Le salaire minimum continue de diviser au parlement et ailleurs
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Le salaire minimum continue de diviser au parlement et ailleurs
Port-au-Prince, 7 juillet 2009 –(AHP)- La loi sur le salaire minimum dejà voté à 200 gourdes par les deux chambres du parlement, continue de provoquer des divisions, particulièrement après les objections du président René Préval qui propose un salaire minimum à 125 gourdes cette année, 150 gourdes en 2010 et 200 gourdes en 2012, pour éviter, a-t-il dit, des révocations massives
Le député de Cabaret, Valciné Pierre Jérôme, a exprimé mardi le souhait que les discussions sur le salaire minimum se poursuivent pour permettre à tous les secteurs de mieux appréhender tous les aspects de ce dossier.
Selon M. Pierre Jérôme, les différentes interventions dejà faites sur ce dossier, montrent clairement que certains paramètres n’ont pas été maitrisés.
Il a cité en exemple le fait que cette loi n’ait pas tenu compte des employés de l’Etat, des femmes et des hommes de maison ainsi que des travailleurs du secteur agricole.
C’est un pays que nous dirigeons, ce n’est pas un jeu, tous doivent comprendre la nécessité de rompre avec l’entêtement et les intérêts personnels pour emprunter la voie de la raison et du développement, par la création de nouveaux emplois dans le pays, a lancé Valciné Pierre Jérôme.
Pour sa part, le député François Malherbe a fait savoir que les secteurs impliqués dans les débats sur le salaire minimum doivent faire preuve de sagesse pour ne pas continuer d’adopter des mesures sous le coup de l’émotion.
" Il faut se garder de prendre des décisions susceptibles de contribuer à la destruction du pays et de plonger la population davantage dans la misère", a mis en garde M. Malherbe.
Opinant différemment, le député Acluche Louis Jeune, s’est déclaré convaincu que les 200 gourdes ne poseront aucun problème susceptible de provoquer des revocations massives, comme veulent le faire comprendre, a-t-il dit, le président René Préval et le secteur patronal.
Il y a des secteurs qui cherchent à nous faire perdre toute notre crédibilité en tentant de nous pousser à nous renier, s'est indigné M. Louis Jeune, reaffirmant son intention de voter une nouvelle fois en faveur d'un salaire minimum à 200 gourdes.
Le rapport de la commission affaires sociales de la chambre basse qui devrait être soumis pour vote ce mercredi à l'asssemblée des députés, pourrait ne pas être totalement à point, en raison de problèmes familiaux confrontés par la présidente de la commission.
Le député de Cabaret, Valciné Pierre Jérôme, a exprimé mardi le souhait que les discussions sur le salaire minimum se poursuivent pour permettre à tous les secteurs de mieux appréhender tous les aspects de ce dossier.
Selon M. Pierre Jérôme, les différentes interventions dejà faites sur ce dossier, montrent clairement que certains paramètres n’ont pas été maitrisés.
Il a cité en exemple le fait que cette loi n’ait pas tenu compte des employés de l’Etat, des femmes et des hommes de maison ainsi que des travailleurs du secteur agricole.
C’est un pays que nous dirigeons, ce n’est pas un jeu, tous doivent comprendre la nécessité de rompre avec l’entêtement et les intérêts personnels pour emprunter la voie de la raison et du développement, par la création de nouveaux emplois dans le pays, a lancé Valciné Pierre Jérôme.
Pour sa part, le député François Malherbe a fait savoir que les secteurs impliqués dans les débats sur le salaire minimum doivent faire preuve de sagesse pour ne pas continuer d’adopter des mesures sous le coup de l’émotion.
" Il faut se garder de prendre des décisions susceptibles de contribuer à la destruction du pays et de plonger la population davantage dans la misère", a mis en garde M. Malherbe.
Opinant différemment, le député Acluche Louis Jeune, s’est déclaré convaincu que les 200 gourdes ne poseront aucun problème susceptible de provoquer des revocations massives, comme veulent le faire comprendre, a-t-il dit, le président René Préval et le secteur patronal.
Il y a des secteurs qui cherchent à nous faire perdre toute notre crédibilité en tentant de nous pousser à nous renier, s'est indigné M. Louis Jeune, reaffirmant son intention de voter une nouvelle fois en faveur d'un salaire minimum à 200 gourdes.
Le rapport de la commission affaires sociales de la chambre basse qui devrait être soumis pour vote ce mercredi à l'asssemblée des députés, pourrait ne pas être totalement à point, en raison de problèmes familiaux confrontés par la présidente de la commission.
Sasaye- Super Star
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Opinion politique : Indépendance totale
Loisirs : Arts et Musique, Pale Ayisien
Date d'inscription : 02/03/2007
Feuille de personnage
Jeu de rôle: Maestro
Re: Le salaire minimum continue de diviser au parlement et ailleurs
<table border=0 cellSpacing=0 cellPadding=0><tr><td class=fc_noir vAlign=top><table border=0 cellSpacing=0 cellPadding=0 width=564 bgColor=#feffd1><tr><td class=c11_gris vAlign=top width=324>Narduzzi - Gaggi La fin des classes moyennes Liana Levi - 12 octobre 2006 </TD> <td vAlign=top align=right> </TD></TR></TABLE> Description de l'éditeur : Après avoir été pendant deux siècles l’élément porteur de la société occidentale, les classes moyennes sont sur le point de s’éclipser. Les changements imposés par la globalisation semblent avoir raison d’elles. Ce qui les attend ? Consommer au sein de la révolution « low cost » aussi bien l’habillement, que l’habitat, le tourisme, le téléphone, les transports. Et bientôt les services publics. Inaptes à se plier aux mutations, elles s’interrogent avec angoisse sur leur avenir. Cet essai éclaire de façon inédite l’un des points primordiaux de la crise que tous les pays occidentaux traversent aujourd’hui et pose la question fondamentale : comment sera la société de demain privée de classes moyennes ? </TD></TR></TABLE> |
kakakok- Super Star
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Opinion politique : Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites,mais je défendrai jusqu’à la mort votre droit à le dire"
Loisirs : DEMOCRATE DU CENTRE GAUCHE !
Date d'inscription : 27/08/2006
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Jeu de rôle: Vision politique , NOE DES TEMPS MODERNES !
Re: Le salaire minimum continue de diviser au parlement et ailleurs
Louis Chauvel Les classes moyennes à la dérive Seuil - octobre 2006 |
Privilégiées ou condamnées ? Les classes moyennes ne connaissent certes pas les difficultés des périphéries les plus déshéritées (pauvreté, exclusion, relégation...). Mais leur apparent confort dissimule un cruel déficit d'avenir. Tandis que nous nous inquiétons de ses marges, c'est peut-être en son coeur que la société française se désagrège. Où est ce coeur ? Il ne s'agit pas seulement d'un « juste milieu » entre l'élite et les classes populaires. La centralité des classes moyennes tient d'abord à l'imaginaire de progrès et d'émancipation qui leur fut longtemps associé et dont témoignent les grandes conquêtes sociétales des années 1950-1970 : propriété du logement, départs en vacances, acquisition d'une automobile, contraception, accès à l'université, etc. C'est cet imaginaire qui s'effondre aujourd'hui. De même qu'elles associèrent les autres à leurs succès, les classes moyennes les entraînent à présent dans leurs difficultés. Leur dérive pourrait devenir demain le cauchemar de tous.
- 4e de couverture-
kakakok- Super Star
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Re: Le salaire minimum continue de diviser au parlement et ailleurs
Louis Chauvel Les classes moyennes à la dérive Seuil - octobre 2006 |
Privilégiées ou condamnées ? Les classes moyennes ne connaissent certes pas les difficultés des périphéries les plus déshéritées (pauvreté, exclusion, relégation...). Mais leur apparent confort dissimule un cruel déficit d'avenir. Tandis que nous nous inquiétons de ses marges, c'est peut-être en son coeur que la société française se désagrège. Où est ce coeur ? Il ne s'agit pas seulement d'un « juste milieu » entre l'élite et les classes populaires. La centralité des classes moyennes tient d'abord à l'imaginaire de progrès et d'émancipation qui leur fut longtemps associé et dont témoignent les grandes conquêtes sociétales des années 1950-1970 : propriété du logement, départs en vacances, acquisition d'une automobile, contraception, accès à l'université, etc. C'est cet imaginaire qui s'effondre aujourd'hui. De même qu'elles associèrent les autres à leurs succès, les classes moyennes les entraînent à présent dans leurs difficultés. Leur dérive pourrait devenir demain le cauchemar de tous.
- 4e de couverture-
kakakok- Super Star
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Jeu de rôle: Vision politique , NOE DES TEMPS MODERNES !
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