Les pirates lavalassiens du site Quai D'Orsay basés à Montréal persistent
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Les pirates lavalassiens du site Quai D'Orsay basés à Montréal persistent
Les pirates du site du Quai d'Orsay persistent et signent
• MONTREAL — Le groupe à l'origine d'un faux site internet du Quai d'Orsay annonçant que la France allait rembourser à Haïti la somme astronomique versée par l'Etat caribéen pour son indépendance a jugé "ridicules" jeudi les menaces de poursuite proférées par Paris.
Le "Comité pour le remboursement immédiat des milliards envolés d'Haïti" (Crime) a mis en ligne le 14 juillet une réplique du site web du ministère français des Affaires étrangères (www.diplomatiegov.info) sur lequel une prétendue porte-parole de Bernard Kouchner indique que la France va rembourser la "dette originelle" d'Haïti.
Rapidement, le gouvernement français a dénoncé la supercherie et menacé de poursuites ce groupe de pirates basé à Montréal mais qui revendique aussi des membres aux Etats-Unis et en France.
"Ce site Internet, créé à une adresse proche de celle France Diplomatie, diffuse de fausses informations et copie frauduleusement le site du ministère des Affaires étrangères et européennes. Nous étudions les suites judiciaires à donner à cette situation", avait déclaré jeudi dernier le porte-parole du Quai d'Orsay, Bernard Valéro, cité par Libération.
"C'est quoi le plus grand crime? C'est quoi l'enjeu? L'enjeu ce sont les 90 millions de francs-or exigés comme prix de l'indépendance. Quand on voit maintenant les problèmes en Haïti, on peut tracer leur origine à cette dette", a affirmé une représentante du Crime lors d'une conférence de presse à Montréal.
"Ca serait un peu ridicule pour eux (les Français) de nous poursuivre pour un site web. En même temps, on continue à dire au gouvernement français qu'il faut rembourser ce qui a été payé pour l'indépendance", a-t-elle ajouté le visage masqué, précisant que la Justice ne les avait pas encore approchés.
Portant un masque noir à la Zorro, comme les autres activistes l'accompagnant, cette porte-parole se présentant sous le faux nom de "Laurence Fabre" a expliqué que la dissimulation de l'identité des membres du groupe leur a été conseillée par un avocat.
Sans dévoiler les autres projets de ce rassemblement jusque là inconnu, la jeune femme, qui s'exprimait avec un accent anglais, a indiqué qu'il ne fallait pas exclure "d'autres coups" similaires.
Après avoir arraché de haute lutte son indépendance face aux armées napoléoniennes, en 1804, Haïti avait été mis au banc des Nations, l'Europe attendant que la France reconnaisse le premier Etat noir de la planète.
Ce n'est qu'en 1825 que la "Perle des Antilles" fit son entrée sur la scène internationale, en s'engageant à verser ce qui est désormais surnommé la "dette originelle".
Exigée par le roi Charles X en guise de dédommagement pour l'indépendance, cette somme, d'abord fixée à 150 millions de francs-or puis ramenée à 90 millions (au moins 17 millions d'euros), a d'être remboursée en 1883. Les emprunts consentis par Haïti pour le paiement auprès des banques françaises et américaines ont quant à eux été soldés en 1952.
Pour beaucoup d'historiens, le paiement de cette dette est à l'origine d'une grande partie de la faiblesse et de la pauvreté de l'ancienne colonie française.Sur Internet :
• MONTREAL — Le groupe à l'origine d'un faux site internet du Quai d'Orsay annonçant que la France allait rembourser à Haïti la somme astronomique versée par l'Etat caribéen pour son indépendance a jugé "ridicules" jeudi les menaces de poursuite proférées par Paris.
Le "Comité pour le remboursement immédiat des milliards envolés d'Haïti" (Crime) a mis en ligne le 14 juillet une réplique du site web du ministère français des Affaires étrangères (www.diplomatiegov.info) sur lequel une prétendue porte-parole de Bernard Kouchner indique que la France va rembourser la "dette originelle" d'Haïti.
Rapidement, le gouvernement français a dénoncé la supercherie et menacé de poursuites ce groupe de pirates basé à Montréal mais qui revendique aussi des membres aux Etats-Unis et en France.
"Ce site Internet, créé à une adresse proche de celle France Diplomatie, diffuse de fausses informations et copie frauduleusement le site du ministère des Affaires étrangères et européennes. Nous étudions les suites judiciaires à donner à cette situation", avait déclaré jeudi dernier le porte-parole du Quai d'Orsay, Bernard Valéro, cité par Libération.
"C'est quoi le plus grand crime? C'est quoi l'enjeu? L'enjeu ce sont les 90 millions de francs-or exigés comme prix de l'indépendance. Quand on voit maintenant les problèmes en Haïti, on peut tracer leur origine à cette dette", a affirmé une représentante du Crime lors d'une conférence de presse à Montréal.
"Ca serait un peu ridicule pour eux (les Français) de nous poursuivre pour un site web. En même temps, on continue à dire au gouvernement français qu'il faut rembourser ce qui a été payé pour l'indépendance", a-t-elle ajouté le visage masqué, précisant que la Justice ne les avait pas encore approchés.
Portant un masque noir à la Zorro, comme les autres activistes l'accompagnant, cette porte-parole se présentant sous le faux nom de "Laurence Fabre" a expliqué que la dissimulation de l'identité des membres du groupe leur a été conseillée par un avocat.
Sans dévoiler les autres projets de ce rassemblement jusque là inconnu, la jeune femme, qui s'exprimait avec un accent anglais, a indiqué qu'il ne fallait pas exclure "d'autres coups" similaires.
Après avoir arraché de haute lutte son indépendance face aux armées napoléoniennes, en 1804, Haïti avait été mis au banc des Nations, l'Europe attendant que la France reconnaisse le premier Etat noir de la planète.
Ce n'est qu'en 1825 que la "Perle des Antilles" fit son entrée sur la scène internationale, en s'engageant à verser ce qui est désormais surnommé la "dette originelle".
Exigée par le roi Charles X en guise de dédommagement pour l'indépendance, cette somme, d'abord fixée à 150 millions de francs-or puis ramenée à 90 millions (au moins 17 millions d'euros), a d'être remboursée en 1883. Les emprunts consentis par Haïti pour le paiement auprès des banques françaises et américaines ont quant à eux été soldés en 1952.
Pour beaucoup d'historiens, le paiement de cette dette est à l'origine d'une grande partie de la faiblesse et de la pauvreté de l'ancienne colonie française.Sur Internet :
- Site web du ministère français des Affaires étrangères: http://www.diplomatiegov.info/rubrique.fr-14-07-2010.html
Rico- Super Star
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Re: Les pirates lavalassiens du site Quai D'Orsay basés à Montréal persistent
Rico que vient faire Lavalas dans tout ça ? On ne sait même pas si ces gens sont haïtiens.
Invité- Invité
Re: Les pirates lavalassiens du site Quai D'Orsay basés à Montréal persistent
T-NEG a écrit:Rico que vient faire Lavalas dans tout ça ? On ne sait même pas si ces gens sont haïtiens.
Mwen konnen sa map pale. yo genyen lajan pou gaspiye an plis an pou ebeje sit la
Rico- Super Star
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Re: Les pirates lavalassiens du site Quai D'Orsay basés à Montréal persistent
Vous devriez donc les dénoncer à la justice française dans ce cas
Invité- Invité
Re: Les pirates lavalassiens du site Quai D'Orsay basés à Montréal persistent
Nan voye monte mande restitisyon. Poukisa w pa tann vrè demandè pou mande lajan konsa. Ti di milya se anpil rounourounou, demakaj, dilatwa pou blan separe ant yo.
Alos se 21 milya dola nou panse Franse pral lage nan ponyèt menm leta an dekonpozisyon.Fè atansyon zanmi pou yo pa pran nou pou fou kap divage
Genyen bon sans pou konprann se kèk gwoup ki gen enterè kreye nwizans olye vreman ede Ayiti pou lajan restitisyon. Toutan se moun konsa san krediblite ki vle jwe pot parol Ayiti nou kakut, nou pa ladann.
Alos se 21 milya dola nou panse Franse pral lage nan ponyèt menm leta an dekonpozisyon.Fè atansyon zanmi pou yo pa pran nou pou fou kap divage
Genyen bon sans pou konprann se kèk gwoup ki gen enterè kreye nwizans olye vreman ede Ayiti pou lajan restitisyon. Toutan se moun konsa san krediblite ki vle jwe pot parol Ayiti nou kakut, nou pa ladann.
Rico- Super Star
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Re: Les pirates lavalassiens du site Quai D'Orsay basés à Montréal persistent
T-NEG a écrit:Rico que vient faire Lavalas dans tout ça ? On ne sait même pas si ces gens sont haïtiens.
T-NEG;
Ou wè mesye yo fin anraje nèt,pou y ap asosye gwoup sa a ak LAVALAS.
Gen yon gwoup konsa OZETAZINI,yomenm se gwo konpayi yo ,yo anbarase.
Mesye,nou bay LAVALAS twòp kredi,twòp pouvwa;se rezon sa a y ap kontinye kale dada nou.
Se tankou chen mitoloji grèk lan;ou koupe yon tèt,twa repouse.
Joel- Super Star
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