Élections-Iran: Le dilemme du président Obama.

Le peuple iranien s'est prononcé. Il semble que les gardiens de la révolution islamique ont décidé autrement. Leurs décisions sont finales. Qu'est-ce que le président Obama pourrait-il faire dans un contexte ou les États-Unis ne veulent plus s'immiscer dans les affaires internes des autres pays?

Obama a tourné la page à deux mains afin d'être certain que son pays ne retourne pas à l'ère Bush-Cheney. Maintenant on ne parle plus du passé , on s'enligne sur le présent . Le présent est déterminant pour les futures négociations avec l'état Iranien. Qu'il soit le président qui a volé les votes ou Monsieur Moussavi. Les États-Unis doivent négocier avec pour assurer la paix dans la région. Dans cette perspective, le président Obama fait face à un dilemme. Peut-il aller dans le sens que demande le GOP , à savoir être plus dur face à L'Iran ? Je ne crois pas . Je pense qu’il doit continuer à observer et à rappeler aux Ayatollah de respecter les droits du peuple iranien de manifester ni plus ni moins.

C'est clair et net . Obama ne cherche pas à imposer la démocratie dans la région. D’ailleurs, L’Égypte et plusieurs autres alliés dans la région ne sont pas des démocraties. Dans ce sens, il faut dénoncer les comportements des républicains qui accusent le président Obama d’être too soft on Iran.

Définitivement, on peut parler de l’hypocrisie du GOP d'une part et, d'autre part , il faut croire qu'ils veulent que le Président Obama échoue dans sa quête pour la création d’un État Palestinien. Car pour réussir dans cette région , il aura besoin l’aide et la coopération de l’Iran. C'est donc dire que son approche dans le conflit iranien me parait adéquate.

Lan tout eleksyon lan tout peyi toujou gen yon gwoup ki gayan e yon lòt ki pèdan. Li regretab ke gen moun ki konn pèdi vi yo lè sa rive. Nou pap janm bliye kouman te gen anpil pwotestasyon Ozetazini apre eleksyon lan lane 2000 ant prezidan Bouch e vice-prezidan Gò. Men, kòm te gen pwosedi legal ki te deja an plas pou rezoud ka sa yo lè sa rive, e kòm pèp meriken gen yon kilti ki etabli lakay yo pat gen deblozay kite pete lan peyi a pou rezoud ka sa a.
Nou kwè ke prezidan Obama ap swiv yon chimen ki byen balanse. Si gouvènman Iranyen an ta vinn kwè ke gen peyi oksidantal ki ta gen men yo tranpe lan biznis sa a ebyen sitiyasyon an ka vrèman vinn explosiv. Nou di, prezidan Obama, kenbe fèm, pa lage!!! Ap toujou gen repibliken ki pap janm dakò ak desizyon ke li ap pran e lòt ke li pral pran.

qu'ils veulent que le Président Obama échoue dans sa quête pour la création d’un État Palestinien. (Marc Henry)

Ou su de sa wap pale a?Ou teli diskou Nethanyaou te fe semen ki sot pase a?Ou te li sa neg ki te konn ap retire fatra nan bwat de nuit(l'actuel minis racis des affaires etrangeres de l'eta d'israel) te di pou yo ta kreye yon "eta" palestinien?

Pipo

Tu es d'accord avec moi pour dire que le président Obama ne pourra pas réussir sans l'appui de l'Iran. Réponds-moi svp
Merci

Le probleme n'est pas la creation d'un" Etat" palestinien.En fait ,il existe deja:Israel.Toute autre entite creee sera un etat croupion ou mieux un banthoustan.La solution du conflit reside dans la creation d'un etat (La Palestine)democratique,laique ou les droits de toutes les communautes seront garantie par une constitution et le retour des refugies palestiens regroupes dans des camps dans les pays arabes comme la jordanie,Liban etc..Posons la question avec le leader iranien "pourkoi les palestiniens doivent-ils payer pour un mefait qu'ils nont pas commis?"

lent=slow a écrit:

Le probleme n'est pas la creation d'un" Etat" palestinien.En fait ,il existe deja:Israel

W ap suiv.

La raison du plus fort prédomine dans cet imbroglio. Israel, un Etat sioniste armé jusqu'aux dents continuera à saboter tous les efforts de paix. Comment expliquer que ce pays de plus en plus peuplé par des ressortissants européens qui se réclament d'une certaine judéité pose comme condition l'interdiction à un éventuel Etat palestinien de rapatrier ses réfugiés?

Obama ne peut que gérer la situation à son tour. Il a bien fait de rester prudent car il s'agit d'élections iraniennes avant tout. Qu'y-at-il à miser sur l'avènement d'un nouveau président iranien? Les gouvernements changent mais l'Etat ne change pas nécessairement.

On rapporte de nombreux morts lors des affrontements mais les télévisions occidentales ne se gênent même pas pour montrer le fils du Chah en train de verser des larmes de crocodile pour la mort d'une jeune femme. Comme un Baby Doc qui s'apitoyait sur le sort du peuple haïtien. Qui sait? Cette image risque de calmer les protestataires. La politique, mezanmi, se manipilasyon wi.

Sitou si wap gade televizyon pa bo isit...