La faillite financière de la BRH et la corruption (1ère part
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La faillite financière de la BRH et la corruption (1ère part
La faillite financière de la BRH et la corruption (1ère partie)
Par Robert H. Charles
Le moment est venu de montrer comment la campagne de lutte contre la corruption menée par le gouvernement de René Préval est une vaste escroquerie et une fumisterie. Nous allons le prouver à travers l’analyse de la faillite de banque centrale, la Banque de la République d’Haïti (BRH).
Le brigandage et la corruption à la BRH ont commencé sous le premier mandat du gouvernement de René Préval (1996-2000). C’est en effet sous ce gouvernement que l’évasion des capitaux à l’étranger a atteint une moyenne de plus de 488 millions de dollars l’an. A cette époque la BRH avait pour gouverneur Fritz Jean qui décida de signer un contrat de gré à gré avec la firme française Bouygues pour construire le nouvel immeuble de la Banque centrale, sise à la Rue Américaine en face du journal Le Matin, ainsi que le musée de la monnaie au Cap-Haïtien pour la rondelette somme de $30.8 millions de dollars. L’absence d’appel d’offres pour un contrat d’une telle taille démarrait le défoulement de corruption qui sera mise en vitrine par la suite avec les privatisations pour les copains, la montée du trafic de drogue, la contrebande en douane qui feront le bonheur de tous les magouilleurs de la communauté nationale et internationale.
C’est à partir de 2001 que la corruption à la BRH va se créer une nouvelle écriture avec le dévoiement de la politique d’émission des bons BRH. Ce mécanisme temporaire d’intervention de la BRH pour lutter contre l’inflation en épongeant les masses de gourdes en circulation résultant de l’accumulation du déficit budgétaire de l’État en faillite va permettre la remise en selle de catégories sociales que l’idéologie lavalasse du nivellement par le bas était censée combattre. Qu’on se rappelle que Leslie Delatour lança la politique d’émission des bons BRH pour combattre l’augmentation de 131% de la masse monétaire, passant de 4,782 millions de gourdes à 11,052 millions de gourdes de 1991 à 1996. Il fallait alors lutter contre la dépréciation de la gourde et la dollarisation qu’elle entraîne depuis lors. L’un des effets à long terme de l’embargo de 1993-1994 a été la détérioration de la valeur de la gourde. Mais le mécanisme des bons BRH mis en œuvre pour absorber les gourdes deviendra permanent et va devenir l’essence de la politique monétaire de la Banque centrale. La politisation à l’excès des bons BRH mettra en place une machine destructrice des intérêts populaires en donnant aux secteurs traditionnels de la bourgeoisie la nourriture dont ils avaient besoin pour se réaffirmer après la période collaboration avec le duvaliérisme jean-claudiste. Le mouvement Lavalasse décide donc d’augmenter la richesse des plus riches avec les bons BRH.
Par Robert H. Charles
Le moment est venu de montrer comment la campagne de lutte contre la corruption menée par le gouvernement de René Préval est une vaste escroquerie et une fumisterie. Nous allons le prouver à travers l’analyse de la faillite de banque centrale, la Banque de la République d’Haïti (BRH).
Le brigandage et la corruption à la BRH ont commencé sous le premier mandat du gouvernement de René Préval (1996-2000). C’est en effet sous ce gouvernement que l’évasion des capitaux à l’étranger a atteint une moyenne de plus de 488 millions de dollars l’an. A cette époque la BRH avait pour gouverneur Fritz Jean qui décida de signer un contrat de gré à gré avec la firme française Bouygues pour construire le nouvel immeuble de la Banque centrale, sise à la Rue Américaine en face du journal Le Matin, ainsi que le musée de la monnaie au Cap-Haïtien pour la rondelette somme de $30.8 millions de dollars. L’absence d’appel d’offres pour un contrat d’une telle taille démarrait le défoulement de corruption qui sera mise en vitrine par la suite avec les privatisations pour les copains, la montée du trafic de drogue, la contrebande en douane qui feront le bonheur de tous les magouilleurs de la communauté nationale et internationale.
C’est à partir de 2001 que la corruption à la BRH va se créer une nouvelle écriture avec le dévoiement de la politique d’émission des bons BRH. Ce mécanisme temporaire d’intervention de la BRH pour lutter contre l’inflation en épongeant les masses de gourdes en circulation résultant de l’accumulation du déficit budgétaire de l’État en faillite va permettre la remise en selle de catégories sociales que l’idéologie lavalasse du nivellement par le bas était censée combattre. Qu’on se rappelle que Leslie Delatour lança la politique d’émission des bons BRH pour combattre l’augmentation de 131% de la masse monétaire, passant de 4,782 millions de gourdes à 11,052 millions de gourdes de 1991 à 1996. Il fallait alors lutter contre la dépréciation de la gourde et la dollarisation qu’elle entraîne depuis lors. L’un des effets à long terme de l’embargo de 1993-1994 a été la détérioration de la valeur de la gourde. Mais le mécanisme des bons BRH mis en œuvre pour absorber les gourdes deviendra permanent et va devenir l’essence de la politique monétaire de la Banque centrale. La politisation à l’excès des bons BRH mettra en place une machine destructrice des intérêts populaires en donnant aux secteurs traditionnels de la bourgeoisie la nourriture dont ils avaient besoin pour se réaffirmer après la période collaboration avec le duvaliérisme jean-claudiste. Le mouvement Lavalasse décide donc d’augmenter la richesse des plus riches avec les bons BRH.
piporiko- Super Star
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Re: La faillite financière de la BRH et la corruption (1ère part
.
Le boom des bons BRH inaugure la période de mercantilisme politique aboutissant aujourd’hui à la faillite de la banque des banques. Rien ne change de Lavalasse au gouvernement de Boniface/Latortue et à la restauration lavalassienne du deuxième mandat de René Préval. Le tronc commun unissant ces courants est la recherche du pouvoir pour le pouvoir au détriment d’une réflexion critique sur la création de la richesse dans un pays comme Haïti. Le tableau 1 donne le bilan des résultats de la BRH de 2001 à 2006. On constate que non seulement chacune des années est marquée par un déficit mais qu’ensuite ce déficit de la BRH va grandissant.
Cette écriture de la corruption, par le déficit budgétaire, n’échappe pas aux plus avertis. Dans le rapport de la Commission d’Enquête Administrative (CEA) dirigée par Paul Denis en 2005, l’échange suivant a eu lieu entre la CEA et Yvon Guirand (YG), membre du Conseil d’Administration de la BRH de 2001 à 2004 :
CEA Nous remontons à la situation à la Banque Centrale, au moment de la célébration du Bicentenaire. A ce moment là, il y avait une inquiétude au sujet d’un déficit qui s’accumulait et semblait prendre des proportions inquiétantes. Il semble même qu’il y aurait des lettres qui auraient été adressées à la Direction du Crédit.
YG Non. Au Trésor. Des lettres du Conseil adressées au Ministre des Finances pour lui faire part des inquiétudes de la Banque Centrale concernant l’aggravation du déficit.
Le gouvernement de transition Boniface/Latortue va mettre un cautère sur une jambe de bois, avec une écriture de la corruption plus riche et plus complexe. Le financement par l’émission monétaire de la BRH (produisant des taux d’inflation faramineux) sera arrêté. A sa place, le gouvernement de transition doublera l’émission des bons BRH. La dette de l’Etat en faillite ne sera plus financée directement par le secteur public mais plutôt par le secteur privé. Ce sera un cadeau en or aux trois banques de la place qui sont les principaux acheteurs des bons BRH. En effet, la SOGEBANK, la UNIBANK et la BNC achètent 90% des bons BRH.
Par exemple pour l’année 2006, pourquoi ces institutions bancaires privées devraient-elles courir le risque de prêter à des petites et moyennes entreprises au taux de 30% quand elles peuvent prêter sans risques à l’État au taux de 18% ? Ces avantages, permettant au secteur financier de gagner de l’argent en ne faisant rien, étaient encore plus substantiels en 2003 quand la différence entre les taux payés sur les bons BRH et les taux créditeurs des banques commerciales n’était que de 2.5%, soit 27.5% pour les bons BRH et 30% pour le crédit commercial. Depuis décembre 2006, la BRH a réduit les taux d’intérêt sur les bons BRH de 90 jours en quatre occasions, allant de 25% à 22.5%. Cette politique de réduction des taux s’est révélée contradictoire par rapport à la politique de faible croissance de l’offre de monnaie pour combattre l’inflation. On se rappelle que l’inflation qui était d’une moyenne de 25% entre 1997 et 2000 sous la première présidence de René Préval atteignit 38% sous le gouvernement d’Aristide en 2003. On verra comment les pertes enregistrées par la BRH `a cette époque, représentant 2% du PIB en 2003 provoqueront une dollarisation accélérée. En effet les avoirs en dollars du système bancaire passeront de 30% en l’an 2000 à plus de 50% en 2004.
Le boom des bons BRH inaugure la période de mercantilisme politique aboutissant aujourd’hui à la faillite de la banque des banques. Rien ne change de Lavalasse au gouvernement de Boniface/Latortue et à la restauration lavalassienne du deuxième mandat de René Préval. Le tronc commun unissant ces courants est la recherche du pouvoir pour le pouvoir au détriment d’une réflexion critique sur la création de la richesse dans un pays comme Haïti. Le tableau 1 donne le bilan des résultats de la BRH de 2001 à 2006. On constate que non seulement chacune des années est marquée par un déficit mais qu’ensuite ce déficit de la BRH va grandissant.
Cette écriture de la corruption, par le déficit budgétaire, n’échappe pas aux plus avertis. Dans le rapport de la Commission d’Enquête Administrative (CEA) dirigée par Paul Denis en 2005, l’échange suivant a eu lieu entre la CEA et Yvon Guirand (YG), membre du Conseil d’Administration de la BRH de 2001 à 2004 :
CEA Nous remontons à la situation à la Banque Centrale, au moment de la célébration du Bicentenaire. A ce moment là, il y avait une inquiétude au sujet d’un déficit qui s’accumulait et semblait prendre des proportions inquiétantes. Il semble même qu’il y aurait des lettres qui auraient été adressées à la Direction du Crédit.
YG Non. Au Trésor. Des lettres du Conseil adressées au Ministre des Finances pour lui faire part des inquiétudes de la Banque Centrale concernant l’aggravation du déficit.
Le gouvernement de transition Boniface/Latortue va mettre un cautère sur une jambe de bois, avec une écriture de la corruption plus riche et plus complexe. Le financement par l’émission monétaire de la BRH (produisant des taux d’inflation faramineux) sera arrêté. A sa place, le gouvernement de transition doublera l’émission des bons BRH. La dette de l’Etat en faillite ne sera plus financée directement par le secteur public mais plutôt par le secteur privé. Ce sera un cadeau en or aux trois banques de la place qui sont les principaux acheteurs des bons BRH. En effet, la SOGEBANK, la UNIBANK et la BNC achètent 90% des bons BRH.
Par exemple pour l’année 2006, pourquoi ces institutions bancaires privées devraient-elles courir le risque de prêter à des petites et moyennes entreprises au taux de 30% quand elles peuvent prêter sans risques à l’État au taux de 18% ? Ces avantages, permettant au secteur financier de gagner de l’argent en ne faisant rien, étaient encore plus substantiels en 2003 quand la différence entre les taux payés sur les bons BRH et les taux créditeurs des banques commerciales n’était que de 2.5%, soit 27.5% pour les bons BRH et 30% pour le crédit commercial. Depuis décembre 2006, la BRH a réduit les taux d’intérêt sur les bons BRH de 90 jours en quatre occasions, allant de 25% à 22.5%. Cette politique de réduction des taux s’est révélée contradictoire par rapport à la politique de faible croissance de l’offre de monnaie pour combattre l’inflation. On se rappelle que l’inflation qui était d’une moyenne de 25% entre 1997 et 2000 sous la première présidence de René Préval atteignit 38% sous le gouvernement d’Aristide en 2003. On verra comment les pertes enregistrées par la BRH `a cette époque, représentant 2% du PIB en 2003 provoqueront une dollarisation accélérée. En effet les avoirs en dollars du système bancaire passeront de 30% en l’an 2000 à plus de 50% en 2004.
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Re: La faillite financière de la BRH et la corruption (1ère part
La politique catastrophique du gouvernement de transition n’a pas seulement consisté à faire revenir Lavalasse au pouvoir. Il ne faut pas se tromper et croire que l’apparente inconsistance du gouvernement Boniface/Latortue s’arrête là. Sous la dictée de la communauté internationale prétextant imposer instaurer l’unité du corps social fragile, il s’est agi de noyer avec de l’argent, de corrompre, les secteurs de la bourgeoisie qui s’étaient révoltés et avaient pris les rues contre le désarroi et le modèle d’inconduite propagé par le courant lavalasse. Le gouvernement de transition va donc corrompre ces secteurs de la bourgeoisie avec des crédits d’impôt mais, et c’est le plus important, permettre aux secteurs financiers de la bourgeoisie d’augmenter leur marge de profit sans prendre de risques tout en bloquant le crédit aux petites et moyennes entreprises du secteur privé. C’était une grande mystification car c’est la BRH qui payait la dette intérieure pour les bons BRH à des taux qui atteindront jusqu'à 30% l’an. Une aubaine pertinente pour quelques financiers mais une illusion pour l’Etat déjà en faillite et qui va mettre la BRH en faillite.
Cette vision science-fictionnesque de l’économie et de la finance devait aboutir à la faillite actuelle de la BRH. De toute façon, l’ardoise est lourde. Réginald Mondésir, ancien directeur général de la BRH de 2001 à 2004 parlait d’une dette cumulée de 17 milliards de gourdes en 2003, soit près de 486 millions de dollars, pour financer le déficit courant et les bons BRH. Un montant qui a grimpé depuis. L’analyse montre que les postes les plus importants au niveau des dépenses de la Banque centrale sont les intérêts payés sur les bons BRH et les coûts de plus en plus exorbitants de fabrication des billets de banque. Comme l’indique le tableau 1, les bons BRH représentent une moyenne de 40% des dépenses de la Banque centrale. Dans une année comme 2004, les intérêts sur les bons BRH ont dépassé les revenus de l’institution.
Cette vision science-fictionnesque de l’économie et de la finance devait aboutir à la faillite actuelle de la BRH. De toute façon, l’ardoise est lourde. Réginald Mondésir, ancien directeur général de la BRH de 2001 à 2004 parlait d’une dette cumulée de 17 milliards de gourdes en 2003, soit près de 486 millions de dollars, pour financer le déficit courant et les bons BRH. Un montant qui a grimpé depuis. L’analyse montre que les postes les plus importants au niveau des dépenses de la Banque centrale sont les intérêts payés sur les bons BRH et les coûts de plus en plus exorbitants de fabrication des billets de banque. Comme l’indique le tableau 1, les bons BRH représentent une moyenne de 40% des dépenses de la Banque centrale. Dans une année comme 2004, les intérêts sur les bons BRH ont dépassé les revenus de l’institution.
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Re: La faillite financière de la BRH et la corruption (1ère part
Mais qui achètent ces bons de la BRH?pourquoi ne pouvons-nous pas les acheter ;nous qui soutenons l'economie nationale avec nos transferts?C'est cette mainmise sur l'economie nationale qui gouverne leur mecontentement contre tout gouvernement qui souhaite changer le statu-quo.
Lisez bien ceci:"les interets sur les bons BRH ont depassé les revenus de l'institution".Il faut bien comprendre la BRH est la banque centrale de la republique d'haiti. C'est un pays en faillite. Après avoir ruiné le pays cette elite repugnante s'indigne de cette epithète.Alors il faut bien appeler les spadassins,les detrouseurs de cadavres par leurs noms.Je n'avais pas encore lu le texte de Charles .mais quel mensonge"C'est au debut de 2001 que la fuite des capitaux a commencé.Comment les presidents qui ont dirigé le pays avant 1986 ont pu accumuler tout cet argent dans les banques suisses?Qui envoyait leurs spadassins aupres du directeur de la BRH pour envoyer la'rgent de l'institution au palais national?Qui achetait les bons de la renovation nationale a vil prix sur le marché dans les années 60 et ou ont ete deposées ces sommes??Quant on lit les ecrits d'un haitien il faut savoir son appartenance politique.Tout ce qu'il ecrit est dicté par ses interets de clan.Pourtant ils(les membres de cette elite repugnante) responsabilisent le peuple americain pour leur pauvreté et sous-developpement.
Lisez bien ceci:"les interets sur les bons BRH ont depassé les revenus de l'institution".Il faut bien comprendre la BRH est la banque centrale de la republique d'haiti. C'est un pays en faillite. Après avoir ruiné le pays cette elite repugnante s'indigne de cette epithète.Alors il faut bien appeler les spadassins,les detrouseurs de cadavres par leurs noms.Je n'avais pas encore lu le texte de Charles .mais quel mensonge"C'est au debut de 2001 que la fuite des capitaux a commencé.Comment les presidents qui ont dirigé le pays avant 1986 ont pu accumuler tout cet argent dans les banques suisses?Qui envoyait leurs spadassins aupres du directeur de la BRH pour envoyer la'rgent de l'institution au palais national?Qui achetait les bons de la renovation nationale a vil prix sur le marché dans les années 60 et ou ont ete deposées ces sommes??Quant on lit les ecrits d'un haitien il faut savoir son appartenance politique.Tout ce qu'il ecrit est dicté par ses interets de clan.Pourtant ils(les membres de cette elite repugnante) responsabilisent le peuple americain pour leur pauvreté et sous-developpement.
Rodlam Sans Malice- Super Star
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Re: La faillite financière de la BRH et la corruption (1ère part
Sans malice, vous parlez de mensonge mais vous n'avez pas les faits. J'attends votre replique avec des chiffres et des preuves. Allez au pays et menez vos propres enquetes ou bien referez-vous a celles que nous avons. Cessez les speculations. Quand on a les copies des cheques signes par les grands mangeurs d'Aristide on s'en prend a ceux qui menaient les enquetes. On questionne leur appartenance politique. Si le gvnmt actuel parle du gaspillage sous la transition, on questionne encore le gvnmt. On parle de vengeance.
Sans malis map vin baw rezon wi. Pou kisa misye pa pale jan sa te ye sou divalye. Se la wi san malis nou mele si nou pa ka fe pwop anket pa nou. Yap eseye ba nou nepot bagay kinbe kom si peyi ya se nan 2001 li te komanse. Tou etid yo se a pati dat sa yo fe li. Petet ke se le sa peyi ya gen achiv.
Sans malis map vin baw rezon wi. Pou kisa misye pa pale jan sa te ye sou divalye. Se la wi san malis nou mele si nou pa ka fe pwop anket pa nou. Yap eseye ba nou nepot bagay kinbe kom si peyi ya se nan 2001 li te komanse. Tou etid yo se a pati dat sa yo fe li. Petet ke se le sa peyi ya gen achiv.
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