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Métaphore d'Aristide interpretée comme consigne de vote pour M. Manigat
Rico Sam 19 Mar 2011 - 17:40
Aristide effectue son deuxième retour d’exil et dénonce "l’exclusion" de son parti
Une métaphore employée par l’ancien Président interprétée par les lavalassiens comme une consigne de vote en faveur de Mirlande Manigat
vendredi 18 mars 2011,
L’ancien Présiden Jean-Bertrand Aristide (1991-1996 et 2001-2004), rentré vendredi en Haïti au terme de sept ans d’exil en Afrique du Sud, a dénoncé à son arrivée l’exclusion de son parti Fanmi Lavalas du processus électoral dans un discours très imagé et au fort contenu politique non explicite, à deux jours du second tour des présidentielles et législatives de dimanche.
"L’exclusion de Fanmi Lavalas constitue celle de la majorité des haïtiens et un acte consistant à scier la branche sur laquelle tout le monde s’assied", a expliqué M. Aristide qui intervenait à l’aéroport international Toussaint Louverture où plusieurs milliers de partisans enthousiastes l’ont accueilli.
Il a aussi promis de combattre la violence et de "semer la paix partout" tout en mettant en garde contre les divisions génératrices de faiblesses.
Remerciant les autorités haïtiennes et sud-africaines, sans mentionner le nom du Président René Préval, le dirigeant Lavalas a aussi salué la mémoire des 300.000 victimes du tremblement de terre de janvier 2010, de l’épidémie de choléra, des "catastrophes politiques", du père Gérard Jean-Juste, son défunt ami et allié politique, sans oublier les nombreuses personnes tuées la semaine dernière au Japon dans un puissant séisme.
"Si je pouvais transformer la chambre de mon coeur en pièce d’une maison, je sais combien de chambres que j’aurais à construire pour loger les sinistrés du séisme", a lancé dans un langage métaphorique propre à lui l’ex-prêtre de 57 ans.
Même si Jean-Bertrand Aristide n’a pas ouvertement exprimé la volonté de jouer un rôle politique dans le pays et d’influencer le scrutin présidentiel de dimanche, ses propos ont été interprétés par nombre de partisans à Port-au-Prince et en province comme un soutien implicite à la candidature de Mirlande Manigat.
Certains s’en sont même pris au rival de la constitutionnaliste, Michel Martelly, accusé d’avoir soutenu le coup d’état sanglant ayant renversé l’ex-chef d’Etat en 1991, lors de son premier mandat.
"Notre sang est celui de Toussaint Louverture, nous ne pouvons pas trahir notre sang", a répété le leader charismatique des lavalassiens qui a salué le génie du précurseur de l’indépendance nationale déporté en France et décédé en prison en 1803, quelques mois avant la proclamation de l’indépendance d’Haïti en 1804.
Dans la foulée, l’ancien exilé a indiqué, sans vouloir être plus précis, que "toute humiliation infligée à un haïtien l’est aussi à tous les haïtiens".
Costume sombre, des lunettes aux verres fumés, Jean-Bertrand Aristide, qui dit revenir dans son pays pour travailler dans l’éducation, est arrivé à Port-au-Prince à bord d’un jet privé en compagnie de sa femme Mildred Trouillot et de leurs deux filles, Christine et Michaëlle, en provenance de Johannesburg via Dakar.
L’acteur américain Danny Glover, l’avocat américain d’Aristide, Ira Kurzban, et la chanteuse engagée Farah Juste faisaient partie de la délégation qui le ramenait chez lui sept ans après sa chute, le 29 février 2004, sous la pression conjuguée de la rue, d’une rébellion et de la communauté internationale.
Le secrétaire général de la Présidence, Fritz Longchamp, et la porte-parole de Fanmi Lavalas, Maryse Narcisse, ont accueilli l’ex-Président à sa descente d’avion tout comme d’autres actuels ou ex-dirigeants de son parti tels le Sénateur Evallière Beauplan, allié de Mirlande Manigat, l’ex-Sénateur Gérald Gilles, les anciens Députés Simpson Libéris, Romage Milien, Lionel Etienne et le chef d’OP Yvon Antoine dit "Yvon ZapZap".
Les agents de la Police Nationale et de la Mission de stabilisation de l’ONU (MINUSTAH) ont du faire usage de gaz lacrymogènes pour disperser une foule de curieux qui avait pris d’assaut la résidence de M. Aristide à Tabarre (banlieue nord de la capitale) afin de l’apercevoir ou de lui parler. spp/Radio Kiskeya
Une métaphore employée par l’ancien Président interprétée par les lavalassiens comme une consigne de vote en faveur de Mirlande Manigat
vendredi 18 mars 2011,
L’ancien Présiden Jean-Bertrand Aristide (1991-1996 et 2001-2004), rentré vendredi en Haïti au terme de sept ans d’exil en Afrique du Sud, a dénoncé à son arrivée l’exclusion de son parti Fanmi Lavalas du processus électoral dans un discours très imagé et au fort contenu politique non explicite, à deux jours du second tour des présidentielles et législatives de dimanche.
"L’exclusion de Fanmi Lavalas constitue celle de la majorité des haïtiens et un acte consistant à scier la branche sur laquelle tout le monde s’assied", a expliqué M. Aristide qui intervenait à l’aéroport international Toussaint Louverture où plusieurs milliers de partisans enthousiastes l’ont accueilli.
Il a aussi promis de combattre la violence et de "semer la paix partout" tout en mettant en garde contre les divisions génératrices de faiblesses.
Remerciant les autorités haïtiennes et sud-africaines, sans mentionner le nom du Président René Préval, le dirigeant Lavalas a aussi salué la mémoire des 300.000 victimes du tremblement de terre de janvier 2010, de l’épidémie de choléra, des "catastrophes politiques", du père Gérard Jean-Juste, son défunt ami et allié politique, sans oublier les nombreuses personnes tuées la semaine dernière au Japon dans un puissant séisme.
"Si je pouvais transformer la chambre de mon coeur en pièce d’une maison, je sais combien de chambres que j’aurais à construire pour loger les sinistrés du séisme", a lancé dans un langage métaphorique propre à lui l’ex-prêtre de 57 ans.
Même si Jean-Bertrand Aristide n’a pas ouvertement exprimé la volonté de jouer un rôle politique dans le pays et d’influencer le scrutin présidentiel de dimanche, ses propos ont été interprétés par nombre de partisans à Port-au-Prince et en province comme un soutien implicite à la candidature de Mirlande Manigat.
Certains s’en sont même pris au rival de la constitutionnaliste, Michel Martelly, accusé d’avoir soutenu le coup d’état sanglant ayant renversé l’ex-chef d’Etat en 1991, lors de son premier mandat.
"Notre sang est celui de Toussaint Louverture, nous ne pouvons pas trahir notre sang", a répété le leader charismatique des lavalassiens qui a salué le génie du précurseur de l’indépendance nationale déporté en France et décédé en prison en 1803, quelques mois avant la proclamation de l’indépendance d’Haïti en 1804.
Dans la foulée, l’ancien exilé a indiqué, sans vouloir être plus précis, que "toute humiliation infligée à un haïtien l’est aussi à tous les haïtiens".
Costume sombre, des lunettes aux verres fumés, Jean-Bertrand Aristide, qui dit revenir dans son pays pour travailler dans l’éducation, est arrivé à Port-au-Prince à bord d’un jet privé en compagnie de sa femme Mildred Trouillot et de leurs deux filles, Christine et Michaëlle, en provenance de Johannesburg via Dakar.
L’acteur américain Danny Glover, l’avocat américain d’Aristide, Ira Kurzban, et la chanteuse engagée Farah Juste faisaient partie de la délégation qui le ramenait chez lui sept ans après sa chute, le 29 février 2004, sous la pression conjuguée de la rue, d’une rébellion et de la communauté internationale.
Le secrétaire général de la Présidence, Fritz Longchamp, et la porte-parole de Fanmi Lavalas, Maryse Narcisse, ont accueilli l’ex-Président à sa descente d’avion tout comme d’autres actuels ou ex-dirigeants de son parti tels le Sénateur Evallière Beauplan, allié de Mirlande Manigat, l’ex-Sénateur Gérald Gilles, les anciens Députés Simpson Libéris, Romage Milien, Lionel Etienne et le chef d’OP Yvon Antoine dit "Yvon ZapZap".
Les agents de la Police Nationale et de la Mission de stabilisation de l’ONU (MINUSTAH) ont du faire usage de gaz lacrymogènes pour disperser une foule de curieux qui avait pris d’assaut la résidence de M. Aristide à Tabarre (banlieue nord de la capitale) afin de l’apercevoir ou de lui parler. spp/Radio Kiskeya
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Jeu de rôle: dindon de la farce
Re: Métaphore d'Aristide interpretée comme consigne de vote pour M. Manigat
Invité Sam 19 Mar 2011 - 17:51
Vous etes en train de "malinterpréter" les propos de ce voyou afin d'obtenir quelques votes supplémentaires mais sans doute insuffisants pour vous assurer la victoire...
Vous devriez avoir honte de vous-memes, bande de caméléons...
Qu'est-ce que vous avez retenu de votre passage à Sorbonne???
Vous etes pire que ce voyou....
Vous devriez avoir honte de vous-memes, bande de caméléons...
Qu'est-ce que vous avez retenu de votre passage à Sorbonne???
Vous etes pire que ce voyou....
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Re: Métaphore d'Aristide interpretée comme consigne de vote pour M. Manigat
Rico Sam 19 Mar 2011 - 18:24
SISPANN DEKONNEN, POU SWADIZAN MOUN KI PASE SOU BAN LEKOL, AGIMANTE, DEMOLI SAKI DI AK PWOPO BYEN PLASE, KI FÈ SANS.
NON KONTANTE W PALE DE KAMELEYON. POUTAN SE BYEN WOU MENM KI ABITYE CHANJE KAZAK SOU FOROM LAN. YO PA JANM KONNEN KI KOTE W YE,KI KOTE W VLE ALE.
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Re: Métaphore d'Aristide interpretée comme consigne de vote pour M. Manigat
Invité Sam 19 Mar 2011 - 18:33
Rico a écrit:SISPANN DEKONNEN, POU SWADIZAN MOUN KI PASE SOU BAN LEKOL, AGIMANTE, DEMOLI SAKI DI AK PWOPO BYEN PLASE, KI FÈ SANS.
NON KONTANTE W PALE DE KAMELEYON. POUTAN SE BYEN WOU MENM KI ABITYE CHANJE KAZAK SOU FOROM LAN. YO PA JANM KONNEN KI KOTE W YE,KI KOTE W VLE ALE.
Je défends les intérets de mon pays, voici mon camp...
Je comprends mal que la classe intellectuelle, qui avait renversé ce voyou en 2004, est en train aujourd'hui d'implorer ce meme voyou pour son support électoral....
Et meme vous, monsieur Rico, je suis decu de vous...
Cessez de supplier ce chien...
Sa place est au pénitencier...POINT BARRE!!!
Invité- Invité
Re: Métaphore d'Aristide interpretée comme consigne de vote pour M. Manigat
Rico Sam 19 Mar 2011 - 19:46
Colo annou serye konbyen pèsonaj kap chevoche nan wou. Yon moman wou se yon Aristidyen, yon lot moman se yon veritab rakle Arisitde pran nan men w.
Mwen kontan anpil wou desi pou mwen, o mwens mesaj mwen sanble atenn objektif li.
Mwen kontan anpil wou desi pou mwen, o mwens mesaj mwen sanble atenn objektif li.
Rico- Super Star
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Re: Métaphore d'Aristide interpretée comme consigne de vote pour M. Manigat
Invité Sam 19 Mar 2011 - 20:43
Rico a écrit:Colo annou serye konbyen pèsonaj kap chevoche nan wou. Yon moman wou se yon Aristidyen, yon lot moman se yon veritab rakle Arisitde pran nan men w.
Mwen kontan anpil wou desi pou mwen, o mwens mesaj mwen sanble atenn objektif li.
Je reste plutot le meme...
Ce sont plutot les autres et les circonstances politiques qui ont changé....
Autrefois, Manigat et ses suppots étaient ceux qui attaquaient l'ennemi par terre, Aritistide en exil...
C'est contraire à mes principes d'attaquer un ennemi au sol, et c'est pourquoi je ne "choutais" pas sur Aristide, Duvalier....et récemment je cesse d'attaquer Preval ....
Aujourd'hui, vous etes en train d'adorer Titid parce qu'il peut vous aider à accaparer le pouvoir....
Il revient pour destabiliser le pays, c'est pourquoi je passe à l'attaque contre lui....
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