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LA DÉMOCRATIE AU PIÈGE DU POPULISME.

2 participants

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LA DÉMOCRATIE AU PIÈGE DU POPULISME. Empty LA DÉMOCRATIE AU PIÈGE DU POPULISME.

Message  QUASAR Ven 31 Aoû 2007 - 3:39

LA DÉMOCRATIE AU PIÈGE DU POPULISME.


Par Camille Loty Malebranche

Tout pouvoir populaire n’est
pas nécessairement démocratique ou libérateur. Il en est - tel le populisme, pareil
au pouvoir incinérateur d’Érostrate jouant de l’État avec les allumettes des
faux espoirs nourris aux émotions
volatiles et inflammables des masses - qui constitue une ironie
incendiaire de l’inclusion politique et sociale des majorités et minorités
qu’est la démocratie.


Le populisme n’est jamais que la réaction de quelques opportunistes par le discours
flatteur et la phraséologie flagorneuse envers les bas instincts de secteurs
sociaux populaires en crise, réduits au stade de « foule » compacte
et de horde primitive, qui doivent y trouver l’illusion de la prépondérance « populaire »
sans recul ni lecture sinon que l’immédiat phénoménal des problèmes structurels
ou politiques dont ils ignorent le substratum, les mécanismes et causes
profondes, tout en versant dans la désignation de boucs émissaires selon leur
position de classe. Même de bonne foi, le populisme est donc porté à la dénaturation
en véritable ombre simiesque du concept d’émancipation collective qu’il
galvaude par l’assomption de la frustration et de la colère populaire au stade
de politique. Politique expéditive et d’assouvissement des instincts, privée
néanmoins de conscientisation transformatrice.


L’équilibre social, toutefois, ne souffre pas d’être pris à la lorgnette déformante de
l’extrémisme du discours d’ « amour-passion » des classes
sociales sur elles-mêmes par leurs porte-paroles authentiques ou prétendus! Alors,
de fait, la pire déperdition frappant le débat public et l’action politique qui
en sourd, lui est infligée par ces amours de classes et leur excès
d’appartenance exclusive et exacerbant les clivages de la société. Le populisme
incite à des amours-passions de classe, amours-passions combien réductrices de
la vision sociale, puisqu’elles altèrent l’action possible sur la situation objective
des causes des inégalités et frictions entre classes et dévient naturellement la
sérénité des rapports de force qui devraient par les idées et la mobilisation
intellectuelle, idéelle et active des combattants du changement, interagir avec
la vision en cours au niveau de l’institution sociale et du fonctionnement systémique
de l’État.

Populisme
politique et Populisme culturel


Le populisme connaît de faciès principaux : le culturel et le politique.

Aspect Culturel
Le
populisme culturel se reconnaît par la standardisation des loisirs de masse et
le nivellement des goûts des spectacles consommés, sur fond d’émotion collective
programmée par la structuration bourgeoise du « star système » ou du
sport de masse. Il renvoie à cette concorde fallacieuse entre les classes par
les talk show et les programmes culturels des grandes chaînes de télévisions
mimant l’effacement de la dichotomie caractéristique de toute société
capitaliste entre consommation et pauvreté, abondance et privation. L’idéologie
bourgeoise contemporaine, est celle du nivellement magique et onirique d’une
société d’égalité par l’accès aux programmes des mass media et des loisirs
populaires malgré toutes les inégalités et disparité de condition sévissant
ailleurs entre les classes. L’idéologie bourgeoise se déploie cyniquement et
stratégiquement dans le sens de l’abêtissement culturel des différentes couches
des classes moyennes entraînées dans une féérie petite-bourgeoise, repues
d’idoles créées à leur mesure dans les sports, le cinéma et les talk show!
C’est là, le règne sordide et médiocre du populisme culturel et ses bas
instincts de cirque. La sociodicée bourgeoise, ce discours d’autojustification
de la société, ainsi structurée, verse dans l’hagiographie des hommes à succès
dans la société, pour se faire sympathique envers le peuple, le gavant et le saoulant
du populisme culturel susdit où les stars et le loisir (arts faciles, sport
idéologisé et spectacles populaires) font, selon leur fonction idéologique,
figure illusoire de proximité factice des riches et des puissants avec les
pauvres et les exclus par le tintamarre d’une certaine presse populacière
principalement télévisuelle et surenchérie dans des revues branchées.

ASPECT POLITIQUE

(Populisme politique de
gauche et de droite. Angélisme de gauche et sociodicée de droite.)


De
gauche ou de droite, le populisme est menteur, crapuleusement prometteur et
fondé sur la manipulation émotionnelle des individus par de fausses analyses de
la situation sociale et l’entretien de faux espoirs.

Populisme de
gauche


Le populisme de gauche est essentiellement
une idéologie des pays de la périphérie généralement pauvres ou socialement
désarticulés par une structure étatique dysfonctionnelle et d’exclusion qui
voit la misère engendrer chez de bonnes franges de la population, l’espoir
fébrile de messie politique. Il a comme mode inhérent à son fonctionnement, le
discours frustré révolté et pseudo révolutionnaire où un messianisme grossier
et grotesque du guide généralement issu lui-même des masses défavorisées et
résolument tourné vers une vision platement plébéienne du pouvoir, confère à
cet illuminé le statut d’un « leader charismatique » capable de
drainer les foules et de déclencher une passion sauvage de horde. Sans
leadership réel, le « leader populiste », dans cette occurrence, mise
sur la plèbe qu’il exalte et dont les déferlements émotionnels sont pour lui la
preuve sacrée de sa mission hiératique, une véritable crédibilité et
authenticité transcendante voire prophétique de son statut de chef des masses, seul
légitime et envoyé pour cette œuvre quasi cosmique. Sa venue au pouvoir est une
sorte de parousie politique que seuls les ennemis du « peuple »,
notion qui prime celle de nation chez le populiste, osent mettre en question. Toutefois,
jamais, le chef populiste - car c’est un chef et non un leader vu ses limites
quant à l’axiologie que doit comporter tout leadership - ne peut de fait, aller loin dans ses
promesses, par manque de rigueur et de rationalité politique. Du reste, parmi
les tares du populisme de gauche, nous notons l’allégorie de mirifiques promesses
proclamées en grande pompe en vue de la transformation de la société
« injuste » envers les couches défavorisées des classes moyennes et
des masses qui se retrouvent confondues dans un rapprochement hyperpatriotique
selon une soudaine conscience de ferveur humaniste et civique de ces couches
moyennes à l’égard des miséreux citadins et paysans ou du lumpen prolétariat.
Le creuset idéologique populiste se borne à cela, et se contente ainsi
d’attiser la haine ou le ressentiment des classes entre elles. S’il ressemble
au fascisme par son prophétisme, je cite le caractère sacré de la mission du
chef, l’autre tare du populisme, et qui le différencie du fascisme, hormis l’implication
des classes moyennes qui nourrissent le pouvoir fasciste comme les cohues
populistes, c’est l’absence ou la rareté de grandes compétences dans le giron
de ses meneurs, absence due à un antiélitisme primaire. Car en général le
fascisme, malgré sa répressivité, a un ressort élitiste dans sa vision de la
gouvernance, et pour cela, se dote au moins de compétences issues des strates
aisées des classes moyennes voire de la bourgeoisie. Pour le populisme, il
s’agit toujours de pureté sacrale prophétique et hiératique du nouveau pouvoir
à venir et qui refuse de se servir des ressources humaines dûment connues dans
la société, précisément parce que celles-ci se seraient « souillées »
avec des gouvernements précédents tous suspects d’accointance petite-bourgeoise
ou bourgeoise. La « gauche » populiste, prône l’angélisme des masses,
la vertu parfaite de la populace pour ne pas avoir à leur indiquer le chemin,
pour ne pas être rigoureux dans l’éducation des masses et surtout, pour ne pas
se voir obligé de tenir ses promesses intenables, et, ce qui est crapuleux,
pour ne pas risquer de mécontenter sa base électorale et ses électeurs naturels.
Tout cela, sans néanmoins cesser de défendre subrepticement les intérêts
bourgeois au dédain des vrais intérêts des masses!

Populisme de
droite


Disons-le
ici, le populisme de droite nage
dans le vague et l’opportunisme idéologique. En pays nantis, son terreau de
fécondation et de germination, où les classes moyennes sont souvent
majoritaires et constituent à la foi les secteurs socioprofessionnels et
consommateurs, il argue de protection desdites classes moyennes par la baisse
d’impôts, le financement d’études des jeunes, la protection de la famille et
des femmes, et pointe du doigt les minorités, les marginalisés et les plus
pauvres jugés non productifs et parasitaires. Il se substitue au fascisme qu’il
édulcore et dont il hérite des classes et secteurs d’appui, et comme lui, il
enflamme différentes strates des classes moyennes en surenchérissant leur
abandon par l’État et l’exaltation de leur droit à un meilleur traitement devant
se faire sur la ruine des maigres programmes sociaux tenus au bénéfice des plus
paupérisés et aux dépens des « faveurs » trop généreuses accordées
aux immigrants par la société trop ouverte aux étrangers! Nationalisme sordide
et balourd brandissant les mêmes thèses de l’idéologie bourgeoise de blâme des victimes de l’ordre social, arborant
la haine de l’autre ou tout au moins son mépris et sa culpabilisation! Car la
condition minoritaire des chômeurs, malgré le grand nombre de travailleurs
misérables et mal payés, l’altérité des minorités par rapport aux majorités
généralement considérées comme ethnie dominante et de souche, doivent entraîner
la fermeté de l’État et l’exclusion de ces minorités quelles qu’elles soient au
niveau des droits et privilèges. Enfin, c’est du nationalisme versant dans la
même rhétorique de la sociodicée bourgeoise où l’establishment social a raison
et accuse ceux qu’il veut désigner comme coupable des injustices et
dysfonctionnements sociaux. Cela, les populistes de droite, le font sciemment
tout en ménageant et absolvant pernicieusement les riches compagnies privées responsables
des pires délocalisations, jouissant des plus juteuses subventions de l’État sur
le dos des contributions fiscales de toute la société pour la création
d’emplois sans sécurité, vu la facilité pour leurs filiales subventionnées de
fermer boutique en criant faillite pour s’implanter ailleurs. Sans oublier ici
parfois leur culpabilité industrielle dans les pires pollutions ou désastres
écologiques et l’exploitation honteuse des démunis (enfants et adultes) des
pays où elles s’installent.

Contre le
populisme


Éduquer
le peuple est la voie de résistance à l’opportunisme grivois du populisme quel
qu’il soit. Voie que les secteurs sains de la société civile doivent prendre
avec le peuple. Proposer des méthodes rationnelles d’élucidation des problèmes
sociaux et pointant du doigt les seuls profiteurs de l’ordre
capitaliste que sont les oligarchies ploutocrates qui possèdent tout et
font trimer les non possédants qu’elles bernent par une fausse presse libre
vouée à leur idéologie de riches et leurs intérêts de quasi caste, voilà le
seul moyen d’émancipation réel des majorités manipulées, moyen éducationnel
d’une démocratie rendue à sa vérité. Car l’ignorance du peuple et
l’exploitation éhontée de cette ignorance pue toujours dangereusement la
claustration sociale et la répression des victimes rendus boucs émissaires ciblés
par les populistes et les fascistes, ces fidèles des riches, ces agents zélés
mais inavoués de la ploutocratie féroce, qui dénaturent jusqu’au sens de la
démocratie dont le vœu suprême - celui de tout les vrais démocrates - est la
liberté plénière tant par l’intégration politique qu’économique des majorités
comme des minorités.

CAMILLE
LOTY MALEBRANCHE
NB. MISE
AU POINT SUR L’ARTICLE


Je tiens
à faire une petite mise au point juste pour spécifier qu'en aucun cas, le
populisme n'est révolutionnaire. Domingo Peron, l'un des plus valables, sinon
le plus valable des populistes de l'histoire, n'a pu sortir les « sans
chemises » de leur abîme de misère. On ne peut et ne saurait
confondre pouvoir populaire et
populisme
. Le populisme de gauche, comme je l'appelle, est un
"discours" à la populace, discours qui crie à l'injustice du sort des
masses mais où le gouvernement ne prend aucune disposition révolutionnaire
et méthodique de transformation ou de réforme des structures du pouvoir
bourgeois. C'est juste des déferlements de foule et une fausse suprématie
anarchique des masses dont se moquent les tenants bourgeois de la réalité
du pouvoir structurel et économique, lesquels bourgeois gardent le
contrôle des structures de la gouvernance et de l'économie. Alors qu'en
socialisme ou dans le cadre d'une quelconque forme de pouvoir populaire,
de sérieuses réformes structurelles sont entreprises par le gouvernement
agissant au nom du peuple pour changer la condition sociale et économique des
masses. Ici, nous comprenons que des gouvernements comme ceux de Chavez de
Moralez, quoique différents par les conditions et les contingences historiques,
de celui révolutionnaire de Castro, sont des pouvoirs franchement populaires
par leurs actes, à ne pas confondre avec la démagogie populiste que j'ai
pointé du doigt dans mon article.

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Message  Rodlam Sans Malice Ven 31 Aoû 2007 - 7:21

wowwwwwww ;Comme toujours il m'a fallu une très grande concentration pour bien comprendre le sens de votre discours.Et vous avez raison de faire cette distinction.Mais pour eduquer ce peuple il faudra utuliser une langue à sa portée.Vous avez le devoir de nous enseigner cette difference entre le populisme et le pouvoir populaire ,mais faut-il bien que nous(eleves et professeurs) employons le meme langage.

Un jeune ami m'a adressé un billet pour critiquer vos textes qu'il trouve trop grandiloquents et incomprehensibles;Il n'a pas tout a fait tort ;je lui ai demande de faire plus d'effort pour lire au dela des mots les vrais sens de vos textes.Combien il serait utile que ce texte soit ecrit en creole.Je dois quand meme vous feliciter pour cette analyse combien pertinente du populisme haitien qui, malgre tous les barvadages, s'accomode très bien de ces structures desuetes et bourgeoises qu'il refuse de moderniser.
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Message  Rodlam Sans Malice Ven 31 Aoû 2007 - 17:06

Est-on éffarouché ou intimidé par les gros mots de Lotty?Pourquoi les autres participants ne m'ont pas reproché mon appreciation hative de ce texte sans analyser en profondeur certaines phrases qui meritent toutefois d'etre critiquées.Si le texte integral doit etre apprecié cependant prises hors contexte certaines phrases revèlent après une analyse sereine d'un prejudice envers les couches defavorisées.

Dissequons un peu le texte pour une meilleure comprehension de la plaidoirie de l'auteur.Dès le second paragraphe le lecteur inexperimenté peut-etre dégouté:

"le populisme n'est jamais que la reaction de quelques opportunistes par le discours flatteur et la phraseologie flagorneuse envers les bas insticnts des secteurs sociaux populaires en crise ,reduits au stade de foule compacte et de horde primitive qui doivent y trouver l'illusion de preponderance populaire ,substratum sans recul ni lecture sinon que l'immediat phenomenal des problèmes structurels"

Pris hors contexte ces quelques mots peuvent aussi constituer cette phraseologie rétrograde des petits bourgeois sur-eduqués et pretentieux"pep la two bet pou l chwasi yon bon leader".Quand l'auteur parle du discours de ces opportunistes envers les "bas instincts "de secteurs sociaux populaires a quoi se refere-t-il?Ces pulsions des masses vers ceux qui parlent de leurs besoins essentiels:la nourriture, les soins de sante, l'education, l'eau potable, les logements decents.le travail ,la securite ,la justice sociale sont-ce ces bas instincts dont parle Lotty?"Cette foule compacte et de horde primitive "a-t-elle un meilleur choix que d'y trouver au moins cette illusion de preponderance?Qu'ont fait les revolutionnaires pour eduquer ce "substratum sans recul ni lecture.Est-ce en utilisant des mots qu'ils ignorent la signification que nos revolutionnaires de salon parviendront à leur apprendre la nécéssite de voter que pour ceux qui pronent les vrais changements dont parle l'auteur?

Oui comme je l'ai deja dit le texte est meritoire parce qu'il denonce ces populistes qui se contentent de berner le peuple de promesses creuses sans jamais attaquer les vraies causes de la catastrophe que nous vivons.mais il faudrait aussi que l'auteur soit moins sevère envers le peuple.Et je pense la critique de Jude la semaine dernière n'est pas sans fondement,car certaines phrases decèlent un mepris pour ceux qui croient aux discours des populistes sans une critique de ceux qui auraient du parler le langage du peuple pour l'apprendre a faire de meilleurs choix.


Dernière édition par le Ven 31 Aoû 2007 - 23:23, édité 3 fois
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Message  QUASAR Ven 31 Aoû 2007 - 20:39

Voici la réponse de Loty à Sans Malice,

Salut cher frère, je prends note de votre critique constructive, je dois vous dire, et vous pouvez le constater, j'ai simplifié de beaucoup mon style depuis les premières fois où l'on s'est rencontré. Je ferai encore et encore l'effort d'être plus abordable. J'espère que vous comprenez aussi qu'il n'est pas toujours possible d'être profond sans que les mots ne deviennent eux-mêmes plus subtils. J'ose croire quand même que le style et le vocabulaire ne sont guère ici des murs dressés au lecteur moyennement cultivé qui veut me lire.
À très bientôt cher frère, on continuera certainement de partager pour une meilleure compréhension des choses humaines et surtout de la chose haïtienne en particulier.

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Message  Rodlam Sans Malice Ven 31 Aoû 2007 - 22:00

Il faudra continuer dans le meme style que la mise au point à la fin du texte qui est si simple et si comprehensible.Merci d'avoir apprecié ma critique.
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