Doter le pays d’un ministère de l’Agriculture et des Ressources naturelles digne
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Doter le pays d’un ministère de l’Agriculture et des Ressources naturelles digne
Doter le pays d’un ministère de l’Agriculture et des Ressources naturelles digne de ce nom
Nous nous souvenons, aujourd’hui, des latifundia du Nord d’Haïti couverts en figues-bananes et en sisal vers les années 60. Le pays entier faisait ostentation de vastes plantations de canne à sucre. Le département de l’Artibonite était réputé pour le riz. On n’importait pas de sucre. Le riz ne venait pas de l’extérieur. Les paysans ne tournaient pas dos en masses à la culture de la terre pour quêter la survie en République dominicaine ou dans les centres urbains d’Haïti. L’ordre régnait dans les campagnes haïtiennes!
La planification à courte vue des ministres consécutifs de l’Agriculture de l’après-Duvalier, l’absence totale de planification au niveau étatique et la fermeture de programmes traditionnellement liés au développement du secteur agricole ont culminé dans l’absorption totale des cadres formés à la faculté d’Agronomie. Ils troquèrent leurs bottes pour les chaussures bien cirées requises par le luxe des officines des nombreuses Organisations internationales (ONG). Ces dernières, en effet, ont régenté, pendant plus d’un quart de siècle, les prérogatives de l’Exécutif haïtien et sonné le glas de son existence après le séisme du 12 janvier 2010 en se substituant purement et simplement à cet Exécutif.
De « pays essentiellement agricole » , Haïti est devenue un pays d’exode rural et de marginaux qui abandonnent la campagne, se fixent dans les villes, s’adonnent aux larcins, vols et petits métiers pour survivre. La plupart n’auront jamais la chance de conduire leur progéniture à un centre de formation. Ils vivotent dans les interstices de la société haïtienne et de ses restes. Ils sont les « crabes » de l’Haïti des temps modernes et des menaces constantes pour la VIE. Leurs enfants sont contraints, conséquences de l’indifférence des couches aisées, du laisser-aller général et de pratiques politiques de type patriarcal, de donner l’assaut à la cité pour ne pas mourir. Ils deviennent les lieutenants de politiciens véreux et de satrapes apatrides qui ont compris tôt que le crime, la violence et la pauvreté peuvent servir de tremplins pour arriver au pouvoir. Les émeutes de la faim étaient, en fait, plus une conséquence de l’exode rural que de la hausse des prix des produits de première nécessité au niveau planétaire.
Le nouveau président et les membres de son gouvernement devront doter le pays de véritables structures décentralisées ou pôles de développement. Il leur faut retourner les agronomes dans les campagnes tout en leur offrant les possibilités de continuer à se former, à préparer des cadres de niveaux intermédiaires et des agents agricoles. En mission, ils devront avoir la chance de s’adonner à des activités économiquement rentables, dignes de leur rang. À ce compte, ils n’auront pas à regretter les lentilles d’Égypte! Ce devra, donc, être un package qui permettra à l’agronome ou autres professionnels (santé, par exemple) d’intervenir le soir dans des universités et collèges. La faculté d’Agronomie se doit de revoir son curriculum et cesser de former des bureaucrates qui ne redonnent rien à l’État après leur formation.
La terre dort en Haïti.! Et, les hommes meurent de faim! Nous en voulons pour preuves les vastes régions non cultivées entre le Cap Haïtien et Ouanaminthe. Au cours de deux déplacements dans le Nord du pays, en 2009 et 2011, nous avons constaté l’existence de zones vierges d’agriculture ou laissées en friches. Pour s’en faire une idée, on n’a qu’à prendre la route qui relie, par exemple, Limonade à Fort-Liberté. Des terres laissées en jachère à perte de vue! Qu’on se rappelle que les terrains fertiles du Nord d’Haïti n’ont pas besoin d’être irriguées pour produire. Originaire du Cap-Haïtien et habitué à passer les vacances à Clérisse (Quartier Morin) ou à Dericourt (Limonade), nous n’avons découvert l’arrosage des terres que dans l’Ouest, après le baccalauréat et grâce à la centralisation et la « métropolisation » outrancière de Port-au-Prince.
Les nouveaux responsables devront penser à moderniser l’agriculture. Il faut du matériel agricole moderne pour produire au 21e siècle. Tout près de nous, Nassau est un récif corallien qui s’est enrichi grâce au tourisme. Nous sommes prédestinés à leur fournir des vivres et produits (artisanats, par exemple)!
Pourquoi ne pas remplacer les chars inutiles et insultants de la Minustah par des machines agricoles haut calibre puisque tout semble augurer qu’ils seront chez nous encore pour quelque temps? Jusqu’à ce jour, la Minustah, c’est 38 armées et 4 milliards de dollars l’an. Si elle a joué un rôle dans la maintenance d’une certaine stabilité dans le pays, personne ne nous fera avaler qu’il n’y avait que cette issue. Une large plage d’entre eux est venue enlever le pain du travail à nos compatriotes. Il y a deux semaines, un noyau d’occupants, simples gardes du corps, ont emprunté le même avion que nous et ont atterri à Port-au-Prince, en provenance de Miami.
Si la condition de base du relèvement de l’agriculture est la mise à disposition des paysans du matériel ou des intrants agricoles modernes, l’édiction de loi de remembrement des terres ou le développement de coopératives doit demeurer un souci constant pour les décideurs au plus haut niveau. Il faudrait, par exemple, remplacer les haies de « chandeliers » ou « raquettes » par des rangées d’arbres fruitiers (mangues franciques, en priorité). À ce compte, l’on fera d’une pierre plusieurs coups. On reboisera le pays et mettra un stop à l’exode rural.
Pour finir, nous ajoutons que tout ceci doit être les retombées d’une vision claire et d’une volonté réelle des dirigeants de découdre d’avec la misère et la crasse.
Le 9 mai 2011.
Professeur Amary Joseph Noel
Coordonnateur général
Confédération des Haïtiens pour la Réconciliation (CHAR
profamaryjosephnoel@yahoo.fr
Le Matin
Nous nous souvenons, aujourd’hui, des latifundia du Nord d’Haïti couverts en figues-bananes et en sisal vers les années 60. Le pays entier faisait ostentation de vastes plantations de canne à sucre. Le département de l’Artibonite était réputé pour le riz. On n’importait pas de sucre. Le riz ne venait pas de l’extérieur. Les paysans ne tournaient pas dos en masses à la culture de la terre pour quêter la survie en République dominicaine ou dans les centres urbains d’Haïti. L’ordre régnait dans les campagnes haïtiennes!
La planification à courte vue des ministres consécutifs de l’Agriculture de l’après-Duvalier, l’absence totale de planification au niveau étatique et la fermeture de programmes traditionnellement liés au développement du secteur agricole ont culminé dans l’absorption totale des cadres formés à la faculté d’Agronomie. Ils troquèrent leurs bottes pour les chaussures bien cirées requises par le luxe des officines des nombreuses Organisations internationales (ONG). Ces dernières, en effet, ont régenté, pendant plus d’un quart de siècle, les prérogatives de l’Exécutif haïtien et sonné le glas de son existence après le séisme du 12 janvier 2010 en se substituant purement et simplement à cet Exécutif.
De « pays essentiellement agricole » , Haïti est devenue un pays d’exode rural et de marginaux qui abandonnent la campagne, se fixent dans les villes, s’adonnent aux larcins, vols et petits métiers pour survivre. La plupart n’auront jamais la chance de conduire leur progéniture à un centre de formation. Ils vivotent dans les interstices de la société haïtienne et de ses restes. Ils sont les « crabes » de l’Haïti des temps modernes et des menaces constantes pour la VIE. Leurs enfants sont contraints, conséquences de l’indifférence des couches aisées, du laisser-aller général et de pratiques politiques de type patriarcal, de donner l’assaut à la cité pour ne pas mourir. Ils deviennent les lieutenants de politiciens véreux et de satrapes apatrides qui ont compris tôt que le crime, la violence et la pauvreté peuvent servir de tremplins pour arriver au pouvoir. Les émeutes de la faim étaient, en fait, plus une conséquence de l’exode rural que de la hausse des prix des produits de première nécessité au niveau planétaire.
Le nouveau président et les membres de son gouvernement devront doter le pays de véritables structures décentralisées ou pôles de développement. Il leur faut retourner les agronomes dans les campagnes tout en leur offrant les possibilités de continuer à se former, à préparer des cadres de niveaux intermédiaires et des agents agricoles. En mission, ils devront avoir la chance de s’adonner à des activités économiquement rentables, dignes de leur rang. À ce compte, ils n’auront pas à regretter les lentilles d’Égypte! Ce devra, donc, être un package qui permettra à l’agronome ou autres professionnels (santé, par exemple) d’intervenir le soir dans des universités et collèges. La faculté d’Agronomie se doit de revoir son curriculum et cesser de former des bureaucrates qui ne redonnent rien à l’État après leur formation.
La terre dort en Haïti.! Et, les hommes meurent de faim! Nous en voulons pour preuves les vastes régions non cultivées entre le Cap Haïtien et Ouanaminthe. Au cours de deux déplacements dans le Nord du pays, en 2009 et 2011, nous avons constaté l’existence de zones vierges d’agriculture ou laissées en friches. Pour s’en faire une idée, on n’a qu’à prendre la route qui relie, par exemple, Limonade à Fort-Liberté. Des terres laissées en jachère à perte de vue! Qu’on se rappelle que les terrains fertiles du Nord d’Haïti n’ont pas besoin d’être irriguées pour produire. Originaire du Cap-Haïtien et habitué à passer les vacances à Clérisse (Quartier Morin) ou à Dericourt (Limonade), nous n’avons découvert l’arrosage des terres que dans l’Ouest, après le baccalauréat et grâce à la centralisation et la « métropolisation » outrancière de Port-au-Prince.
Les nouveaux responsables devront penser à moderniser l’agriculture. Il faut du matériel agricole moderne pour produire au 21e siècle. Tout près de nous, Nassau est un récif corallien qui s’est enrichi grâce au tourisme. Nous sommes prédestinés à leur fournir des vivres et produits (artisanats, par exemple)!
Pourquoi ne pas remplacer les chars inutiles et insultants de la Minustah par des machines agricoles haut calibre puisque tout semble augurer qu’ils seront chez nous encore pour quelque temps? Jusqu’à ce jour, la Minustah, c’est 38 armées et 4 milliards de dollars l’an. Si elle a joué un rôle dans la maintenance d’une certaine stabilité dans le pays, personne ne nous fera avaler qu’il n’y avait que cette issue. Une large plage d’entre eux est venue enlever le pain du travail à nos compatriotes. Il y a deux semaines, un noyau d’occupants, simples gardes du corps, ont emprunté le même avion que nous et ont atterri à Port-au-Prince, en provenance de Miami.
Si la condition de base du relèvement de l’agriculture est la mise à disposition des paysans du matériel ou des intrants agricoles modernes, l’édiction de loi de remembrement des terres ou le développement de coopératives doit demeurer un souci constant pour les décideurs au plus haut niveau. Il faudrait, par exemple, remplacer les haies de « chandeliers » ou « raquettes » par des rangées d’arbres fruitiers (mangues franciques, en priorité). À ce compte, l’on fera d’une pierre plusieurs coups. On reboisera le pays et mettra un stop à l’exode rural.
Pour finir, nous ajoutons que tout ceci doit être les retombées d’une vision claire et d’une volonté réelle des dirigeants de découdre d’avec la misère et la crasse.
Le 9 mai 2011.
Professeur Amary Joseph Noel
Coordonnateur général
Confédération des Haïtiens pour la Réconciliation (CHAR
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Jeu de rôle:
LES VIVRES EN HAITI -- Le saviez-vous ?
LES VIVRES EN HAITI -- Le saviez-vous ?
Dans la catégorie « vivres et tubercules », la banane et le manioc sont les produits les plus transformés dans les ateliers. La banane est transformée en chips (papita) et en farine, et le manioc, en farine, en cassave, en amidon, entre autres choses.
PRODUCTION
Selon l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO), la production de manioc était estimée, en 2005, à 340 000 tonnes métriques (TM). Précisons que la culture du manioc est pratiquée dans tout le pays en association avec d’autres cultures. Cet arbuste tolère bien la sécheresse. Il existe deux types de manioc, communément appelés le manioc doux et le manioc amer.
TRANSFORMATION DU MANIOC
Le manioc amer est transformé en cassave, en farine, en doukounou et en d’autres petites recettes régionales. La cassave de type Nord se présente sous la forme d’une galette plate de 1 m de diamètre. La galette de cassave peut être présentée sans ajout ou additionnée de sucre, de noix de coco râpée ou encore de viande. Dans d’autres régions du pays, la production de cassaves de petit diamètre est courante. Avant son arrivée dans la restauration urbaine, le manioc doux était peu consommé. À présent, on le trouve sous forme de jus. Il est également consommé comme un légume (bouilli et vendu en morceaux).
MARCHÉ DES PRODUITS DU MANIOC
La commercialisation du manioc est assurée notamment par les « Madam Sarah ». Les produits de transformation du manioc sont commercialisés localement.
L’amidon – qui est extrait du processus de transformation du manioc – est utilisé dans les services de nettoyage à sec ou encore par les lavandières.
LA PRODUCTION DE BANANE
De manière générale, il y a trois variétés de banane qui sont cultivées en Haïti :
•la figue banane;
•le plantain;
•la banane poban.
Dans la plaine de l’Arcahaie, on produit 60 000 TM de banane sur une étendue de 3 800 hectares. Dans le nord-ouest du pays, 350 hectares servent à la production de 5 000 à 6 000 tonnes métriques (TM) de banane. Même si elle est surtout cultivée en monoculture, la banane est aussi cultivée en association avec d’autres cultures.
Environ 20 000 producteurs, hommes et femmes (dont 9 000 dans la plaine de l’Arcahaie) s’occupent de la production de bananes.
De 1991 à 2004, la production de bananes a diminué, passant de 505 000 à 320 000 TM.
IMPORTATION ET EXPORTATION
Chaque année, plus de 20 000 TM de banane sont importées de la République dominicaine. Les exportations de banane d’Haïti vers la république voisine et les petites Antilles sont de 3 000 à 5 000 TM par année.
COMMERCIALISATION ET TRANSFORMATION DE LA BANANE
Suivant la variété, les volumes commercialisés de la banane s’établissent comme suit :
•60 % de plantains;
•35 % de figues banane; •5 % de bananes poban. Les pertes post-récoltes sont estimées à quelque 20 à 30 % de la production.
La banane est transformée en diverses choses : farine, papita (chips), jus de banane, alcool (dans certains pays) et papier. Le chaume de banane est utilisé pour l’alimentation du bétail. Les principaux acteurs actifs sur le marché local de la banane sont principalement les marchands de fritures et de papita, de même que les ateliers de fabrication de farine.
SITUATION DES ATELIERS DE TRANSFORMATION VIVRES ET TUBERCULES
On compte plus de 9 000 ateliers de transformation de banane et de manioc dans le pays. Ces ateliers appartiennent, de manière générale, à des organisations composées surtout de femmes qui utilisent leurs capitaux propres pour en assurer le fonctionnement.
Les recettes de la galette de cassave varient beaucoup, ce qui explique les variations liées à la forme, à la couleur et au goût des produits transformés. La durée de conservation de ces produits est rarement spécifiée, et la présentation est, de manière générale, peu soignée.
Dans la catégorie « vivres et tubercules », la banane et le manioc sont les produits les plus transformés dans les ateliers. La banane est transformée en chips (papita) et en farine, et le manioc, en farine, en cassave, en amidon, entre autres choses.
PRODUCTION
Selon l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO), la production de manioc était estimée, en 2005, à 340 000 tonnes métriques (TM). Précisons que la culture du manioc est pratiquée dans tout le pays en association avec d’autres cultures. Cet arbuste tolère bien la sécheresse. Il existe deux types de manioc, communément appelés le manioc doux et le manioc amer.
TRANSFORMATION DU MANIOC
Le manioc amer est transformé en cassave, en farine, en doukounou et en d’autres petites recettes régionales. La cassave de type Nord se présente sous la forme d’une galette plate de 1 m de diamètre. La galette de cassave peut être présentée sans ajout ou additionnée de sucre, de noix de coco râpée ou encore de viande. Dans d’autres régions du pays, la production de cassaves de petit diamètre est courante. Avant son arrivée dans la restauration urbaine, le manioc doux était peu consommé. À présent, on le trouve sous forme de jus. Il est également consommé comme un légume (bouilli et vendu en morceaux).
MARCHÉ DES PRODUITS DU MANIOC
La commercialisation du manioc est assurée notamment par les « Madam Sarah ». Les produits de transformation du manioc sont commercialisés localement.
L’amidon – qui est extrait du processus de transformation du manioc – est utilisé dans les services de nettoyage à sec ou encore par les lavandières.
LA PRODUCTION DE BANANE
De manière générale, il y a trois variétés de banane qui sont cultivées en Haïti :
•la figue banane;
•le plantain;
•la banane poban.
Dans la plaine de l’Arcahaie, on produit 60 000 TM de banane sur une étendue de 3 800 hectares. Dans le nord-ouest du pays, 350 hectares servent à la production de 5 000 à 6 000 tonnes métriques (TM) de banane. Même si elle est surtout cultivée en monoculture, la banane est aussi cultivée en association avec d’autres cultures.
Environ 20 000 producteurs, hommes et femmes (dont 9 000 dans la plaine de l’Arcahaie) s’occupent de la production de bananes.
De 1991 à 2004, la production de bananes a diminué, passant de 505 000 à 320 000 TM.
IMPORTATION ET EXPORTATION
Chaque année, plus de 20 000 TM de banane sont importées de la République dominicaine. Les exportations de banane d’Haïti vers la république voisine et les petites Antilles sont de 3 000 à 5 000 TM par année.
COMMERCIALISATION ET TRANSFORMATION DE LA BANANE
Suivant la variété, les volumes commercialisés de la banane s’établissent comme suit :
•60 % de plantains;
•35 % de figues banane; •5 % de bananes poban. Les pertes post-récoltes sont estimées à quelque 20 à 30 % de la production.
La banane est transformée en diverses choses : farine, papita (chips), jus de banane, alcool (dans certains pays) et papier. Le chaume de banane est utilisé pour l’alimentation du bétail. Les principaux acteurs actifs sur le marché local de la banane sont principalement les marchands de fritures et de papita, de même que les ateliers de fabrication de farine.
SITUATION DES ATELIERS DE TRANSFORMATION VIVRES ET TUBERCULES
On compte plus de 9 000 ateliers de transformation de banane et de manioc dans le pays. Ces ateliers appartiennent, de manière générale, à des organisations composées surtout de femmes qui utilisent leurs capitaux propres pour en assurer le fonctionnement.
Les recettes de la galette de cassave varient beaucoup, ce qui explique les variations liées à la forme, à la couleur et au goût des produits transformés. La durée de conservation de ces produits est rarement spécifiée, et la présentation est, de manière générale, peu soignée.
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