nou vreman gen pwoblem nan peyi sa!!!

minis sante nou pran malaria--- komsi nan tout vaksin ki tap bay yo, minis sante ya pat jame vaksine.
e kwe gen vaksen kont malarya.
mwen pa konprann bagay sa pou minis sante nou ap gen malarya!!!!!!

Keen

eske se vre genyen vaksen pou malarya?mwen pa janm tande saa non;ki les ki dekouvri vaksen saa ; moun saa ta merite yon Pri nobel.

Biomedical Primate Research Centre (BPRC)
Radboud University Nijmegen Medical Centre
A Dutch Malaria Vaccine
The first malaria vaccine invented by a Dutch research team at the BPRC, Rijswijk will begin a clinical trial conducted by a team at RUNMC, Nijmegen on November 29st 2005.
Malaria is one of the most devastating global health problems. It kills as many as 2 million children each year in Africa alone. There is currently no vaccine commercially available that can prevent malaria. A vaccine for malaria is badly needed and a critical tool to control this deadly disease.
This is a major step forward for Dutch and European research, a point reached after many years of effort. Malaria parasites live inside red blood cells, and every 48 hours they leave one red cell and must enter a new one. The protein vaccine, called AMA-1, is made and purified from yeast cells and is designed to induce antibodies that stop the malaria parasite from entering red blood cells. AMA-1 has been very effective in vaccine trials to prevent malaria in animals, the question now is whether it will induce a strong human immune response which can later be tested for protective efficacy in Africa.
Very recently it has been shown that vaccination with another malaria protein developed by the pharmaceutical company GlaxoSmithKline Biologicals, induces 30% protection in African children that lasts over an 18 month period (Lancet Nov 2005). More and better vaccine prototypes will be needed. This AMA-1 vaccine targets a different part of the malaria parasite life cycle.
The collaboration for clinical testing of the vaccine is between research groups at the Biomedical Primate Research Centre, Rijswijk (BPRC) and the Radboud University of Nijmegen Medical Centre (RUNMC). The study is being supported by the European Malaria Vaccine Initiative, itself a recipient of funds from the Dutch Ministry of Development Cooperation (DGIS).
Team leaders:
Dr. Alan Thomas: Biomedical Primate Research Centre (BPRC)
Prof. Dr. Robert Sauerwein : Radboud University Nijmegen Medical Centre
Contacts:
Biomedical Primate Research Centre (BPRC):
Dr. Alan Thomas
Telephone Number: +31 (0)15 284 2640
Fax Number: +31 (0)15 284 3986
Email Address: thomas@bprc.nl
Web site address: www.bprc.nl
Radboud University Nijmegen Medical Centre
Dr. A. van der Ven
Telephone Number: +31 (0)24-3616980
Fax Number: +31 (0)24-3541734
Email Address: a.vanderven@aig.umcn.nl



Background information of BPRC Press Release regarding testing of malaria vaccine
28 November 2005

















mon she, mwen ap jwe nan zafe sa, men mwen li drol pou minis sante ya pat pran prekosyon nesese ankou flite bagay sou po li ki repilse moustik.
si minis sante paka pran prekosyon pou pwoteje tet li kont malarya, ki jan li pral rale kofidans nan tet moun pou swiv prekosyon sa yo.
sa prouve ke moun sa pap panse vre!!!

Je crois qu'un jugement base sur cet argument est severe.

Surtout qu'il n'existe pas de vaccin en vente commerciale actuellement pour la malaria. Le vaccin dont vous parlez entrait dans une phase de test il y a un test. Entre cette phase de test et la commercialisation du produit, il y a plusieurs etapes.

Bien sur, des precautions peuvent et doivent etre prises, pas seulement par le ministre, mais par la population en entier. Au contraire, le fait de la maladie du ministre peut avoir un effet benefique au niveau de la sensibilisation des masses si, bien sur, on l'exploite dans ce but.

En Haiti, tout le monde peut attraper la malaria a cause de la proliferation des moustiques et surtout que le ministre a attrape cette maladie lors d'un voyage...

La maladie du Ministre de la santé devrait indiquer aux responsables la nécéssité de retablir le Service national d'eradication de la malaria.(Snem).Personne n'echappe à cette maladie dans les mornes.Vu l'etat d'insalubrite du pays on peut avoir une idee de ce qui se passe dans les provinces.

Les haitiens meurent de malaria ,de sida , de tuberculose et on achete des voitures pour les deputés.Quelle mechanceté.

École Nationale Darius Denis: «danger public !»


L'école nationale qui porte le nom d'un ancien ministre de l'éducation nationale, Darius Denis, représente un véritable danger public. Ruinée par le temps, sans rénovation, elle s'écroule. Dans cette école aussi, à l'instar de l'école nationale Claire-Heureuse, des élèves prennent place au sol. Nous ne nous répétons pas. C'est la désolation. D'une école à l'autre. Le pire reste à voir.

Pas une seule fois depuis l'acquisition de cette maison en 1977, le ministère de l'Éducation nationale n'a envisagé de faire des travaux d'entretien dans ce qui en reste aujourd'hui. Depuis plusieurs années, les briques tombent l'une après l'autre. Les mûrs sont fissurés de part et d'autre. Les deux niveaux supérieurs de la vieille maison sont interdits d'accès aux élèves. Des planches qui les constituent, il n'en reste pratiquement que les traces rongées par le temps. L'école nationale Darius Denis, située à la deuxième ruelle Jérémie, près de Lalue, au coeur de Port-au-Prince, est une masure que le plus faible séisme ou une simple rafale de vent peut renverser. Un danger public. Elle est aussi un endroit où actuellement 566 écoliers viennent quotidiennement recevoir le pain de l'instruction.

« Je vous parle d'un temps... »

« Quand le président Jean Claude Duvalier avait acheté, d'une famille bourgeoise, cette maison qui abrite aujourd'hui l'école, elle était une vraie merveille. La cour était parsemée de fleurs avec des allées bétonnées découpées en carré... nous étions fiers, mes autres collègues professeurs et moi, à la fin des années 70, dans ces locaux achetés au prix de quatre-cent-mille (400,000) gourdes. », se rappelle Exantus Jérôme Jean Baptiste Sténio, 70 ans, qui travaille à l'école Nationale Darius Denis depuis plus de 30 ans. Il vient encore à l'école enseigner. Mais il refuse de voir les murs qui s'écroulent. L'école s'effondre. « Il ne faut pas toujours trop réfléchir sur tout ce qui nous entoure, sinon, on risque de manquer d'énergie pour continuer à travailler », soutient l'instituteur Jean Baptiste Sténio.

Anarchie, bévue...

Deux écoles occupent l'espace. A gauche du vieux bâtiment qui loge l'École Nationale Darius Denis, se trouve l'École Nationale Altagrâce Charles Dubé. 6 salles abritent 7 classes. La directrice n'a pas de bureau. Cette dernière prend place dans une classe à côté des élèves. Où reçoit-elle les parents d'élèves ? Où travaille-t-elle ? Allez savoir !

Pour M. Généus Jean Ronald, Directeur de l'école Darius Denis, son bureau se trouve au fond de la vielle masure, dans une pièce crasseuse, ayant pour seul mobilier, un semblant de bureau, une chaise qui peut difficilement se déplacer sur ses roulettes. M. Généus est non seulement Directeur de l'école mais il joue également le rôle d'enseignant. Il remplace une ancienne institutrice retraitée. Après maintes démarches auprès du ministère, une nouvelle enseignante a été nommée à la place de la pensionnaire. Nommée au nom de l'école Darius Denis, mais placée dans une autre école, nous apprend M. Généus, qui peine à s'expliquer cette bévue du ministère.

Pour permettre à ces élèves de boucler l'année académique, M. Généus assure lui-même des cours. Cependant, quand il doit se rendre au ministère, à une réunion, ou recevoir un parent, un visiteur quelconque, les élèves restent seuls dans la classe. Tuant le temps à colorer les murs avec du charbon de bois et s'adonnant à toutes autres actions enfantines qui sont l'affaire des petits âgés de 8 à 14 ans.

Une autre enseignante de la première année, partie définitivement pour l'étranger, a été remplacée par une nouvelle institutrice. Mais celle-ci- aussi a été placée dans une autre école. Comment cela a-t-il pu se produire ? «...C'est le résultat des consultants payés en dollars américains au ministère de l'éducation nationale... », estime un professionnel de ce même ministère.

Elles sont légions, les écoles nationales situées au coeur de Port-au-Prince se trouvant dans le même état que Claire Heureuse, Darius Denis... Les visiter et les présenter deviendrait un exercice trop monotone. En 2004,l'ancien ministre de l'Education nationale, M. Pierre Buteau avait visité dans ses moindres recoins cette école, nous confie l'actuel directeur. Rien a été fait. Disons mieux l'État haïtien est irresponsable.

Gaspard Dorélien
gasparddorelien@lenouvelliste.com

C'est incroyable .Quelle honte.

gwotoro, mwen konen, se ekzajere ke mwen egzajere pwoblem lan pou mwen fe atensyon ak reyalite ya.
mwen rekonet ke linpot moun ka pran malarya, men pa bliye ke afeksyon minis sante piblik la gen yon efe sikolojik tou.
moun ka panse ke si moun kap bay konsey la ka afekte se pa menmen ki pa ta afkete--- jan de rezonman sa yo ap fe moun devlope yon sans de fatalism.
moun devlope yon vue fatalistik le sa yo ap eseye evite ya arive lide ya.
nan sans lide yo dwe pran extra prekosyon pou evite montre vilnerabilite yo.
si misye te mete repellant sou po li, shans pou misye te pike par moustik tap redwi par 85%.
li pap etone mwen si misye ale nan bwa san repellant sou po li. sa prouve ke li papa panse, se konsa yon seri de moun nan gouvenman nou ye, yo pap panse troi jou apre jodia.

gwotorro mwen konen pat gen vaksen pou malaria, e mwen menm konen ki fakte ethno-economik ki fe sa.
market-target gwo konpayi famasetik se peyi devlope yo ki an jeneral gen pozisyon geografik nan zonn tempere yo, malarya se zonn tropikal yo ke li plis konsentre eke moun tropikal yo pa reprezante market konpayi famasetik ki devlope vaksin ak medikan pou pwofi.
se sak fe pat jame gen vaksen pou malarya moun ki generalman afekte par malarya pa gen appealing purchasing power pou motive for-profit pharmaceutical companies.

Notre problème est psychologique, voilà !

certainement, cher ami, les facteurs les plus contributifs a notre misere sont psuchologiques de nature.

je pense que le philosophe frantz fannon etait correct en reliant la pathopsychologie et le sous-developpement systematique des
ex-colonises noirs aux machinisations transgenerationelles durant toute l'esclavage noir.
je vais ecrire quelque chose expositive demain sur cette affaire!!!
a demain!!!!