Martelly : des solutions seront connues ce jeudi au plus tard
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Martelly : des solutions seront connues ce jeudi au plus tard
Martelly : des solutions seront connues ce jeudi au plus tard
Le président Michel Martelly identifie trois (3) crises qui traversent le pays pour le moment. Il s’agit de la révision de la constitution, les résultats des dix neuf (19) parlementaires élus et la ratification de son premier ministre. En pourparlers avec les acteurs, Michel Joseph Martelly compte, d’ici demain, trouver une solution à ces crises.
Par ailleurs, en ce qui concerne l’amendement de la constitution, il a fait savoir qu’il y a différentes propositions et possibilités émises par les acteurs en présence. Il est aussi nécessaire de prendre la décision qu’il faut pour qu’enfin les parlementaires reçoivent le premier ministre désigné, a tenu à préciser le président de la République.
Pour les élections, le président a confirmé qu’il doit avoir une réunion ce mercredi soir avec les concernés. Il affirme avoir reçu un texte au bas duquel sont apposés des signatures scannées au lieu des originaux. Il promet que ce jeudi, au lever du jour, la solution prise sera connue de tous.
Répondant à une question d’un journaliste, le président a dit qu’aucun groupe de parlementaires ne lui a parlé de postes ministérielles. « Ce ne sont que des nouvelles que j’ai entendues à la radio », a-t-il laissé entendre. Il a en outre fait mention de la présence ce mercredi matin du sénateur Wencesclas Lambert qui a participé avec lui à une réunion et qui n’a jamais soulevé une telle question. Les consultations vont bon train, députés et sénateurs sont très confiants, déclare M. Martelly.
Walter Cameau
Walcam2005@yahoo.fr
Le président Michel Martelly identifie trois (3) crises qui traversent le pays pour le moment. Il s’agit de la révision de la constitution, les résultats des dix neuf (19) parlementaires élus et la ratification de son premier ministre. En pourparlers avec les acteurs, Michel Joseph Martelly compte, d’ici demain, trouver une solution à ces crises.
Par ailleurs, en ce qui concerne l’amendement de la constitution, il a fait savoir qu’il y a différentes propositions et possibilités émises par les acteurs en présence. Il est aussi nécessaire de prendre la décision qu’il faut pour qu’enfin les parlementaires reçoivent le premier ministre désigné, a tenu à préciser le président de la République.
Pour les élections, le président a confirmé qu’il doit avoir une réunion ce mercredi soir avec les concernés. Il affirme avoir reçu un texte au bas duquel sont apposés des signatures scannées au lieu des originaux. Il promet que ce jeudi, au lever du jour, la solution prise sera connue de tous.
Répondant à une question d’un journaliste, le président a dit qu’aucun groupe de parlementaires ne lui a parlé de postes ministérielles. « Ce ne sont que des nouvelles que j’ai entendues à la radio », a-t-il laissé entendre. Il a en outre fait mention de la présence ce mercredi matin du sénateur Wencesclas Lambert qui a participé avec lui à une réunion et qui n’a jamais soulevé une telle question. Les consultations vont bon train, députés et sénateurs sont très confiants, déclare M. Martelly.
Walter Cameau
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Re: Martelly : des solutions seront connues ce jeudi au plus tard
PREZIDAN DI DEPI YO PAKA DESIDE LAP DESIDE POU YO.
PEP YO PWAL PARE GWO MANIFESTASYON LAN DEPATEMAN YO KONT SENATE YO KOM YO DI C PEP KI TE METE YO SA YO PWAL DI KOUNYE A.
PEP YO PWAL PARE GWO MANIFESTASYON LAN DEPATEMAN YO KONT SENATE YO KOM YO DI C PEP KI TE METE YO SA YO PWAL DI KOUNYE A.
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Re: Martelly : des solutions seront connues ce jeudi au plus tard
Fok martelly di ki sal fè ak alinea 2 atik 13 konstitutyon an wi.se konsa diaktatè toujou komanse yo vyole yon atik nan konstitutyon epi nou di sa pa anyen epi jou yo deklare tet yo a vi nou sote.
ki donk martelly pa genyne moun bò kotel ki pou te fel konprann ke gerard rouzier an tan konsil de jamayik pa ka rnapli fonktyon Premye Minis paske li te perdi natyonalite ayisyenn lan pandan ke li te konsil jamayik la.fok li ta tann un an anvan li te ka vinn rekipere natyonalite ayisyenn ;si konstitutyon an pa rekonet doub natyonalite pou lot moun ki jan li fè ekseptyon pou Rouzier?
men sa atik 13 la di
la nationalite haitienne se perd:
1)La naturalisation acquise en pays etranger.
2. l'occupation d'un poste politique au service d'un gouvernement etranger,
3) la residence continue à l'etranger pendant trois(3) ans d'un individu etranger naturalisé haitien ,sans une autorisation regulièrement accordée par l'autorité competente.Quiconque perd ainsi la nationalite haitienne ne peut la recouvrer.
ki donk martelly pa genyne moun bò kotel ki pou te fel konprann ke gerard rouzier an tan konsil de jamayik pa ka rnapli fonktyon Premye Minis paske li te perdi natyonalite ayisyenn lan pandan ke li te konsil jamayik la.fok li ta tann un an anvan li te ka vinn rekipere natyonalite ayisyenn ;si konstitutyon an pa rekonet doub natyonalite pou lot moun ki jan li fè ekseptyon pou Rouzier?
men sa atik 13 la di
la nationalite haitienne se perd:
1)La naturalisation acquise en pays etranger.
2. l'occupation d'un poste politique au service d'un gouvernement etranger,
3) la residence continue à l'etranger pendant trois(3) ans d'un individu etranger naturalisé haitien ,sans une autorisation regulièrement accordée par l'autorité competente.Quiconque perd ainsi la nationalite haitienne ne peut la recouvrer.
Le gros roseau- Super Star
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Re: Martelly : des solutions seront connues ce jeudi au plus tard
Le président Martelly va trancher
Martelly va trancher. La crise constitutionnelle et celle née de la contestation des résultats de trois des dix-huit circonscriptions électorales communiqués par un BCEN spécial trouveront des solutions qui ne feront peut-être pas l'unanimité, prévient le chef de l'Etat qui rappelle que son « rôle est de prendre de grandes décisions ».
Haïti: En enfilant l'écharpe présidentielle, Michel Joseph Martelly a hérité de deux crises: l'une constitutionnelle et l'autre électorale. Une nouvelle, politique celle-là, risque de s'ajouter au lot si les négociations pour obtenir la ratification du choix de Daniel Rouzier débouchent sur un mur, l'intransigeance jusque-là affichée par des parlementaires du groupe majoritaire (GPR), accrochés au principe d'un partage de responsabilité, de portefeuilles ministériels.
Contraint de ronger ses freins et peut-être de jouer à l'usure avec ses adversaires, le fougueux président, très présent dans la presse, friand d'inauguration de petits projets, pourfendeur de l'immobilisme, a reconnu avoir les poings liés sans gouvernement, le mercredi 1er juin 2011. « Mes deux bras sont liés tant que je n'ai pas un gouvernement », a-t-il dit, décidé toutefois à renverser la vapeur, à « trancher ».
« Les trois crises seront résolues sou peu. Je ne peux pas révéler ma décision ici parce que je ne l'ai pas encore annoncés aux parlementaires », a confié le président, le ton posé et visiblement soucieux de ne pas froisser, avant d'ajouter cependant, aussi tranchant qu'un couperet, que « le président, à un certain moment, sera dans l'obligation de trancher ». « Des gens seront d'accord, d'autres pas », a prévenu Michel Joseph Martelly, qui a rappelé que « c'est le rôle du président de prendre les grandes décisions ».
Conscient que la ratification du choix de M. Rouzier et de la politique générale dépend aussi de la clarification de « l'imbroglio constitutionnel », Martelly a révélé qu'il « va prendre la meilleure décision pour le pays et pour ceux qui sont concernés par les articles amendés ». « Si je tranche ce soir, les parlementaires devront se tenir prêts à recevoir dès le lendemain matin le Premier ministre désigné », a souhaité le président de la République, appelant les parlementaires à tout faire pour que les discussions sur la ratification de M. Rouzier ne débouchent sur une impasse, sur une crise.
« Sur la question des élections, nous allons trancher. Je tiendrai une dernière réunion cet après-midi ou ce soir avec les différents concernés, et, passé minuit, le président tranchera », a-t-il promi, concédant son embarras face au CEP qui lui a envoyé pour publication dans Le Moniteur des « listes de parlementaires censés être élus avec des signatures scannées ». Le président, qui dit prendre ce dossier avec des pincettes, a indiqué qu'il ne veut pas publier ces listes avec des signatures dont l'authenticité pourrait être contestée par les signataires.
La publication dans Le Moniteur de l'amendement de la Constitution de 1987 avec des « erreurs matérielles » et la contestation des résultats de trois des dix-huit circonscriptions électorales communiqués par un BCEN spécial ont plombé les premiers jours de l'administration Martelly. Mais, comme un couperet, il va trancher, bref, gouverner. Et faire l'addition de ses réussites et de ses échecs, a souligné un observateur du fait politique.
Roberson Alphonse
ralphonse@lenouvelliste.com
Martelly va trancher. La crise constitutionnelle et celle née de la contestation des résultats de trois des dix-huit circonscriptions électorales communiqués par un BCEN spécial trouveront des solutions qui ne feront peut-être pas l'unanimité, prévient le chef de l'Etat qui rappelle que son « rôle est de prendre de grandes décisions ».
Haïti: En enfilant l'écharpe présidentielle, Michel Joseph Martelly a hérité de deux crises: l'une constitutionnelle et l'autre électorale. Une nouvelle, politique celle-là, risque de s'ajouter au lot si les négociations pour obtenir la ratification du choix de Daniel Rouzier débouchent sur un mur, l'intransigeance jusque-là affichée par des parlementaires du groupe majoritaire (GPR), accrochés au principe d'un partage de responsabilité, de portefeuilles ministériels.
Contraint de ronger ses freins et peut-être de jouer à l'usure avec ses adversaires, le fougueux président, très présent dans la presse, friand d'inauguration de petits projets, pourfendeur de l'immobilisme, a reconnu avoir les poings liés sans gouvernement, le mercredi 1er juin 2011. « Mes deux bras sont liés tant que je n'ai pas un gouvernement », a-t-il dit, décidé toutefois à renverser la vapeur, à « trancher ».
« Les trois crises seront résolues sou peu. Je ne peux pas révéler ma décision ici parce que je ne l'ai pas encore annoncés aux parlementaires », a confié le président, le ton posé et visiblement soucieux de ne pas froisser, avant d'ajouter cependant, aussi tranchant qu'un couperet, que « le président, à un certain moment, sera dans l'obligation de trancher ». « Des gens seront d'accord, d'autres pas », a prévenu Michel Joseph Martelly, qui a rappelé que « c'est le rôle du président de prendre les grandes décisions ».
Conscient que la ratification du choix de M. Rouzier et de la politique générale dépend aussi de la clarification de « l'imbroglio constitutionnel », Martelly a révélé qu'il « va prendre la meilleure décision pour le pays et pour ceux qui sont concernés par les articles amendés ». « Si je tranche ce soir, les parlementaires devront se tenir prêts à recevoir dès le lendemain matin le Premier ministre désigné », a souhaité le président de la République, appelant les parlementaires à tout faire pour que les discussions sur la ratification de M. Rouzier ne débouchent sur une impasse, sur une crise.
« Sur la question des élections, nous allons trancher. Je tiendrai une dernière réunion cet après-midi ou ce soir avec les différents concernés, et, passé minuit, le président tranchera », a-t-il promi, concédant son embarras face au CEP qui lui a envoyé pour publication dans Le Moniteur des « listes de parlementaires censés être élus avec des signatures scannées ». Le président, qui dit prendre ce dossier avec des pincettes, a indiqué qu'il ne veut pas publier ces listes avec des signatures dont l'authenticité pourrait être contestée par les signataires.
La publication dans Le Moniteur de l'amendement de la Constitution de 1987 avec des « erreurs matérielles » et la contestation des résultats de trois des dix-huit circonscriptions électorales communiqués par un BCEN spécial ont plombé les premiers jours de l'administration Martelly. Mais, comme un couperet, il va trancher, bref, gouverner. Et faire l'addition de ses réussites et de ses échecs, a souligné un observateur du fait politique.
Roberson Alphonse
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