Encore des nouvelles pistes dans le dossier de la drogue incriminant Aristide
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Encore des nouvelles pistes dans le dossier de la drogue incriminant Aristide
VOL. XXXX no 19 13 - 20 mai 2009
Et la liste des suspects continue de s’allonger
DANS LE CADRE DE LA NOUVELLE STRATÉGIE ANTI- DROGUE, LES BANQUES HAÏTIENNES SOUS LA LOUPE
Plus de 4 millions $ auraient été payés en espèces à Aristide par Kétant
Suite aux dernières révélations de Jacques Beaudouin Kétant, la lutte contre le trafic de drogue que mène la « Drug Enforcement Ad monstration » (DEA), la brigade fédérale antidrogue, s’intensifie.
Grâce à cette nouvelle impulsion, la liste de personnes suspectées de participer à ce trafic illicite continue de s’allonger. Au moment où se dressent des mandants d’amener et que se poursuivent les enquêtes sur les nouveaux noms impliqués, les autorités fédérales placent sous la loupe plusieurs banques haïtiennes qui se seraient signalées dans les opérations de blanchiment d’argent. Selon des enquêteurs de la DEA, le rôle joué par les institutions bancaires engagées dans cette entreprise est si crucial que le trafic de drogue n’aurait jamais pris l’essor qu’il a connu en Haïti sans elles. Tout compte fait, le rebondissement du dossier de la drogue, eu égard à Haïti, met Kétant sous un jour favorable par rapport aux procureurs fédéraux. Les aveux qu’il a faits ont permis aux autorités de tracer plus de 4 millions $ qu’il aurait payés à son compère, Jean- Bertrand Aristide.
Les derniers témoignages de Jacques Kétant ont permis à la DEA de renforcer les preuves dont elle disposait, non seulement dans le dossier Aristide contre qui un mandat a été émis, mais aussi bien contre plusieurs trafiquants recherchés par la justice américaine.
Bien que les autorités fédérales soient entièrement satisfaites des récentes révélations faites par M. Kétant, qui ont apporté des éléments clés qui manquaient, elles se frottent leurs mains de satisfaction à cause de la nouvelle lumière que ce trafiquant a su jeter sur le dossier des banques, considérées comme des éléments importants. En effet, suite aux aveux faits par Jacques Beaudouin Kétant relativement aux paiements qu’il effectuait à l’ancien président, les enquêteurs fédéraux ont pu établir des montants en chèques totalisant plus de 4 millions $ USD, soit exactement 4 millions 300 $ USD.
Les banques en tant que partenaires dans le trafic de drogue.
Grâce aux révélations faites aux enquêteurs fédéraux par les trafiquants actuellement en détention aux États-Unis, il a été possible de préparer des rapports bien truffés sur les opérations bancaires effectuées pour le compte d’Aristide et des trafiquants. Cela a amené les autorités fédérales à conclure que sans les institutions financières locales, le commerce de la cocaïne n’aurait pas tant prospéré en Haïti. Les millions manipulés par les caïds de la drogue comparés au volume de stupéfiants transitant par Haïti, à destination d’Amérique du nord et de l’Europe, ont permis d’évaluer à plus de 500 millions $ USD la masse d’argent qui circulait dans les banques haïtiennes.
Les enquêtes menées par les agents fédéraux, y compris eux de la DEA Est-il admis officiellement dans la tribu Zulu? et du FBI (Federal Bureau of Investigation) ont établi qu’environ 300 millions $ auraient été virés sur des institutions bancaires à l’étranger pour le compte d’Aristide et des trafiquants. D’où l’intérêt porté par les autorités fédérales aux banques haïtiennes. Interrogés par les enquêteurs fédéraux, les trafiquants appréhendés par la DEA ont identifié les personnes responsables de leurs comptes dans les différentes institutions, et qui se chargent d’effectuer les transferts électroniques sollicités. Bien que les banquiers chargés des comptes placés dans leurs institutions par les trafiquants fassent de leur mieux pour camoufler les opérations, les enquêteurs parviennent à suivre la trajectoire des transferts, réussissant ainsi à découvrir la route empruntée par ces transferts (le paper-trail).
Les autorités fédérales chargées de l’enquête sur les banques haïtiennes ont constaté la nonchalance manifestée par certaines d’entre dans le processus d’accueillir les clients. Selon les investigateurs, même si certains banquiers adhèrent strictement aux principes établis en matière de contrôle de la monnaie afin de prévenir le blanchiment d’argent, des fonctionnaires de ces institutions se livrent à des activités illégales à l’insu soustraire aux regards inquisiteurs des agents fédéraux qui peuplent de plus en plus le paysage financier haïtien. La liste des suspects s’allonge Entre-temps, une autre retombée des derniers témoignages de Jacques Kétant se présente sous forme de nouveaux suspects découverts par les agents fédéraux.
Ce qui contribue à faire s’allonger la liste de personnes soupçonnées de liaison avec les trafiquants. Dans cet ordre d’idée, plusieurs listes ont été dressées. Parmi ceux identifiés comme des trafiquants, la liste mentionne Jean-Claude Louis-Jean, qui s’était évadé du Pénitencier national, à l’occasion de l’évasion massive de prisonniers qui eut
lieu en 2006, sous le gouvernement intérimaire. Activement recherché par la DEA, Louis-Jean réussit à prendre la poudre d’escampette chaque fois que les forces de l’ordre se rapprochent de lui. Les agents de la DEA ont fait savoir qu’il aurait récemmentréceptionné, directement ou par personnes interposées, une importante cargaison de cocaïne dans son village natal des Anglais du sud. Le rapport de la DEA affirme aussi qu’il était très proche de Guy Philippe et avait financé la rébellion contre Aristide.
Après la chute de Jean-Bertrand Aristide, il payait presque singulièrement la facture de l’Armée démobilisée, alors sous le commandement du sergent Ravix Remissainthe, ayant mis deux de ses immeubles à Frères (non loin de Pétion-Ville) à la disposition des troupes.
Toutefois, les responsables des banques ne sont pas déliés de toute responsabilité dans le cadre de telles transactions illégales, car ce serait se dérober à leurs devoirs de prétendre ignorer ces écarts. D’autre part, les investigateurs fédéraux croient dur comme fer que les fonctionnaires qui effectuent des opérations illégales ne sauraient agir de leur propre gré, car les rapports internes des institutions établissent la nature exacte des différentes transactions, une manière pour les dirigeants des banques d’avoir l’œil sur leur personnel. Tout cela montre que les chefs des banques haïtiennes sont partie prenante des transactions illégales menées par des subalternes, qui donnent l’impression d’agir indépendamment de la direction. Selon des sources proches de la DEA, les responsables de banques auront l’occasion d’expliquer les transactions jugées non conformes aux normes établies dans le système bancaire international.
Le blanchiment pratiqué surtout ailleurs
Depuis la découverte de vastes opérations bancaires menées de manière clandestine pour le compte d’Aristide et de trafiquants de gros calibres, tels Jacques Kétant, Éliobert Josmé, Serge Édouard (Serge Persévérance), etc., les autorités fédérales pensent que les banques haïtiennes se montrent plus discrètes à l’égard des services rendus à la clientèle. Pour elles, les dirigeants de ces institutions ont recours à d’autres moyens pour satisfaire les besoins de leurs clients.
En effet, selon des rapports fédéraux internes, la clientèle du blanchiment d’argent porte ses espérances plutôt vers d’autres institutions de la Caraïbe, notamment à l’île Caïman. De cette manière, elle estime pouvoir se soustraire aux regards inquisiteurs des agents fédéraux qui peuplent de plus en plus le paysage financier haïtien.
La liste des suspects s’allonge
Entre-temps, une autre retombée des derniers témoignages de Jacques Kétant se présente sous forme de nouveaux suspects découverts par les agents fédéraux. Ce qui contribue à faire s’allonger la liste de personnes soupçonnées de liaison avec les trafiquants. Dans cet ordre d’idée, plusieurs listes ont été dressées. Parmi ceux identifiés comme des trafiquants, la liste mentionne Jean-Claude Louis-Jean, qui s’était évadé du Pénitencier national, à l’occasion de l’évasion massive de prisonniers qui eut lieu en 2006, sous le gouvernement intérimaire. Activement recherché par la DEA, Louis-Jean réussit à prendre la poudre d’escampette chaque fois que les forces de l’ordre se rapprochent de lui. Les agents de la DEA ont fait savoir qu’il aurait récemment réceptionné, directement ou par personnes interposées, une importante cargaison de cocaïne dans son village natal des Anglais du sud. Le rapport de la DEA affirme aussi qu’il était très proche de Guy Philippe et avait financé la rébellion contre Aristide.
Après la chute de Jean-Bertrand Aristide, il payait presque singulièrement la facture de l’Armée démobilisée, alors sous le commandement du sergent Ravix Remissainthe, ayant mis deux de ses immeubles à Frères (non loin de Pétion-Ville) à la disposition des troupes.
Sur la liste des suspects figure également Carel Alexandre, identifié par les agents de la DEA comme un ancien membre des Forces armées défunte d’Haïti. On y trouve aussi Yonel Élisée,Jean-Jacques Valentin, Reynold Deeb, Jean Nazaire, Jalal Farah, Fritz Lafontant. Un personnage identifié sous le nom de Tchacounté fait partie de cette même liste. Le dossier de la drogue avance donc à un rythme accéléré depuis que Kétant a permis aux autorités fédérales d’ouvrir de nouvelles pistes. Point n’est besoin de dire que l’actualité en ce domaine sera riche en événements, dans les prochains jours.
Haïti-Observateur
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Et la liste des suspects continue de s’allonger
DANS LE CADRE DE LA NOUVELLE STRATÉGIE ANTI- DROGUE, LES BANQUES HAÏTIENNES SOUS LA LOUPE
Plus de 4 millions $ auraient été payés en espèces à Aristide par Kétant
Suite aux dernières révélations de Jacques Beaudouin Kétant, la lutte contre le trafic de drogue que mène la « Drug Enforcement Ad monstration » (DEA), la brigade fédérale antidrogue, s’intensifie.
Grâce à cette nouvelle impulsion, la liste de personnes suspectées de participer à ce trafic illicite continue de s’allonger. Au moment où se dressent des mandants d’amener et que se poursuivent les enquêtes sur les nouveaux noms impliqués, les autorités fédérales placent sous la loupe plusieurs banques haïtiennes qui se seraient signalées dans les opérations de blanchiment d’argent. Selon des enquêteurs de la DEA, le rôle joué par les institutions bancaires engagées dans cette entreprise est si crucial que le trafic de drogue n’aurait jamais pris l’essor qu’il a connu en Haïti sans elles. Tout compte fait, le rebondissement du dossier de la drogue, eu égard à Haïti, met Kétant sous un jour favorable par rapport aux procureurs fédéraux. Les aveux qu’il a faits ont permis aux autorités de tracer plus de 4 millions $ qu’il aurait payés à son compère, Jean- Bertrand Aristide.
Les derniers témoignages de Jacques Kétant ont permis à la DEA de renforcer les preuves dont elle disposait, non seulement dans le dossier Aristide contre qui un mandat a été émis, mais aussi bien contre plusieurs trafiquants recherchés par la justice américaine.
Bien que les autorités fédérales soient entièrement satisfaites des récentes révélations faites par M. Kétant, qui ont apporté des éléments clés qui manquaient, elles se frottent leurs mains de satisfaction à cause de la nouvelle lumière que ce trafiquant a su jeter sur le dossier des banques, considérées comme des éléments importants. En effet, suite aux aveux faits par Jacques Beaudouin Kétant relativement aux paiements qu’il effectuait à l’ancien président, les enquêteurs fédéraux ont pu établir des montants en chèques totalisant plus de 4 millions $ USD, soit exactement 4 millions 300 $ USD.
Les banques en tant que partenaires dans le trafic de drogue.
Grâce aux révélations faites aux enquêteurs fédéraux par les trafiquants actuellement en détention aux États-Unis, il a été possible de préparer des rapports bien truffés sur les opérations bancaires effectuées pour le compte d’Aristide et des trafiquants. Cela a amené les autorités fédérales à conclure que sans les institutions financières locales, le commerce de la cocaïne n’aurait pas tant prospéré en Haïti. Les millions manipulés par les caïds de la drogue comparés au volume de stupéfiants transitant par Haïti, à destination d’Amérique du nord et de l’Europe, ont permis d’évaluer à plus de 500 millions $ USD la masse d’argent qui circulait dans les banques haïtiennes.
Les enquêtes menées par les agents fédéraux, y compris eux de la DEA Est-il admis officiellement dans la tribu Zulu? et du FBI (Federal Bureau of Investigation) ont établi qu’environ 300 millions $ auraient été virés sur des institutions bancaires à l’étranger pour le compte d’Aristide et des trafiquants. D’où l’intérêt porté par les autorités fédérales aux banques haïtiennes. Interrogés par les enquêteurs fédéraux, les trafiquants appréhendés par la DEA ont identifié les personnes responsables de leurs comptes dans les différentes institutions, et qui se chargent d’effectuer les transferts électroniques sollicités. Bien que les banquiers chargés des comptes placés dans leurs institutions par les trafiquants fassent de leur mieux pour camoufler les opérations, les enquêteurs parviennent à suivre la trajectoire des transferts, réussissant ainsi à découvrir la route empruntée par ces transferts (le paper-trail).
Les autorités fédérales chargées de l’enquête sur les banques haïtiennes ont constaté la nonchalance manifestée par certaines d’entre dans le processus d’accueillir les clients. Selon les investigateurs, même si certains banquiers adhèrent strictement aux principes établis en matière de contrôle de la monnaie afin de prévenir le blanchiment d’argent, des fonctionnaires de ces institutions se livrent à des activités illégales à l’insu soustraire aux regards inquisiteurs des agents fédéraux qui peuplent de plus en plus le paysage financier haïtien. La liste des suspects s’allonge Entre-temps, une autre retombée des derniers témoignages de Jacques Kétant se présente sous forme de nouveaux suspects découverts par les agents fédéraux.
Ce qui contribue à faire s’allonger la liste de personnes soupçonnées de liaison avec les trafiquants. Dans cet ordre d’idée, plusieurs listes ont été dressées. Parmi ceux identifiés comme des trafiquants, la liste mentionne Jean-Claude Louis-Jean, qui s’était évadé du Pénitencier national, à l’occasion de l’évasion massive de prisonniers qui eut
lieu en 2006, sous le gouvernement intérimaire. Activement recherché par la DEA, Louis-Jean réussit à prendre la poudre d’escampette chaque fois que les forces de l’ordre se rapprochent de lui. Les agents de la DEA ont fait savoir qu’il aurait récemmentréceptionné, directement ou par personnes interposées, une importante cargaison de cocaïne dans son village natal des Anglais du sud. Le rapport de la DEA affirme aussi qu’il était très proche de Guy Philippe et avait financé la rébellion contre Aristide.
Après la chute de Jean-Bertrand Aristide, il payait presque singulièrement la facture de l’Armée démobilisée, alors sous le commandement du sergent Ravix Remissainthe, ayant mis deux de ses immeubles à Frères (non loin de Pétion-Ville) à la disposition des troupes.
Toutefois, les responsables des banques ne sont pas déliés de toute responsabilité dans le cadre de telles transactions illégales, car ce serait se dérober à leurs devoirs de prétendre ignorer ces écarts. D’autre part, les investigateurs fédéraux croient dur comme fer que les fonctionnaires qui effectuent des opérations illégales ne sauraient agir de leur propre gré, car les rapports internes des institutions établissent la nature exacte des différentes transactions, une manière pour les dirigeants des banques d’avoir l’œil sur leur personnel. Tout cela montre que les chefs des banques haïtiennes sont partie prenante des transactions illégales menées par des subalternes, qui donnent l’impression d’agir indépendamment de la direction. Selon des sources proches de la DEA, les responsables de banques auront l’occasion d’expliquer les transactions jugées non conformes aux normes établies dans le système bancaire international.
Le blanchiment pratiqué surtout ailleurs
Depuis la découverte de vastes opérations bancaires menées de manière clandestine pour le compte d’Aristide et de trafiquants de gros calibres, tels Jacques Kétant, Éliobert Josmé, Serge Édouard (Serge Persévérance), etc., les autorités fédérales pensent que les banques haïtiennes se montrent plus discrètes à l’égard des services rendus à la clientèle. Pour elles, les dirigeants de ces institutions ont recours à d’autres moyens pour satisfaire les besoins de leurs clients.
En effet, selon des rapports fédéraux internes, la clientèle du blanchiment d’argent porte ses espérances plutôt vers d’autres institutions de la Caraïbe, notamment à l’île Caïman. De cette manière, elle estime pouvoir se soustraire aux regards inquisiteurs des agents fédéraux qui peuplent de plus en plus le paysage financier haïtien.
La liste des suspects s’allonge
Entre-temps, une autre retombée des derniers témoignages de Jacques Kétant se présente sous forme de nouveaux suspects découverts par les agents fédéraux. Ce qui contribue à faire s’allonger la liste de personnes soupçonnées de liaison avec les trafiquants. Dans cet ordre d’idée, plusieurs listes ont été dressées. Parmi ceux identifiés comme des trafiquants, la liste mentionne Jean-Claude Louis-Jean, qui s’était évadé du Pénitencier national, à l’occasion de l’évasion massive de prisonniers qui eut lieu en 2006, sous le gouvernement intérimaire. Activement recherché par la DEA, Louis-Jean réussit à prendre la poudre d’escampette chaque fois que les forces de l’ordre se rapprochent de lui. Les agents de la DEA ont fait savoir qu’il aurait récemment réceptionné, directement ou par personnes interposées, une importante cargaison de cocaïne dans son village natal des Anglais du sud. Le rapport de la DEA affirme aussi qu’il était très proche de Guy Philippe et avait financé la rébellion contre Aristide.
Après la chute de Jean-Bertrand Aristide, il payait presque singulièrement la facture de l’Armée démobilisée, alors sous le commandement du sergent Ravix Remissainthe, ayant mis deux de ses immeubles à Frères (non loin de Pétion-Ville) à la disposition des troupes.
Sur la liste des suspects figure également Carel Alexandre, identifié par les agents de la DEA comme un ancien membre des Forces armées défunte d’Haïti. On y trouve aussi Yonel Élisée,Jean-Jacques Valentin, Reynold Deeb, Jean Nazaire, Jalal Farah, Fritz Lafontant. Un personnage identifié sous le nom de Tchacounté fait partie de cette même liste. Le dossier de la drogue avance donc à un rythme accéléré depuis que Kétant a permis aux autorités fédérales d’ouvrir de nouvelles pistes. Point n’est besoin de dire que l’actualité en ce domaine sera riche en événements, dans les prochains jours.
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Dernière édition par Rico le Lun 18 Mai 2009 - 11:51, édité 6 fois
Rico- Super Star
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Re: Encore des nouvelles pistes dans le dossier de la drogue incriminant Aristide
dans une perspective haitienne ces révélations ou enquêtes ne font que renforcer la stature politique de Monsieur Aristide. ceux qui changent d'idées à propos d'Aristide sont des hommes et des femmes qui ont une capacité de réflechir donc qui ont du savoir...
Donc Aristide a encore une influence sur l'ensemble de la population puisque cet ensemble est pauvre et analphabète.
Si nou vle avanse tout bon vre fok nou kite dossye la pou nou sispann pale de Titide. Plus on parle de Titide plus on donne de la visibilité. kidonk ann nou pale de l'avenir d'haiti plutôt que son passé.
Donc Aristide a encore une influence sur l'ensemble de la population puisque cet ensemble est pauvre et analphabète.
Si nou vle avanse tout bon vre fok nou kite dossye la pou nou sispann pale de Titide. Plus on parle de Titide plus on donne de la visibilité. kidonk ann nou pale de l'avenir d'haiti plutôt que son passé.
Marc H- Super Star
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Re: Encore des nouvelles pistes dans le dossier de la drogue incriminant Aristide
Ka dat atik sa a te soti?
Mèsi.
Mèsi.
Invité- Invité
Re: Encore des nouvelles pistes dans le dossier de la drogue incriminant Aristide
Marc a écrit:dans une perspective haitienne ces révélations ou enquêtes ne font que renforcer la stature politique de Monsieur Aristide. ceux qui changent d'idées à propos d'Aristide sont des hommes et des femmes qui ont une capacité de réflechir donc qui ont du savoir...
Donc Aristide a encore une influence sur l'ensemble de la population puisque cet ensemble est pauvre et analphabète.
Si nou vle avanse tout bon vre fok nou kite dossye la pou nou sispann pale de Titide. Plus on parle de Titide plus on donne de la visibilité. kidonk ann nou pale de l'avenir d'haiti plutôt que son passé.
Mwen regret aktiyalite pa dwe mete sou kote. Pran lekti chak detay olye fè yon ide jenerasl o wi se viziblite yo bay Aristide. Sispann kritike pou ryen genyen detay enteresan pou konprann byen enplikasyon yon sektè kap destabilize sekirite peyi dAyiti.
Se konsa pou wè li, atik sa sitou ale pi lwen ke Aristide. Nou gen anko yon pwoblèm antye ak trafik kokayinn. E si w vle kwè m depi demantelman lame dayiti li pran yon pwoposyon anraje. Li vinn prensipal faktè destabilizasyonn peyi dayiti. Sou militè yo , te gen volonte pou kontrole l , pa kite l nan men sivil. Se militè enplike yo kite kontrole sa.
Pran sa pou pran nan detay Obsèvatè pou konprann nan kisa nou pran jounen jodyè ak konplisite jeneralize pou fè move lajan.
Rico- Super Star
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Jeu de rôle: dindon de la farce
Re: Encore des nouvelles pistes dans le dossier de la drogue incriminant Aristide
Rico,
Eske ou ka bannou dat atik sa a ou eske se yon bouyon rechofe?
Mèsi.
Eske ou ka bannou dat atik sa a ou eske se yon bouyon rechofe?
Mèsi.
Invité- Invité
Re: Encore des nouvelles pistes dans le dossier de la drogue incriminant Aristide
Rico a écrit:VOL. XXXX no 19 13 - 20 mai 2009
Et la liste des suspects continue de s’allonger
DANS LE CADRE DE LA NOUVELLE STRATÉGIE ANTI- DROGUE, LES BANQUES HAÏTIENNES SOUS LA LOUPE
Plus de 4 millions $ auraient été payés en espèces à Aristide par Kétant
Suite aux dernières révélations de Jacques Beaudouin Kétant, la lutte contre le trafic de drogue que mène la « Drug Enforcement Ad monstration » (DEA), la brigade fédérale antidrogue, s’intensifie.
Grâce à cette nouvelle impulsion, la liste de personnes suspectées de participer à ce trafic illicite continue de s’allonger. Au moment où se dressent des mandants d’amener et que se poursuivent les enquêtes sur les nouveaux noms impliqués, les autorités fédérales placent sous la loupe plusieurs banques haïtiennes qui se seraient signalées dans les opérations de blanchiment d’argent. Selon des enquêteurs de la DEA, le rôle joué par les institutions bancaires engagées dans cette entreprise est si crucial que le trafic de drogue n’aurait jamais pris l’essor qu’il a connu en Haïti sans elles. Tout compte fait, le rebondissement du dossier de la drogue, eu égard à Haïti, met Kétant sous un jour favorable par rapport aux procureurs fédéraux. Les aveux qu’il a faits ont permis aux autorités de tracer plus de 4 millions $ qu’il aurait payés à son compère, Jean- Bertrand Aristide.
Les derniers témoignages de Jacques Kétant ont permis à la DEA de renforcer les preuves dont elle disposait, non seulement dans le dossier Aristide contre qui un mandat a été émis, mais aussi bien contre plusieurs trafiquants recherchés par la justice américaine.
Bien que les autorités fédérales soient entièrement satisfaites des récentes révélations faites par M. Kétant, qui ont apporté des éléments clés qui manquaient, elles se frottent leurs mains de satisfaction à cause de la nouvelle lumière que ce trafiquant a su jeter sur le dossier des banques, considérées comme des éléments importants. En effet, suite aux aveux faits par Jacques Beaudouin Kétant relativement aux paiements qu’il effectuait à l’ancien président, les enquêteurs fédéraux ont pu établir des montants en chèques totalisant plus de 4 millions $ USD, soit exactement 4 millions 300 $ USD.
Les banques en tant que partenaires dans le trafic de drogue.
Grâce aux révélations faites aux enquêteurs fédéraux par les trafiquants actuellement en détention aux États-Unis, il a été possible de préparer des rapports bien truffés sur les opérations bancaires effectuées pour le compte d’Aristide et des trafiquants. Cela a amené les autorités fédérales à conclure que sans les institutions financières locales, le commerce de la cocaïne n’aurait pas tant prospéré en Haïti. Les millions manipulés par les caïds de la drogue comparés au volume de stupéfiants transitant par Haïti, à destination d’Amérique du nord et de l’Europe, ont permis d’évaluer à plus de 500 millions $ USD la masse d’argent qui circulait dans les banques haïtiennes.
Les enquêtes menées par les agents fédéraux, y compris eux de la DEA Est-il admis officiellement dans la tribu Zulu? et du FBI (Federal Bureau of Investigation) ont établi qu’environ 300 millions $ auraient été virés sur des institutions bancaires à l’étranger pour le compte d’Aristide et des trafiquants. D’où l’intérêt porté par les autorités fédérales aux banques haïtiennes. Interrogés par les enquêteurs fédéraux, les trafiquants appréhendés par la DEA ont identifié les personnes responsables de leurs comptes dans les différentes institutions, et qui se chargent d’effectuer les transferts électroniques sollicités. Bien que les banquiers chargés des comptes placés dans leurs institutions par les trafiquants fassent de leur mieux pour camoufler les opérations, les enquêteurs parviennent à suivre la trajectoire des transferts, réussissant ainsi à découvrir la route empruntée par ces transferts (le paper-trail).
Les autorités fédérales chargées de l’enquête sur les banques haïtiennes ont constaté la nonchalance manifestée par certaines d’entre dans le processus d’accueillir les clients. Selon les investigateurs, même si certains banquiers adhèrent strictement aux principes établis en matière de contrôle de la monnaie afin de prévenir le blanchiment d’argent, des fonctionnaires de ces institutions se livrent à des activités illégales à l’insu soustraire aux regards inquisiteurs des agents fédéraux qui peuplent de plus en plus le paysage financier haïtien. La liste des suspects s’allonge Entre-temps, une autre retombée des derniers témoignages de Jacques Kétant se présente sous forme de nouveaux suspects découverts par les agents fédéraux.
Ce qui contribue à faire s’allonger la liste de personnes soupçonnées de liaison avec les trafiquants. Dans cet ordre d’idée, plusieurs listes ont été dressées. Parmi ceux identifiés comme des trafiquants, la liste mentionne Jean-Claude Louis-Jean, qui s’était évadé du Pénitencier national, à l’occasion de l’évasion massive de prisonniers qui eut
lieu en 2006, sous le gouvernement intérimaire. Activement recherché par la DEA, Louis-Jean réussit à prendre la poudre d’escampette chaque fois que les forces de l’ordre se rapprochent de lui. Les agents de la DEA ont fait savoir qu’il aurait récemmentréceptionné, directement ou par personnes interposées, une importante cargaison de cocaïne dans son village natal des Anglais du sud. Le rapport de la DEA affirme aussi qu’il était très proche de Guy Philippe et avait financé la rébellion contre Aristide.
Après la chute de Jean-Bertrand Aristide, il payait presque singulièrement la facture de l’Armée démobilisée, alors sous le commandement du sergent Ravix Remissainthe, ayant mis deux de ses immeubles à Frères (non loin de Pétion-Ville) à la disposition des troupes.
Toutefois, les responsables des banques ne sont pas déliés de toute responsabilité dans le cadre de telles transactions illégales, car ce serait se dérober à leurs devoirs de prétendre ignorer ces écarts. D’autre part, les investigateurs fédéraux croient dur comme fer que les fonctionnaires qui effectuent des opérations illégales ne sauraient agir de leur propre gré, car les rapports internes des institutions établissent la nature exacte des différentes transactions, une manière pour les dirigeants des banques d’avoir l’œil sur leur personnel. Tout cela montre que les chefs des banques haïtiennes sont partie prenante des transactions illégales menées par des subalternes, qui donnent l’impression d’agir indépendamment de la direction. Selon des sources proches de la DEA, les responsables de banques auront l’occasion d’expliquer les transactions jugées non conformes aux normes établies dans le système bancaire international.
Le blanchiment pratiqué surtout ailleurs
Depuis la découverte de vastes opérations bancaires menées de manière clandestine pour le compte d’Aristide et de trafiquants de gros calibres, tels Jacques Kétant, Éliobert Josmé, Serge Édouard (Serge Persévérance), etc., les autorités fédérales pensent que les banques haïtiennes se montrent plus discrètes à l’égard des services rendus à la clientèle. Pour elles, les dirigeants de ces institutions ont recours à d’autres moyens pour satisfaire les besoins de leurs clients.
En effet, selon des rapports fédéraux internes, la clientèle du blanchiment d’argent porte ses espérances plutôt vers d’autres institutions de la Caraïbe, notamment à l’île Caïman. De cette manière, elle estime pouvoir se soustraire aux regards inquisiteurs des agents fédéraux qui peuplent de plus en plus le paysage financier haïtien.
La liste des suspects s’allonge
Entre-temps, une autre retombée des derniers témoignages de Jacques Kétant se présente sous forme de nouveaux suspects découverts par les agents fédéraux. Ce qui contribue à faire s’allonger la liste de personnes soupçonnées de liaison avec les trafiquants. Dans cet ordre d’idée, plusieurs listes ont été dressées. Parmi ceux identifiés comme des trafiquants, la liste mentionne Jean-Claude Louis-Jean, qui s’était évadé du Pénitencier national, à l’occasion de l’évasion massive de prisonniers qui eut lieu en 2006, sous le gouvernement intérimaire. Activement recherché par la DEA, Louis-Jean réussit à prendre la poudre d’escampette chaque fois que les forces de l’ordre se rapprochent de lui. Les agents de la DEA ont fait savoir qu’il aurait récemment réceptionné, directement ou par personnes interposées, une importante cargaison de cocaïne dans son village natal des Anglais du sud. Le rapport de la DEA affirme aussi qu’il était très proche de Guy Philippe et avait financé la rébellion contre Aristide.
Après la chute de Jean-Bertrand Aristide, il payait presque singulièrement la facture de l’Armée démobilisée, alors sous le commandement du sergent Ravix Remissainthe, ayant mis deux de ses immeubles à Frères (non loin de Pétion-Ville) à la disposition des troupes.
Sur la liste des suspects figure également Carel Alexandre, identifié par les agents de la DEA comme un ancien membre des Forces armées défunte d’Haïti. On y trouve aussi Yonel Élisée,Jean-Jacques Valentin, Reynold Deeb, Jean Nazaire, Jalal Farah, Fritz Lafontant. Un personnage identifié sous le nom de Tchacounté fait partie de cette même liste. Le dossier de la drogue avance donc à un rythme accéléré depuis que Kétant a permis aux autorités fédérales d’ouvrir de nouvelles pistes. Point n’est besoin de dire que l’actualité en ce domaine sera riche en événements, dans les prochains jours.
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Re: Encore des nouvelles pistes dans le dossier de la drogue incriminant Aristide
SE PA PASKE OU PA GEN VIZIBILITE ,KI FE POU JALOU DE NEG LA.AVEK TOI,C TOUJOURS DU N'IMPORTE KOI.OU PA PI DIFERAN KE YON LUCAS OU APAID.MOVE HAITIEN.Marc a écrit:dans une perspective haitienne ces révélations ou enquêtes ne font que renforcer la stature politique de Monsieur Aristide. ceux qui changent d'idées à propos d'Aristide sont des hommes et des femmes qui ont une capacité de réflechir donc qui ont du savoir...
Donc Aristide a encore une influence sur l'ensemble de la population puisque cet ensemble est pauvre et analphabète.
Si nou vle avanse tout bon vre fok nou kite dossye la pou nou sispann pale de Titide. Plus on parle de Titide plus on donne de la visibilité. kidonk ann nou pale de l'avenir d'haiti plutôt que son passé.
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Re: Encore des nouvelles pistes dans le dossier de la drogue incriminant Aristide
piporiko a écrit:[
SE PA PASKE OU PA GEN VIZIBILITE ,KI FE POU JALOU DE NEG LA.AVEK TOI,C TOUJOURS DU N'IMPORTE KOI.OU PA PI DIFERAN KE YON LUCAS OU APAID.MOVE HAITIEN.
Pipo
Je ne sais pas si tu le savais : C'est la crédibilité avant la visibilité dans un tel contexte ...
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Re: Encore des nouvelles pistes dans le dossier de la drogue incriminant Aristide
Si se yon bouyon rechofe, nap di misie mèsi, men nou fatigue bwè menm bouyon an chak jou.
Si se yon trètman li tap fè pou nou, e bien mon frè nou geri.
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Re: Encore des nouvelles pistes dans le dossier de la drogue incriminant Aristide
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Re: Encore des nouvelles pistes dans le dossier de la drogue incriminant Aristide
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Rico, te di verite.
Sepandan, jan de imaj sa a, moun sa yo mete pou prezante nouvèl sa a fè nou kwè yo rayi Titid, yo racist, e yo pa kredib.
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Re: Encore des nouvelles pistes dans le dossier de la drogue incriminant Aristide
Kote pipo tett kale bobiss
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Re: Encore des nouvelles pistes dans le dossier de la drogue incriminant Aristide
Marc a écrit:Kote pipo tett kale bobiss
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Re: Encore des nouvelles pistes dans le dossier de la drogue incriminant Aristide
piporiko a écrit:Marc a écrit:Kote pipo tett kale bobiss
LES INSULTES N'ATTEIGNENT JAMAIS DIEU.IL APPARTIENT AUX ETOILES.
Pipo , tu n'as pas le sens de l'humour mon ami... Ce ne sont pas des insultes mais une marque d'affection .
Marc H- Super Star
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Re: Encore des nouvelles pistes dans le dossier de la drogue incriminant Aristide
Marc a écrit:piporiko a écrit:Marc a écrit:Kote pipo tett kale bobiss
LES INSULTES N'ATTEIGNENT JAMAIS DIEU.IL APPARTIENT AUX ETOILES.
Pipo , tu n'as pas le sens de l'humour mon ami... Ce ne sont pas des insultes mais une marque d'affection .
LA FOTO DE RICO?
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