Editorial de H en M sur le massacre a Virginia Tech
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Editorial de H en M sur le massacre a Virginia Tech
EDITORIAL: Massacre sur le campus
PORT-AU-PRINCE, 18 Avril - Encore un massacre sur un campus ou dans un collège aux Etats-Unis. Ce serait presque un fait divers, si cette fois le bilan ne dépassait pas l'inimaginable : 33 morts, dont le tireur fou qui s'est suicidé au bout de cette hécatombe.
Il ne se passe pas trois mois, et parfois trois semaines, sans que le même événement se reproduise. Et cela depuis environ 8 ans. Depuis le massacre du lycée de Columbine où deux collégiens, de moins de 20 ans, tuèrent de sang-froid 12 de leurs camarades, et un professeur. Ils firent aussi 24 blessés. Avant de se suicider eux aussi.
La liste ne cesse de s'allonger depuis. Parfois le massacre est prévenu juste à temps. On ne compte plus les cas. L'année dernière, ils se sont succédé presque de semaine en semaine. Toujours des jeunes, des garçons et des mineurs ou " teen-agers ", comme on dit là-bas. Et pourtant, aucune solution n'a été trouvée. Ni proposée. Le pays vit cette affaire comme une fatalité, comme une pénitence, une croix à porter, comme un prix à payer.
A payer pourquoi ? A chaque fois, on évoque la même chose, le IIe amendement de la Constitution des Etats-Unis, accordant à chaque citoyen le droit de porter une arme à feu.
Tous ces massacres sont exécutés avec des armes à feu. Outre l'amendement constitutionnel, il y a aussi la facilité de se procurer des armes, qui dans certains Etats américains sont achetées presque aussi facilement que du chewing gum.
Or aucun candidat à la présidence ne prendrait position contre les fabricants d'armes qui constituent un lobby très puissant. Non seulement c'est l'un des plus importants contributeurs à la caisse électorale de tout candidat, à quelque parti qu'il appartienne, mais un élu qui se prononcerait carrément contre le IIe amendement déclencherait aussitôt contre lui les foudres de cette superpuissance locale.
D'où les réponses totalement fades des actuels candidats présidentiels interrogés après le massacre de lundi.
Hillary Clinton : " Je suis remplie de tristesse pour les mères et les pères frappés par la soudaine et insupportable nouvelle... "
Barak Obama : " Une nation en état de choc et de douleur. "
Pour le républicain, John McCain : " Nous devons faire en sorte que les armes restent entre les mains de citoyens respectueux des lois. "
Etc.
Vient ensuite le refus par l'Américain de se juger suivant les mêmes critères qu'on utilise pour juger les autres. Donc deux poids et deux mesures. En effet, penser que le même événement se passe ailleurs qu'aux Etats-Unis. Pensez-y. Un jeune (dans le cas actuel 23 ans, étudiant, d'origine étrangère, sud-coréenne) qui sans avertissement débarque et ouvre le feu systématiquement sur tout le monde. Puis après avoir abattu plus d'une trentaine de personnes, se donne aussi la mort.
Partout ailleurs, cela ne s'appelle pas un tireur fou (comme on lit dans la presse américaine). Partout ailleurs, cela a un nom. KAMIKAZE. Ou encore terroriste.
Que font-ils d'autres les terroristes tant redoutés actuellement en Irak, dans les territoires palestiniens, ou la semaine dernière dans la capitale algérienne.
Mais les Etats-Unis refusent catégoriquement que cette engeance puisse exister aussi chez eux. Peut-être, mais ce ne peut être que des islamistes. Jamais des américains natif natal, à moins d'être détournés par un quelconque Ben laden.
Or Timothy McVeigh qui a placé la bombe qui a tué plusieurs dizaines de personnes innocentes dans un building fédéral à Oklahoma City, n'avait aucun lien avec Al Qaida. C'est un ancien de la guerre du Golfe. Un petit blond. On ne le qualifie pas de terroriste. C'est un fou.
Des fous aux Etats-Unis peuvent se comporter exactement comme les terroristes et même les kamikazes font ailleurs. Mais eux ne sont que des fous.
Et justement c'est ce refus de questionnement qui constitue, il nous semble, le plus grand handicap face à ce phénomène de massacres à la chaîne survenant sur des campus ou dans des collèges.
L'Amérique ne veut pas avoir d'état d'âme, se refuse à toute introspection. Il n'y a pas de problème sans solution, pas de défi qui puisse résister aux Etats-Unis. Point.
On connaît le symbole. C'est le cow-boy invincible, toujours optimiste, le sourire Colgate, mais un homme juste et qui a bon cœur.
C'est John Wayne. Ou mieux encore, le Gary Cooper de " High Noon " (titre français " Le train sifflera trois fois ").
Tout à fait aussi la réponse du candidat républicain John McCain (lui-même un héros du Vietnam) : " Ce qui s'est passé ne change pas mon point de vue sur le deuxième amendement, sauf pour s'assurer que ce type d'arme ne tombe pas dans les mains de personnes mal intentionnées. "
La réflexion ne va pas plus loin. Et les autres candidats, démocrates ou républicains, pareil !
Penser que la seule tentative de réflexion un peu plus avancée que l'on connaisse sur ce sujet, c'est un film, celui de Michael Moore, cinéaste contestataire mais à succès, intitulé " Bowling for Columbine. " Le massacre de Columbine, dans le Colorado, a été l'une des premières manifestations du phénomène.
Et encore, le film de Michael Moore n'a eu du succès aux Etats-Unis qu'après avoir été primé au festival de Cannes, en France.
Les Etats-Unis, pays de tous les triomphes technologiques, refusent de se poser certaines questions, des questions trop personnelles, trop pertinentes, qui devraient porter les Américains à réfléchir sur eux-mêmes. Pardon, en eux-mêmes.
On continue à payer un prix fou pour attirer des savants et prix Nobel de tous les coins du monde. Mais prix Nobel en physique, chimie, mathématiques...
Mais pas un seul Descartes, voire un Sartre.
Hollywood se glorifie de ses films d'action qui ramassent des millions partout dans le monde et rejette le meilleur cinéma européen, surtout français, au rang de guimauve à prétention psychologique.
En même temps, les meilleurs écrivains américains du 20e siècle (Faulkner, Steinbeck, Dos Pasos, Hemingway, même Arthur Miller) sont traités comme des pièces de musée, tandis que le seul critère pour juger un livre est sa capacité d'adaptation cinématographique et d'en faire un gros machin.
André Malraux écrit dans une post-face à la dernière édition de son roman " Les Conquérants " que les Etats-Unis ne sont pas une civilisation mais un moment 'mécaniste' de la civilisation.
Les Etats-Unis sont un peuple encore trop jeune pour qu'on puisse tirer une conclusion.
Toutefois la dernière fois que la philosophie a eu sa chance c'est pendant les années 60 (les fameuses Sixties), la bande à l'université Berkeley, autour d'un certain Herbert Marcuse.
Mais les années 60 c'est aussi les hippies, la lutte pour les droits civiques, et pis encore (si l'on peut dire) le Black power, et Angela Davis qui fut justement une élève de Herbert Marcuse.
Non, les Etats-Unis ne sont pas prêts à solutionner le problème de ses tireurs fous qui massacrent sur les campus. Voire l'Amérique du cow-boy texan George W. Bush.
Et pourtant, il le faut. Bien évidemment.
Editorial, Mélodie 103.3 FM, Port-au-Prince
PORT-AU-PRINCE, 18 Avril - Encore un massacre sur un campus ou dans un collège aux Etats-Unis. Ce serait presque un fait divers, si cette fois le bilan ne dépassait pas l'inimaginable : 33 morts, dont le tireur fou qui s'est suicidé au bout de cette hécatombe.
Il ne se passe pas trois mois, et parfois trois semaines, sans que le même événement se reproduise. Et cela depuis environ 8 ans. Depuis le massacre du lycée de Columbine où deux collégiens, de moins de 20 ans, tuèrent de sang-froid 12 de leurs camarades, et un professeur. Ils firent aussi 24 blessés. Avant de se suicider eux aussi.
La liste ne cesse de s'allonger depuis. Parfois le massacre est prévenu juste à temps. On ne compte plus les cas. L'année dernière, ils se sont succédé presque de semaine en semaine. Toujours des jeunes, des garçons et des mineurs ou " teen-agers ", comme on dit là-bas. Et pourtant, aucune solution n'a été trouvée. Ni proposée. Le pays vit cette affaire comme une fatalité, comme une pénitence, une croix à porter, comme un prix à payer.
A payer pourquoi ? A chaque fois, on évoque la même chose, le IIe amendement de la Constitution des Etats-Unis, accordant à chaque citoyen le droit de porter une arme à feu.
Tous ces massacres sont exécutés avec des armes à feu. Outre l'amendement constitutionnel, il y a aussi la facilité de se procurer des armes, qui dans certains Etats américains sont achetées presque aussi facilement que du chewing gum.
Or aucun candidat à la présidence ne prendrait position contre les fabricants d'armes qui constituent un lobby très puissant. Non seulement c'est l'un des plus importants contributeurs à la caisse électorale de tout candidat, à quelque parti qu'il appartienne, mais un élu qui se prononcerait carrément contre le IIe amendement déclencherait aussitôt contre lui les foudres de cette superpuissance locale.
D'où les réponses totalement fades des actuels candidats présidentiels interrogés après le massacre de lundi.
Hillary Clinton : " Je suis remplie de tristesse pour les mères et les pères frappés par la soudaine et insupportable nouvelle... "
Barak Obama : " Une nation en état de choc et de douleur. "
Pour le républicain, John McCain : " Nous devons faire en sorte que les armes restent entre les mains de citoyens respectueux des lois. "
Etc.
Vient ensuite le refus par l'Américain de se juger suivant les mêmes critères qu'on utilise pour juger les autres. Donc deux poids et deux mesures. En effet, penser que le même événement se passe ailleurs qu'aux Etats-Unis. Pensez-y. Un jeune (dans le cas actuel 23 ans, étudiant, d'origine étrangère, sud-coréenne) qui sans avertissement débarque et ouvre le feu systématiquement sur tout le monde. Puis après avoir abattu plus d'une trentaine de personnes, se donne aussi la mort.
Partout ailleurs, cela ne s'appelle pas un tireur fou (comme on lit dans la presse américaine). Partout ailleurs, cela a un nom. KAMIKAZE. Ou encore terroriste.
Que font-ils d'autres les terroristes tant redoutés actuellement en Irak, dans les territoires palestiniens, ou la semaine dernière dans la capitale algérienne.
Mais les Etats-Unis refusent catégoriquement que cette engeance puisse exister aussi chez eux. Peut-être, mais ce ne peut être que des islamistes. Jamais des américains natif natal, à moins d'être détournés par un quelconque Ben laden.
Or Timothy McVeigh qui a placé la bombe qui a tué plusieurs dizaines de personnes innocentes dans un building fédéral à Oklahoma City, n'avait aucun lien avec Al Qaida. C'est un ancien de la guerre du Golfe. Un petit blond. On ne le qualifie pas de terroriste. C'est un fou.
Des fous aux Etats-Unis peuvent se comporter exactement comme les terroristes et même les kamikazes font ailleurs. Mais eux ne sont que des fous.
Et justement c'est ce refus de questionnement qui constitue, il nous semble, le plus grand handicap face à ce phénomène de massacres à la chaîne survenant sur des campus ou dans des collèges.
L'Amérique ne veut pas avoir d'état d'âme, se refuse à toute introspection. Il n'y a pas de problème sans solution, pas de défi qui puisse résister aux Etats-Unis. Point.
On connaît le symbole. C'est le cow-boy invincible, toujours optimiste, le sourire Colgate, mais un homme juste et qui a bon cœur.
C'est John Wayne. Ou mieux encore, le Gary Cooper de " High Noon " (titre français " Le train sifflera trois fois ").
Tout à fait aussi la réponse du candidat républicain John McCain (lui-même un héros du Vietnam) : " Ce qui s'est passé ne change pas mon point de vue sur le deuxième amendement, sauf pour s'assurer que ce type d'arme ne tombe pas dans les mains de personnes mal intentionnées. "
La réflexion ne va pas plus loin. Et les autres candidats, démocrates ou républicains, pareil !
Penser que la seule tentative de réflexion un peu plus avancée que l'on connaisse sur ce sujet, c'est un film, celui de Michael Moore, cinéaste contestataire mais à succès, intitulé " Bowling for Columbine. " Le massacre de Columbine, dans le Colorado, a été l'une des premières manifestations du phénomène.
Et encore, le film de Michael Moore n'a eu du succès aux Etats-Unis qu'après avoir été primé au festival de Cannes, en France.
Les Etats-Unis, pays de tous les triomphes technologiques, refusent de se poser certaines questions, des questions trop personnelles, trop pertinentes, qui devraient porter les Américains à réfléchir sur eux-mêmes. Pardon, en eux-mêmes.
On continue à payer un prix fou pour attirer des savants et prix Nobel de tous les coins du monde. Mais prix Nobel en physique, chimie, mathématiques...
Mais pas un seul Descartes, voire un Sartre.
Hollywood se glorifie de ses films d'action qui ramassent des millions partout dans le monde et rejette le meilleur cinéma européen, surtout français, au rang de guimauve à prétention psychologique.
En même temps, les meilleurs écrivains américains du 20e siècle (Faulkner, Steinbeck, Dos Pasos, Hemingway, même Arthur Miller) sont traités comme des pièces de musée, tandis que le seul critère pour juger un livre est sa capacité d'adaptation cinématographique et d'en faire un gros machin.
André Malraux écrit dans une post-face à la dernière édition de son roman " Les Conquérants " que les Etats-Unis ne sont pas une civilisation mais un moment 'mécaniste' de la civilisation.
Les Etats-Unis sont un peuple encore trop jeune pour qu'on puisse tirer une conclusion.
Toutefois la dernière fois que la philosophie a eu sa chance c'est pendant les années 60 (les fameuses Sixties), la bande à l'université Berkeley, autour d'un certain Herbert Marcuse.
Mais les années 60 c'est aussi les hippies, la lutte pour les droits civiques, et pis encore (si l'on peut dire) le Black power, et Angela Davis qui fut justement une élève de Herbert Marcuse.
Non, les Etats-Unis ne sont pas prêts à solutionner le problème de ses tireurs fous qui massacrent sur les campus. Voire l'Amérique du cow-boy texan George W. Bush.
Et pourtant, il le faut. Bien évidemment.
Editorial, Mélodie 103.3 FM, Port-au-Prince
gwotoro- Super Star
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Date d'inscription : 20/08/2006
Feuille de personnage
Jeu de rôle: le balancier
Re: Editorial de H en M sur le massacre a Virginia Tech
Lee Harvey Oswald fut un fou ,un derange , Mc Veigh fut un fou, Son of Sam qui semait la terreur a New York dans les années 70 fut un fou ,Ce Koreen peut-etre degoute des prejudices envers son pays d'origine est aussi un fou.Quand donc auront-ils le courage de regarder leur visage dans un mirroir pour demander ;Mais Pourquoi sommes -nous si hais ,malgré les bienfaits que nous avions accomplis envers les autres peuples ?
La semaine dernière on reportait que l'Australie confrontait un problème similaire ;mais a la difference des politiciens americains ,les australiens ont reconnu que les armes a feu ne pouvaient etre confiés a des adolescents ou des deranges mentaux.Il fallait un controle et ainsi ils ont diminué les massacres.Admettons que ce jeune homme soit un malade ,mais pourquoi Grand Dieu après tous les signes ne l'avait-on pas confié aux soins d'un psychiatre.Pourqoui son nom n'etait pas signalé aux marchands d'armes pour l'emepcher d'acheter ces armes et munitions.
En pensant seulement aux douleurs des familles qui ont tant sacrifié pour l'education de leurs enfants et qui maintenant sont privées de leurs affections on se demande quand aura-t-on des politiciens responsables sur cette terre.
La semaine dernière on reportait que l'Australie confrontait un problème similaire ;mais a la difference des politiciens americains ,les australiens ont reconnu que les armes a feu ne pouvaient etre confiés a des adolescents ou des deranges mentaux.Il fallait un controle et ainsi ils ont diminué les massacres.Admettons que ce jeune homme soit un malade ,mais pourquoi Grand Dieu après tous les signes ne l'avait-on pas confié aux soins d'un psychiatre.Pourqoui son nom n'etait pas signalé aux marchands d'armes pour l'emepcher d'acheter ces armes et munitions.
En pensant seulement aux douleurs des familles qui ont tant sacrifié pour l'education de leurs enfants et qui maintenant sont privées de leurs affections on se demande quand aura-t-on des politiciens responsables sur cette terre.
Rodlam Sans Malice- Super Star
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Date d'inscription : 21/08/2006
Feuille de personnage
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Re: Editorial de H en M sur le massacre a Virginia Tech
[...]Mais Pourquoi sommes -nous si hais ,malgré les bienfaits que nous avions accomplis envers les autres peuples ?[...]
Je tente une reponse. Peut-etre que la somme de leurs mefaits depasse de loin la somme de leurs bienfaits. Que pensez-vous de celle-la ?
gwotoro- Super Star
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Jeu de rôle: le balancier
Re: Editorial de H en M sur le massacre a Virginia Tech
non ,sincèrement je pense que la somme de leurs bienfaits depasse de loin leurs méfaits?En tout cas c'est mon opinion.
Rodlam Sans Malice- Super Star
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Date d'inscription : 21/08/2006
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Jeu de rôle: Stock market
Re: Editorial de H en M sur le massacre a Virginia Tech
Non, sincèrement, leurs méfaits dépassent de milles coudées les retombées de leurs politiques qui prétendent bien faire, lorsqu'en réalité ils défendent leur propres intérets.
Sasaye- Super Star
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Date d'inscription : 02/03/2007
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Jeu de rôle: Maestro
Re: Editorial de H en M sur le massacre a Virginia Tech
Ils nous ont donné l'electricité, le téléphone, la télévison, l'automobile, les avions.et toute la gamme des machines pour diagnostiquer les maladies:le X.Ray machine ,Le MRI.et toutes les decouvertes scientifiques pour lesquelles leurs savants ont recu les prix Nobel.
Durant les grandes catastrophes ils sont les premiers à secourir les sinistrés, malgré leurs problemes ils nous aident toujours.Alors dans mon cacul je pense que le reste de la soustraction est plutot positif.Ils ne sont pas des saints assurement;ils defendent leurs interets ;oui ils commettent parfois des erreurs,mais qui n'en a pas commis?
Durant les grandes catastrophes ils sont les premiers à secourir les sinistrés, malgré leurs problemes ils nous aident toujours.Alors dans mon cacul je pense que le reste de la soustraction est plutot positif.Ils ne sont pas des saints assurement;ils defendent leurs interets ;oui ils commettent parfois des erreurs,mais qui n'en a pas commis?
Rodlam Sans Malice- Super Star
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