Se pa RECHOFE-Se bagay ki merite diskite sou yon SIT AYISYEN
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Se pa RECHOFE-Se bagay ki merite diskite sou yon SIT AYISYEN
Gen anpil lan NOU ki kontinye panse yon jan de LEWOP ak LAFRIK ,se paske yo pa janm eseye anseye TIMOUN nou yo ISTWA LAFRIK anvan EWOPEYEN yo te penetre lan KONTINAN an.
Pou anpil lannou ISTWA DAYITI komanse le nou te rive zou ZILE an.
Se pa vre ditou e CHWA ke ELIT AYISYEN yo ak ANKOURAJMAN FIC ak LEGLIZ KATOLIK pou pa pale de ISTWA sa a ,se yon gwo MAL ke yo FE.
Sa a se yon ATIK ki paret sou LIBERATION le 14 OCTOBRE 2015 kote yon ISTORYEN FRANSE di ke si ti FRANSE yo pa aprann ISTWA LAFRIK ant 8em ak 16 em SYEK ,se kenbe ti FRANSE yo lan INYORANS:
Une honteuse régression dans l’enseignement de l’histoire
Par Jean-Pierre Chrétien, Historien et Pierre Boilley , Professeur d’histoire de l’Afrique contemporaine à l’université Paris-I Panthéon-Sorbonne — 14 octobre 2015 à 17:06
Les anciennes civilisations de l’Afrique du VIIIe au XVIe siècle ont été brièvement étudiées en classe de 5e entre 2010 et 2015. Cette question, qui marquait une volonté d’ouverture sur le monde, a été discrètement retirée des programmes. Oubli ou nouveau repli vers le «roman national» ?
Une honteuse régression dans l’enseignement de l’histoire
En 2010, une question consacrée aux anciennes civilisations de l’Afrique du VIIIe au XVIe siècle avait été introduite dans les programmes de la classe de 5e des collèges. Elle reflétait un souci d’ouverture de l’enseignement de l’histoire à l’ensemble du monde. Les enseignants et les chercheurs concernés s’étaient mobilisés pour intégrer et éclairer cette question sur le plan pédagogique. Et nous apprenons que, dans les projets de programmes élaborés en avril, puis en septembre 2015, cette question a été éliminée en catimini.
Son introduction avait suscité, à l’époque, une polémique grotesque, selon laquelle Louis XIV, Napoléon et Vercingétorix seraient (nous citons) les victimes des «empires du Songhaï et du Monomotapa». Quelques personnes, parfaitement ignorantes de l’histoire de l’Afrique, et dont la connaissance de l’histoire de France avait aussi ses limites, avaient médiatisé leur mauvaise foi sur des réseaux sociaux, mais aussi dans la presse et les médias publics, au nom de la défense d’un prétendu respect du «roman national». Ils oubliaient que Marc Bloch, cité approximativement sur «la fête de la Fédération» et «le sacre de Reims», ironisant sur la grande histoire politique, avait aussi écrit dans l’Etrange défaite qu’il ne croyait «nullement plus difficile d’intéresser un enfant aux vicissitudes d’une technique, voire aux apparentes étrangetés d’une civilisation ancienne ou lointaine qu’à un changement de ministère».
Aujourd’hui, ce même obscurantisme est donc de retour. Il ne s’agit pas de remettre en cause la priorité de l’enseignement de l’histoire de notre pays dans les collèges, mais, à une époque où, plus que jamais, la connexion avec les autres parties du monde est essentielle dans la compréhension de cette histoire, il s’agit d’ouvrir les esprits à cette réalité. Un impératif moral diront certains, mais d’abord une exigence intellectuelle. L’Afrique, en particulier, est à nos portes. Son or fut au cœur de l’essor du commerce méditerranéen au Moyen Age. Des rois mages aux portraits de Watteau et du Monomotapa de La Fontaine au Mirage de Tombouctou chez René Caillié, les Africains sont dans notre histoire depuis des siècles. Comment comprendre la rupture dramatique causée par la traite des esclaves, comment comprendre le sens des interventions coloniales, si l’on ignore tout de l’histoire qui les a précédées !
Ce ne sont pas seulement les enfants d’origine africaine, nombreux dans nos classes, qui méritent de connaître les aspects les plus brillants du passé de leurs ancêtres, mais tous les élèves si on veut leur éviter l’étroitesse de vues, les préjugés et les retombées d’un racisme hélas toujours vivace. Ce sont donc les valeurs si souvent avancées de «la République» qui sont en cause. Mais surtout, c’est le respect de la discipline historique faite d’héritages et de ruptures, mais aussi, à chaque époque, de connexions, proches ou lointaines, qui est en jeu. Le retrait de la question d’histoire africaine en classe de 5e résonne comme un signal de repliement, d’ignorance et de mépris. Les responsables de la rédaction de ces programmes doivent reprendre leur esprit, ne pas se laisser intimider par des préjugés d’un autre âge et rectifier cet étrange «oubli».
Jean-Pierre Chrétien Historien , Pierre Boilley Professeur d’histoire de l’Afrique contemporaine à l’université Paris-I Panthéon-Sorbonne
Pou anpil lannou ISTWA DAYITI komanse le nou te rive zou ZILE an.
Se pa vre ditou e CHWA ke ELIT AYISYEN yo ak ANKOURAJMAN FIC ak LEGLIZ KATOLIK pou pa pale de ISTWA sa a ,se yon gwo MAL ke yo FE.
Sa a se yon ATIK ki paret sou LIBERATION le 14 OCTOBRE 2015 kote yon ISTORYEN FRANSE di ke si ti FRANSE yo pa aprann ISTWA LAFRIK ant 8em ak 16 em SYEK ,se kenbe ti FRANSE yo lan INYORANS:
Une honteuse régression dans l’enseignement de l’histoire
Par Jean-Pierre Chrétien, Historien et Pierre Boilley , Professeur d’histoire de l’Afrique contemporaine à l’université Paris-I Panthéon-Sorbonne — 14 octobre 2015 à 17:06
Les anciennes civilisations de l’Afrique du VIIIe au XVIe siècle ont été brièvement étudiées en classe de 5e entre 2010 et 2015. Cette question, qui marquait une volonté d’ouverture sur le monde, a été discrètement retirée des programmes. Oubli ou nouveau repli vers le «roman national» ?
Une honteuse régression dans l’enseignement de l’histoire
En 2010, une question consacrée aux anciennes civilisations de l’Afrique du VIIIe au XVIe siècle avait été introduite dans les programmes de la classe de 5e des collèges. Elle reflétait un souci d’ouverture de l’enseignement de l’histoire à l’ensemble du monde. Les enseignants et les chercheurs concernés s’étaient mobilisés pour intégrer et éclairer cette question sur le plan pédagogique. Et nous apprenons que, dans les projets de programmes élaborés en avril, puis en septembre 2015, cette question a été éliminée en catimini.
Son introduction avait suscité, à l’époque, une polémique grotesque, selon laquelle Louis XIV, Napoléon et Vercingétorix seraient (nous citons) les victimes des «empires du Songhaï et du Monomotapa». Quelques personnes, parfaitement ignorantes de l’histoire de l’Afrique, et dont la connaissance de l’histoire de France avait aussi ses limites, avaient médiatisé leur mauvaise foi sur des réseaux sociaux, mais aussi dans la presse et les médias publics, au nom de la défense d’un prétendu respect du «roman national». Ils oubliaient que Marc Bloch, cité approximativement sur «la fête de la Fédération» et «le sacre de Reims», ironisant sur la grande histoire politique, avait aussi écrit dans l’Etrange défaite qu’il ne croyait «nullement plus difficile d’intéresser un enfant aux vicissitudes d’une technique, voire aux apparentes étrangetés d’une civilisation ancienne ou lointaine qu’à un changement de ministère».
Aujourd’hui, ce même obscurantisme est donc de retour. Il ne s’agit pas de remettre en cause la priorité de l’enseignement de l’histoire de notre pays dans les collèges, mais, à une époque où, plus que jamais, la connexion avec les autres parties du monde est essentielle dans la compréhension de cette histoire, il s’agit d’ouvrir les esprits à cette réalité. Un impératif moral diront certains, mais d’abord une exigence intellectuelle. L’Afrique, en particulier, est à nos portes. Son or fut au cœur de l’essor du commerce méditerranéen au Moyen Age. Des rois mages aux portraits de Watteau et du Monomotapa de La Fontaine au Mirage de Tombouctou chez René Caillié, les Africains sont dans notre histoire depuis des siècles. Comment comprendre la rupture dramatique causée par la traite des esclaves, comment comprendre le sens des interventions coloniales, si l’on ignore tout de l’histoire qui les a précédées !
Ce ne sont pas seulement les enfants d’origine africaine, nombreux dans nos classes, qui méritent de connaître les aspects les plus brillants du passé de leurs ancêtres, mais tous les élèves si on veut leur éviter l’étroitesse de vues, les préjugés et les retombées d’un racisme hélas toujours vivace. Ce sont donc les valeurs si souvent avancées de «la République» qui sont en cause. Mais surtout, c’est le respect de la discipline historique faite d’héritages et de ruptures, mais aussi, à chaque époque, de connexions, proches ou lointaines, qui est en jeu. Le retrait de la question d’histoire africaine en classe de 5e résonne comme un signal de repliement, d’ignorance et de mépris. Les responsables de la rédaction de ces programmes doivent reprendre leur esprit, ne pas se laisser intimider par des préjugés d’un autre âge et rectifier cet étrange «oubli».
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Re: Se pa RECHOFE-Se bagay ki merite diskite sou yon SIT AYISYEN
Pou nou kontinye "LU POUR VOUS".ENFOMASYON ki ka sevi JENN AYISYEN yo.
Sa a se yon MAYIFIK TEMWYAJ ke yon EKRIVEN FRANSE fe sou C.L,R JAMES.
JAMES te ekri "THE BLACK JACOBINS" "LES JACOBINS NOIRS"
Se yon LIV ke nou ka jwenn ann AYITI ,ou te ka jwenn "LES JACOBINS NOIRS" lan BIBLIYOTEK PETONVIL lan ,ki te A KOTE PRESBITE LEGLIZ SEN PYE an ,lan komansman LANNE 1960s yo!
RENAULT di antr'ot ke se yon LIV ke TOUT EWOPEYEN DWE LI!
Se pa "Wikimedia" (lol)
http://monde-diplomatique.fr/2015/01/RENAULT/51967
Yon ti degi.SELMA JAMES ,denye madanm CLR JAMES lan,se bon ZANMI "couple" ARISTIDE lan.
Yo te rankontre ann AFRIK DI SID ,lan "think tank" THABO MBEKI an "RENAISSANCE AFRICAINE.
Si nou gade FIM lan MOUN ki te vwayaje pou rankoutre ARISTID ak madanm li ,le yo te retounen ann AYITI an 2011;n ap we SELMA JAMES lan AYEWOPO an.
Nou kapab fe yon ti konesans ak li:
Sa a se yon MAYIFIK TEMWYAJ ke yon EKRIVEN FRANSE fe sou C.L,R JAMES.
JAMES te ekri "THE BLACK JACOBINS" "LES JACOBINS NOIRS"
Se yon LIV ke nou ka jwenn ann AYITI ,ou te ka jwenn "LES JACOBINS NOIRS" lan BIBLIYOTEK PETONVIL lan ,ki te A KOTE PRESBITE LEGLIZ SEN PYE an ,lan komansman LANNE 1960s yo!
RENAULT di antr'ot ke se yon LIV ke TOUT EWOPEYEN DWE LI!
Se pa "Wikimedia" (lol)
http://monde-diplomatique.fr/2015/01/RENAULT/51967
Yon ti degi.SELMA JAMES ,denye madanm CLR JAMES lan,se bon ZANMI "couple" ARISTIDE lan.
Yo te rankontre ann AFRIK DI SID ,lan "think tank" THABO MBEKI an "RENAISSANCE AFRICAINE.
Si nou gade FIM lan MOUN ki te vwayaje pou rankoutre ARISTID ak madanm li ,le yo te retounen ann AYITI an 2011;n ap we SELMA JAMES lan AYEWOPO an.
Nou kapab fe yon ti konesans ak li:
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Jeu de rôle: Le patriote
Re: Se pa RECHOFE-Se bagay ki merite diskite sou yon SIT AYISYEN
SOU JOUNAL FRANSE "LIBERATION"-OKTOB 2015
Prendre au mot
Par Laurent Joffrin et Tania Kahn — 8 octobre 2015 à 17:46
Prendre au mot
Édito
L’Afrique fut le berceau de l’humanité. Est-elle désormais son avenir ? Dans trois décennies, les Africains formeront un quart de la population mondiale. Depuis dix ans, le taux de croissance du continent, au nord comme au sud, est nettement supérieur à celui de l’économie de la planète. Un remarquable effort d’éducation lui a permis de rattraper progressivement dans ce domaine les autres régions du globe.
Héritière d’une riche histoire où se sont succédé les grands empires et les royaumes puissants, elle est sortie peu à peu des confrontations coloniales et postcoloniales, maîtrisant, malgré les convulsions, son indépendance chèrement acquise.
L’abondance d’une main-d’œuvre formée et l’émergence d’une classe moyenne industrieuse, conjuguées avec l’immensité de ses ressources naturelles, lui ouvrent les portes du XXIe siècle. Ouverte sur le monde, dotée d’une jeunesse ambitieuse, progressant vers la stabilité et la modernité, elle est maintenant la terre de l’espoir.
Encore lui faut-il conjurer les survivances du passé. Les guerres ethniques ou religieuses, les conflits politiques qui dégénèrent en guerre civile ou encore les penchants tyranniques de certains de ses gouvernements continuent de handicaper son développement. Or rien n’est possible sans la stabilité et la paix civile, qui supposent non pas un ordre autoritaire, toujours injuste et toujours contesté, mais un consentement éclairé des citoyens et un respect meilleur des droits humains.
Ils ne se sont jamais raconté de salades
Souveraineté des citoyens, parole libre, émancipation de la société civile, recul puis éradication de la corruption et de l’arbitraire, sûreté juridique, inégalité combattue et contenue, permanence des règles et efficacité des administrations publiques : ce sont les conditions de la réussite, qui comptent plus, finalement, que la richesse des sous-sols et l’intensité des échanges commerciaux. Souvent les gouvernements proclament leur volonté d’avancer dans cette direction. Il faut les prendre au mot. Mais c’est aux Africains eux-mêmes, décidés à intervenir sur la scène publique autant que dans le développement de leur pays, d’organiser le progrès auquel ils aspirent. Point d’économie prospère sans vie politique démocratique. La liberté est un bien en soi ; elle est aussi la condition de la réussite économique et sociale.
Laurent Joffrin , Tania Kahn
Prendre au mot
Par Laurent Joffrin et Tania Kahn — 8 octobre 2015 à 17:46
Prendre au mot
Édito
L’Afrique fut le berceau de l’humanité. Est-elle désormais son avenir ? Dans trois décennies, les Africains formeront un quart de la population mondiale. Depuis dix ans, le taux de croissance du continent, au nord comme au sud, est nettement supérieur à celui de l’économie de la planète. Un remarquable effort d’éducation lui a permis de rattraper progressivement dans ce domaine les autres régions du globe.
Héritière d’une riche histoire où se sont succédé les grands empires et les royaumes puissants, elle est sortie peu à peu des confrontations coloniales et postcoloniales, maîtrisant, malgré les convulsions, son indépendance chèrement acquise.
L’abondance d’une main-d’œuvre formée et l’émergence d’une classe moyenne industrieuse, conjuguées avec l’immensité de ses ressources naturelles, lui ouvrent les portes du XXIe siècle. Ouverte sur le monde, dotée d’une jeunesse ambitieuse, progressant vers la stabilité et la modernité, elle est maintenant la terre de l’espoir.
Encore lui faut-il conjurer les survivances du passé. Les guerres ethniques ou religieuses, les conflits politiques qui dégénèrent en guerre civile ou encore les penchants tyranniques de certains de ses gouvernements continuent de handicaper son développement. Or rien n’est possible sans la stabilité et la paix civile, qui supposent non pas un ordre autoritaire, toujours injuste et toujours contesté, mais un consentement éclairé des citoyens et un respect meilleur des droits humains.
Ils ne se sont jamais raconté de salades
Souveraineté des citoyens, parole libre, émancipation de la société civile, recul puis éradication de la corruption et de l’arbitraire, sûreté juridique, inégalité combattue et contenue, permanence des règles et efficacité des administrations publiques : ce sont les conditions de la réussite, qui comptent plus, finalement, que la richesse des sous-sols et l’intensité des échanges commerciaux. Souvent les gouvernements proclament leur volonté d’avancer dans cette direction. Il faut les prendre au mot. Mais c’est aux Africains eux-mêmes, décidés à intervenir sur la scène publique autant que dans le développement de leur pays, d’organiser le progrès auquel ils aspirent. Point d’économie prospère sans vie politique démocratique. La liberté est un bien en soi ; elle est aussi la condition de la réussite économique et sociale.
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Re: Se pa RECHOFE-Se bagay ki merite diskite sou yon SIT AYISYEN
Wi mesyedam;
Nou pa bezwen konpare n ak LEWOP ou LA CHINE.
Tankou yon NEG tankou WILLIAM BURGHARD DUBOIS (W.E.B) ap fe remake l.
Yon kontinan ki abitye lan EDIKASYON .Edikasyon lan gran ANPI GHANA,SONGHAI lan vil tankou GAO JENNA,TIMBUKTU ak anpil INIVESITE pandan peryod ke 99% MOUN lan EWOP te ANALFABET.
Se pa voye monte .Se nou menm ki kontinye ap ranse le n ap vle imite sa ki ap pase ann EWOP pi lot kote.
Peyi tankou GNANA,ETYOPI,TANZANI soti pou yo fe menm bagay ke de peyi tankou VYETNAM ,KORE ,MALEZI te fe l.
Peyi sa yo ap depanse MASIVMAN lan EDIKASYON.
E yo komanse we ,menm REZILTA ak peyi AZYATIK yo.
Lan yon peyi tankou GHANA 33% lan BIDJE an depanse lan EDIKASYON ,ann AYITI ,MWENS ke 4 %
Alos mezanmi se pa LA CHINE ,ETAZINI,LEWOP non pou nou imite jounen Jodi an ;se LAFRIK:
Nou pa bezwen konpare n ak LEWOP ou LA CHINE.
Tankou yon NEG tankou WILLIAM BURGHARD DUBOIS (W.E.B) ap fe remake l.
Yon kontinan ki abitye lan EDIKASYON .Edikasyon lan gran ANPI GHANA,SONGHAI lan vil tankou GAO JENNA,TIMBUKTU ak anpil INIVESITE pandan peryod ke 99% MOUN lan EWOP te ANALFABET.
Se pa voye monte .Se nou menm ki kontinye ap ranse le n ap vle imite sa ki ap pase ann EWOP pi lot kote.
Peyi tankou GNANA,ETYOPI,TANZANI soti pou yo fe menm bagay ke de peyi tankou VYETNAM ,KORE ,MALEZI te fe l.
Peyi sa yo ap depanse MASIVMAN lan EDIKASYON.
E yo komanse we ,menm REZILTA ak peyi AZYATIK yo.
Lan yon peyi tankou GHANA 33% lan BIDJE an depanse lan EDIKASYON ,ann AYITI ,MWENS ke 4 %
Alos mezanmi se pa LA CHINE ,ETAZINI,LEWOP non pou nou imite jounen Jodi an ;se LAFRIK:
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Re: Se pa RECHOFE-Se bagay ki merite diskite sou yon SIT AYISYEN
Wi ;nou gen anpil pou nou aprann Jodi an lan men AFRIKEN yo ;yon kontinan ke yo te aprann nou MEPRIZE.
Si telman y ap BATI ann AFRIK ke youn lan ENDISTRI ke MOUN ap plis envesti ann AFRIK se ENDISTRI SIMAN.
Menm dan de peyi tankou BURKINA FASO ,endistri SIMAN an ap "booming".
Yo gen 4 IZIN ki ap fabrike SIMAN.
Epitou se AFRIKEN ki ap domine ENDISTRI an ;AFRIKEN NWA NATIF NATAL tankou DANGOTE ,yon NIJERYEN ke pwopriete pou l FABRIKE SIMAN vo de MILYA de DOLA.
Noumenm se enpote n ap enpote SIMAN de DR;ke n ap peye byen CHE e ki ap bay DOMINIKEN yo ,djob NOU YO.
Nou konnen tou ke e GOUVENMAN nou an e yon posyon lan SEKTE PRIVE nou an lan KONFYOLO ak DOMINIKEN yo.
E SA EKSPLIKE SA:
http://lemonde.fr/afrique/article/2015/10/20/en-afrique-la-guerre-de-l-or-gris_4793139_3212.html
Si telman y ap BATI ann AFRIK ke youn lan ENDISTRI ke MOUN ap plis envesti ann AFRIK se ENDISTRI SIMAN.
Menm dan de peyi tankou BURKINA FASO ,endistri SIMAN an ap "booming".
Yo gen 4 IZIN ki ap fabrike SIMAN.
Epitou se AFRIKEN ki ap domine ENDISTRI an ;AFRIKEN NWA NATIF NATAL tankou DANGOTE ,yon NIJERYEN ke pwopriete pou l FABRIKE SIMAN vo de MILYA de DOLA.
Noumenm se enpote n ap enpote SIMAN de DR;ke n ap peye byen CHE e ki ap bay DOMINIKEN yo ,djob NOU YO.
Nou konnen tou ke e GOUVENMAN nou an e yon posyon lan SEKTE PRIVE nou an lan KONFYOLO ak DOMINIKEN yo.
E SA EKSPLIKE SA:
http://lemonde.fr/afrique/article/2015/10/20/en-afrique-la-guerre-de-l-or-gris_4793139_3212.html
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Re: Se pa RECHOFE-Se bagay ki merite diskite sou yon SIT AYISYEN
Mwen konn tande NEG ann AYITI ap pale de "creolisme" si yon AYISYEN fe yon "tournure de phrase" ki sanble ak KREYOL.
Menm si ke nenpot AYISYEN konprann sa MOUN lan ap di.
Mwen sonje EKRIVEN MATINIKE ki rele RAPHAEL CONFIANT an di ke si yon MATINIKE ekri yon bagay e yon MOUN di ke se yon "creolisme" ,se pou yo di MOUN lan "ALLEZ VOUS FAIRE FOUTRE".
Bon dapre sa MICHEL ROCARD di an 1990 gen omwens 2000 KOREKSYON ki merite fet lan OTOGRAF FRANSE an:
Ki sa ki bon OTOGRAF lan e lan ki sa ,sa ta dwe konsene non ;paske nou pa FRANSE ou byen KEBEKWA.
An pasan ,yon ANGLE ou byen yon KANADYEN ekri "labour",yon AMERIKEN ekri "labor" .Tout MO ki fini pa "our" ,ameriken yo lage "u" an.
Wi lan 2000 MO FRANSE yo ke MICHEL ROCARD di ki merite modifye yo ;eske sa konsene yon AYISYEN ki vle pale FRANSE.
Gen NEG ki konn di tou ke tel MO se yon "ANGLICISME" ;si w di yon MO ke AYISYEN ka konprann ;ki mele dengonn nou ke se yon "ANGLICISME" ou pa ;nou pa FRANSE:
http://bdl.oqlf.gouv.qc.ca/bdl/gabarit_bdl.asp?id=3275
Menm si ke nenpot AYISYEN konprann sa MOUN lan ap di.
Mwen sonje EKRIVEN MATINIKE ki rele RAPHAEL CONFIANT an di ke si yon MATINIKE ekri yon bagay e yon MOUN di ke se yon "creolisme" ,se pou yo di MOUN lan "ALLEZ VOUS FAIRE FOUTRE".
Bon dapre sa MICHEL ROCARD di an 1990 gen omwens 2000 KOREKSYON ki merite fet lan OTOGRAF FRANSE an:
Ki sa ki bon OTOGRAF lan e lan ki sa ,sa ta dwe konsene non ;paske nou pa FRANSE ou byen KEBEKWA.
An pasan ,yon ANGLE ou byen yon KANADYEN ekri "labour",yon AMERIKEN ekri "labor" .Tout MO ki fini pa "our" ,ameriken yo lage "u" an.
Wi lan 2000 MO FRANSE yo ke MICHEL ROCARD di ki merite modifye yo ;eske sa konsene yon AYISYEN ki vle pale FRANSE.
Gen NEG ki konn di tou ke tel MO se yon "ANGLICISME" ;si w di yon MO ke AYISYEN ka konprann ;ki mele dengonn nou ke se yon "ANGLICISME" ou pa ;nou pa FRANSE:
http://bdl.oqlf.gouv.qc.ca/bdl/gabarit_bdl.asp?id=3275
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Re: Se pa RECHOFE-Se bagay ki merite diskite sou yon SIT AYISYEN
SWIS yo di ti FRANSE ;yon BAKALOREYA ki LOU an LITERATI se bagay KOUYON.
Yo pa p rekonet BAKALOREYA ti FRANSE ki pase anpil TAN ap aprann LITERATI!
Se TAN MODEN ,LITERATI pa BAY!
http://lefigaro.fr/actualite-france/2013/01/27/01016-20130127ARTFIG00209-le-bac-litteraire-francais-n-a-plus-la-cote-en-suisse.php
Le bac littéraire français n'a plus la cote en Suisse
Home ACTUALITE Société
Par Marie-Estelle Pech
Publié le 27/01/2013 à 21:53
Les institutions universitaires suisses <i>(ici Zurich</i>) estiment qu'avec la réforme des programmes du bac L, celui-ci est devenu trop spécialisé et pas assez riche.
Les universités helvètes jugent son niveau trop faible.
Une initiative suisse pourrait bien ramener au centre des débats la question de la «baisse du niveau» des élèves français. Les universités helvètes ont revu cet automne les critères d'admission des Français. À partir de la rentrée 2013, les titulaires d'un bac littéraire (L) ne pourront plus se présenter dans une institution d'enseignement supérieur suisse, à moins d'avoir choisi l'option mathématiques en première et terminale. Certaines institutions, comme celles de Genève ou de Lausanne, octroieront une «dérogation exceptionnelle» pendant une période de transition de deux ans et ce, uniquement pour les diplômes de lettres, droit et traduction. «Cette décision en dit plus long sur la crise du bac que bien de nos polémiques hexagonales», écrit Emmanuel Davidenkoff qui a révélé l'affaire dans le Huffington Post.
La commission des recteurs des universités suisses s'est réunie comme chaque année, en octobre, pour vérifier que les diplômes étrangers correspondent bien à la «maturité» suisse, le diplôme de fin d'études secondaires: le nombre d'heures de cours et les disciplines étudiées sont passés au crible. Le baccalauréat français n'était déjà pas jugé équivalent à la «maturité» depuis de nombreuses années. Les étudiants français titulaires d'un bac économique ou littéraire devaient obtenir une mention assez bien (12/20) pour être admis dans une faculté suisse. Seuls les bacheliers scientifiques (S) peuvent s'inscrire d'office en dépit de leur mention passable (10/20). Les bacheliers professionnels et technologiques étaient interdits de fréquentation des universités suisses, ils seront rejoints cette année par une partie des littéraires.
«Il y avait déjà des différences substantielles entre le baccalauréat et la maturité. Mais avec la réforme du programme du bac, littéraire en particulier, dont les premières promotions vont sortir cette année, ces différences se sont encore accrues», a confié au TempsCarine Rüssmann, responsable des admissions à l'université de Lausanne.
Débouchés plus étroits
Pas assez de mathématiques, trop spécialisé, le bac L est considéré désormais comme trop faible… C'est aussi le cas en France. Cette série attire moins de deux lycéens sur dix inscrits en filière générale. En vingt ans, les effectifs de la filière ont baissé de 28% alors que les autres ont gagné des élèves. Un rapport de l'inspection générale avait dressé, il y a quatre ans, un constat accablant, indiquant que la filière était «menacée d'une extinction rapide». «Le menu de la filière L est plus pauvre que les autres. Elle comporte moins de disciplines», estime l'Association des professeurs de lettres.
Beaucoup de ces enseignants regrettent que l'étude des mathématiques soit devenue progressivement optionnelle en L. «Un élève littéraire peut obtenir son bac avec un simple niveau de maths de seconde. Il aura pourtant besoin de cette matière, s'il fait des études d'économie, de droit ou même de philosophie!», s'inquiétait Éric Barbazo, président de l'Association des professeurs de mathématiques.
De fait, les débouchés d'un bac L sont plus étroits que ceux d'un bac S ou ES. Et les meilleurs littéraires préfèrent depuis longtemps décrocher un bac S, une suprématie désormais entérinée par la Suisse.
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LIRE AUSSI:
» Décrédibilisé et cher, le bac tarde à se réinventer
» Les trois meilleurs lycées de France sont dans le Sud-Ouest
Yo pa p rekonet BAKALOREYA ti FRANSE ki pase anpil TAN ap aprann LITERATI!
Se TAN MODEN ,LITERATI pa BAY!
http://lefigaro.fr/actualite-france/2013/01/27/01016-20130127ARTFIG00209-le-bac-litteraire-francais-n-a-plus-la-cote-en-suisse.php
Le bac littéraire français n'a plus la cote en Suisse
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Par Marie-Estelle Pech
Publié le 27/01/2013 à 21:53
Les institutions universitaires suisses <i>(ici Zurich</i>) estiment qu'avec la réforme des programmes du bac L, celui-ci est devenu trop spécialisé et pas assez riche.
Les universités helvètes jugent son niveau trop faible.
Une initiative suisse pourrait bien ramener au centre des débats la question de la «baisse du niveau» des élèves français. Les universités helvètes ont revu cet automne les critères d'admission des Français. À partir de la rentrée 2013, les titulaires d'un bac littéraire (L) ne pourront plus se présenter dans une institution d'enseignement supérieur suisse, à moins d'avoir choisi l'option mathématiques en première et terminale. Certaines institutions, comme celles de Genève ou de Lausanne, octroieront une «dérogation exceptionnelle» pendant une période de transition de deux ans et ce, uniquement pour les diplômes de lettres, droit et traduction. «Cette décision en dit plus long sur la crise du bac que bien de nos polémiques hexagonales», écrit Emmanuel Davidenkoff qui a révélé l'affaire dans le Huffington Post.
La commission des recteurs des universités suisses s'est réunie comme chaque année, en octobre, pour vérifier que les diplômes étrangers correspondent bien à la «maturité» suisse, le diplôme de fin d'études secondaires: le nombre d'heures de cours et les disciplines étudiées sont passés au crible. Le baccalauréat français n'était déjà pas jugé équivalent à la «maturité» depuis de nombreuses années. Les étudiants français titulaires d'un bac économique ou littéraire devaient obtenir une mention assez bien (12/20) pour être admis dans une faculté suisse. Seuls les bacheliers scientifiques (S) peuvent s'inscrire d'office en dépit de leur mention passable (10/20). Les bacheliers professionnels et technologiques étaient interdits de fréquentation des universités suisses, ils seront rejoints cette année par une partie des littéraires.
«Il y avait déjà des différences substantielles entre le baccalauréat et la maturité. Mais avec la réforme du programme du bac, littéraire en particulier, dont les premières promotions vont sortir cette année, ces différences se sont encore accrues», a confié au TempsCarine Rüssmann, responsable des admissions à l'université de Lausanne.
Débouchés plus étroits
Pas assez de mathématiques, trop spécialisé, le bac L est considéré désormais comme trop faible… C'est aussi le cas en France. Cette série attire moins de deux lycéens sur dix inscrits en filière générale. En vingt ans, les effectifs de la filière ont baissé de 28% alors que les autres ont gagné des élèves. Un rapport de l'inspection générale avait dressé, il y a quatre ans, un constat accablant, indiquant que la filière était «menacée d'une extinction rapide». «Le menu de la filière L est plus pauvre que les autres. Elle comporte moins de disciplines», estime l'Association des professeurs de lettres.
Beaucoup de ces enseignants regrettent que l'étude des mathématiques soit devenue progressivement optionnelle en L. «Un élève littéraire peut obtenir son bac avec un simple niveau de maths de seconde. Il aura pourtant besoin de cette matière, s'il fait des études d'économie, de droit ou même de philosophie!», s'inquiétait Éric Barbazo, président de l'Association des professeurs de mathématiques.
De fait, les débouchés d'un bac L sont plus étroits que ceux d'un bac S ou ES. Et les meilleurs littéraires préfèrent depuis longtemps décrocher un bac S, une suprématie désormais entérinée par la Suisse.
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