Yon ti moso EDITORYAL ELSIE HAAS sou sit li an ki frape m
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Wi ,m ap site ELSIE HAAS.
Mwen pran sitasyon an sou LE MONDE DU SUD SIT ENTENET li an ;ELSIE HAAS pa lan benyen e ap kache LONBRIT.
Reflechi sou sa li ap di an
les élites haïtiennes ( cadres, intellectuels, politiciens, artistes) appliquent le principe de la répétition, de manière à ce que ce soit du pareil au même. N'avez-vous pas remarqué que dans ces milieux les " Haïti ne changera jamais."/ " Qu'est-ce que tu veux c'est Haïti." sont énoncés comme des vérités bibliques ?
Toutes paroles qui légitiment l'exil ( si Haïti ne changera jamais il vaut mieux s'en aller.) qui légitiment la soumission à la misère et à la corruption (si Haïti ne changera jamais à quoi bon lutter contre les abus ? Acceptons la M...)
Ces paroles font partie de la guerre psychologique contre le pays afin de maintenir la population dans ce qu'ils appellent la résilience, un terme utilisé pour camoufler l'exploitation et dont les élites haïtiennes se servent pour soi-disant faire l'éloge du soi-disant courage de la majorité de la population, laquelle malgré le mépris des dirigeants survit dans une misère abjecte.
Ces paroles empruntées aux officines étrangères - du genre de la Croix Rouge des USA qui suite au séisme a réalisé l'exploit de construire quelques maisons avec les fonds receuillis.
Donc, vous avez entendu les marchands de micro et membres de l'association des malfaiteurs en bande organisée tèt kale, réclamer que la population ait le droit d'être armée comme aux USA et qu'il faudrait appliquer la peine de mort comme aux USA.
La majorité de ces journalistes commerçants n'ont jamais lu une étude sur l'impact dans la société étasunienne de ce libre accès aux armes, ni sur l'influence de la peine de mort sur une baisse de la criminalité.
Or toutes les études montrent que les USA se révèlent être un des pays les plus dangereux au monde, le pays où il y a le plus d'homicides par nombre d'habitants.
Les mêmes sots qui se répandaient sur les ondes avec leur "Un pays sans armée n'est pas un pays", dans la mesure où cette faune composée de macouto/militaro/duvaliéristes était intéressée principalement à se régaler d'un budget de l'État mis à leur disposition, au dépens de priorités comme l'aménagement du territoire, la lutte contre la corruption, contre les inégalités responsables en grande partie - comme partout au monde- de l'insécurité et des violences exercées aussi bien dans les familles que dans l'administration.
Haïti au lieu d'avoir pour modèle exclusif les USA, pourrait prendre exemple sur quantité d'autres pays dans le monde dans lesquels les réalités socio/économiques sont appréhendées différemment.
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Toutes paroles qui légitiment l'exil ( si Haïti ne changera jamais il vaut mieux s'en aller.) qui légitiment la soumission à la misère et à la corruption (si Haïti ne changera jamais à quoi bon lutter contre les abus ? Acceptons la M...)
Ces paroles font partie de la guerre psychologique contre le pays afin de maintenir la population dans ce qu'ils appellent la résilience, un terme utilisé pour camoufler l'exploitation et dont les élites haïtiennes se servent pour soi-disant faire l'éloge du soi-disant courage de la majorité de la population, laquelle malgré le mépris des dirigeants survit dans une misère abjecte.
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Donc, vous avez entendu les marchands de micro et membres de l'association des malfaiteurs en bande organisée tèt kale, réclamer que la population ait le droit d'être armée comme aux USA et qu'il faudrait appliquer la peine de mort comme aux USA.
La majorité de ces journalistes commerçants n'ont jamais lu une étude sur l'impact dans la société étasunienne de ce libre accès aux armes, ni sur l'influence de la peine de mort sur une baisse de la criminalité.
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Joel- Super Star
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Loisirs : Histoire
Date d'inscription : 24/08/2006
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Jeu de rôle: Le patriote
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