Men OEA rantre pou negosye-ADYE
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Men OEA rantre pou negosye-ADYE
Neg TRUJILLO sa a ,se yon NEG ke POMPEO ak BOLTON nonmen.
Mesye sa yo se yo bann NEO-NAZI.Se de NEG ke si GRANGOU ,ou byen AYISYEN ta touye AYISYEN parey yo;yo t ap di "BON DEBARRAS"
Se pou AYISYEN pran PREKOSYON pou yo pa koute anyen lan sa NEG sa ap di.
FELIX MORRISSEAU LEROY te rele OEA "BOUZEN".Ak NEG tankou TRUJILLO (yon KIBEN) ki nonmen pa de NEG tankou POMPEO ak BOLTON;se pa BOUZEN selman OEA ye jounen jodi an,yo se MAKREL tou.
L’OEA cherche, sans succès pour le moment, à convaincre des leaders politiques d'intégrer un gouvernement de cohabitation
Publié le 2019-06-19 | Le Nouvelliste
Un dialogue entre le président Jovenel Moïse, des leaders politiques et des représentants de la société civile qui conduira à la formation d’un gouvernement inclusif, telle est la mission que se donne la délégation de l’OEA en Haïti. Carlos Trujillo, ambassadeur des États-Unis auprès de l’OEA et président du Conseil permanent de l’organisation hémisphérique, a déjà rencontré, mercredi, en ce sens le chef de l’Etat, plusieurs responsables de partis politiques et de la société civile.
« J’ai rencontré la délégation de l'OEA autour de la crise actuelle. L’entretien a porté également sur les problèmes de sécurité et de précarité dans le pays. Je demeure convaincu que le dialogue est le seul atout qui nous permettra de résoudre nos différends politiques », a publié Jovenel Moïse mercredi sur son compte Twitter après sa rencontre avec le président du Conseil permanent de l’OEA, Carlos Trujillo, et le chef de cabinet du secrétaire général de l’OEA, G. Koncke.
Cette délégation a rencontré par la suite le secrétaire général de la Fusion, Rosemond Pradel, le coordonnateur national de l’OPL, Edgard Leblanc Fils, et l’ancien sénateur Kély C. Bastien aux locaux de l’OEA à Pétion-Ville.
« La délégation de l’OEA nous a demandé de dialoguer avec le président Jovenel Moïse afin de former un gouvernement sur la base d’un accord politique », a rapporté au Nouvelliste Kély C. Bastien. « Nous leur avons dit qu’il n’y a aucune possibilité de dialogue avec le président. A cette phase de la situation c’est la société qui a demandé la démission de Jovenel Moïse et un changement radical », a-t-il ajouté. Il estime que la délégation ne saisit pas bien la situation qui prévaut actuellement dans le pays.
Kély C. Bastien a rappelé que c’est Jovenel Moïse lui-même qui avait déclaré que toute personne impliquée dans la dilapidation du fonds PetroCaribe doit rendre des comptes à la justice. L’ancien sénateur a fait savoir qu’ils sont pour le dialogue, mais pas avec le chef de l’Etat.
Le secrétaire général de la Fusion a souligné que ses collègues et lui ont expliqué la situation du pays à la délégation de l’OEA en leur faisant savoir que le président a tout fait pour en arriver là et qu’aujourd’hui il ne dirige plus rien, sinon le Palais national. « Le deuxième rapport de la Cour des comptes sur la gestion du fonds PetroCaribe a mis à nu la moralité du président de la République », a fait remarquer Rosemond Pradel.
Le responsable a confirmé que la délégation de l’OEA cherche à convaincre des acteurs politiques à participer à un gouvernement de cohabitation en maintenant Jovenel Moïse au pouvoir. « Nous leur avons fait savoir que pendant plusieurs fois nous avons tenté de dialoguer avec le président, mais cela n’avait pas marché », a rapporté M. Pradel. Selon lui, le temps du dialogue avec le président est révolu et pour le moment, c’est la démission de Jovenel Moïse qui importe. « Il ne peut pas diriger le pays, le maintenir au pouvoir fera beaucoup plus de mal au peuple haïtien », a-t-il dit.
Contacté par Le Nouvelliste, le porte-parole du Secteur démocratique et populaire, Me André Michel, soutient que « la solution à la crise politique actuelle passe d’abord et avant tout par la démission de Jovenel Moïse comme président de la République, la réalisation du procès PetroCaribe et l’organisation de la Conférence nationale haïtienne souveraine pour jeter les bases de l’émergence d’un nouveau projet de société dans l’intérêt de toutes les couches sociales de la nation haïtienne. Aucune cohabitation politique n’est possible avec Jovenel Moïse après la publication du rapport de la Cour des comptes qui confirme la participation de ce dernier à la dilapidation des 4.2 milliards de dollars américains du fonds PetroCaribe. »
« Pas de ne négociations avec Jovenel Moïse pour arracher une quelconque miette politique. Dans nos rencontres avec la communauté internationale, nous avons toujours exprimé avec clarté cette position. A un moment où le peuple se lève dans toute la République pour exiger la démission de Jovenel Moïse, nous invitons l’OEA à se mettre du côté du peuple pour faciliter la démission de Jovenel Moïse, ce qui nous permettra d’engager le chantier de la construction démocratique comme le prévoit la charte de l’OEA », a avancé Me André Michel.
L’ambassadeur d’Haïti à l’OEA, contacté par Le Nouvelliste, a fait savoir que la délégation a eu une rencontre, tôt dans la matinée du 19 juin, avec le président de la République accompagné de son chancelier. « Elle a eu par la suite plusieurs séances de travail avec des leaders de partis politiques et de la société civile. La délégation a aussi rencontré un groupe d’ambassadeurs accrédités en Haïti », a ajouté Léon Charles.
Robenson Geffrard
Auteur
Mesye sa yo se yo bann NEO-NAZI.Se de NEG ke si GRANGOU ,ou byen AYISYEN ta touye AYISYEN parey yo;yo t ap di "BON DEBARRAS"
Se pou AYISYEN pran PREKOSYON pou yo pa koute anyen lan sa NEG sa ap di.
FELIX MORRISSEAU LEROY te rele OEA "BOUZEN".Ak NEG tankou TRUJILLO (yon KIBEN) ki nonmen pa de NEG tankou POMPEO ak BOLTON;se pa BOUZEN selman OEA ye jounen jodi an,yo se MAKREL tou.
L’OEA cherche, sans succès pour le moment, à convaincre des leaders politiques d'intégrer un gouvernement de cohabitation
Publié le 2019-06-19 | Le Nouvelliste
Un dialogue entre le président Jovenel Moïse, des leaders politiques et des représentants de la société civile qui conduira à la formation d’un gouvernement inclusif, telle est la mission que se donne la délégation de l’OEA en Haïti. Carlos Trujillo, ambassadeur des États-Unis auprès de l’OEA et président du Conseil permanent de l’organisation hémisphérique, a déjà rencontré, mercredi, en ce sens le chef de l’Etat, plusieurs responsables de partis politiques et de la société civile.
« J’ai rencontré la délégation de l'OEA autour de la crise actuelle. L’entretien a porté également sur les problèmes de sécurité et de précarité dans le pays. Je demeure convaincu que le dialogue est le seul atout qui nous permettra de résoudre nos différends politiques », a publié Jovenel Moïse mercredi sur son compte Twitter après sa rencontre avec le président du Conseil permanent de l’OEA, Carlos Trujillo, et le chef de cabinet du secrétaire général de l’OEA, G. Koncke.
Cette délégation a rencontré par la suite le secrétaire général de la Fusion, Rosemond Pradel, le coordonnateur national de l’OPL, Edgard Leblanc Fils, et l’ancien sénateur Kély C. Bastien aux locaux de l’OEA à Pétion-Ville.
« La délégation de l’OEA nous a demandé de dialoguer avec le président Jovenel Moïse afin de former un gouvernement sur la base d’un accord politique », a rapporté au Nouvelliste Kély C. Bastien. « Nous leur avons dit qu’il n’y a aucune possibilité de dialogue avec le président. A cette phase de la situation c’est la société qui a demandé la démission de Jovenel Moïse et un changement radical », a-t-il ajouté. Il estime que la délégation ne saisit pas bien la situation qui prévaut actuellement dans le pays.
Kély C. Bastien a rappelé que c’est Jovenel Moïse lui-même qui avait déclaré que toute personne impliquée dans la dilapidation du fonds PetroCaribe doit rendre des comptes à la justice. L’ancien sénateur a fait savoir qu’ils sont pour le dialogue, mais pas avec le chef de l’Etat.
Le secrétaire général de la Fusion a souligné que ses collègues et lui ont expliqué la situation du pays à la délégation de l’OEA en leur faisant savoir que le président a tout fait pour en arriver là et qu’aujourd’hui il ne dirige plus rien, sinon le Palais national. « Le deuxième rapport de la Cour des comptes sur la gestion du fonds PetroCaribe a mis à nu la moralité du président de la République », a fait remarquer Rosemond Pradel.
Le responsable a confirmé que la délégation de l’OEA cherche à convaincre des acteurs politiques à participer à un gouvernement de cohabitation en maintenant Jovenel Moïse au pouvoir. « Nous leur avons fait savoir que pendant plusieurs fois nous avons tenté de dialoguer avec le président, mais cela n’avait pas marché », a rapporté M. Pradel. Selon lui, le temps du dialogue avec le président est révolu et pour le moment, c’est la démission de Jovenel Moïse qui importe. « Il ne peut pas diriger le pays, le maintenir au pouvoir fera beaucoup plus de mal au peuple haïtien », a-t-il dit.
Contacté par Le Nouvelliste, le porte-parole du Secteur démocratique et populaire, Me André Michel, soutient que « la solution à la crise politique actuelle passe d’abord et avant tout par la démission de Jovenel Moïse comme président de la République, la réalisation du procès PetroCaribe et l’organisation de la Conférence nationale haïtienne souveraine pour jeter les bases de l’émergence d’un nouveau projet de société dans l’intérêt de toutes les couches sociales de la nation haïtienne. Aucune cohabitation politique n’est possible avec Jovenel Moïse après la publication du rapport de la Cour des comptes qui confirme la participation de ce dernier à la dilapidation des 4.2 milliards de dollars américains du fonds PetroCaribe. »
« Pas de ne négociations avec Jovenel Moïse pour arracher une quelconque miette politique. Dans nos rencontres avec la communauté internationale, nous avons toujours exprimé avec clarté cette position. A un moment où le peuple se lève dans toute la République pour exiger la démission de Jovenel Moïse, nous invitons l’OEA à se mettre du côté du peuple pour faciliter la démission de Jovenel Moïse, ce qui nous permettra d’engager le chantier de la construction démocratique comme le prévoit la charte de l’OEA », a avancé Me André Michel.
L’ambassadeur d’Haïti à l’OEA, contacté par Le Nouvelliste, a fait savoir que la délégation a eu une rencontre, tôt dans la matinée du 19 juin, avec le président de la République accompagné de son chancelier. « Elle a eu par la suite plusieurs séances de travail avec des leaders de partis politiques et de la société civile. La délégation a aussi rencontré un groupe d’ambassadeurs accrédités en Haïti », a ajouté Léon Charles.
Robenson Geffrard
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Joel- Super Star
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Nombre de messages : 17750
Localisation : USA
Loisirs : Histoire
Date d'inscription : 24/08/2006
Feuille de personnage
Jeu de rôle: Le patriote
Re: Men OEA rantre pou negosye-ADYE
20 juin 2019
Note de presse :
Note de protestation du groupe « Nou Pap Konplis » contre la mission d’échec de l’OEA!
Jeudi 20 Juin 2019 ((rezonodwes.com))–Nous, petrochallengers de Nou Pap Konplis, dénonçons l’arrogance et le comportement grossier de la mission de l’OEA qui a passé quelques heures en Haïti pour, prétend-elle, s’enquérir de la grave crise multidimensionnelle que traverse le pays. La mission de l’OEA a plutôt insulté l’intelligence des haïtiens et vilipendé davantage les institutions du pays. Et en ce sens, elle a raté son but. Elle n’a pas rendu service à Jovenel Moïse qu’elle veut protéger en dépit de la contestation populaire.
Au point où nous sommes, l’OEA qui ne fait qu’encourager le vagabondage politique dans la région, particulièrement en Haïti, n’a aucune contribution effective à apporter dans la résolution de la crise haïtienne. Au contraire, elle est venue envenimer la plaie. En fait, nous ne comptons que sur nous-mêmes pour régler ce problème.
En raison de ses positions partisanes, de son soutien inconditionnel au régime corrompu du PHTK et, pour avoir été l’un des architectes ayant contribué à la construction du pouvoir en place, l’OEA est indigne pour assurer une quelconque médiation entre l’opposition constituée des structures organisées, la majorité de la population et Jovenel Moïse.
Venue en Haïti à la demande du très contesté Jovenel Moise et au frais du trésor public, nous estimons que cette mission a échoué et s’est trompée piteusement en se croyant autorisée à faire la leçon à l’ensemble des haïtiens et à leur passer des ordres. Ce n’est pas à l’OEA de nous dicter l’attitude où le comportement à adopter dans une situation donnée. L’OEA est très mal placée pour déterminer si le rapport de la Cour des Comptes est bon ou non.
Nous continuons de faire confiance à la Cour Supérieure des Comptes et du Contentieux Administratif (CSCCA) et à son rapport d’audit rendu public sur la gestion du fond Petrocaribe. Ce ne sont pas des experts internationaux qui viendront identifier les dilapidateurs pour nous. Notre Cour des Comptes a déjà fait ce travail. Et nous estimons que ce document qu’elle a produite, est amplement suffisant pour favoriser la tenue d’un procès de tous ceux qui ont dilapidé le fond du programme Petrocaribe.
C’est pourquoi nous réitérons notre appel à la démission immédiate et ordonnée de Jovenel Moïse, indexé lui-même dans le rapport de la Cour des Comptes afin de se rendre disponible pour être entendu par la justice.
Au-delà d’un problème politique, Jovenel Moïse a des démêlés judiciaires. Et ce n’est pas à l’OEA de résoudre ces problèmes, mais à la justice de se pencher sur les crimes financiers commis par l’ingénieur Jovenel Moïse. Pour être entendu par la justice, il doit déposer son costume de président. Il n’a pas d’autres choix que de rendre le tablier. Et dans ce cas, l’OEA ne peut rien faire pour le sauver au détriment des intérêts de toute la nation qui réclame la reddition des comptes.
Où était l’OEA lors du massacre d’Etat perpétré à la Saline? Que dit l’OEA sur les autres carnages perpétrés par des gangs armés à la solde du pouvoir à Cité Soleil, à Carrefour-Feuilles, à Tokyo etc? Quelle est la position de l’OEA sur les exactions commises par la police sur des manifestants anti-gouvernementaux? L’OEA est-elle au courant des violations des droits humains commis par le régime qu’elle soutient? Étant donné que l’OEA se taisait toujours sur toutes les calamités du peuple haïtien, nous la remercions de continuer à se taire.
Déjà, nous rejetons toute entente intervenue entre l’OEA et son protégé Jovenel Moïse. Aucune entente entre l’OEA et Jovenel Moïse n’est viable et n’engage en rien le peuple haïtien. Et maintenant que Jovenel Moïse se rebelle ouvertement contre les lois, les institutions du pays et le peuple haïtien, il doit absolument démissionner. C’est pourquoi nous appelons toutes forces progressistes du pays à poursuivre la mobilisation populaire jusqu’à la la victoire finale.
Vive Haïti! Vive le combat populaire!
Alexandra André
Responsable Communication
Nou Pap Konplis
Note de presse :
Note de protestation du groupe « Nou Pap Konplis » contre la mission d’échec de l’OEA!
Jeudi 20 Juin 2019 ((rezonodwes.com))–Nous, petrochallengers de Nou Pap Konplis, dénonçons l’arrogance et le comportement grossier de la mission de l’OEA qui a passé quelques heures en Haïti pour, prétend-elle, s’enquérir de la grave crise multidimensionnelle que traverse le pays. La mission de l’OEA a plutôt insulté l’intelligence des haïtiens et vilipendé davantage les institutions du pays. Et en ce sens, elle a raté son but. Elle n’a pas rendu service à Jovenel Moïse qu’elle veut protéger en dépit de la contestation populaire.
Au point où nous sommes, l’OEA qui ne fait qu’encourager le vagabondage politique dans la région, particulièrement en Haïti, n’a aucune contribution effective à apporter dans la résolution de la crise haïtienne. Au contraire, elle est venue envenimer la plaie. En fait, nous ne comptons que sur nous-mêmes pour régler ce problème.
En raison de ses positions partisanes, de son soutien inconditionnel au régime corrompu du PHTK et, pour avoir été l’un des architectes ayant contribué à la construction du pouvoir en place, l’OEA est indigne pour assurer une quelconque médiation entre l’opposition constituée des structures organisées, la majorité de la population et Jovenel Moïse.
Venue en Haïti à la demande du très contesté Jovenel Moise et au frais du trésor public, nous estimons que cette mission a échoué et s’est trompée piteusement en se croyant autorisée à faire la leçon à l’ensemble des haïtiens et à leur passer des ordres. Ce n’est pas à l’OEA de nous dicter l’attitude où le comportement à adopter dans une situation donnée. L’OEA est très mal placée pour déterminer si le rapport de la Cour des Comptes est bon ou non.
Nous continuons de faire confiance à la Cour Supérieure des Comptes et du Contentieux Administratif (CSCCA) et à son rapport d’audit rendu public sur la gestion du fond Petrocaribe. Ce ne sont pas des experts internationaux qui viendront identifier les dilapidateurs pour nous. Notre Cour des Comptes a déjà fait ce travail. Et nous estimons que ce document qu’elle a produite, est amplement suffisant pour favoriser la tenue d’un procès de tous ceux qui ont dilapidé le fond du programme Petrocaribe.
C’est pourquoi nous réitérons notre appel à la démission immédiate et ordonnée de Jovenel Moïse, indexé lui-même dans le rapport de la Cour des Comptes afin de se rendre disponible pour être entendu par la justice.
Au-delà d’un problème politique, Jovenel Moïse a des démêlés judiciaires. Et ce n’est pas à l’OEA de résoudre ces problèmes, mais à la justice de se pencher sur les crimes financiers commis par l’ingénieur Jovenel Moïse. Pour être entendu par la justice, il doit déposer son costume de président. Il n’a pas d’autres choix que de rendre le tablier. Et dans ce cas, l’OEA ne peut rien faire pour le sauver au détriment des intérêts de toute la nation qui réclame la reddition des comptes.
Où était l’OEA lors du massacre d’Etat perpétré à la Saline? Que dit l’OEA sur les autres carnages perpétrés par des gangs armés à la solde du pouvoir à Cité Soleil, à Carrefour-Feuilles, à Tokyo etc? Quelle est la position de l’OEA sur les exactions commises par la police sur des manifestants anti-gouvernementaux? L’OEA est-elle au courant des violations des droits humains commis par le régime qu’elle soutient? Étant donné que l’OEA se taisait toujours sur toutes les calamités du peuple haïtien, nous la remercions de continuer à se taire.
Déjà, nous rejetons toute entente intervenue entre l’OEA et son protégé Jovenel Moïse. Aucune entente entre l’OEA et Jovenel Moïse n’est viable et n’engage en rien le peuple haïtien. Et maintenant que Jovenel Moïse se rebelle ouvertement contre les lois, les institutions du pays et le peuple haïtien, il doit absolument démissionner. C’est pourquoi nous appelons toutes forces progressistes du pays à poursuivre la mobilisation populaire jusqu’à la la victoire finale.
Vive Haïti! Vive le combat populaire!
Alexandra André
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Loisirs : Histoire
Date d'inscription : 24/08/2006
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