Maxine Waters ap mande kongrè meriken pou efase dèt Ayiti yo.

Cette femme merite toute notre reconnaissance.Elle doit etre nommée citoyenne haitienne ad honores.Un jour elle aura sa statue devant une ecole pour jeunes filles comme l'ecole Elie Dubois.Elle le merite.

Congresswoman Walters ,

We appreciate your love and your compassion.You're a true friend.The haitian people will show you our gratitude and our love.As you said in a previous demand in favor of the haitian people :"haiti must be a place where all haitians can live."With friend like you,one day,haiti will be a place where we, all decent people of this earth, can live in harmony.

Your understanding of our struggle is a credit to your great intellect.The world will be a better place as long as we have representatives like you in the Congress of the United Sates. Your courage and compassion prove the greatness of your character.We thank you from the bottom of our heart.


Sincerly,

Rodlam Sans Malice

"Quelle banque va financer un homme qui vient de remplir pour bankruptcy"

Pourtant cela se realise tous les jours.Des corporations appliquent pour le chapitre 11 et les crediteurs leur empruntent après la réorgaisation de l'entreprise.Ces institutions avaient deja annulé les dettes d'autres pays moins pauvres que le notre .Souvenez -vous du Honduras .de Nicaraguara Haiti n'a pas les moyens d'honorer memes les interest de ces emprunts que ces insttutitions avaient consentis a des chenpans qui siphonaient les deniers publics pour les deposer dans des banques etrangeres .Une femme magnanime et charitbale demande l'annulation de ces dettes et un haitien condamne cette demarche.

Ce petit texte de Colo prouve le nationalisme et le patriotisme de certains de nos freres et soeurs.Messieurs, notre pauvrete a son origine dans notre manque d'amour pour nos semblables.

Est-ce la corruption et la carence des cadres qui avaient empeché Fidel Castro d'honorer les dettes de Cuba envers la Banque Mondiale et le FMI?Et L'Argentine pourquoi n'avait-elle pas honoré ses dettes?Colo,cessez donc d'afficher votre haine pour la classe populaire haitienne.Laissez donc aux gens magnanimes qui veulent nous secourir le loisir d'utiliser leur influence pour soulager nos frères et soeurs. Vore texte ne merite pas vraiment une reponse .bonsoir.

Nous condamnons tous la corruption qui ravage le corps social haitien comme la peste ,l'incompetence aussi doit etre eliminee de l'administration publique,mais il s'agit d'une proposition de secours qu'adresse la Congresswoman Walters pour alleger la souffrance de ceux qui sont victimes des desastres naturels.Vou voulez epecher que le paysbeneficie des memes mesures qui ont soulage d'autres pays parceque vous voulez l'echec de ce gouvernement par tous les moyens.Alors la je dois vous reprocher pour ce manque de charite car ce ne sont pas les hauts fonctionnaires de l'etat qui mangent de l'argile.Ces 48 millions dollars pourraient bien servir a acheter de la nourriture pour les cantines scolaires.Pourquoi voulez-vous empecher qu'on annule cette dette qui n'avait servi qu'a enrichir les dictateurs

Sur le meme forum, nous ne pouvons pas tenir 2 opinions différentes sur le meme sujet:

-- Dans la rubrique, "cette presse internationale qui ternit l'image d'Haiti", nous sommes en train de critiquer la presse internationale qui détruit l'image d'Haiti et présente le pays comme un Etat en faillite.

-- Dans ce sujet concernant la dette d'Haiti, cette dame présente Haiti comme un Etat en faillite afin de pouvoir appuyer sa thèse (abolir la dette d'Haiti) et nous l'applaudissons.

C'est une grande contradiction.

Quelque que soient les raisons avancées ou avantages possibles, je rejette toute approche qui présente Haiti comme un Etat en faillite.

Il n'y a aucun investisseur ou bailleur de fonds qui vont négocier avec un Etat en faillite. C'est pourquoi Préval lui-meme a dit qu'Haiti n'est pas en faillite mais en difficulté.

Notre dette n'est pas assez et nous devrons faire les préparations afin d'absorber plus et d'investir dans les projets d'infrastructures. Le social et ses ONG ne vont rien faire pour nous sortir de cette famine.

Concernant les 48 millions de dollars que vous avez évoqué

Une fois que nous avons fini de combattre la corruption et rapatrier nos cadres, tout deviendra plus facile. Actuellement, dans l'administration publique, nous n'avons aucun technicien pour négocier les contrats internationaux.

Voulez-vous des exemples ?

Nous avons un contrat avec les USA concernant les "Drug Dealers". Presque 90% des avoirs de ces gens vont alimenter le trésor américain. Et pourtant, ces criminels ont contaminé et détruit notre société. Si nous avons des professionels pour rénégocier ce contrat, l'Etat haitien pourra gagner beaucoup de millions. L'année dernière, nous avons envoyé plus de 100 millions de dollars américains aux Etats-Unis dans le cadre de ce contrat.

Avec un contrat équitable, l'Etat Haitien pourrait bénéficier plus de 50 millions de dollars par an, rien que dans ce contrat.

Ce n'est pas l'argent qui nous fait défaut mais c'est la corruption et l'incompétence qui nous ravagent.

Pendant qu'il faut combattre la corruption et l'incompétence dans l'administration haitienne et dans la société haitienne en général, il faut aussi combattre les menées politiques des institutions financières qui nous accablent.

Je repète que des institutions comme la banque mondiale et la BID associées à la USAID sont des armes financières au service de l'agenda politique des grandes puissances qui les dirigent.

Souvenez-vous que pour déstabiliser les gouvernements populaires de 1996 à 2004, ces institutions extorquaient à Haiti des millions de dollars en intéret sur des prèts qui étaient approuvés mais non-debourses pour forcer nos gouvernements à se soumettre à leurs diktats.

Ce genre de chantage a couté des centaines de millions qui auraient pu servir à notre développement.

Ces millions sont encore dans les coffres de ces institutions, pourquoi est-ce-qu'elles devraient les garder?

Les prets octroyés aux régimes Duvalieristes pour soutenir les politiques anti-Castristes et celles de Punta del Este, devraient-ils etre honorés par nous, au détriment de notre population?

Et ceux octroyés aux ONG pour couvrir leur agenda qui ne bénéficient pas notre pays.

Si on effacait toutes les mauvaises dettes, nous pourrions réellement accélerer nos projets d'infrastructure et de production nationale et agricole.

Cela nous permettrait d'etre plus indépendant et nos demandes en pret diminueraient considérablement.

mezanmi mwen malad,mwen grangou,pitit mwen yo pa ka ale lekol;youn dam ki wè jan misè ya ap fini ak mwen e ki konnen chak mwa mwen genyen poum peye Te Zinn youn gwo enterè sou you kout ponya ke li te prete youn frè mwen ki pati ak lajan an ,di Tesinn fè pal non se pa li ki te itilize lajan an non ;epi li peye w anpil enterè deja ki fè jounen jodya menm manje li pa ka manje epi youn nan pitit mwen yo di Tezinn :.non pa anile det la ;se tolere wap tolere li;ki te l mouri.Ala youn bon pitit ayiti gen yen.

Revelatyon

Mon frè mwen pa konn pou wou men si mwen ta nan pozisyon nonm saa ke mwen dekri pi wo a se pa mèsi selman mwen ta di dam sila.Mwen tap adore li.Ou te dim youn fwa ou kwè se filozofi ti neg ka fè lè frigo yo byen chaje ak bon jan ven enpote. tout kalite manje.Mon chè pemet mwen di w tout neg ou wè ki ap pale anpil di enstitutyon enternatyonal yo pa dwe retire det la pou nou se paske yap manje vant deboutonnen.

48 milyon saa si leta achte angrè ak en pe traktè lage nan tout tè leta ki ap gaspiye yo ,manyè irige plenn di Nor .plenn Cul de sac ,plenn leogane e byen mon chè nap rale youn bou ti souf.Genyen youn atik sou entènet la ki pale de rarté ki pral genyen paske agrikilti pa pwodwi ase grenn pou nouri tout moun sa yo.Se youn sel bagay mwen ka di nou :fè ti pedan pran poz ke nou pa beswen yo anile det yo pou nou e byen pita pi tris.

Se komsi mwen nan koma epi mwen refize mande sekou.Lè pou nou te fè ogey monte nou , fè sa ki te merite fet nou pat fè yo ,nou te pito ap mete anbasadè ,konsil tout kote, jodya ,youn moun ki pragmatik ap mande sekou pou pep la epi nou menm ki swa disan edike nou di non nou pa beswen sa.Men sa ki pi red se prete nap mande prete toujou menm pou nou fè elektyon.An verite lojik de grenn goch ayisyen .mwen pa konprann li vre.

Men yon lòt atik ki parèt pou mande ki lè yap anile dèt Ayiti ya.
Etranje sanble yo wè pi klè lan bagay saa ke Ayisyen parey nou.



Cancel Haiti's Debt: What Are We Waiting For?



By Nicole C. Lee, NNPA Columnist
March 10, 2008



There is an old Haitian Creole saying that roughly translates "things are so bad, we are eating dogs."
Today, things are so bad in Haiti that mothers, fathers and children are starving while their country is forced to pay an international debt burden of almost one million U.S. dollars per week.
Once again the plight of the people of Haiti is in the news. There are terrible stories from the nation's capitol, Port au Prince, where times are so difficult that many Haitians have no alternative but to eat dirt. "Dirt cookies" - cakes made from salt, butter and dirt, while not a new survival tactic-highlight the grim reality of day-to-day life for many Haitians. Some 80 percent of the country's people are forced to live on $2.00 a day, 50 percent survive on a $1.00 a day or less. One in four children are chronically malnourished.
Haiti's once arable land continues to be deforested as the poor cut down trees in order to burn them for cooking and heat. Health care is inaccessible for so many and the conditions that cause disease-contaminated water, poor shelter, and malnutrition--- are rampant. While Haiti has a democratically elected government, the needs on the ground remain enormous. Due to the strain of natural disasters and the effects of structural poverty,
President Preval has recently requested that "Temporary Protective Status" be granted to Haitians who face deportation in the U.S.
The roots of Haiti's impoverishment run very deep. Born of a slave rebellion in 1804, Haiti was forced to pay the French for "the loss of its colony," even the loss of slave labor.
This so-called debt was not paid off until the early 20th century and left the country virtually bankrupt. In the 1950s-1980s, Haiti's dictators were granted loans by International Financial Institutions (or "IFIs") such as the World Bank and Inter-American Development Bank.
The U.S. has a majority vote in many of these institutions, sets the rules, and provides much of the financing. While these institutions were created to eradicate poverty, notorious dictators such as Francois Duvalier and Jean Claude Duvalier were provided loans that furnished their lavish lifestyles and repressive regimes rather than assist the people. This behavior by dictators went on with a wink and a nod and today, Haiti has nothing to show for these loans except a legacy of repression.
Nevertheless, Haiti is forced to pay off these debts. Every week, the government pays almost one million dollars to IFIs, in large part, to pay off these odious and onerous debts. One million dollars per week the government could use for poverty alleviation programs and democracy building. One million dollars spent on debt that could afford each child an education, healthcare and a real future.
When worldwide debt relief initiatives began to take root, Haiti was left out of those programs. While Haiti had an overwhelming debt for a country of its size and production, it did not meet the debt burden threshold necessary to be eligible for relief programs such as HIPC (Heavily Indebted Poor Country Initiative). Despite paying on the debts, from 2000 until the coup that removed President Aristide, Haiti remained under a de facto humanitarian aid embargo. IFIs, under the watchful eye of Washington, withheld $146 million dollars of aid for potable water, roads and, healthcare.
Only recently, the IFIs have committed themselves to canceling some of Haiti's odious debt. Although this is a good sign, the cancellation is conditional based on further reduction of public services for the Haitian poor and will take a year or more to be effective.
Stopping these conditionalities and speeding up Haiti's debt relief has received bi-partisan support. But Congress must act now to alleviate the suffering in Haiti. The US government must use its profound influence with the International Financial Institutions to demand immediate cancellation of Haiti's debt. There is no reason to wait. What could we possibly be waiting for?

Nicole C. Lee is the Executive Director of TransAfrica Forum

sassaye

ou pa manti genyen etranje ki genyen plis charite pou pov ki ap manje biskwit labou yo ke pwop ayisyen.genyen moun ou ka padonne yo paske se konprann yo pa konprann fado ke det sa represante pou ayiti ,men genyen lot tou se pa konnen yo pa konnen men yo pa vle ke gouvenman popile yo jwen youn break menm pou yo ka toujou di se yo ki pi kapab;ou byen se"le nivellement par le bas"ki mete nou nan kondityon saa, komsi moun ki an wo yo te konn fè pi byen lè yo o pouvwa.

Mwen ta renmen yo dim ki Presidan ayisyen ki te pi edike pase neg tankou Jean Pierre Boyer, Nicholas Geffrard, Louis Borno ,Stenio Vincent,Francois Duvalier ki sa pi kapab sa yo te remet nan gad la?