Malaise au ForumHaiti entre les anti-RD et ...

Nous avons reçu plusieurs messages en privé sur les discussions sur la Republiue Dominicaine   qui laissent souvent un gout amer entre ceux qui dénoncent les mauvais traitements  des haïtiens en république Dominicaine et les interventions de Joel .
En fait ,  Joel fait  souvent des parallèles entre les partis politiques dominicains et Haiti , entre la bourgeoisie RD et celle d'Haiti. 
Plusieurs lecteurs du forumhaiti.com  ne semblent pas partager les perceptions ou opinions de Joel sur  la RD  alors que  selon eux Joel devrait plutôt dénoncer la politique RD envers Haiti .


 Je fais appel à tous de revenir au débat sur la RD. Il faut se parler pour se comprendre .

MARC,

Nous avons une histoire complexe avec la RD.
Apres la SECESSION de la RD d'HAITI nous avons coopere avec la RD quand nous avions des INTERETS COMMUNS.

Pendant "LA GUERRA DE RESTORACION" (1863-1865) nous avions donne des BASES aux DOMINICAINS qui combattaient les ESPAGNOLS qui voulaient les recoloniser.

L'un des GENERAUX qui avait chasse les ESPAGNOLS et etait devenu VICE-PRESIDENT EN 1865 et PRESIDENT en 1879,etait ne HAITIEN en 1839 a PORT DE PLATE ,dont le nom avait ete change en PORTO PLATA.
Son nom etait GREGORIO LUPERON.
Il etait un "RESTAVEK" chez un MULATRE HAITIEN du nom de PEDRO LUBOCQ.
En 1918,les PAYISANS DOMINICAINS traversaient la FRONTIERE pour se mettre aux ORDRES de CHARLEMAGNE PERALTE pour combattre les ENVAHISSEURS AMERICAINS.
En 1965,il y avait un BATAILLON de VOLONTAIRES HAITIENS qui combattaient et tombaient aux cotes des DOMINICAINS pour lutter contre l'INTERVENTION AMERICAINE,pendant "LA GUERRA DE ABRIL".
Voici une PAGE D'HISTOIRE DOMINICAINE:

La guerre de restauration dominicaine était une guerre de guérilla entre les nationalistes et l' Espagne en République dominicaine, entre 1863 et 1865, qui avait recolonisé le pays 17 ans après son indépendance.  La guerre contre les Espagnols a pris fin en juillet 1865 avec le rétablissement de l'indépendance de la République dominicaine, mais avec le pays dévasté et désorganisé et la plupart des paysans en armes. [2]


Le général Pedro Santana avait arraché la présidence à Buenaventura Báez , qui avait fait faillite de la trésorerie de la nation avec un grand profit pour lui-même.  Face à la crise économique et à la possibilité d’une nouvelle attaque d’ Haïti , Santana a demandé à l’Espagne de reprendre le contrôle du pays après une période de seulement 17 ans d’indépendance.  L’Espagne était méfiante au début, mais face à la guerre civile que les États-Unis menaient et ne parvenant pas à appliquer la doctrine de Monroe , elle estimait avoir l’occasion de réaffirmer son contrôle en Amérique latine.  Le 18 mars 1861, l'annexion est annoncée et Santana devient gouverneur général de la nouvelle province. [3] : 202–04

Cependant, cet acte n'a pas été bien reçu par tout le monde.  Le 2 mai, le général José Contreras menait une rébellion manquée et Francisco del Rosario Sánchez menait une invasion d'Haïti (officiellement neutre mais inquiet quant à l'Espagne qui fléchissait dans la région), mais il fut capturé et exécuté le 4 juillet. , 1861. Santana lui-même n’a pas obtenu de bons résultats sous le nouveau régime.  Il découvrit qu'il était incapable d'exercer le même pouvoir sous le régime espagnol que le président d'une nation indépendante, et démissionna de son poste en janvier 1862 [4].

Les autorités espagnoles ont commencé à aliéner la population en instituant une politique connue sous le nom de bagajes , qui obligeait les citoyens à remettre tous les animaux de travail à l'armée espagnole sur demande, sans aucune garantie d'indemnisation.  Cela était particulièrement problématique dans la région de Cibao au nord, où les agriculteurs dépendaient de leurs animaux pour vivre.  Le deuxième facteur était culturel: le nouvel archevêque espagnol a été consterné de constater qu'un grand nombre de couples dominicains n'étaient pas mariés au sein de l'Église catholique.  Cette situation était due à un petit nombre de prêtres dans le pays, à la pauvreté et au manque de routes et de moyens de transport pour se marier dans une église.  Avec les meilleures intentions du monde, Mgr Bienvenido de Monzón a voulu remédier à cette situation dans un bref délai, mais ses demandes ont seulement irrité la population locale, qui avait fini par accepter l'état normal des naissances illégitimes. [3] : 205–208

Sur le plan économique, le nouveau gouvernement a également imposé des droits de douane plus élevés sur les marchandises et les navires non espagnols et a tenté d’établir un monopole sur le tabac , aliénant également les classes de marchands.  Vers la fin de 1862, les autorités espagnoles commençaient à craindre une rébellion dans la région de Cibao (les sentiments anti-espagnols n'étaient pas aussi forts dans le sud). [3] : 208-10 Enfin, malgré des déclarations explicites contraires, des rumeurs se répandent selon lesquelles l’Espagne rétablirait l’esclavage et enverrait des Dominicains noirs à Cuba et à Porto Rico. [5]

Entre-temps, l'Espagne avait émis un ordre royal en janvier 1862 déclarant son intention de reprendre les territoires que Toussaint Louverture avait conquis pour Haïti en 1794. En tentant de réprimer les troubles en Dominique, les troupes espagnoles avaient expulsé des Haïtiens vivant dans ces régions le long de la frontière haïto-dominicaine. frontière.  Le président haïtien Fabre Geffrard a renoncé à sa position de neutralité et a commencé à aider les rebelles dominicains. [3] :

Le 16 août 1863, un nouveau groupe dirigé par Santiago Rodríguez a lancé un raid audacieux à partir de la ville de Dajabon et a hissé le drapeau dominicain sur la colline de Capotillo .  Cette action, connue sous le nom de El grito de Capotillo , marqua le début de la guerre.  À l'exception de Saint-Domingue et de certaines villes voisines, le pays tout entier s'est levé les bras. [2]

Ville après ville, à Cibao, ils rejoignirent la rébellion et, le 3 septembre, une force de 6 000 guérilleros dirigée par le général en chef Gaspar Polanco assiégea le Fort San Luis et ses 800 soldats espagnols à Santiago . Le 13 septembre, les rebelles nouveau gouvernement le lendemain, avec José Antonio Salcedo comme président autoproclamé, et a immédiatement dénoncé Santana, qui dirigeait maintenant les forces espagnoles, en tant que traître. [3] : 212 Salcedo a tenté d'engager l'aide des États-Unis, mais a été repoussé. [6] : 18

En mars 1864, 1 000 Espagnols avaient été tués par les guérillas, dirigés avec succès par Gaspar Polanco et mulato Gregorio Luperón .  9 000 autres personnes ont péri de la fièvre, sur un total de 21 000 personnes.  Six mille renforts s'ajoutaient au nombre de tombes à creuser. [1] En mars 1864, Santana a manifestement désobéi aux ordres de concentrer ses forces autour de Saint-Domingue. Il a été réprimandé et révoqué par le gouverneur général José de la Gándara , qui a ordonné à Santana de se rendre à Cuba pour faire face à une cour martiale.  Santana est toutefois décédée en juin, avant que les ordres du gouverneur général puissent être exécutés. [3] : 215-16

La Gándara a tenté de négocier un cessez-le-feu avec les rebelles.  Salcedo et lui ont convenu de discuter des conditions de la paix, mais au milieu des négociations, Salcedo a été renversé et assassiné par le groupe mécontent de commandants de la restauration dirigés par Gaspar Polanco .  Polanco craignait que Salcedo prenne des mesures négligentes contre les autorités espagnoles, fasse de nombreuses erreurs militaires coûteuses et prévoyait de rappeler l'ancien président pro-annexion, Buenaventura Báez, que les rebelles haïssaient autant que les Espagnols pour ses actions avant Santana en juillet 1857. coup. [3] : 216–17 Bien que Báez se soit initialement opposé à l'annexion espagnole, il a vécu en Espagne avec une subvention du gouvernement et avait le rang honoraire de maréchal de l'armée espagnole.  Ce n'est que vers la fin de la guerre qu'il est retourné en République dominicaine. [6] : 21

En Espagne, la guerre s’avérait extrêmement impopulaire.  Combiné à d'autres crises politiques, il a contribué à la chute du Premier ministre espagnol Leopoldo O'Donnell en 1866. Le ministre de la Guerre d'Espagne a ordonné la cessation des opérations militaires sur l'île tandis que le nouveau Premier ministre Ramón María Narváez portait la question devant le Parlement. Cortes Generales . [7]

Le règne de Polanco fut de courte durée.  Après une attaque malheureuse contre la position espagnole à Monte Cristi et des efforts pour établir un monopole du tabac au nom de ses amis, il fut lui-même renversé par un mouvement soutenu par son propre frère, le général Juan Antonio Polanco , Pedro Antonio Pimentel et Benito Moncion qui a nommé Benigno Filomeno de Rojas au poste de président et Gregorio Luperón au poste de vice-président en janvier 1865. Compte tenu du répit dans les combats, la junte provisoire a organisé une nouvelle constitution. Après son adoption, le général Pedro Antonio Pimentel est devenu président à compter du 25 mars. 1865. [3] : 217 [6] : 20

À cette époque, l'issue de la guerre civile américaine n'était plus sérieusement mise en doute.  De l’autre côté de l’Atlantique, les Cortés doivent maintenant prendre en compte la probabilité d’une éventuelle intervention américaine et décident de ne pas financer une guerre pour un territoire dont ils n’ont pas vraiment besoin.  Le 3 mars 1865, la reine Isabelle II a signé l'annulation de l'annexion.  Le 15 juillet, il n'y avait plus de troupes espagnoles sur l'île. [7]

Monument à la guerre de restauration dominicaine
Bien que de nombreuses villes dominicaines aient été détruites et que l'agriculture à travers le pays (à l'exception du tabac) ait été interrompue pendant les années de guerre, la guerre de restauration a apporté un nouveau degré de fierté nationale à la République dominicaine.  La victoire dominicaine a également montré aux nationalistes de Cuba et de Porto Rico que l’Espagne pouvait être vaincue.  En revanche, dans la politique locale, pendant la guerre, le leadership était concentré entre les mains de quelques caudillos régionaux, ou hommes forts , qui pouvaient commander la loyauté des régions et qui étaient plus soucieux de se perfectionner et de renforcer leurs partisans que la nation. un ensemble.  Ce système de pouvoir politique a persisté jusqu'à la fin du 19e siècle. [5]

La politique dominicaine est restée instable pendant plusieurs années.  Pimentel n'a été président que cinq mois avant d'être remplacé par José María Cabral .  À son tour, Cabral fut évincé par Buenaventura Báez en décembre 1865 mais reprit sa présidence en mai 1866. Ses négociations avec les États-Unis au sujet de la vente possible de terres autour de Samaná Bay s'avérèrent si impopulaires que Báez put regagner la présidence. en 1868. [6] : 21-24

Dans les relations entre les îles, la guerre a marqué un nouveau niveau de coopération entre Haïti et la République dominicaine.  Jusqu'à présent, Haïti considérait l'île d' Hispaniola comme "indivisible" et avait tenté sans succès de conquérir la moitié orientale plusieurs fois auparavant.  La guerre a obligé Haïti à se rendre compte que cet objectif était essentiellement inaccessible et a été remplacé par des années de conflits frontaliers entre les deux pays. [8]

Le 16 août est commémoré une fête nationale en République dominicaine, ainsi que le jour où le président dominicain est investi de ses fonctions tous les quatre ans. [9]

Salut, Marc!

Merci pour le message.
C'est peine perdue, car il vient de récidiver.
Les ayisiens qui se sont sacrifiés pour nos ennemis dominicains se sont trompés d'adresse et ont péri par leur naïveté et leur bonne foi. J'ai connu Jacques Viau.

Les dominicains ne montrent aucune gratitude pour ces gestes magnanimes de solidarité. Au contraire, ils sont des sauvages qui refoulent avec haine des milliers de nos compatriotes, même s'il y a une crise humanitaire.

Il y a une chasse à l'ayisien appuyée par les dénonciations de la population dominicaine qui suit et poursuit nos concitoyens.
Le Canada vient de cesser les déportations temporairement et nos voisins ne s'en foutent.

Moi, je le répète: coupons toutes relations humaines et commerciales avec nos pires ennemis.

MAK,

Mwen respekte OPINYON SASAYE.
Pou mwen pa gen anyen PESONEL lan sa n ap di yo,tankou pwoveb lan di l "Si w kanpe sou yon tet mon,sa w we depann de kote w kanpe le w ap gade"

Pou mwen ,PA GEN zafe tout DOMINIKEN pa bon;genyen ki bon ,genyen ki pa bon.Tankou mwen kontinye ap repete l,ansyen PREZIDAN LEONEL FERNANDEZ se youn ki ta renmen gen yon ALE MYE ,ann AYITI.
Se sel PREZIDAN DOMINIKEN tou ,lan 20em SYEK ,AK 21 SYEK ki di KATEGORIKMAN ,li se NWA.

Epitou,le yo t ap EKSPILSE ayisyen denyeman de RD e denye SITWAYENNTE yo,ki les ki te kanpe lan NOUYOK pou defann AYISYEN lan RD yo,se te depite FEDERAL ,ki te fet lan RD.
Yon DEPITE yo rele ADRIANO ESPAILLAT.
Se jis yon TI KAL.
Gade LALMAY ak la FRANS ki lan 75 ZAN (1870-1945) FE 3 GE ki kote de MILYON de MO de pa e dot.

Kounye an 2 PEYI sa yo se KOKOT ak FIGARO,se lan ENTERE yo.

M ALE!!!!!!

Jowèl,

Mwen pa gen pwoblèm pèsonèl avè w. Okontrè mwen gen anpil konsiderasyon pou wou. Men opinyon nasyonalis nou diferan.

Lan tout nasyonalite genyen bon ak move moun. Sa inkli konpatriòt ayisien nou yo.

Se pa yon kestyon de blan ak nwa nonplis. Ilys Ewo, youn lan premye prezidan dominiken te yon ayisien. Li pat ka di li lòt bagay paske li te nwa fonse.
Truyiyo te desandan ayisien, (li byen kapab se fanmi Mak, de lwen).
Ewo endepandans dominiken an te fèt Ench, an Ayiti.
Si Espaya vin evolye e pran konsyans, si Fènandèz di li se nwa, sa pa anpeche majorite dominiken yo gen yon santiman antiayisien tankou yon kansè.

Mwen pa renmen dominiken, ni meriken, ni franse; men mwen pap pèsekite yo.
Sepandan, lè chanjman yo fèt ann Ayiti, se pou gouvènman ki pral vini yo, kontwole ni prezans, ni biznis dominiken lan peyi nou an.

Popilasyon dominiken ap espyonen, siveye kote ayisien ye epi yo al denonse yo an masse bay otorite ki ankouraje yo. Yo vin ranmanse tout moun po fonse e pimpe yo ann Ayiti, san yo pa gentan mare pakèt yo memsi yo tap viv lan peyi saa pandan ventan.

Te genyen lagè ant Almay avèk Lafrans, men pat gen pèsekisyon lan epòk lapè, apre gè yo. Pou gen kòkòt ak figaro se pou tou de moun yo aksepte youn padonnen lòt e yo fè lapè ak yon akolad.

Eske w panse dominiken ap sispann rayi ayisien, menmsi ayisien ta fè yo yon deklarasyon damou?

Sèl bagay dominiken renmen se lajan ayisien ki se pi gwo kliyan yo.
Si nou achte sa nou bezwen lan men lòt vwazen Karikòm yo, yap chire.

Wi GRANN TRUJILLO sou Bo manman se te yon CHEVALLIER.

Li te al ETABLI lan BO kote RD ye ,se te pandan OKIPASYON an.

Kom nou konnen ULYSSES HEUREAUX se te GRANPAPA MATENEL JOAQUIN BALAGUER e se pa AZA ke BALAGUER se lan LA SORBONNE li te ETIDYE.

Fok nou pa bliye FANMI MONTAS lan DOMINIKANI an,se yon BRANCH MONTAS ann AYITI an ,ke BOYER te voye pandan OKIPASYON an.
Se yon FANMI ki te toujou lan PLAS LETA lan RD.
JEAN PRICE MARS te bay yon LIS ,anpil FANMI lan KLAS DOMINANT DOMINIKEN an ki DORIJIN AYISYEN,kote LWES ZILE an.

Gen yon NEG ke nou pa pale anpil de li.
Se GREGORIO LUPERON.
Li te fet lan PORT DE PLATE ,ki te chanje lan PUERTO PLATA .
Li te fet AYISYEN an 1839.
Li te rete lakay yon AYISYEN ki tele PEDRO (PIERRE) DUBOCQ.
Misye se youn lan NEG ki te kwape PANYOL yo ,an 1865 ak ed AYISYEN.
Li te NWA.
Li te vis PREZIDAN ak PREZIDAN RD

Mwen t ap li LE MONDE DU SUD ELSIE HAAS.

Li t ap mande pouki sa nou pa konnen sa k ap pase lan RD,di mwens yon AYISYEN MWAYEN?

Pou DOMINIKEN yo se le KONTRE.Pa egzanp sou denye evenman ann AYITI yo,sou w ale sou LISTIN DIARIO se "ARTICLE FLEUVE".
Yo konnen ke sa ki ap pase ann AYITI ,pa gen DWA pa AFEKTE yo.
Se sou LISTIN DIARIO m aprann ke PITIT JOVNEL BANNANN yo PUNTA CANA ,yo an TRANZIT pou yo ale KANADA.

Eske AYISYEN yo ap swiv KANPAY ELEKTORAL lan RD e yon posib RETOU LEONEL FERNANDEZ,bagay ki ka AFEKTE anpil TI NEG ann AYITI.

Ah bon c'était un Chevalier 
J'ai honte !

L.O.L.

Vous havez honte de la branche des CHEVALIERS DOMINICAINS?(lol)

Certains se sont distingues dans la PARTIE OUEST de l'ILE ,dans la REVOLUTION de 1843 ,parti du SUD ,si je me souviens.

La CONSTITUTION de 1843 est la seule Constitution signee par des DELEGUES des deux PARTIES de l'ILE

Et puis MARC,nous avons l'influent GENERAL VICTORIN CHEVALIER du SUD qui a un moment de la duree etait un proche de SYLVAIN SALNAVE

Avant la prise du POUVOIR en MAI 1867 par SYLVAIN SALNAVE ,il y avait un GOUVERNEMENT DE TRANSITION compose de NISSAGE SAGET,VICTORIN CHEVALIER et SYLVAIN SALNAVE.

Seul Victorin Chevalier  n'a pas été au pouvoir dans ce trio .

MARC,

Si VICTORIN CHEVALIER est votre aieul,vous devez etre fier de lui.
Les HISTORIENS  DAVID NICHOLLS (Written in BLOOD-From DESSALINES to DUVALIER) et ALYSSA GOLDSTEIN  SEPINWALL (HAITIAN HISTORY-New Perspectives) l'ont traite avec respect.
S'il avait devance NISSAGE SAGET et DOMINGUE et tourne le DOS a SYLVAIN SALNAVE il pourrait avoir accede a la PRESIDENCE,mais comme les americains disent ,la PRESIDENCE au 19eme siècle en HAITI etait "high risk,high reward".

VICTORIN CHEVALIER avait un "appui critique" pour SALNAVE ,il pensait que le pays irait de l'avant avec SALNAVE.

Il demandait a ceux qui etaient contre SALNAVE ,pourquoi ils etaient contre lui.
Les NORD ALEXIS,BOISROND CANAL ,DOMINGUE avaient peur que SYLVAIN SALNAVE ne change le PAYS.Comme l'autre,environ 140 ans plus tard ,"TOUT MOUN reyalize yo SE MOUN".

SALNAVE n'avait aucun probleme avec les CLASSES POPULAIRES.Il se melangeait avec elles et les invitait au PALAIS.

Ce qui liguait les classes dominantes contre SALNAVE d'apres NICHOLLS,etait la reouverture des MAGASINS DE L'ETAT.
C'etait un programme institue par SALOMON (ministre des FINANCES) sous le regne de SOULOUQUE et discontinue apres sa chutte.

C'etait une facon de controler les speculations sur les denrees de premiere necessite de la population.
Ca a provoque la haine des GRANDS PROPRIETAIRES TERRIENS et la bourgeoisie naissante du BORD DE MER.  



'

WOw Joel

Vous me donnez le gout de lire l'histoire d'Haiti du 19 e .
Merci pour ce compte rendu

Extrait de "WRITTEN IN BLOOD" par DAVID NICHOLLS

"With the fall of GEFFRARD,political power passed into the hands of SYLVAIN SALNAVE who had led a prolonged struggle against GEFFRARD from the NORTH.Although he was himself a light skinned MULATTO,SALNAVE received considerable support from the black masses of the NORTH and of PORT-AU-PRINCE many of whom believed that he was BLACK.
In fact so light-skinned was SALNAVE that he was denounced by his opponents as not being genuinely HAITIAN at all.
"There is no AFRICAN BLOOD in his veins at all" declared MICHEL DOMINGUE....

That SALNAVE had enjoyed popular support from the urban poor was generally agreed.
VICTORIN CHEVALIER declared that the government was "the expression of the needs,the sentiments of the masses and that to wish for its overthrow was to desire the annihilation of a whole people"

Even unsympathetic critics of the mulatto president acknowledged his popularity among the urban masses,which was due to the way in which he appealed to their dangerous spirit of social levelling"
(Page 108,109)

"Avec la chute de GEFFRARD, le pouvoir politique passa entre les mains de SYLVAIN SALNAVE, qui menait depuis longtemps une lutte contre GEFFRARD. Bien que lui-même fût un MULATTO à la peau claire, il reçut un soutien considérable de la part des masses noires du Nord et de PORT-AU-PRINCE dont beaucoup croyaient qu'il était NOIR.
En fait, SALNAVE était à la peau si claire que ses adversaires l'ont dénoncé comme n'étant pas véritablement haïtien.
"Il n'y a pas du tout de sang africain dans ses veines" a déclaré MICHEL DOMINGUE ...

Il a été généralement admis que SALNAVE avait bénéficié du soutien populaire des citadins pauvres.
VICTORIN CHEVALIER a déclaré que le gouvernement était "l'expression des besoins, des sentiments des masses et que vouloir son renversement, c'était vouloir l'anéantissement de tout un peuple"

Même les critiques peu sympathiques au président mulâtre ont reconnu sa popularité parmi les masses urbaines, en raison de la façon dont il a fait appel à leur dangereux esprit de nivellement social "" ...

Paske se lan MANYEL FIC yo nou aprann LISTWA,yo pa p di nou RAYISMAN ke SALNAVE te genyen pou LEGLIZ KATOLIK.

Misye te reyalize A REZON ke JEFRA te vann PEYI an bay LEGLIZ KATOLIK lan KONKODA 1860 lan.

Misye te reyalize ke PROGRESIS FRANSE yo pa egzanp te ap fe tou sa ki posib pou yo retire LA FRANS anba KONKODA ke yo te siyen an ,e vwalatilpa ke JEFRA delivre PEYI an bay VATIKAN ,byen ke pa t gen VATIKAN ,paske GARIBALDI ak KONPAYEL li yo ,te sezi tout TE LEGLIZ KATOLIK ke MUSSOLINI te vin restore ,ti kal tou piti an 1925;ki se VATIKAN nou konnen jodi an.

RAYISMAN SYLVAIN SALNAVE pou LEGLIZ KATOLIK lan te preske TOTAL ,misye te sezi kek TE ke JEFRA te bay LEGLIZ lan.Misye arête ACHEVEK POTOPRENS lan MONSEYE JEAN MARIE GUILLOUX,li fout EKZILE NONS APOSTOLIK lan TESTARD DE COSQUER.

Pou l anmegde MOUN ki ap bay LEGLIZ KATOLIK lan ENFLIYANS ,misye OGANIZE DANS VODOU lan PALE an.

Se REZON sa a ,NEG ke LEGLIZ KATOLIK lan ,te deja ap KONVENK ke yo se "FRANSE KOLORE" te fann lan DENGONN misye ak KOLABORASYON LEGLIZ KATOLIK,natirelman.