Civil René défend JBA, accusé de détournement de fonds
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Civil René défend JBA, accusé de détournement de fonds
Le responsable de Jeunesse Pouvoir Populaire s’inscrit en faux contre les conclusions de l’enquête réalisée par la journaliste Lucy Komisar selon lesquelles 3 centimes de chaque appel téléphonique émis vers Haïti étaient versés sur un compte bancaire de Jean-Bertrand Aristide aux Iles Turcs et Caicos, conformément à un accord conclu en 2003 entre la Téléco et la Compagnie de télécommunications IDT.
René Civil soutient que cette enquête biaisée, selon lui, participe d’une démarche visant à ternir l’image et la réputation de l’ancien président et à détourner l’attention de la réalité actuelle du pays.
En outre le militant Lavalas fait remarquer qu’aucune entreprise d’Etat ne peut signer un quelconque accord à l’insu de son directeur général ou du ministre de tutelle de ce dernier.
René Civil qui déclare qu’il est très facile de dénigrer les gens réclame des preuves de la journaliste.
De l’avis de M. Civil, ces accusations sont une initiative de ceux qui avaient renversé du pouvoir l’ancien prêtre de Saint Jean Bosco le 29 février 2004.
Selon le leader de JPP, il y aurait une certaine corrélation entre la manifestation organisée par Fanmi Lavalas le 15 juillet dernier à l’occasion du 55è anniversaire de Jean-Bertrand Aristide et la publication des résultats de cette enquête.
« Ils se sont rendus compte à partir de cette manifestation que Titid reste et demeure le leader charismatique du peuple haïtien. Voilà pourquoi, il essayent de s’attaquer à son image », a ajouté René Civil.
http://www.signalfmhaiti.com/PageArticle.asp?ArticleID=3275
René Civil soutient que cette enquête biaisée, selon lui, participe d’une démarche visant à ternir l’image et la réputation de l’ancien président et à détourner l’attention de la réalité actuelle du pays.
En outre le militant Lavalas fait remarquer qu’aucune entreprise d’Etat ne peut signer un quelconque accord à l’insu de son directeur général ou du ministre de tutelle de ce dernier.
René Civil qui déclare qu’il est très facile de dénigrer les gens réclame des preuves de la journaliste.
De l’avis de M. Civil, ces accusations sont une initiative de ceux qui avaient renversé du pouvoir l’ancien prêtre de Saint Jean Bosco le 29 février 2004.
Selon le leader de JPP, il y aurait une certaine corrélation entre la manifestation organisée par Fanmi Lavalas le 15 juillet dernier à l’occasion du 55è anniversaire de Jean-Bertrand Aristide et la publication des résultats de cette enquête.
« Ils se sont rendus compte à partir de cette manifestation que Titid reste et demeure le leader charismatique du peuple haïtien. Voilà pourquoi, il essayent de s’attaquer à son image », a ajouté René Civil.
http://www.signalfmhaiti.com/PageArticle.asp?ArticleID=3275
Invité- Invité
Re: Civil René défend JBA, accusé de détournement de fonds
sA FEM LONTAN GEN DE FIGI MWEN PA WE.CA ME FAIT CHAUD AU COEUR ANPIL...KENBE TIMESYE...
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Re: Civil René défend JBA, accusé de détournement de fonds
30 août
René Civil transféré au Pénitencier National sur ordre du commissaire du gouvernement de Port-au-Prince
Interrogé lundi par Me Claudy Gassant, le chef d’OP Lavalas est accusé de vol de véhicule, détention illégale d’arme à feu et association de malfaiteurs ; son avocat qualifie l’affaire de "politique" Posté le mardi 29 août 2006
Par Radio Kiskeya
Le puissant chef d’OP Lavalas (le parti d’Aristide), René Civil, arrêté dans la nuit de vendredi à samedi, a été transféré lundi et placé sous mandat de dépôt au Pénitencier National, la prison civile de Port-au-Prince, par le commissaire du gouvernement, Me Claudy Gassant.
Le chef du parquet en a décidé ainsi après avoir interrogé le détenu pendant une trentaine de minutes sous l’accusation de vol de véhicule, détention illégale d’arme à feu et association de malfaiteurs. Rien n’a filtré de l’interrogatoire qui s’est déroulé au bureau du commissaire de police de Pétion-Ville (banlieue est de la capitale), Vanel Lacroix, en présence de l’avocat de M. Civil, Mario Joseph.
En quittant le commissariat où il était en garde à vue, le leader de JPP (Jan l Pase l Pase) a demandé et obtenu du commissaire Gassant que son image ne soit pas captée par les cameramen et photographes de presse qui l’attendaient. Quelques partisans de Lavalas, gardés à distance, se trouvaient sur les lieux alors que plusieurs dizaines d’autres poireautaient en vain devant le parquet de Port-au-Prince.
Résolument silencieux depuis sa prise de fonction, il y a une semaine, et suivi comme son ombre par ses gardes du corps, Claudy Gassant s’est refusé à tout commentaire sur l’affaire Civil.
Pour sa part, Me Mario Joseph a qualifié de "politique" l’arrestation et la détention de son client. "Tout le monde connaît l’envergure politique de René Civil. Certains savent qu’il peut leur donner du fil à retordre. Par conséquent, ils ont mis en avant cette infraction pour justifier son arrestation", s’est emporté l’avocat attitré de tous les prisonniers Lavalas.
Il a aussi mis en garde contre toute tentative de confier l’instruction de l’affaire à un "juge malhonnête". "Le dossier doit être confié à un juge indépendant et correct et non à l’un de ceux que j’ai déjà vus dans le véhicule de Me Gassant", a affirmé l’avocat.
Me Joseph a par ailleurs reproché au commissaire du gouvernement d’avoir préféré réaliser l’interrogatoire dans un commissariat de police plutôt qu’au parquet. Pour lui, il s’agit d’une décision indécente de très mauvais augure pour l’indépendance de la justice. Il est même allé jusqu’à se demander si le commissaire compter s’installer définitivement au commissariat de Pétion-Ville.
Un des principaux chefs d’orchestre de la campagne menée tambour battant en faveur du retour de Jean-Bertrand Aristide, René Civil a été appréhendé samedi dernier à une heure du matin en compagnie d’un policier déserteur et en possession d’un pistolet de calibre 9 millimètres pour lequel il n’a pas de permis. Les deux hommes circulaient à proximité du commissariat de Pétion-Ville à bord d’une Mitsubishi L200 volée, il y a environ six ans, en République Dominicaine, selon le commissaire Vanel Lacroix.
La police avait été mise sur la piste du chef d’OP Lavalas par quatre individus qui venaient d’être surpris dans une Mitsubishi Nativa dont ils s’étaient emparée au moment où son propriétaire assistait à une soirée dansante dans un night club.
Le policier et les quatre autres détenus se trouvaient encore mardi à Pétion-Ville.
Le commissaire de police a été formel dans ses déclarations. "Qu’on ne fasse pas croire que René Civil a été arrêté pour des motifs politiques. C’est un voleur de véhicule", avait soutenu M. Lacroix.
Arrêté une première fois le 12 mai dernier à la frontière haïtiano-dominicaine alors qu’il rentrait au pays après deux années d’exil, Civil a été libéré deux semaines plus tard. Toutefois, il fait partie avec deux anciens responsables de la police, Ricardo Etienne et Claudette Estimable, des personnes inculpées dans l’attaque sanglante contre l’Université d’Etat d’Haïti (UEH), mais qui ne s’étaient pas présentées au procès du 14 août dernier au cours duquel un verdict d’acquittement avait été prononcé en faveur de quatre autres anciens responsables et partisans zélés de Lavalas.
Alors que le dossier a été relancé lundi par plusieurs étudiants victimes qui se sont insurgés contre "l’imposture du 14 août", le bâtonnier de l’Ordre des avocats de Port-au-Prince, Me Gervais Charles, a montré dans des considérations juridiques que René Civil n’a pas été jugé par contumace et peut être par conséquent poursuivi pour ses responsabilités présumées dans les graves événements du 5 décembre.
Au cours de cette journée noire, qui allait marquer un tournant dans le mouvement GNB anti-Aristide, les genoux du recteur de l’UEH, Pierre-Marie Paquiot, avaient été brisés, le vice-recteur Wilson Laleau frappé à la tête et des dizaines d’étudiants sauvagement agressés dans les locaux de la Faculté des Sciences Humaines et de l’INAGHEI assiégés par les partisans en furie du régime déchu. spp/RK
René Civil transféré au Pénitencier National sur ordre du commissaire du gouvernement de Port-au-Prince
Interrogé lundi par Me Claudy Gassant, le chef d’OP Lavalas est accusé de vol de véhicule, détention illégale d’arme à feu et association de malfaiteurs ; son avocat qualifie l’affaire de "politique" Posté le mardi 29 août 2006
Par Radio Kiskeya
Le puissant chef d’OP Lavalas (le parti d’Aristide), René Civil, arrêté dans la nuit de vendredi à samedi, a été transféré lundi et placé sous mandat de dépôt au Pénitencier National, la prison civile de Port-au-Prince, par le commissaire du gouvernement, Me Claudy Gassant.
Le chef du parquet en a décidé ainsi après avoir interrogé le détenu pendant une trentaine de minutes sous l’accusation de vol de véhicule, détention illégale d’arme à feu et association de malfaiteurs. Rien n’a filtré de l’interrogatoire qui s’est déroulé au bureau du commissaire de police de Pétion-Ville (banlieue est de la capitale), Vanel Lacroix, en présence de l’avocat de M. Civil, Mario Joseph.
En quittant le commissariat où il était en garde à vue, le leader de JPP (Jan l Pase l Pase) a demandé et obtenu du commissaire Gassant que son image ne soit pas captée par les cameramen et photographes de presse qui l’attendaient. Quelques partisans de Lavalas, gardés à distance, se trouvaient sur les lieux alors que plusieurs dizaines d’autres poireautaient en vain devant le parquet de Port-au-Prince.
Résolument silencieux depuis sa prise de fonction, il y a une semaine, et suivi comme son ombre par ses gardes du corps, Claudy Gassant s’est refusé à tout commentaire sur l’affaire Civil.
Pour sa part, Me Mario Joseph a qualifié de "politique" l’arrestation et la détention de son client. "Tout le monde connaît l’envergure politique de René Civil. Certains savent qu’il peut leur donner du fil à retordre. Par conséquent, ils ont mis en avant cette infraction pour justifier son arrestation", s’est emporté l’avocat attitré de tous les prisonniers Lavalas.
Il a aussi mis en garde contre toute tentative de confier l’instruction de l’affaire à un "juge malhonnête". "Le dossier doit être confié à un juge indépendant et correct et non à l’un de ceux que j’ai déjà vus dans le véhicule de Me Gassant", a affirmé l’avocat.
Me Joseph a par ailleurs reproché au commissaire du gouvernement d’avoir préféré réaliser l’interrogatoire dans un commissariat de police plutôt qu’au parquet. Pour lui, il s’agit d’une décision indécente de très mauvais augure pour l’indépendance de la justice. Il est même allé jusqu’à se demander si le commissaire compter s’installer définitivement au commissariat de Pétion-Ville.
Un des principaux chefs d’orchestre de la campagne menée tambour battant en faveur du retour de Jean-Bertrand Aristide, René Civil a été appréhendé samedi dernier à une heure du matin en compagnie d’un policier déserteur et en possession d’un pistolet de calibre 9 millimètres pour lequel il n’a pas de permis. Les deux hommes circulaient à proximité du commissariat de Pétion-Ville à bord d’une Mitsubishi L200 volée, il y a environ six ans, en République Dominicaine, selon le commissaire Vanel Lacroix.
La police avait été mise sur la piste du chef d’OP Lavalas par quatre individus qui venaient d’être surpris dans une Mitsubishi Nativa dont ils s’étaient emparée au moment où son propriétaire assistait à une soirée dansante dans un night club.
Le policier et les quatre autres détenus se trouvaient encore mardi à Pétion-Ville.
Le commissaire de police a été formel dans ses déclarations. "Qu’on ne fasse pas croire que René Civil a été arrêté pour des motifs politiques. C’est un voleur de véhicule", avait soutenu M. Lacroix.
Arrêté une première fois le 12 mai dernier à la frontière haïtiano-dominicaine alors qu’il rentrait au pays après deux années d’exil, Civil a été libéré deux semaines plus tard. Toutefois, il fait partie avec deux anciens responsables de la police, Ricardo Etienne et Claudette Estimable, des personnes inculpées dans l’attaque sanglante contre l’Université d’Etat d’Haïti (UEH), mais qui ne s’étaient pas présentées au procès du 14 août dernier au cours duquel un verdict d’acquittement avait été prononcé en faveur de quatre autres anciens responsables et partisans zélés de Lavalas.
Alors que le dossier a été relancé lundi par plusieurs étudiants victimes qui se sont insurgés contre "l’imposture du 14 août", le bâtonnier de l’Ordre des avocats de Port-au-Prince, Me Gervais Charles, a montré dans des considérations juridiques que René Civil n’a pas été jugé par contumace et peut être par conséquent poursuivi pour ses responsabilités présumées dans les graves événements du 5 décembre.
Au cours de cette journée noire, qui allait marquer un tournant dans le mouvement GNB anti-Aristide, les genoux du recteur de l’UEH, Pierre-Marie Paquiot, avaient été brisés, le vice-recteur Wilson Laleau frappé à la tête et des dizaines d’étudiants sauvagement agressés dans les locaux de la Faculté des Sciences Humaines et de l’INAGHEI assiégés par les partisans en furie du régime déchu. spp/RK
Rico- Super Star
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Feuille de personnage
Jeu de rôle: dindon de la farce
Re: Civil René défend JBA, accusé de détournement de fonds
ki mirak kok la panko paret poul kondane Civil ?Mwen di se sa ki seme se li ki rekolte .si lot fos politik nan peyi ya rete chita sou blok glass yo fok ya pa sezi ke se lavalas ki rekolte ankò wi.apre ya vinn di ke pep la retounen nan vomi li.
Rodlam Sans Malice- Super Star
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