Yon diskou enteresan ke CLAUDE RIBBE te pwononse 10 ME 2015
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Yon diskou enteresan ke CLAUDE RIBBE te pwononse 10 ME 2015
CLAUDE RIBBE ke nou ka konnen se FRANSE .Misye fet an FRANS ,sa FRANSE yo rele "EKZAGONAL".
Papa l se GWADLOUPEYEN ,manman l se yon FRANSEZ "BLANCH""
CLAUDE RIBBE se "president des AMIS D'ALEXANDRE DUMAS"
DUMAS ki te fet JEREMI an e ki te youn lan pi GRAN JENERAL lan LAMI REVOLISYONE FRANSE ;yon NEG ke NAPOLEON te dekore ann EJIP e ke menm NAPOLEON sa a te retire NASYONALITE l lan menm ,apre LWA 1802 di ke yon MOUN ak "SAN NWA" pa ka SITWAYEN FRANSE.
ENTERESAN tou,KONKLIZYON DISKOU CLAUDE RIBBE lan!
Allocution de Claude Ribbe le 10 mai 2015, Paris, place du général-Catroux
Dimanche, 10 Mai 2015 18:12 Claude Ribbe
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Pour la 10e année consécutive, le 10 mai est une date nationale incontournable.
Pour la 6e année consécutive, la manifestation parisienne de la place du général-Catroux est un temps fort de cette journée.
Pour la seconde année consécutive, en l’honneur du général Dumas, la commémoration commence à Villers-Cotterêts.
Mais à quoi bon commémorer l’esclavage, la traite et leurs abolitions ?
Tous les ans, nous entendons ceux qui sont dérangés par cette journée nous dire que le 10 mai, il faut commémorer l’esclavage en général, qu’il ait eu lieu dans le passé ou qu’il se déroule dans le présent, et non pas l’esclavage spécifique que pratiqua l’Europe contre l’Afrique, du 15e au 19e siècle.
Tous les ans, nous entendons ceux qui sont dérangés par cette journée nous dire que l’esclavage organisé par l’Europe contre l’Afrique ne serait rien par rapport à l’esclavage que les Africains auraient perpétré les uns contre les autres, rien par rapport à l’esclavage que les musulmans auraient imposé aux Africains.
Tous les ans, nous entendons ceux qui sont dérangés par cette journée nous répéter qu’il faut prendre du recul, que cela n’était pas si grave, que l’Europe n’est pas coupable, qu’il y aurait eu à l’époque un consensus favorable à l’esclavage, comme on nous dirait qu’aujourd’hui le consensus est favorable au racisme.
Ce discours remonte au 17e siècle. Dès le 17e siècle, on tentait de justifier la mise en esclavage d’êtres humains par le fait que ces êtres humains auraient déjà été en esclavage, par le fait que ce n’étaient pas tout à fait des êtres humains, que leur couleur en était bien la preuve.
L’esclavage et la traite que nous commémorons tous les 10 mai, de manière tout à fait officielle puisque c’est la loi française qui nous y invite, ce sont l’esclavage et la traite qui ont été organisés de manière tout aussi officielle par les plus grands pays d’Europe pour développer leurs colonies et faire prospérer leurs trésors publics.
Ce sont ces États européens qui étaient esclavagistes et qui, de manière institutionnelle, parce que cela leur était profitable, ont mis en œuvre ce qui est aujourd’hui officiellement reconnu - au moins en France - comme un crime contre l’humanité, c’est-à-dire un crime imprescriptible.
L’esclavage et la traite que nous commémorons tous les 10 mai, c’est l’esclavage et la traite d’État fondés sur une idéologie raciste et négrophobe. Insistons bien sur ce mot. S’il n’apparaît qu’en 1927, dans la revue Le cri des nègres de Lamine Senghor, la chose, elle, est manifestement survenue au moment où l’esclavage encouragé, codifié, subventionné par l’Europe à commencé.
L’esclavage d’État européen n’aurait pas été possible si le racisme et la négrophobie institutionnalisés ne l’avaient soutenu.
Jamais, dans l’histoire de l’humanité, des textes ayant une portée juridique n’avaient dénié à l’esclave son humanité, du fait de sa couleur. Jamais !
Ceux qui tentent, parfois sous l’alibi de la recherche scientifique financée par l’État, de justifier des pratiques ou des textes, criminels, ignobles, qui les encadrèrent, devraient être traités comme ceux qui font l’apologie des crimes contre l’humanité.
Mais il ne suffit pas de se rassembler une fois par an pour commémorer.
Si la traite, puis l’esclavage d’État, ont été abolis, par la révolte des victimes d’abord, par le fait qu’ils n’étaient plus rentables ensuite, le racisme et la négrophobie, qui étaient le ciment de ce système, sont dans une phase de progression incontrôlée.
Les raisons sont connues.
D’abord l’absence totale de politiques d’éducation et de culture pour combattre ce fléau, tout simplement parce que le racisme et la négrophobie restent le ciment des politiques paternalistes, pour ne pas dire colonialistes en Afrique.
Et peut-être même aussi dans la Caraïbe.
N’est-ce pas pourtant à l’éducation nationale d’enseigner les fondamentaux ?
Est-il possible qu’on puisse sortir de l’école au 21e siècle en ignorant ce qui fait que l’homme est un homme, en ignorant que les êtres humains sont des frères et des soeurs, quels que soient leur apparence, leur sexe, leur orientation sexuelle, leur religion, leur culture, leur langue, et même les vêtements qu’ils portent ?
Est-il possible qu’on puisse sortir de l’école au 21e siècle en ignorant que les Européens sont les descendants d’Africains qui se sont dépigmentés voici 100 000 ans en quittant leur terre pour explorer les froides contrées du nord ?
Est-il possible qu’on puisse sortir de l’école au 21e siècle en ignorant que la France, entre 1650 et 1850, a déporté 1 250 000 Africains pour les mettre en esclavage, principalement aux Antilles, avec une espérance de vie ne dépassant guère dix ans, et que ce crime a causé, en Afrique, rien que pour la part française, 6 millions de morts. Peut-être davantage.
Même s’il y aura toujours des gens pour dire que ces 6 millions d’Africains tués sur place pour en tuer 1250000 autres au travail après déportation dans les colonies, ce ne fut pas un génocide, même s’il y aura toujours des gens pour dire que le code noir était un texte libérateur, il faut que l’éducation nationale assume sa mission en donnant aux enfants un minimum de moyens pour ne pas succomber au racisme et à la négrophobie. Tel n’est pas le cas aujourd’hui.
La faute ne revient pas qu’à l’éducation nationale. La radio, la télévision, et en particulier la télévision publique, ne font pas non plus beaucoup d’efforts pour lutter contre le racisme et la négrophobie. Il suffit d’écouter, de regarder, pour entendre et pour voir. Le racisme et la négrophobie sont certainement rentables pour faire de l’audience. Mais rentables, à quel prix ?
L’expansion du racisme et de la négrophobie françaises sont d’autant plus difficiles à endiguer qu’ils sont institutionnels. Le système politique, économique, culturel et social français, est fondé subrepticement sur l’idée que le pouvoir revient de droit à ceux dont le phénotype est européen, mâles de préférence.
Ce sont les mêmes principes qui ont permis au système esclavagiste français de durer trois siècles, et au système colonial français de prendre ensuite le relais.
D’aucuns disent que le temps est aujourd’hui venu, si crime il y a eu, de le réparer d’une manière générale, comme on a réparé en 1849, avec une dotation d’un équivalent de 4 milliards d’euros, la perte des esclaves dont se plaignaient les négriers, comme on a réparé, en 1825, en imposant par la force aux Haïtiens le versement d’une indemnité de 21 milliards, la perte de cette colonie esclavagiste qui faisait vivre un Français sur cinq.
Ce n’est peut-être pas le moment de prendre position dans ce débat d’un point de vue général.
Mais d’un point de vue particulier, il faudrait que l’État prenne au moins ses responsabilités en facilitant l’ouverture prochaine, place du général-Catroux, dans les locaux de l’hôtel Gaillard, propriété de la banque de France (une entreprise respectable dont les origines le sont beaucoup moins, puisque liées à l’esclavage) d’un centre Dumas qui ne sera pas seulement une cité de l’outre mer français, au sens ou l’actuel président de la République l’a promis, mais plus largement un lieu de culture, d’éducation et de mémoire qui puisse sinon réparer, du moins rattraper 380 années de négrophobie entretenue ou au mieux tolérée par notre nation.
La figure héroïque du général Dumas émerge parmi les grandes figures exemplaires issues de la traite et de l’esclavage, parce qu’il incarnait, plus que quiconque, les valeurs de liberté, d’égalité et de fraternité qui sont celles qu’affiche, plus qu’elle ne les défend vraiment, hélas, la France d’aujourd’hui.
Ce nom de Dumas qu’il s’était donné a ensuite été illustré avec éclat par deux générations d’écrivains mondialement connus.
Au moment où le président de la République française se rend en Haïti, le pays d’où les Dumas sont originaires, le pays aussi que la France a dévasté - par l’esclavage, par une rançon indigne et plus récemment encore en appuyant un coup d’État pour qu’on ne reparle là-bas ni de l’esclavage ni de la rançon -la prise de décision donnant le jour à ce centre Dumas, que la ville de Paris a par ailleurs appelé de ses vœux en octobre 2014, de fait à l’unanimité, semble, plus qu’une nécessité, une issue inévitable. Et le plus tôt serait le mieux.
L'Association des Amis du général Dumas
Jeudi, 08 Mai 2014 11:30 Claude Ribbe
L’association des Amis du général Dumas a été officiellement créée à l’initiative et sous la présidence de l’écrivain et cinéaste Claude Ribbe le 26 février 2006, à l’occasion du 200e anniversaire de la mort du général Dumas, pour relayer et soutenir le travail engagé par Claude Ribbe, à titre individuel depuis 2002 afin de faire émerger la figure du général Dumas dans l’histoire de France.
En 2002, Claude Ribbe avait publié un premier ouvrage sur le général Dumas et était intervenu auprès de la ville de Paris pour que le monument érigé en 1913 place du général-Catroux,
Papa l se GWADLOUPEYEN ,manman l se yon FRANSEZ "BLANCH""
CLAUDE RIBBE se "president des AMIS D'ALEXANDRE DUMAS"
DUMAS ki te fet JEREMI an e ki te youn lan pi GRAN JENERAL lan LAMI REVOLISYONE FRANSE ;yon NEG ke NAPOLEON te dekore ann EJIP e ke menm NAPOLEON sa a te retire NASYONALITE l lan menm ,apre LWA 1802 di ke yon MOUN ak "SAN NWA" pa ka SITWAYEN FRANSE.
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Allocution de Claude Ribbe le 10 mai 2015, Paris, place du général-Catroux
Dimanche, 10 Mai 2015 18:12 Claude Ribbe
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Pour la 10e année consécutive, le 10 mai est une date nationale incontournable.
Pour la 6e année consécutive, la manifestation parisienne de la place du général-Catroux est un temps fort de cette journée.
Pour la seconde année consécutive, en l’honneur du général Dumas, la commémoration commence à Villers-Cotterêts.
Mais à quoi bon commémorer l’esclavage, la traite et leurs abolitions ?
Tous les ans, nous entendons ceux qui sont dérangés par cette journée nous dire que le 10 mai, il faut commémorer l’esclavage en général, qu’il ait eu lieu dans le passé ou qu’il se déroule dans le présent, et non pas l’esclavage spécifique que pratiqua l’Europe contre l’Afrique, du 15e au 19e siècle.
Tous les ans, nous entendons ceux qui sont dérangés par cette journée nous dire que l’esclavage organisé par l’Europe contre l’Afrique ne serait rien par rapport à l’esclavage que les Africains auraient perpétré les uns contre les autres, rien par rapport à l’esclavage que les musulmans auraient imposé aux Africains.
Tous les ans, nous entendons ceux qui sont dérangés par cette journée nous répéter qu’il faut prendre du recul, que cela n’était pas si grave, que l’Europe n’est pas coupable, qu’il y aurait eu à l’époque un consensus favorable à l’esclavage, comme on nous dirait qu’aujourd’hui le consensus est favorable au racisme.
Ce discours remonte au 17e siècle. Dès le 17e siècle, on tentait de justifier la mise en esclavage d’êtres humains par le fait que ces êtres humains auraient déjà été en esclavage, par le fait que ce n’étaient pas tout à fait des êtres humains, que leur couleur en était bien la preuve.
L’esclavage et la traite que nous commémorons tous les 10 mai, de manière tout à fait officielle puisque c’est la loi française qui nous y invite, ce sont l’esclavage et la traite qui ont été organisés de manière tout aussi officielle par les plus grands pays d’Europe pour développer leurs colonies et faire prospérer leurs trésors publics.
Ce sont ces États européens qui étaient esclavagistes et qui, de manière institutionnelle, parce que cela leur était profitable, ont mis en œuvre ce qui est aujourd’hui officiellement reconnu - au moins en France - comme un crime contre l’humanité, c’est-à-dire un crime imprescriptible.
L’esclavage et la traite que nous commémorons tous les 10 mai, c’est l’esclavage et la traite d’État fondés sur une idéologie raciste et négrophobe. Insistons bien sur ce mot. S’il n’apparaît qu’en 1927, dans la revue Le cri des nègres de Lamine Senghor, la chose, elle, est manifestement survenue au moment où l’esclavage encouragé, codifié, subventionné par l’Europe à commencé.
L’esclavage d’État européen n’aurait pas été possible si le racisme et la négrophobie institutionnalisés ne l’avaient soutenu.
Jamais, dans l’histoire de l’humanité, des textes ayant une portée juridique n’avaient dénié à l’esclave son humanité, du fait de sa couleur. Jamais !
Ceux qui tentent, parfois sous l’alibi de la recherche scientifique financée par l’État, de justifier des pratiques ou des textes, criminels, ignobles, qui les encadrèrent, devraient être traités comme ceux qui font l’apologie des crimes contre l’humanité.
Mais il ne suffit pas de se rassembler une fois par an pour commémorer.
Si la traite, puis l’esclavage d’État, ont été abolis, par la révolte des victimes d’abord, par le fait qu’ils n’étaient plus rentables ensuite, le racisme et la négrophobie, qui étaient le ciment de ce système, sont dans une phase de progression incontrôlée.
Les raisons sont connues.
D’abord l’absence totale de politiques d’éducation et de culture pour combattre ce fléau, tout simplement parce que le racisme et la négrophobie restent le ciment des politiques paternalistes, pour ne pas dire colonialistes en Afrique.
Et peut-être même aussi dans la Caraïbe.
N’est-ce pas pourtant à l’éducation nationale d’enseigner les fondamentaux ?
Est-il possible qu’on puisse sortir de l’école au 21e siècle en ignorant ce qui fait que l’homme est un homme, en ignorant que les êtres humains sont des frères et des soeurs, quels que soient leur apparence, leur sexe, leur orientation sexuelle, leur religion, leur culture, leur langue, et même les vêtements qu’ils portent ?
Est-il possible qu’on puisse sortir de l’école au 21e siècle en ignorant que les Européens sont les descendants d’Africains qui se sont dépigmentés voici 100 000 ans en quittant leur terre pour explorer les froides contrées du nord ?
Est-il possible qu’on puisse sortir de l’école au 21e siècle en ignorant que la France, entre 1650 et 1850, a déporté 1 250 000 Africains pour les mettre en esclavage, principalement aux Antilles, avec une espérance de vie ne dépassant guère dix ans, et que ce crime a causé, en Afrique, rien que pour la part française, 6 millions de morts. Peut-être davantage.
Même s’il y aura toujours des gens pour dire que ces 6 millions d’Africains tués sur place pour en tuer 1250000 autres au travail après déportation dans les colonies, ce ne fut pas un génocide, même s’il y aura toujours des gens pour dire que le code noir était un texte libérateur, il faut que l’éducation nationale assume sa mission en donnant aux enfants un minimum de moyens pour ne pas succomber au racisme et à la négrophobie. Tel n’est pas le cas aujourd’hui.
La faute ne revient pas qu’à l’éducation nationale. La radio, la télévision, et en particulier la télévision publique, ne font pas non plus beaucoup d’efforts pour lutter contre le racisme et la négrophobie. Il suffit d’écouter, de regarder, pour entendre et pour voir. Le racisme et la négrophobie sont certainement rentables pour faire de l’audience. Mais rentables, à quel prix ?
L’expansion du racisme et de la négrophobie françaises sont d’autant plus difficiles à endiguer qu’ils sont institutionnels. Le système politique, économique, culturel et social français, est fondé subrepticement sur l’idée que le pouvoir revient de droit à ceux dont le phénotype est européen, mâles de préférence.
Ce sont les mêmes principes qui ont permis au système esclavagiste français de durer trois siècles, et au système colonial français de prendre ensuite le relais.
D’aucuns disent que le temps est aujourd’hui venu, si crime il y a eu, de le réparer d’une manière générale, comme on a réparé en 1849, avec une dotation d’un équivalent de 4 milliards d’euros, la perte des esclaves dont se plaignaient les négriers, comme on a réparé, en 1825, en imposant par la force aux Haïtiens le versement d’une indemnité de 21 milliards, la perte de cette colonie esclavagiste qui faisait vivre un Français sur cinq.
Ce n’est peut-être pas le moment de prendre position dans ce débat d’un point de vue général.
Mais d’un point de vue particulier, il faudrait que l’État prenne au moins ses responsabilités en facilitant l’ouverture prochaine, place du général-Catroux, dans les locaux de l’hôtel Gaillard, propriété de la banque de France (une entreprise respectable dont les origines le sont beaucoup moins, puisque liées à l’esclavage) d’un centre Dumas qui ne sera pas seulement une cité de l’outre mer français, au sens ou l’actuel président de la République l’a promis, mais plus largement un lieu de culture, d’éducation et de mémoire qui puisse sinon réparer, du moins rattraper 380 années de négrophobie entretenue ou au mieux tolérée par notre nation.
La figure héroïque du général Dumas émerge parmi les grandes figures exemplaires issues de la traite et de l’esclavage, parce qu’il incarnait, plus que quiconque, les valeurs de liberté, d’égalité et de fraternité qui sont celles qu’affiche, plus qu’elle ne les défend vraiment, hélas, la France d’aujourd’hui.
Ce nom de Dumas qu’il s’était donné a ensuite été illustré avec éclat par deux générations d’écrivains mondialement connus.
Au moment où le président de la République française se rend en Haïti, le pays d’où les Dumas sont originaires, le pays aussi que la France a dévasté - par l’esclavage, par une rançon indigne et plus récemment encore en appuyant un coup d’État pour qu’on ne reparle là-bas ni de l’esclavage ni de la rançon -la prise de décision donnant le jour à ce centre Dumas, que la ville de Paris a par ailleurs appelé de ses vœux en octobre 2014, de fait à l’unanimité, semble, plus qu’une nécessité, une issue inévitable. Et le plus tôt serait le mieux.
L'Association des Amis du général Dumas
Jeudi, 08 Mai 2014 11:30 Claude Ribbe
L’association des Amis du général Dumas a été officiellement créée à l’initiative et sous la présidence de l’écrivain et cinéaste Claude Ribbe le 26 février 2006, à l’occasion du 200e anniversaire de la mort du général Dumas, pour relayer et soutenir le travail engagé par Claude Ribbe, à titre individuel depuis 2002 afin de faire émerger la figure du général Dumas dans l’histoire de France.
En 2002, Claude Ribbe avait publié un premier ouvrage sur le général Dumas et était intervenu auprès de la ville de Paris pour que le monument érigé en 1913 place du général-Catroux,
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Date d'inscription : 24/08/2006
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