jugé moyen par l’école, devrait être relevé à 500 points d’ici 2016. Le certificat Voltaire, qui se présente sous forme d’un quizz basé sur le même principe que le TOEFL et le TOEIC, a déjà été adopté par des écoles d’ingénieurs telles que l’Eseo à Angers, l’Eisti à Pau et Cergy, ou encore par l’école de commerce, Montpellier Business School.

Davantage de crédibilité à l’embauche

82 % des recruteurs se disent sensibles aux fautes d’orthographe, d’après une enquête du cabinet de recrutement Robert Half datant de 2011. Si une faute de frappe est tolérable, les erreurs grammaticales ou de conjugaison le sont beaucoup moins aux yeux des employeurs. À candidatures égales entre deux jeunes diplômés, la maîtrise de la langue française peut donc véritablement faire la différence…



Mwen mete ATIK sa a ,paske AYISYEN ann AYITI yo renmen kite MOUN lan INYORANS.
Se sel jan ke de NEG ki pa menm gen ABILITE POLITIK pou yo ta eli lan KAZEK gen ANBISYON PREZIDANSYEL.
Se toujou yon Kesyon de "le savoir" .Mwen pa gen anyen kont le savwa ,okontre.
Men jan de bagay sa a ap antere nou de plizanpli.
Vin gen yon ABSIDITE .Prezidan SENA a le li ap fe yon DISKOU lan SENA a ;li pi vit fe l an FRANSE ke an KREYOL.
Ou gen tou ANDRE MICHEL ki depi l ap pale se pou li ba w yon MOSO an KREYOL ,yon MOSO an FRANSE.

Pouki sa tou?
Se pa pou yo ta fe DIPLOMAT konprann ;paske se DEVWA yo pou yo aprann LANG kote yo afekte YO e lang sa a pa FRANSE.
Pou jan ANDRE MICHEL ap aji sou kesyon sa a ;mwen salye kouraj li pou pozisyon li pran,men mwen pa fe l konfyans.

Apre nou fin li ATIK lan n a we ke gen de NEG ki pase lan "grandes ecoles" en FRANS yo ki pa METRIZE FRANSE ki paka ekri san yo pa fe FOT OTOGRAF ak FOT ESIL.

An FRANS aktyelman 23% POPILASYON ant 16 ak 65 an pa konprann byen sa y ap li e yo paka ekri yon FRANSE KONPREYANSIB.

Se pou neg ki deja jwenn pa yo e pa panse ak LOT yo;yo di yo renmen peyi an ;men li le li tan pou yo resesi yo.
AVNI nou pa avek LANG FRANSE kom LANG EDIKASYON.
Lang EDIKASYON de MATENEL a

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Message  Joel Sam 22 Nov 2014 - 9:40

jafrikayiti a écrit:Gen zonbi ki tèlman desounen toutotan se pa blan franse pou tèt yo ki vin di yo se pou Ayiti vag sou itilizasyon franse (yon lang etranje) kòm premye lang nan sistèm edikasyon an, y ap fenk kare ranmase dlo ak panyen pèse.


JAF ;
M ap gade bagay sa a an wo anba ,mwen pa fouti konprann li.
Anpil peyi pase pa la .
Tankou m te remake anvan ;VYETNAM ki te koloni FRANSE te we PWOBLEM lan.
Yo pa t pran TAN pou mete pye lan DENGONN lang FRANSE kom lang EDIKASYON e yo pa janm vire gade deye ;y ap pale de yo kom pwisans ki ap monte ann AZI jounen Jodi an.
Son yon SIT FRANSE,WI YON SIT FRANSE;mwen te we ke sou chak MOUN ki ap apran FRANSE lan VYETNAM ,gen 30 ki ap aprann ANGLE.
Gen le,tankou w di ;se kek FRANSE de bon volonte ,pou MOUN ki renmen peyi an ,envite vini ann AYITI,pou di ZOT ke ITILIZASYON FRANSE kom lang EDIKASYON an ,se MAL l ap fe peyi an.

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