Apali papa-Mize ann AYITI an se yon menas pou DOMINIKANI

Depi kek TAN ,gen "think tank" an DOMINIKANI ki ap jete LALAM ke MIZE ,anyen paka mache an ,se yon MENAS pou DOMINIKANI.
THINK TANK ansyen PREZIDAN FERNANDEZ lan (FUNGLODE) gen kek tan l ap di sa.
Se lan BI sa a ,GOUVENMAN DOMINIKEN an te bay AYITI INIVESITE LIMONAD lan ,se pa t pa CHARITE.

Kounye an ,GOUVENMAN DOMINIKEN an di ke sa pa ka kontinye ke AYITI ap fe yon MANK DLO pi RED de jou an jou.
Te gen yon DELEGASYON SENATE ak DEPITE ki te ale lan yon KONFERANS sou ANVIWONMAN lan RD semen denye an.
RADYO MALPWOP ann AYITI yo pa pibliye sa ,men DOMINIKEN te jete KRI DALAM lan bay SENATE ak DEPITE AYISYEN yo.
Men ki jan DOMINICAN TODAY rapote sa ,ki te lan lot JOUNAL DOMINIKEN yo:

http://dominicantoday.com/dr/local/2018/02/03/a-haiti-without-water-poses-threat-to-dominican-republic-official


Un Haïti sans eau menace la République Dominicaine: officiel

Santo Domingo. - En dehors des conflits migratoires, la principale préoccupation de la République Dominicaine avec Haïti devrait être le jour où cette nation n'aura plus d'eau, ce qui pourrait alimenter une crise avec des conséquences violentes.

Le ministre de l'Environnement Francisco Domínguez a sonné l'alarme vendredi, notant que le pays voisin serait confronté à la sécheresse et au manque d'eau en aussi peu que 10 ans.

Il a dit que 3,0 millions d'habitants de Port-au-Prince, seulement 5% des foyers ont des pipelines et le reste utilise l'eau de puits, ce qui, affirme-t-il, est pollué.

«L'eau des puits qu'ils utilisent est presque de l'eau des latrines et avec peu de pluie chaque jour, l'eau est moindre et, avec peu de pluie, les puits de Port-au-Prince ont une intrusion d'eau, c'est-à-dire moins d'eau contaminée. et saumâtre ", at-il dit.

Domínguez demande: "Qu'est-ce qui attend Puerto Principe dans 5, 10 ou 15 ans?  Où iront les eaux pour fournir de l'eau à 7 millions de frères haïtiens?  Que se passera-t-il lorsque le produit du changement climatique enregistrera des processus de sécheresse importants?

Il a déclaré que les préoccupations devraient inciter la République dominicaine à travailler pour elle-même et pour Haïti, en protégeant les forêts et les rivières du pays.

"Ce que nous, Dominicains, devrions attirer notre attention, c'est le jour où Port-au-Prince n'aura plus d'eau, parce que personne ne mourra de soif et tout le monde viendra ici et il y aura une crise dans 10, 15 ans dégénérer en une crise de violence, d'incompatibilité dans la coexistence et de graves difficultés pour la République dominicaine et pour Haïti ", a-t-il averti.




DominicanToday.com - La République Dominicaine News Source en anglais

Un V.  Abraham Lincoln N ° 452 Local 220B, Plaza La Francesa, Piantini, Saint-Domingue

Tél.  (809) 334-6386

Bétail haïtien confisqué par des militaires dominicains à la frontière


Création : lundi 5 février 2018 14:37
P-au-P , 24 janvier.2018 [AlterPresse] --- Des Dominicains ont saisi, dans la nuit du dimanche 14 au lundi 15 janvier 2018, environ 60 têtes de bétail (des bœufs), appartenant à des Haïtiens, dans la localité de Nan Pal, 1re section Boucan Bois Pin, de la commune de Cornillon/Grand-Bois (département de l’Ouest en Haïti), rapporte la plateforme Groupe d’appui aux rapatriés et réfugiés (Garr), dans une note.


Après la saisie de ces animaux, les militaires dominicains ont aussi exigé, de chaque propriétaire de ces bœufs, le paiement de 2,500.00 gourdes (Ndlr : US$ 1.00 = 65.00 gourdes), comme conditions pour la remise de leurs animaux, dénonce la plateforme Garr.
Rémy Pierre, Amilca Poliscar, Léo et Denis Lozama, quatre des victimes, ont dû payer le montant réclamé afin de récupérer leurs animaux confisqués.
Parmi les militaires, impliqués dans cet acte de violation des droits humains, figureraient deux militaires en fonction, prénommés Wandel et Guigil.
Un sergent dominicain retraité, connu sous le nom de Balin, aurait aussi trempé dans cette affaire, signale l’organisme de défense des droits des migrantes et migrants.
À la fin du mois de décembre 2017, un ressortissant haïtien a dû payer 1,500.00 gourdes à des militaires dominicains pour pouvoir récupérer son cheval, saisi par ces soldats.
La plateforme Garr souhaite une intervention urgente des autorités haïtiennes dans ce dossier, afin que justice soit rendue aux ressortissants haïtiens lésés.