Rumeur sur une eventuelle mort de Preval?
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Rumeur sur une eventuelle mort de Preval?
Depwi yeswa, palais national fe soti youn rumeur ke Preval mouri! Nou di se palais national ki alabaz depi moman kote youn mashinn ofisyel vinn resevwa prezidan depi nan AA. Fe tout moun chita, anro pa motne anba pa desann epi Preval pa pase nan salon jonn kom dabitid, li pa fe deklarasyon kom dabitid, savle di se kadav li ki desann avyon na. Mezanmi telefonn mwen bouyi yeswa, jiska matin an. Mwen di tout moun ke mwen pale ak sous mwen nan palais national yo di ke Preval pote li tre byen, yo pa tande bagay konsa! Jis matin an mwen oblije di tout piblik la ke Preval amwens de youn denye nouvel pote li tre byen. Poukisa youn bri konsa? Nan avantaj kiles li ye? Eske PReval an perte de vitesse depi apre let Aristid la ta vle bouche efe let la pou fe yo vinn pale de li menm pa pitye!
dilibon- Super Star
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Nombre de messages : 2205
Localisation : Haiti
Opinion politique : Entrepreneur
Loisirs : Plages
Date d'inscription : 17/05/2009
Feuille de personnage
Jeu de rôle: Contributeur
Re: Rumeur sur une eventuelle mort de Preval?
DÉLIQUESCENCE
Quand l’humain s’enfourche de sa déviance, sa délinquance
La société au poids du choc sombre dans la déliquescence
Et la famille déshumanisée devient un lupanar un lieu de bordel
Où on déloge les proches à la rue pour aménager l’animal au foyer
Fidèle accrochée au culte de la vitesse et de la performance
Pour cause d’éjaculation précoce et manque de puissance virile
Fâchée au plus point la femme postmoderne éjecte son chum à la rue
destiné au recyclage en criant : c’est une vielle pourriture!.
Le recycleur rétorque cette pourriture est irrécupérable
C’est mieux d’envoyer ce déchet directement au compostage
En cultivant l’insulte et l’injure par nos jurons cruels
On dirait que l’animosité chasse de notre âme toute humanité
Où en tout temps, tout lieu l’animosité nous investit
de la cruauté du tigre et de la force du lion au mépris du mouton
parlant le langage du renard à la vitesse du guépard de la jungle
Dans cette guerre intérieure aux jurons cruels d’insultes injurieuses
L’animosité nous domine au détriment de tout sentiment d’humanité
Constatant l’opprobre je me demande avec consternation
Où es notre sens de respect Où est là notre sens du droit
Notre humour cruel d’injure dépasse notre sens du droit
Nous mettons à nus nos la violence de nos affects et émotions
Dans leurs états les plus bruts ancrés du fond intérieur de l’âme
Dans ce monde de perdition d’inclémence, de cynisme, de sadisme
Au lieu de la clé du paradis, l’homme donne à l’homme la clé de l’abîme
On condamne le ciel pour se dérober au regard du soleil qui l’oppresse
En réfugiant sous des couvertures pour se cacher dans l’underground
Où on ne veut voir ni les gens ni la lumière ni la boussole ni le volant
Un monde qui nie la puanteur des égouts, des taudis infestés de vermines
Qui critique les gens qui refusent d’admettre la laideur, la saleté, la morbidité
Un monde accro à une vision idéologique plus crue, plus charnelle fugace
L’homme n’est ni ange ni bête mais celui qui veut faire l’ange fait la bête
Il existe dans l’univers, la matière, la flore, la faune, l’humanité et la divinité
L’humanité est la seule espèce incapable de définir et de reconnaître
Tantôt l’homme veut se ressembler à l’animal soit au lion de la jungle
Il prend donc l’envie folle de marcher à quatre pattes ou de ruer
Tantôt l’homme veut se ressembler à la divinité au monde céleste
Alors sans avoir d’ailes d’oiseau il voler comme les anges du ciel
Tantôt l’homme veut se ressembler à la machine, un engin artificiel
Il veut performer comme un robot sans se soucier de l’usure corporelle
Des gens qui s’exilent d’eux-mêmes pour se réfugier dans une autre espèce
Des gens qui s’aliènent pour incarner un autre être d’une autre espèce
Des gens qui se délogent d’eux-mêmes pour aller habiter une autre espèce
Des gens absents d’eux-mêmes mais présents dans une autre espèce
Des gens vidés de toute raison, inconscients d’eux-mêmes de toute logique
Vivant dans la déraison, dans l’absurdité, l’aberration, monstrueuse bêtise
Nous mettons à nus nos la violence de nos affects et émotions
Dans leurs états les plus bruts ancrés du fond intérieur de l’âme
21 novembre 2009
LE BATEAU HUMAIN
Parce que nous sommes affamés nous devenons des excités
Qui revendiquent leur droit dans l’arbitraire en dehors de la règle
Parce que nous des profiteurs accrochés à nos jouissance matérielles
Nous n’avons pas les oreilles pour entendre le cri des excités affamés
Au lieu d’écoute c’est la répression pour agitateurs de violence
Nous sommes des Aveugles de la faim, des ivrognes de la jouissance
Nous voici comme vieux bateau soumis aux assauts de l’ouragan
Aux mille balances sans marin, sans boussole juste au gré du vent
Si la chance sourit, la fatalité portera le sceau du bonheur
Le bateau de l’autre côté de la rive arrivera à bon port
Mais est-ce une raison de vouloir mettre le bordel dans la maison
Si nous renversons tout voire le lit où nous allons dormir la nuit
Mais est-ce une raison de jouir au sommeil dans les bras de Morphée
Où le moindre bruit qui nous réveille est cause de répression
L’anarchie comme la dictature ne garantissent point le destin humain
À nous de ne pas sombrer dans le extrêmes, de l’abus de l’excès
La vie humaine est régie par la règle de la modération, pondération
De la mesure de la balance, de l’équilibre, de la droiture
qui conduit à l’harmonie des êtres inspirés de la sagesse
20 novembre 2009
16 novembre 2009
Edner Saint Amour
Quand l’humain s’enfourche de sa déviance, sa délinquance
La société au poids du choc sombre dans la déliquescence
Et la famille déshumanisée devient un lupanar un lieu de bordel
Où on déloge les proches à la rue pour aménager l’animal au foyer
Fidèle accrochée au culte de la vitesse et de la performance
Pour cause d’éjaculation précoce et manque de puissance virile
Fâchée au plus point la femme postmoderne éjecte son chum à la rue
destiné au recyclage en criant : c’est une vielle pourriture!.
Le recycleur rétorque cette pourriture est irrécupérable
C’est mieux d’envoyer ce déchet directement au compostage
En cultivant l’insulte et l’injure par nos jurons cruels
On dirait que l’animosité chasse de notre âme toute humanité
Où en tout temps, tout lieu l’animosité nous investit
de la cruauté du tigre et de la force du lion au mépris du mouton
parlant le langage du renard à la vitesse du guépard de la jungle
Dans cette guerre intérieure aux jurons cruels d’insultes injurieuses
L’animosité nous domine au détriment de tout sentiment d’humanité
Constatant l’opprobre je me demande avec consternation
Où es notre sens de respect Où est là notre sens du droit
Notre humour cruel d’injure dépasse notre sens du droit
Nous mettons à nus nos la violence de nos affects et émotions
Dans leurs états les plus bruts ancrés du fond intérieur de l’âme
Dans ce monde de perdition d’inclémence, de cynisme, de sadisme
Au lieu de la clé du paradis, l’homme donne à l’homme la clé de l’abîme
On condamne le ciel pour se dérober au regard du soleil qui l’oppresse
En réfugiant sous des couvertures pour se cacher dans l’underground
Où on ne veut voir ni les gens ni la lumière ni la boussole ni le volant
Un monde qui nie la puanteur des égouts, des taudis infestés de vermines
Qui critique les gens qui refusent d’admettre la laideur, la saleté, la morbidité
Un monde accro à une vision idéologique plus crue, plus charnelle fugace
L’homme n’est ni ange ni bête mais celui qui veut faire l’ange fait la bête
Il existe dans l’univers, la matière, la flore, la faune, l’humanité et la divinité
L’humanité est la seule espèce incapable de définir et de reconnaître
Tantôt l’homme veut se ressembler à l’animal soit au lion de la jungle
Il prend donc l’envie folle de marcher à quatre pattes ou de ruer
Tantôt l’homme veut se ressembler à la divinité au monde céleste
Alors sans avoir d’ailes d’oiseau il voler comme les anges du ciel
Tantôt l’homme veut se ressembler à la machine, un engin artificiel
Il veut performer comme un robot sans se soucier de l’usure corporelle
Des gens qui s’exilent d’eux-mêmes pour se réfugier dans une autre espèce
Des gens qui s’aliènent pour incarner un autre être d’une autre espèce
Des gens qui se délogent d’eux-mêmes pour aller habiter une autre espèce
Des gens absents d’eux-mêmes mais présents dans une autre espèce
Des gens vidés de toute raison, inconscients d’eux-mêmes de toute logique
Vivant dans la déraison, dans l’absurdité, l’aberration, monstrueuse bêtise
Nous mettons à nus nos la violence de nos affects et émotions
Dans leurs états les plus bruts ancrés du fond intérieur de l’âme
21 novembre 2009
LE BATEAU HUMAIN
Parce que nous sommes affamés nous devenons des excités
Qui revendiquent leur droit dans l’arbitraire en dehors de la règle
Parce que nous des profiteurs accrochés à nos jouissance matérielles
Nous n’avons pas les oreilles pour entendre le cri des excités affamés
Au lieu d’écoute c’est la répression pour agitateurs de violence
Nous sommes des Aveugles de la faim, des ivrognes de la jouissance
Nous voici comme vieux bateau soumis aux assauts de l’ouragan
Aux mille balances sans marin, sans boussole juste au gré du vent
Si la chance sourit, la fatalité portera le sceau du bonheur
Le bateau de l’autre côté de la rive arrivera à bon port
Mais est-ce une raison de vouloir mettre le bordel dans la maison
Si nous renversons tout voire le lit où nous allons dormir la nuit
Mais est-ce une raison de jouir au sommeil dans les bras de Morphée
Où le moindre bruit qui nous réveille est cause de répression
L’anarchie comme la dictature ne garantissent point le destin humain
À nous de ne pas sombrer dans le extrêmes, de l’abus de l’excès
La vie humaine est régie par la règle de la modération, pondération
De la mesure de la balance, de l’équilibre, de la droiture
qui conduit à l’harmonie des êtres inspirés de la sagesse
20 novembre 2009
16 novembre 2009
Edner Saint Amour
dilibon- Super Star
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Nombre de messages : 2205
Localisation : Haiti
Opinion politique : Entrepreneur
Loisirs : Plages
Date d'inscription : 17/05/2009
Feuille de personnage
Jeu de rôle: Contributeur
Re: Rumeur sur une eventuelle mort de Preval?
Eske PReval an perte de vitesse depi apre let Aristid la ta vle bouche efe let la pou fe yo vinn pale de li menm pa pitye!
Dilibon
Le parti d'Aristide ne va nulle part. C'est un parti vide et Préval n'a pas à avoir peur de Fanmi lavalas. Ils ne sont pas préparés pour aller aux élections.
Comment voulez-vous qu'un parti politique ,qui a été volontairement mis en quarantaine pendant des années par son chef, puisse comme par magie aller en élection et gagner. Bien sûr , ils pourront gagner quelques circoncriptions de la metropole PAP à cause de cité soleil et cela s'arrêtera la`.
Marc H- Super Star
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Localisation : Quebec
Opinion politique : Démocrate
Loisirs : soccer
Date d'inscription : 28/08/2006
Feuille de personnage
Jeu de rôle: Le voyeur
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