RETRO MIZIK

Invité Mar 4 Aoû 2009 - 13:05

Rappel du premier message :

EN 2004 YO SANBA PWAN LA WI POU YO CHANJE YUN NASYON CHANJE MANTALITE.....

Invité Ven 8 Jan 2010 - 11:46

Paroles Frédéric François

Parole de chanson Viens te perdre dans mes bras

Vairia Vairia Vairia Vaeree
Viens je ne te dirai pas "Je t'aime"
C'est tellement dit dans les poèmes
Viens, je ne suis pas un personnage
D'une comédie musicale
Vairia, Vaeree
Viens te perdre dans mes bras
Viens te perdre dans mes bras,
Et surtout ne pense plus à rien,
Quand tu te réveilleras,
Le passé sera déjà bien loin,
Viens te perdre dans mes bras,
Toi qui vient comme un soleil d'été,
De te sentir toute à moi,
Cette nuit je reste là,
Cette nuit je veux t'aimer.
Je t'aime, je t'aime,
Je suis émerveillé, tu as su me plaire,
Je t'aime, je t'aime,
Laisse moi partager ton univers,
Et je saurais comprendre tes yeux d'enfant,
Oui je saurais leur rendre le printemps.
Viens te perdre dans mes bras,
Je suis venu pour te faire oublier,
Ces jeux tristes quelques fois,
Qui n'avait personne à qui parler,
Viens te perdre dans mes bras,
C'est ma vie que je voudrais t'offrir,
Non surtout ne t'en vas pas,
Même une larme de joie,
Je préfère te voir sourire.
Je t'aime, je t'aime,
Je suis émerveillé, tu as su me plaire,
Je t'aime, je t'aime,
Laisse moi partager ton univers,
Et je saurais comprendre tes yeux d'enfant,
Oui je saurais leur rendre le printemps.
Viens te perdre dans mes bras,
La la la la la la la, la la,
La la la la la la la
La la la la la la la, la la,
Viens te perdre dans mes bras,
Viens poser tes lèvres sur mon cœur,
Notre amour triomphera,
Quand nous serons toi et moi,
Seul avec notre bonheur.
La la la la la la,...

Invité Ven 8 Jan 2010 - 11:54

Paroles Frédéric François

Parole de chanson Je t'aime à l'italienne

Oh oh oh oh je t'aime à l'italienne
Oh oh oh oh je t'aime à l'italienne

J'ai au fond du cœur une drôle de chanson sicilienne
Que tu sais par cœur car ma vie ressemble à la tienne
Je t'aime plus fort que les volcans de l'Italie
Quand résonne encore les bruits de verres de Chianti

{Refrain:}
Oh oh oh oh je t'aime à l'italienne
Oh oh oh oh je t'aime à l'italienne
J'ai le cœur qui bouge, je parle avec mes mains
Et je vois tout rouge si tu parles à quelqu'un
Quand le vent du Sud me joue la musica
Je chante avec lui, rien que pour toi

Oh oh oh oh je t'aime à l'italienne
Oh oh oh oh je t'aime à l'italienne
Notre histoire d'amour ressemble à la dolchevita,
J'ai loué pour un soir tous les violons de la Scala
Il y a sur tes lèvres un peu de Fellini Roma,
Et moi dans mes rêves, j'ai des envies de vendetta

Oh oh oh oh je t'aime à l'italienne
Oh oh oh oh je t'aime à l'italienne
Sur un grand bateau parti pour l'Amérique,
Un barracato faisait de la musique
J'ai gardé de lui l'amour des barcarolles,
Et le souvenir de ses paroles,

Oh oh oh oh je t'aime à l'italienne
Oh oh oh oh je t'aime à l'italienne
Oh oh oh oh je t'aime à l'italienne
Oh oh oh oh je t'aime à l'italienne
J'ai le cœur qui bouge, je parle avec mes mains
Et je vois tout rouge si tu parles à quelqu'un
Je te veux jalouse, plus longtemps qu?un refrain
L?amour italien te va si bien

Invité Ven 8 Jan 2010 - 12:07

Paroles Frédéric François

Parole de chanson Une nuit ne suffit pas

Nous deux,
C'est une histoire d'amoureux,
Qui doivent se cacher pour s'aimer,
Un soir,
Un rendez-vous quelque part,
Dans un endriot discret,
On s'embrasse,
Et puis, on dine face à face,
Au petit jour,
Après l'amour, tu pars,
Me laissant seul dans le noir,
Avec mes rêves fous.
Une nuit ne suffit pas,
Pour t'aimer comme j'en ai envie,
J'aimerais faire avec toi,
Des coups de cœur, des coups de folie,
Une nuit ne suffit pas,
Pour t'aimer comme je l'ai choisi,
Je veux vivre avec toi,
Toutes les choses de la vie.
Tu viens,
En apportant dans tes mains,
Tout le soleil qu'il y a ailleurs,
Ici,
Quand tu es loin, tout est gris,
J'ai des nuages au cœur,
Un jour,
On ira fêter l'amour,
Pour ne plus jamais se quitter,
Et moi,
Je serai si fier de toi,
De vivre à tes côtés.
Une nuit ne suffit pas,
Pour t'aimer comme j'en ai envie,
J'aimerais faire avec toi,
Des coups de cœur, des coups de folie,
Une nuit ne suffit pas,
Pour t'aimer comme je l'ai choisi,
Je veux vivre avec toi,
Toutes les choses de la vie.
Nous deux,
C'est une histoire d'amoureux,
Qui doivent se cacher pour s'aimer,
Nous deux,
C'est une histoire d'amoureux,
Qui finira jamais.
Une nuit ne suffit pas,
Pour t'aimer comme j'en ai envie,
J'aimerais faire avec toi,
Des coups de cœur, des coups de folie,
Une nuit ne suffit pas,
Pour t'aimer comme je l'ai choisi,
Je veux vivre avec toi,
Toutes les choses de la vie.
Une nuit ne suffit pas,
Pour t'aimer comme j'en ai envie,
J'aimerais faire avec toi,
Des coups de cœur, des coups de folie,
Une nuit ne suffit pas...

Invité Ven 8 Jan 2010 - 12:10

Paroles Frédéric François

Parole de chanson Je n'ai jamais aime comme je t'aime

La la la la la la la
La la la la la la la la
La la la la la la la
La la la la la la la

Non je n'ai jamais aimé avec tant d'amour dans mon coeur
Tu m'as donné le bonheur contr' un peu de liberté

{Refrain:}
Je n'ai jamais aimé comme je t'aime aujourd'hui
Je n'ai jamais aimé
Aussi vrai de ma vie

Avec toi c'est plus pareil Je ne quitte plus la maison
Il y a toujours le soleil et ton sourire à l'horizon

{au Refrain}

Chaque nuit je viens vers toi oublier les mauvais jours
Car c'est un vrai nid d'amour que tu as construit pour moi

Invité Ven 8 Jan 2010 - 12:24

Frédéric François : Biographie
Les mauvaises langues diront que Frédéric François est exclusivement un chanteur pour femmes démodé. Il faut pourtant lui reconnaître une étonnante longévité qui n’a d’égale que sa manière bien à lui de charmer, par sa voix, par ses chansons ou par son sourire.

De la catégorie des crooners « à la française » (Frank Michael, Hervé Vilard, Daniel Guichard, …) Frédéric François n’en reste pas moins un artiste très apprécié dans le monde entier.

De la Sicile à Liège
Comme nombre de ses compatriotes d’origine italienne, le petit Francesco Barracatto trouvera en Belgique une vraie terre d’adoption (Adamo ou Claude Barzotti suivront le même chemin).

Né en Sicile, près de Palerme, le 3 juin 1950, il quitte très tôt son pays pour la région de Liège, pays minier qui offre à de nombreux immigrés travail et accueil. S’il n’a qu’un an et demi lors de son exil, Francesco restera très attaché à sa terre natale et ne cessera à travers son art de lui rendre hommage (comme lorsqu’il interprète ‘Les plus belles chansons napolitaines’ ou ‘Les plus belles chansons italiennes’).

Toute la famille Barracatto quitte donc le petit village de Lercarra Fridi le 5 octobre 1951 pour le plat pays. Son père Peppino avait précédé sa femme Nina et leurs deux garçons, Rosario et Francesco, et travaillait dur dans une mine de charbon. Six autres enfants verront le jour.

De cette vie difficile, le petit immigré gardera pourtant un merveilleux souvenir. Son père anime la maison familiale de sa voix forte et donne à son fils le goût du chant et de la musique. A l’âge de douze ans, Frédéric-Francesco s’achète une guitare et suit les traces de son père, chanteur à l’occasion dans les cabarets, le soir après la mine.

Après de nombreuses tentatives de groupe, toutes aussi rapides les unes que les autres, le jeune homme obtient la permission de s’inscrire au Conservatoire de Musique. Il y joue du violon, et y apprend le chant. Extrêmement doué, le succès ne se fait pas attendre.

Remarqué par Lucien Morisse, producteur à Europe 1, il remporte de nombreux prix dont celui du Microsillon d’Argent du Festival de Châtelet en Belgique. Puis il enregistre ses premiers 45 tours, tout d’abord sous le nom de François Barra puis sous le nom définitif de Frédéric François.

Chansons d’amour
Nous sommes en 1970 et le jeune homme croit dur comme fer en son étoile. Je n’ai jamais aimé comme je t’aime est son premier succès en 1971 et scelle le style Frédéric François: des chansons d’amour, interprétées d’une voix chaude et colorée (la mode des chanteurs méditerranéens bat son plein).

Très vite, il est célébré dans toute la France. Chacun de ses disques conquiert un public largement féminin et lui permet de s’exporter facilement. Dès lors, les frontières ne lui résistent plus. Ses tournées le mènent au Canada, en Suisse, en Belgique où l’on reprend en choeur ses plus grands tubes: Mon coeur te dit je t’aime, Chicago, Je t’aime à l’Italienne, Fou d’elle, On s’embrasse on oublie tout, …

Ses plus beaux spectacles ont lieu sur la mythique scène de l’Olympia, qu’il foule à de nombreuses reprises et dont sont issus certains de ses albums « live » (dont les vidéos Olympia 94, 96 ou 98).

Etrangement, Frédéric François n’est pas un chanteur à la mode, mais appartient à toutes les générations depuis plus de trente ans. Une éternelle reconnaissance due au charisme et à la simplicité de ce père de quatre enfants (Gloria, Vincent, Anthony et Victoria) qui, en dehors des studios ou des médias, reste un homme ouvert, chaleureux et honnête. Fidèle aussi, tant à ses origines italiennes qu’à ses convictions – il chantera même devant le Pape en 1996.

En toute simplicité, ce crooner italo-belge collectionne les disques d’Or et de Platine, sans jamais sombrer dans l’outrance. Chanteur pour femmes, sans doute, ces femmes qui sont son plus fidèle public et à qui il rend, à travers sa carrière, un fabuleux hommage.

Maximo Ven 8 Jan 2010 - 15:09

Maximo Ven 8 Jan 2010 - 16:16

ginou Sam 9 Jan 2010 - 16:30

Pour un flirt avec toi
je ferais n'importe quoi
Pour un flirt avec toi
je serais pr�t � tout
pour un simple rendez vous
Pour un flirt avec toi

pour un petit tour
un petit jour
entre tes bras
pour un petit tour
au petit jour
entre tes draps

la la la la la la
la la la
la la la la la la
la la la
la la la la la la
la la la la

je pourrais tout quitter
quitte a faire d�mod�
Pour un flirt avec toi
je pourrais me damner
pour un seul baiser vol�
Pour un flirt avec toi

pour un petit tour
un petit jour
entre tes bras
pour un petit tour
au petit jour
entre tes draps

la la la la la la
la la la
la la la la la la
la la la
la la la la la la
la la la la
je ferais l'amoureux
pour te caliner un peu
Pour un flirt avec toi
je ferais des folies
pour arriver dans ton lit
Pour un flirt avec toi

pour un petit tour
un petit jour
entre tes bras
pour un petit tour
au petit jour
entre tes draps

la la la la la la
la la la
la la la la la la
la la la
la la la la la la
la la la
la la la la la la
la la la
la la la la la la
la la la
la la la la la la
la la la la
la la la la la la la

Maximo Sam 9 Jan 2010 - 16:52

Invité Sam 9 Jan 2010 - 19:19

Quand on veut,tout est possible .Seule notre imagination peut nous arreter en chemin.

WIFOUT Sam 9 Jan 2010 - 22:40

RETRO SA PWAL BY AMPIL ZEZISMAN AMPIL BON KOK PWAL KASE BEK YO
FILE ZEPON NOU BIEN POU NOU PA PESDI PARI A.GUINYEN YUN KOK LAN GAGES A LI POKO JAM PESDI YUN PARI NON.
MAP TAN FIN PARI A POU MWEN WES

RETRO MIZIK - Page 14 Lol

WIFOUT Sam 9 Jan 2010 - 22:50

Maximo Sam 9 Jan 2010 - 23:14

Maximo Dim 10 Jan 2010 - 9:19

Maximo Dim 10 Jan 2010 - 9:20

Maximo Dim 10 Jan 2010 - 20:25

Maximo Dim 10 Jan 2010 - 21:26

Invité Lun 11 Jan 2010 - 10:18

Ami Maximo,
Je sais qu’il en est de même pour toi qu’on voulut obliger à nettoyer la neige qui bloquait le trafic du parking du super marché A&P ou tu travaillais le jour de la veillée de Noel !Et la neige tombait par –dessus le marché afin de rendre la tache plus difficile .C’était le monde à l’ envers, n’est-ce pas ? Quel sacrilège pour un étudiant haitien étranger a ces coutumes ! Tu pris la poudre d'escampette sans dire un mot .Et pourtant, on s’y fait. On apprend à faire à Rome comme les Romains.

Toto Necessite et Rodrigue Milien sont lea artistes dont la guitare et la voix chaude me rappellent toujours ma solitude en pays étranger .Les chansons combinees comblaient autrefois mon sens aigu et développé de l'aliénation . Toto avait, avec le rythme de ses courtes ballades, la faculté de me bousculer gentiment pour me remettre a la mémoire les images et les mirages du pays symbolique qui circulaient au fond de ma conscience et dans ma tète.

Assis dans un grand fauteuil, un verre de cognac a la main, un regard de témoin gêné et involontaire posé distraitement sur la fenêtre qui sue sous le froid du dehors et de la chaleur de la cuisine, j'écouterais paisiblement la musique qui s'échapperait des hauts parleurs du stéréo .Les refrains de toutes les chansons d’Haiti ne me quittaient pas. Elles provoquaient en moi comme aujourd'hui le retour de ces vifs moments de joie passée et innocente qui ne reviendront plus.

Voila de quoi faire monter aux yeux d'un jeune homme qui avait mal de son pays des buées irrépressibles de tristesse et de mélancolie lancinante .Et avec le temps, ca n'a pas bougé .Mon âme et mon cœur ont grandi mais les émotions que je ressens pour mon pays n’ont point changé .

Maximo Lun 11 Jan 2010 - 16:22

Cher Ami Deza,

Tu sais bien que toi et moi nous sommes passés à la même école et on a appris ce qu’est la vie sur un terrain dur et cahoteux, la nostalgie nous a poursuivi pendant longtemps, et que de pleurs n’avions nous versés en pensant à notre Haïti chéri surtout quand le froid pénétrait nos os non habitués à ce climat. Les plages d’Haïti et les amies qu’on a du laisser habitaient tous nos rêves, et nous deux nous nous ressemblons beaucoup et partageons les mêmes idées, et nos femmes ont peine à croire que nous ne nous connaissions pas depuis notre tendre enfance.

Moi après mes études je suis retourné en Haïti, et toi tu es resté à New York avec tes rêves et tes idées révolutionnaires des jeunes de l’époque qui voulaient changer le monde. Ma nostalgie est passé et toi tu l’es toujours, rêvant d’un pays que tu avais laissé mais qui n’existe plus, car lavalas sur son passage a emporté tous tes rêves et tu ne reverras jamais plus les images gravés dans ta mémoire. On devra continuer à écouter Rodrigue Milien, Toto Nécessité, Toto Bissainthe, Guy Durosier et tant d’autres encore pour nous rappeler du temps ou Haïti était vraiment la Perles des Antilles, et que Haïti était synonyme de pays et non d’un « kote » qu’on ne peut même plus appeler pays. Merci Deza pour m’avoir rappelé ses moments d’une jeunesse passée qui ne reviendra plus.

Invité Lun 11 Jan 2010 - 17:15

Ami Maximo,
C'est tout un plaisir de voyager dans le temps avec toi et redécouvrir toutes les beautés de notre ile .Je veux parler des paysages merveilleux ,des filles ,de nos petites rues , des vieilles voitures qui tombent en panne a chaque coin de rue , de Boutilliers le soir quand Port-au-Prince s'éclaire avant d'aller se coucher. Je revois Kenscoff, Laboule, Fermatre ...brrr le Bicentenaire, Carrefour, Mariani, Cote-plage.

Ah .Rêves de jeunesse adolescente ! Ces endroits de la route du Sud dont nous ne parlions enfants qu'a voix basse en imaginant toutes les sorcelleries de la nature humaine qui s'éveillaient le soir dans leur grande cour illuminée d'ampoules multicolores .Et Nos pères avaient une seule explication quand on leur demandait ce que c'étaient ces boites de nuit qui longeaient la route et défilaient lentement sur le passage des voitures ;des restaurants ,disaient-ils comme toute réponse .Menteurs de papa !Nos amis nous avaient deja dit avec force épices et récits pimentes du libido ce qui se faisait a l''interieur .

Oui .Tout ca avait pris fin un jour .Et mon premier Noel me surprit à pleurer derrière la vitre de ma chambre car ma mémoire me jouait des tours .Je me rappelais avec émotion des espiègleries d'antan ou gosses nous nous amusions à faire éclater les ballons de toutes les couleurs qui ornaient l'entrée des magasins. Qui peut oublier la Grand-rue qui fourmillait de gens et de bruits, de l'odeur des "pates " Maximilien et des délices de chez Peters! On discutait si oui ou non il fallait s'arrêter à la Boulangerie la Poste ou à celle de Saint-Marc .On marchait sans but, on riait, on se taquinait, on était heureux et on était bien jeune.

Toi tu es retourné en Haïti et moi j'y suis resté .Je sentais au fond de moi que ce pays avait quelque chose à m'offrir qui serait utile a l'avenir de mon pays. Quand j'y suis allé pour la première fois le choc a ete violent .Je n'étais plus cet enfant chéri de mon pays qui regardait avec tristesse l'avion de la Pan AM decoller avec rage en emportant son corps alors que son âme s'était arcbouté deseperement a un petit buisson de l'aéroport pour refuser cet exil volontaire qui devait changer son destin .La raison de l'esprit et la crainte des parents d'un envrironement ou les droits citoyens se deterioraient a vue d'oeil le reclamaient .
Je n'étais pas cet enfant prodigue très différent de l'original qui revenait a la maison après avoir fait fructifier son avoir .J'étais un 'diaspora ".Un étranger dans le limbo de la citoyennete parmi les siens qui avait eu le courage de revenir pour mettre la main a la pâte ,agir et créer ...

Il faut bien que je me reveille de mes illusions .Et poutant,pourtant ,je n'aime que toi Haiti .

WIFOUT Lun 11 Jan 2010 - 17:58

Don Diègue
Ô rage ! ô désespoir ! ô viellesse ennemie !
N'ai-je donc tant vécu que pour cette infamie ?
Et ne suis-je blanchi dans les travaux guerriers
Que pour voir en un jour flétrir tant de lauriers ?
Mon bras qu'avec respect tout Haiti admire,
Mon bras, qui tant de fois a sauvé cet empire,
Tant de fois affermi le trône de son roi,
Trahit donc ma querelle, et ne fait rien pour moi ?
Ô cruel souvenir de ma gloire passée !
Oeuvre de tant de jours en un jour effacée !
Nouvelle dignité fatale à mon bonheur !
Précipice élevé d'où tombe mon honneur !
Faut-il de votre éclat voir triompher Le Comte,
Et mourir sans vengeance, ou vivre dans la honte ?
Comte, sois de mon prince à présent gouverneur ;
Ce haut rang n'admet point un homme sans honneur ;
Et ton jaloux orgueil par cet affront insigne
Malgré le choix du roi, m'en a su rendre indigne.
Et toi, de mes exploits glorieux instrument,
Mais d'un corps tout de glace inutile ornement,
Fer, jadis tant à craindre, et qui, dans cette offense,
M'as servi de parade, et non pas de défense,
Va, quitte désormais le derniers des humains,
Passe, pour me venger, en de meilleurs mains

Le Cid de Pierre Corneille

Maximo Lun 11 Jan 2010 - 18:46

Maximo Lun 11 Jan 2010 - 18:51

Zanmi Deza mizik sa fè'm sonje'w anpil, ou tout tan ap plenyen pou sik.

Maximo Lun 11 Jan 2010 - 19:48

Invité Lun 11 Jan 2010 - 19:50

ki moun ki pa sonje mizik sa

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